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Une étude fondamentale pour la compréhension intime du judaïsme, agréée par la police de la pensée unique MRAP et la LICRA :

 

Ce que l’œuvre de Franz Kafka dévoile du judaïsme.


Le problème que pose l’œuvre de l’écrivain tchèque du 19ème siècle Franz Kafka (principalement composée du Procès, du Château, de la Métamorphose et de la Colonie pénitentiaire) est l’évidence de l’incroyable cécité dont a fait preuve l’ensemble intégral de ceux qui l’ont analysée.

En effet, cette œuvre est constituée de récits de type onirique, qu’il est même loisible de qualifier d’hallucinatoires.

Il s’agit de rêves éveillés, tellement prenant que la limite entre le rêve et la réalité semble s’estomper, le rêveur étant à chaque fois le héros du récit, et ce rêveur étant en réalité Kafka lui-même, qui se met en scène par l’écriture, dans une tentative pour rationaliser ses visions, ses ressentis, c'est-à-dire pour ne pas sombrer totalement dans la folie.

Or, on ne rêve que de soi-même. Tous les écrits de Kafka ne font que décrire la réalité intérieure de Kafka, et ne sont pas une satire de la société de l’Europe de l’est de l’époque, comme cherchent à nous en convaincre ses analystes.

Kafka se sert des éléments tirés de ses observations sociales pour habiller ses sentiments personnels, sentiments provenant de sa vie familiale intime, qui est elle intimement liée à sa filiation juive, autrement dit, Kafka nous livre par ses écrits la description des ressentis d’un juif hypersensible et artiste-écrivain né, vis-à-vis du contexte juif, il nous éclaire de l’intérieur sur ce qu’est le judaïsme.

Kafka a donné son nom pour qualifier des situations cauchemardesques (oppressantes et absurdes), dites « kafkaïennes ». C’est la vérité qu’il a réussit à introduire dans la conscience humaine. Le judaïsme est une culture kafkaïenne, cauchemardesque, où règne l’oppression et l’absurdité.

Pourquoi Kafka devait-il en passer par des récits hallucinatoires pour exprimer ce qui loge au plus intime de sa personne, et qui l’oppresse, le conditionnement juif ?

Toute hallucination ou rêve hallucinatoire, apparaît lorsque la vérité qu’on porte en soi est si drastiquement refoulée, si parfaitement interdite d’expression, qu’elle ne peut même pas se frayer une formulation dans le langage éveillé, mais ne peut que se transcrire très indirectement par des fantasmagories en apparence totalement étrangères au sujet traité. L’hallucination ou le récit hallucinatoire est une façon désespérée de traverser le mur intérieur de la censure. Kafka n’était lui-même certainement pas conscient que tous ses romans ne faisaient que décrire la réalité du judaïsme.

Et cette conscience devait aussi être interdite aux lecteurs de Kafka, cette censure étant l’œuvre des analystes de Kafka.

Parmi les censeurs les plus récents, on peut citer l’auteur de la bande dessinée Le Procès parue en 2009, Chantal Montellier, qui réussit l’exploit de placer dans certains de ses dessins des portraits d’Hitler, comme si Kafka au lieu du judaïsme exprimait son angoisse du fascisme à venir un demi siècle plus tard. Chantal Montellier est un auteur qui se veut subversive et qui est réputé l’être (lire sa bande dessinée sur Tchernobyl, où elle se peint elle-même en journaliste victime de la censure). Elle révèle là l’allégeance générale qui touche même ceux qui font façade d’indépendance, à la norme intellectuelle et morale qui oblige à ne pas voir la réalité du judaïsme, ce qu’on peut appeler le politiquement correct occidental actuel. C’est l’acte de soumission intellectuelle.

C’est à chacun de découvrir à travers l’œuvre de Kafka, ce qu’est la réalité du judaïsme, réalité que personne apparemment ne peut connaître et communiquer hors d’un détour fantasmagorique, allégorique, hallucinatoire, qui rend seul possible son approche et son expression. Tout se passe comme si contempler le judaïsme de face était comme regarder le monstre Gorgone de l’Odyssée directement sans le subterfuge d’un miroir, ce qui pétrifiait l’imprudent observateur. Gorgone est la personnification du pouvoir, du pouvoir absolu, dont la vision directe change un être de chair qui respire, en statue de pierre.

Ce qui s’est affronté en Kafka, c’est l’implacable interdit qui pèse en chaque juif porteur du conditionnement juif, et son immense sensibilité et sa capacité à l’exprimer par l’art de l’écriture. Cela a produit cette série de romans, dont voici pour ma part, les brèves analyses que j’en donne, sachant que c’est à chacun d’apprendre à lire le judaïsme en lisant Kafka, de trouver sa propre traduction selon sa sensibilité, du langage de Kafka.


1 - Le Procès.

Le Procès, décrit un épisode de la vie d’un personnage, qui est Kafka transposé, qu’on accuse visiblement sans aucune raison, et aussi visiblement sans qu’il soit nécessaire qu’il y ait une raison, simplement on se rend compte au fur et à mesure, qu’on se trouve dans un monde où il est normal de se trouver accusé sans qu’il y ait de motif à cette accusation. C’est le monde de la culpabilité intrinsèque. Et il faut faire des exemples comme dans toute société, afin que chacun se plie à cet ordre de la culpabilité. La malchance ou le hasard font que le personnage du roman Le Procès est désigné comme prévenu, et doit donc subir une procédure. Tout ce qui lui est implicitement demandé est d’accepter sans se rebeller cette procédure, et de prendre un avocat, ce qui signe son acceptation. A partir du moment où il fait le choix d’agir sans avocat, c'est-à-dire de ne pas jouer le jeu de la culpabilité, il doit être éliminé, et c’est ce qui lui arrive. Deux fonctionnaires l’emmènent dans une sorte de terrain désert pour l’égorger, comme un animal. Non seulement on le tue, mais on lui retire même sa qualité d’humain, car il ne respecte pas l’ordre.


2 – Le Château.

Le Château décrit le même personnage qui est toujours la transposition de Kafka, appelé par le Château pour prendre son service comme géomètre-arpenteur. Cette histoire inachevée, que Kafka voulait détruire, fut conservée par ses héritiers. C’est la narration de l’absurde total d’un pouvoir absolu, qui émet des ordres entièrement contradictoires, comme par nature contradictoires, sans logiques, et ignorant, déniant même tout en le commandant, celui qui doit obéir. L’obéissance devient transcendante. L’obéissance a pour but l’obéissance, et l’ordre donné a pour seul but d’être donné. Celui qui est commandé doit obéir sans réflexion et sans même se rendre compte des contradictions, comme une chose, l’obéissance étant la seule manière d’être dans le monde du Château.

Culpabilité native, obéissance aveugle, voilà déjà deux caractères fondamentaux que livre Kafka sur le monde juif, qui se révèle être un monde entièrement dévolu au pouvoir.


3 – La Métamorphose.

La Métamorphose est le récit d’un fils d’une famille, lequel est encore une transposition de Kafka, qui sans cause, se transforme peu à peu en blatte ou cafard, et que sa famille doit cacher dans sa chambre. Sa mère finit par le tuer en lui jetant une pomme qui s’incruste dans sa carapace, laquelle s’infecte. C’est sans doute la vision de Kafka de lui-même au cas où son travail d’exploration du judaïsme deviendrait conscient et consciemment communiqué. Il se voit devenir un insecte répugnant, comme si le dieu du monde juif pour le punir le transformait en la plus vile de ses créatures, tuée de manière dérisoire et ignominieuse. C’est le châtiment cruel et dévalorisant le plus total, pour l’irrévérencieux. C’est la punition de la conscience … devenir un cafard apeuré, renié et mis à mort par sa propre mère.

Châtiment, cruauté, dérision et mépris, voilà d’autres caractères fondamentaux que nous livre Kafka sur la réalité du monde juif, celui du pouvoir qui rabaisse jusqu’à l’infini celui qui ose le voir, le nommer, le décrire, le comprendre, soit commencer à le détruire.


4 – La Colonie pénitentiaire.

Le dernier des romans notables de Kafka, est la Colonie pénitentiaire, qui décrit un pénitencier où les condamnés sont soumis au supplice d’une machine qui grave sur leur peau le texte de la loi qu’ils ont enfreint, et cela au moyen d’un stylet d’acier, qui repasse sans cesse le même texte en s’enfonçant à chaque fois un peu plus au même endroit, creusant des sillons de plus en plus profonds dans leur chair, jusqu’à les tuer. Implacabilité, atrocité, sadisme et inhumanité absolue sont les caractéristiques de l’application de la loi juive.

Culpabilité, obéissance, châtiment, cruauté, mépris total, implacabilité, atrocité, sadisme, inhumanité, voilà ce que nous révèle Kafka de la nature du monde juif, monde entièrement centré sur le pouvoir sans limite, n’admettant aucune opposition, aucune contestation.

Voilà ce que même Kafka ne pouvait reconnaître, et transcrire autrement que par des récits hallucinatoires.

Voilà ce que les exégètes de Kafka devaient interdire aux non-juifs, ainsi qu’aux juifs, de percevoir.

Voilà ce qui explique la naissance du caractère premier fondamental du judaïsme, sa dissimulation, car c’est là la résultante de toute l’œuvre de Kafka, dont l’objet décrit doit rester enfoui, innomé, et ce qui explique l’autre caractère fondamental du judaïsme, la tromperie, car la tromperie et la dissimulation ne sont que les conséquences d’une culture d’un brutalité absolue, d’un ordre impossible à enfreindre, où l’unique possibilité de dévier de cet ordre, de vivre, consiste à ruser, à feindre l’obéissance, et non à affronter un pouvoir invincible, par essence divin, éternel.

C’est un ordre immuable resté inchangé depuis l’antiquité, qui s’est perpétué au sein des sociétés modernes. Il a fallut pour cela dissimuler, feindre de s’adapter, singer l’évolution, tromper, tout en se maintenant coupé du monde, lui en perpétuelle évolution, soit en se constituant en ghettos, en rupture avec le monde vivant, ghetto dont le dernier, ce qui semble être l’ultime ghetto de cette histoire absurde et oppressante, kafkaïenne, est Israël, lequel par un paradoxe comme les dieux grecs, ces dieux si humains, si triviaux, aimaient à imposer aux hommes pour s’en distraire, en rire, s’en gausser, porte au grand jour la réalité dissimulée du judaïsme.

Le pouvoir est nu sous la lumière éblouissante et révélatrice de l’étoile soleil, sans la moindre tâche d’ombre où se dissimuler, et cela sous les regards concentriques du monde entier, des six milliards d’humains.

Michel DAKAR, écrit le 24 février 2010.