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Titre de cette page :
Quelques aventures vécues par des antisionistes
parisiens,
A a subi des agressions très violentes, dont l’une a nécessité des soins, et des expertises médico-légales pour ses blessures. A s’est retrouvé confronté au problème de se faire soigner et expertiser par des membres de la police politique judéo-sionistes, tant ils sont en nombre sur la place parisienne dans le secteur médical. Elle s’est vu refuser une fois catégoriquement d’être soignée, ce qui est contraire à toute déontologie médicale, mais de plus ce qui pouvait être dénoncé à l’ordre des médecins. Une autre fois, l’un d’eux a accepté de la soigner. Il s’agissait d’une opération où un instrument dangereux était utilisé, et cela à proximité immédiate d’un organe vital pouvant être irrémédiablement endommagé en cas de geste maladroit ou d’un moment d’inattention de ce médecin. Ce médecin a fait remarquer à A avant de procéder à l’opération qu’il était bien informé des activités de A. Il lui a fait observer que le plus petit écart de son instrument pouvait la rendre invalide définitivement, tout cela étant dit avec gentillesse et le sourire. A la fin, il a poussé le vice jusqu’à féliciter A pour son activité, l’a encouragé à continuer et lui a même serré la main.
B reçoit une convocation suite à
ses activités anti-sionistes, dans un service psychiatrique dépendant
de la Préfecture de police de Paris. B décide de se faire faire préventivement des certificats par des médecins psychiatres libéraux, et demande des adresses de psychiatres à son médecin traitant. Ce dernier s’exécute, non sans peine, car ayant conscience qu’il ne faut pas envoyer B chez un membre de la secte, et ceux-ci étant prépondérants à Paris dans le domaine « psy », elle a quelque difficulté à trier pour sortir deux noms sûrs. Elle-même partage son cabinet avec une psy, qu’elle ne songe pas à indiquer à B, vu son origine. B rencontre le premier psy, qui au vu des pièces écrites que B a amené, tente d’aider B, de le conseiller, et accepte de rédiger une attestation en faveur de B, alors que seuls les médecins inscrits sur la liste de la Cour d’appel sont habilités à signer des expertises. B se rend donc plus assuré chez le second « psy », qui exerce en partie dans un centre mutualiste prestigieux du centre de Paris. Le médecin écoute d’abord avec bienveillance B, tant que les termes sionisme, Israël, Palestine ne sont pas prononcés. Dès qu’il a pris conscience du contexte, le « psy » devient franchement agressif, retire sa proposition d’établir une attestation, et chasse B de son cabinet avec violence. Le nom de ce second médecin était en effet très transformé, ce qui explique l’erreur dans le choix du médecin traitant de B.
Les traitements appliqués à C, semblent lui être réservés. C semble être l’objet d’expérimentations à partir de son téléphone portable. Apparemment les services spécialisés des polices politiques peuvent faire tout ce qu’ils veulent avec les téléphones portables (faire appeler un numéro par un portable sans le consentement de son propriétaire, faire recevoir un appel immédiatement après avoir eu une conversation avec un ami, appel intimant l’ordre de ne plus appeler ce numéro etc …). C, est aussi l’objet d’expérimentations bancaires (convocations de la part de sa banque qui demande des explications sur des virements dont l’origine anodine est sans difficulté prouvable, cela sous couvert de financement du terrorisme etc …). Visiblement les banques collaborent étroitement avec les police politiques. C, est l’objet pour finir d’expérimentation sur son lieu de travail, ce qui se manifeste par des attitudes étranges de la part de certains de ses collègues.
D est un cas unique dans l’histoire française de la répression politique. D jouit d’un invisible, d’un impalpable statut de prisonnier politique. Pour ses activités de dénonciation du sionisme, il est interdit de séjour à Paris sur décision judiciaire, interdit de prendre la parole en public, interdit de réunion. On parle même de lui imposer le port d’un bracelet électronique.
E a vu sa gazinière à son domicile sabotée, les écrous aux deux extrémités du tuyau de gaz ayant été desserrés. E a aussi eu un début d’incendie dans sa chambre, une multiprise ayant flambée la nuit, du fait, après le démontage de ce qui en restait, du chevauchement de deux fils écrasés l’un sur l’autre, et légèrement dénudés. E a été intoxiqué par la combustion lente du plastique de la multiprise durant la nuit. Il en a été malade quelques jours.
F a reçu comme quelques autres des menaces de mort épistolaires de la part d’un fanatique plutôt grotesque de la police politique judéo-sioniste. Le fanatique a été retrouvé par la police classique française, qui n’a eu aucun mal à l’identifier, puisque ce dernier fréquentait cette même police, ce qui a été révélé à F le jour du procès du fanatique, alors que F voyait pour la seconde fois le fanatique, la première fois étant celle où il accompagnait deux policiers français qui ont demandé à F la permission de pénétrer dans sa maison pour pouvoir observer soi-disant des allées et venues suspectes à proximité. F en a fait la remarque au juge, qui a fait semblant de ne rien comprendre.
G a été poursuivi devant la justice pour antisémitisme (il dénonçait le sort des Palestiniens), et négation du génocide des juifs (il accusait les sionistes de se faire passer pour des victimes en Palestine). Le délai de prescription étant dépassé lors de l’engagement des poursuites, G pensait que l’affaire allait s’arrêter là. L’officier de police, au demeurant sympathique qui l’interviewait lui glissa que « le procureur allait bien trouver le moyen d’articuler ça autrement», ce qui se traduisit par des falsifications grossières des principales pièces du dossier judiciaire quant aux tampons dateurs, impliquant le bureau policier parisien de la « protection de la personne » de la rue du Château des Rentiers, et la 4ème section du parquet de Paris dite « des libertés publiques ». Par la suite, G dénonça ces faux en écritures publiques qui valent les assises et jusqu’à 15 ans de prison lorsque commis par des magistrats, ce qui était le cas, ses dénonciations tombant dans un pesant silence de sourds.
H est un habitué des « visites ». H reçoit des visites. Même lorsqu’il est chez lui, ces visiteurs viennent lui fermer les volets de sa chambre dès qu’il est dans une autre pièce, lui submerger son portefeuille de désodorisant super concentré pour les chiottes, entre autres douceurs, de façon sans doute à ce que H se sente bien en sécurité chez soi.
I est l’objet d’une attention très soutenue des services policiers français, visiblement devenus de simples agents sionistes. I ne sort de chez lui que très entouré. Cet entourage lui fait savoir qu’ils sont par exemple parfaitement au courant de ce qui vient juste de se dire entre les quatre murs de son domicile. I va dans un restaurant rapide, aussitôt à côté de sa table, deux à quatre antipathiques s’installent, dont l’un le dévisage ouvertement. I se promène, il est ostensiblement suivi à quelques pas.
J demeure dans une sorte de trou perdu à la campagne. Cela n’empêche pas les sbires sionistes de se déplacer et de le prendre en photos, de le suivre quand il part se balader. Une fois, J a compté quatre sbires en une seule fois à ses trousses. J se demande si ces sbires qui ne peuvent venir que de la capitale logent à l’hôtel ou en camping car, ce qu’ils peuvent bien faire pour tuer le temps le soir, si ils se bourrent la gueule pour tenir le coup dans leur sale boulot, si ils trouvent le coin joli, si ils baisent avec leur collège du sexe opposé dans la forêt environnante, voire avec un collègue du même sexe, voire le long du fleuve sur une berge sauvage et déserte à l’abri des regards, qui les renseigne sur place, et si les gendarmes du coin sont dans le coup. J s’interroge beaucoup sur la vie de ces sbires et n’a pour le moment aucune réponse. J lance un appel pour avoir des réponses.
K était fréquenté par L avec qui il aimait parler. K était assez au courant de certains faits. Cela ne plaisait pas aux sbires que K parle à L, aussi les sbires commencèrent-ils à s’occuper du cas de K, qui avait déjà eut à faire aux manières d’une autre police politique et à ce genre de méthode mais en plus musclé et moins taquin. Par exemple, les sbires placèrent, juste après la visite de L à K, une araignée en plastique du type qu’on achète dans les magasins de farce et attrape, sur la serrure de K, cela parmi d’autres péripéties que K ne révéla pas à L.
L écrivit un article qu’il publia, et qui ne plût vraiment pas aux sbires. Il y avait d’ailleurs matière à s’irriter, d’autant que légalement ils ne pouvaient rien faire. L s’était de plus arrangé pour frôler toutes les limites, dont celle qui est la plus importante, celle qui sépare le désir de faire de la paresse, autrement dit de réprimer ou de se tourner les pouces, le faire de plus ne menant en définitive qu’à fournir des indications sur la répression, et une occasion de diffusion. L retrouva quelques jours plus tard, dans sa boîte aux lettres un préservatif, dans un emballage intact. La tactique appliquée relève là de la plus haute psychologie, et je vous livre la signification profonde. Il n’y a rien à comprendre, et cela condamne la victime de ce stratagème à une infinie interrogation. Enfin, c’est ce qu’espère l’équipe des fins psychopathes judéo-sionistes.
M a été victime de fauches à domicile. M est aussi victime de multiples intrusions domiciliaires et on le lui fait bien savoir en lui esquintant bien visiblement son verrou. Le message est là aussi clair, il signifie qu’on est chez toi comme chez soi. On a un jour fauché en une seule fois à M, un livre sur l’antisionisme, un billet de banque et une paire de chaussure. Là encore l’objectif psychologique est clair, il n’y a rien à comprendre à cette mini liste à la Prévert, et cela condamne la victime à une éternelle interrogation, du moins c’est l’espoir de ces sbires « spécialistes » en psy, qui ne doivent trouver du travail que dans ce genre d’officines tant ils sont raz des pâquerettes.
N a commencé sa carrière en écrivant un livre si dérangeant que les sbires judéo-sionistes ont édité immédiatement un autre livre portant exactement le même titre, dont la couverture était la reproduction exacte de celle de son livre, mais dont le contenu était évidemment exactement à l’opposé. C’est ce livre que Google répertorie. N est à mettre en perspective avec la fausse ennemie d’Israël Olivia Zémor, la dirigeante de la CAPJO – Europalestine, et de la librairie parisienne Résistance. N raconte qu’il avait été convoqué au commissariat de police principal de sa ville en Israël, pour se voir reprocher textuellement le fait qu’il « remettait en question la suprématie juive », ce qui est le fond même du problème juif, sioniste et israélien. Rien à voir avec Zémor qui accepte le fait colonial israélien, se contentant de prôner un retour utopique aux frontières de 1967, et dont le rôle dans la manipulation sioniste est d’occuper en France le terrain de l’opposition au sionisme, pendant que l’éradication des arabes de la Palestine se poursuit. Il fallait bien finir cette petite énumération d’Antisionistes par le cas de Zémor, dont les services sionistes ont dû dernièrement relever le crédit en l’arrêtant à son arrivée d’avion en Israël. J’aurais pu de même finir avec le cas d’Abdelhakim Séfrioui, du fameux collectif Cheikh Yassine, mais son cas semble réglé, du fait de cet instrument magique qu’est le téléphone arabe. Zémor et Séfrioui sont deux exemples de fantoches fabriqués par les services. Dans le domaine antisioniste on peut visiter un véritable casernement de fantoches au CICP, Centre International de Culture Populaire, créé par Gustave Massiah, situé rue Voltaire à Paris 11ème, ainsi qu’à la CNT rue des Vignoles à Paris 20ème, et à la LCR-NPA, rue Richard Lenoir à Montreuil sous Bois (93).
O reçoit une communication téléphonique de P plutôt laconique. O décide de rappeler P. P déclare alors à O qu’il ne lui a pas récemment téléphoné et donc que ce n’est pas lui qui l’a appelé. C’est pour la série les sbires judéo-sionistes utilisent aussi des imitateurs de voix.
Q lave son linge en famille, à domicile. Pour se faire il a un lave-linge. Voici la recette secrète détenue exclusivement par les sbires judéo-sionistes pour miner l’ennemi, et que tout le monde pourra utiliser pour emmerder sa belle maman. Retirer le joint qui existe dans le tuyau d’arrivée d’eau du lave-linge raccordé à la distribution générale. Effet garanti lors de la mise en route, surtout si on a programmé le démarrage en son absence.
R est un grand lecteur. Les sbires judéo-sionistes lui font savoir leur appréciation de la culture déviante en lui coupant un imperceptible morceau d’un angle de son marque page (environ deux millimètres).
S a aussi été agressé, ses agresseurs ont été attrapés, d’ailleurs c’est à se demander si les services sionistes ne font pas exprès de mouiller des juifs dans des sales histoires, pour après les tenir et s’en servir pour les sales besognes, qu’ils ne peuvent alors refuser de faire. Les agresseurs ont été jugés et condamnés. Ils sont en fuite en Israël, sans doute corvéables à merci pour les services spéciaux sionistes. En attendant, S a saisi la Commission d’indemnisation des victimes d’attentats en France, pour recevoir ses dommages en intérêts, car évidemment, les agresseurs ne les lui ont pas envoyés. D’après vous, est-ce que S a touché quelque chose de la Commission ?
T fut convoqué par des fonctionnaires de la police française politique, au sujet de ses activités antisionistes. On ne lui cacha pas que sa boîte e-mail était en fait la leur, puisqu’ils n’avaient aucune gène d’aucune sorte, ni difficulté non seulement bien sûr pour lire et enregistrer ses e-mails (ceux qu’il envoie et ceux qu’il reçoit), mais surtout prendre connaissance de ses contacts, de son carnet d’adresses et autres listes de diffusion. La boîte e-mail est un moyen sûr, efficace et facile d’emploi, pour la gente policière et sa pratique de dresser des sortes de tableaux, de graphes constitués de noms et de flèches qui relient ces noms, peintures sociales qui permettent d’un rapide coup d’œil de connaître qui est en rapport avec qui et qui peut - ou peuvent - servir de truchement entre untel et untel. C’est en quelque sorte une représentation de la toile d’araignée de la déviance. Dites merci à yahoo et consort les enfants pour leurs petits services policiers gratuits.
T peut recevoir des e-mails, la police politique
lui permet cela. Mais ceux qui envoient des e-mails à T ne reçoivent
jamais de réponse de T. Ces réponses de T sont effacées
des boites e-mails de ceux qui les réceptionnent.
U a droit de temps en temps à des campagnes de faux e-mails envoyés en son nom par sa propre boîte e-mail. Tout est permis tout est possible de la part de la police politique, alors ne pas s’étonner et toujours vérifier oralement. Le mieux est de se rencontrer physiquement, et avant d’ôter de son téléphone portable à la fois la puce et la batterie, et de plus de remiser le tout au fond d’un sac.
V a subi une perquisition de son domicile, officielle
celle-là, à la différence des « visites »,
illégales, mais devenues « normales », dans notre régime
de droit démocratique. La police politique a emmené son
ordinateur.
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