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Les bons pro palestiniens agréés par le régime capitalo-sioniste se dévoilent. L’affaire du saccage de la libraire « Résistance » de la CAPJO (site internet http://www.europalestine.org). Une retombée collatérale provoquée par l’émergence du mouvement authentiquement antisioniste Dieudonné-Soral, ou pourquoi il faut continuer à soutenir la mouvance Dieudonné-Soral, même si on est parfaitement étranger à l’extrême droite, et à ces deux personnalités.
L’affaire du saccage de la librairie « Résistance », est relayée jour après jour par le quotidien national « Aujourd’hui en France », à ses pages de son cahier intérieur « Paris ». Les provinciaux en sont privés, mais il est vrai que tout ce qui compte en France a lieu à Paris, et que la principale population ciblée par la propagande du régime capitalo-sioniste, dont Aujourd’hui en France est l’un des meilleurs fleurons, sinon même le premier, est celle de Paris. Aujourd’hui en France, organe de propagande sioniste par excellence, relate ainsi depuis peu, toutes les opérations organisées par la CAPJO, dont ses manifestations à l’intérieur des hypermarchés Carrefour pour le boycott des marchandises israéliennes. Aujourd’hui en France a d’ailleurs auparavant régulièrement relayé les diverses opérations publiques parisiennes des organisations pro palestiniennes "chouchoutées" par le régime capitalo-sioniste, telles celles des « Femmes en noir » et celles de la CNT et consort (Génération Palestine par exemple), cela toujours dans les seules pages de Paris, en direction de la seule population parisienne. On apprend dans Aujourd’hui en France de samedi 11 juillet 2009, que « miraculeusement », les robots nervis télécommandés de la LDJ ont déjà été identifiés et arrêtés (par la police politique parisienne : les Renseignements Généraux de la Préfecture de Police de Paris - RGPP, qui est entièrement aux ordres des sionistes qui commandent la LDJ et qui organisent ses actions !), et qu’ils vont illico presto passer en jugement en comparution immédiate, et que le Procureur de la République à Paris, simple factotum judiciaire des sionistes, réclame à leur encontre de la prison ferme. On croit rêver, mais on ne rêve pas, car il ne s’agit que d’un banal effet collatéral de la campagne Dieudonné-Soral pour les dernières européennes. Il faut détourner tous ceux qui sont sensibles à la cause palestinienne du mouvement impulsé par Dieudonné-Soral. Le mouvement Dieudonné-Soral est donc considéré par les autorités policières sionistes comme étant véritablement "Le Danger", et a contrario, apparaît clairement que la CAPJO et toutes les organisations d’extrême gauche pro palestiniennes apparentées, forment le rempart pour contenir le mouvement Dieudonné-Soral, rempart dont la fonction est donc la sauvegarde de l’entité sioniste dite Etat d'Israël, qui est le véritable centre idéologique du conglomérat totalitaire d'Occident, qu'on peut dénommer empire mondial capitalo-sioniste. Il y a beaucoup à apprendre de cette affaire de « saccage » qui est sans aucun doute montée de toute pièce pour promouvoir les faux anti sionistes et faux pro palestiniens parisiens. Ainsi apparaît dans la liste des organisations qui appellent à soutenir la librairie « Résistance » un improbable « Damascus Center for theoretical Studies and Civil Rights », qui ne peut être qu’une organisation bidon de défense des droits de l’homme a la solde du régime dictatorial syrien, régime qui ne peut continuer à exister qu’en éradiquant toute liberté en Syrie. Que vient donc faire une organisation dépendant des abominables et sinistres services spéciaux syriens dans cette affaire ? L’appel à soutenir la librairie « Résistance » est relayé sans analyse critique, par les sites d’extrême droite, dont voxnr.com et toutsaufsarkozy.com, et par le Parti Anti Sioniste (PAS), ce dernier allant même jusqu’à proposer sa collaboration à la CAPJO. Le président du PAS avait annoncé au cours d’une conférence de presse tenue au Théâtre de la Main d’Or appartenant à Dieudonné, que le Hamas soutenait la liste anti sioniste de Dieudonné-Soral, information qui a été ultérieurement qualifiée par la CAPJO de mensongère. Même le Réseau Voltaire du manipulateur du FSB russe Thierry Meyssan, a publié sur son site voltairenet.org/fr, un communiqué sur ce saccage. Tout cela pourrait faire penser à la fameuse chanson d’Aznavour sur l’enterrement d’une mère d’un chef mafieu italien (La Mama) « ils sont venus ils sont tous là … ». Dans cette affaire, brille par son absence le fameux collectif "Cheikh Yassine", d'Abdelhakim Séfrioui, un autre pro palestinien bien particulier, qui travaillait pour la clique Raoult-Goldnadel-Sarkozy, et le trouble site alterinfo.net, qui relaye la secte LaRouche, un outil de manipulation et d'influence de la CIA. Ecrit à Paris, par Michel DAKAR, l’un des rares non-alignés, contre toutes les oppressions et contre tous leurs mensonges, manipulations et propagandes (anti capitalo-sioniste, anti russe, anti syrien, anti iranien, anti cubain, anti vénézuélien ... et tout autre camps des exploiteurs, camps ennemis qui s'opposent en apparence pour mieux respectivement se consolider, et dont l'unique et véritable ennemi est constitué de l'ensemble des populations qu'ils écrasent), le 13 juillet 2009.
Annexe : 1 - Communiqué de la CAPJO avec une liste d’organisations pro palestiniennes recommandées par le ministère de la santé sioniste. 2 - Communiqué du NPA-LCR, organisation trotskiste pro israélienne, soutenant la librairie « Résistance ». 3 - Communiqué du Centre Zahra, du PAS (Parti Anti Sioniste). 4 - Communiqué d'Amnesty International, relatif à la condamnation d'un écrivain syrien (http://www.amnesty.org), suivi du rapport 2008, d'Amnesty International sur la Syrie. 5 – Liens avec deux pages du site du Scalp Réflexes : http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article442 http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article441 (http://www.reflexes.samizdat.net) du 21 ter rue Voltaire à Paris 11ème, là où la CAPJO avait organisé une conférence au cours de laquelle avait été agressés par la LDJ des jeunes arabes. Dans ce même centre parisien, centre chapeauté par le PS, le PC et les trotskistes, véritable dépendance des Renseignements G énéraux parisiens (de la Préfecture de police de Paris, tenus par le Préfet Michel GAUDIN, un grand ami de Sarkozy, ce service ayant été épuré de ses éléments tièdement sionistes, pour les remplacer par d'entièrement dévoués au sionisme), on trouve les organisations « Union des juifs français pour la paix » (PC) et « Association France Palestine Solidarité » (PC). Il est à noter que Scalp Réflexes diffuse des communiqués toujours anonymes dont le style est très très proche de celui du propagandiste-désinformateur-manipulateur et diffamateur d'habitude, le sioniste Jean-Yves Camus, qui publie en signant de son nom dans "Actualité Juive", chaque semaine, une sorte de notice diffamatoire et haineuse. Ces deux pages internet du site du Scalp Réflexes, permettent de comprendre quelle est l’opinion que portent les gens de la CAPJO, Réflexes et autres, sur la mouvance anti sioniste de Dieudonné-Soral. Ces deux pages mettent en évidence que le Scalp Réflexes pratique ouvertement la désinformation et le mensonge de la façon la plus éhontée et professionelle, sans aucun état d'âme. Ces deux pages sont relatives à l’agression par des nervis de la CNT-LDJ (CNT : Confédération Nationale du Travail - 33 rue des Vignolles à Paris 20ème : pseudo syndicat pseudo anarchiste totalement opaque, parfaite coquille creuse occupée par les RG et des éléments des services spéciaux israéliens, une caricature de tout le milieu anarchiste libertaire parisien - Fédération Anarchiste et Radio Libertaire), lors d’une distribution de tracts sur un marché du 20ème arrondissement de Paris, organisée par l’équipe Dieudonné-Soral. Alors que des vidéos démontrant sans ambiguïté que l’équipe Dieudonné-Soral avait fait l’objet d’une attaque extrêmement violente et préméditée, opérée par des agresseurs en nombre, disciplinés et armés (gaz, barres de fer, poings américains), attaque qui fit des blessés graves parmi les militants de Dieudonné (dont le caméraman - une vingtaine de points de suture sur le cuir chevelu), ce site inverse les rôles d’agresseurs et d’agressés, à la manière typiquement sioniste, et transforme les victimes en criminels, et les criminels en victimes. Pages de Scalp Réflexes à lire attentivement : http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article442 http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article441
1 - Communiqué de la CAPJO avec une liste d’organisations pro palestiniennes recommandées par le ministère de la santé sioniste. RASSEMBLEMENT MERCREDI SOIR POUR EXIGER L’INTERDICTION
DE LA LDJ De nombreuses organisations, librairies, réseaux
de bibliothèques, appellent à un rassemblement devant la
librairie Résistances ce mercredi soir 8 juillet, à partir
de 18 H 30, pour exiger l’interdiction de la Ligue de Défense
Juive, organisation terroriste qui multiplie les agressions en France.
2 - Communiqué du NPA-LCR, organisation trotskiste pro israélienne, soutenant la librairie AGRESSION CONTRE LA LIBRAIRIE RESISTANCES : LE
NPA COMMUNIQUE "Ca suffit comme çà",
écrit samedi le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), après
l’attaque de la librairie Résistances par la LDJ. Le NPA
appelle notamment à une participation massive et unitaire au rassemblement
de protestation, mercredi 8 juillet à 18h30, devant la librairie
Résistances (4 Villa Compoint, 75017 - Paris). Voici le communiqué
du NPA
3 - Communiqué du Centre Zahra, du Parti Anti Sioniste : De : Souad <souad.takdemt@centre-zahra.fr> Objet : Communiqué du Parti Anti Sioniste. Agression de la Librairie Résistances par
la Ligue de Défense Juive (LDJ) Le vendredi 3 juillet 2009 un commando sioniste
a agressé et saccagé la Librairie Résistances à
Paris. Certains parmi les agresseurs se sont réclamés ouvertement
de la LDJ.
4 - Communiqué d'Amnesty International, relatif à la condamnation d'un écrivain syrien (http://www.amnesty.org), suivi du rapport 2008, d'Amnesty International sur la Syrie. L'écrivain syrien Habib Saleh a été condamné à trois ans d'emprisonnement dimanche 15 mars pour avoir critiqué le gouvernement de son pays dans des articles publiés sur Internet. Amnesty International considère cet homme comme un prisonnier d'opinion détenu uniquement pour avoir exprimé de manière pacifique ses opinions politiques, et elle a demandé qu'il soit libéré immédiatement et sans condition. Les charges retenues contre Habib Saleh concernaient des articles sur certains aspects de la politique syrienne qu'il avait écrits et mis en ligne. Il y critiquait le gouvernement syrien et y exprimait son soutien à une personnalité de l'opposition, Riad al Turk. Âgé de 61 ans, Habib Saleh a été reconnu coupable d'« affaiblissement du sentiment national » (article 285 du Code pénal) et de « diffusion de nouvelles susceptibles de porter atteinte au moral de la nation » (article 286). Le tribunal a abandonné d'autres charges pesant sur lui. Arrêté dans la ville côtière de Tartous, dans l'ouest du pays, le 7 mai 2008, Habib Saleh avait été détenu au secret pendant trois mois avant d'être déféré à la justice. Cet homme a déjà été emprisonné à deux reprises au cours de la décennie : de 2001 à 2004 et de 2005 à 2007. Amnesty International l'avait considéré comme un prisonnier d'opinion à ces deux occasions. Également traducteur et ancien homme d'affaires, Habib Saleh est à l'origine de la création à Tartous d'une antenne du Forum de dialogue national, groupe de discussion interdit. Il faisait partie des dix partisans d'une réforme arrêtés en septembre 2001 à l'issue du « Printemps de Damas », courte période pendant laquelle les autorités syriennes ont toléré une plus grande liberté d'expression. Il avait mis en ligne sur Internet des articles accusant le gouvernement syrien de « corruption », de « tyrannie » et de non-respect des droits humains. Il avait été reconnu coupable, à l'issue d'un procès inique, d'« incitation aux luttes raciales et de factions ». Huit mois après sa libération, il avait été de nouveau arrêté et condamné à trois ans d'emprisonnement pour « affaiblissement du sentiment national » et « diffusion de fausses nouvelles ». Les charges retenues contre lui étaient elles aussi liées à des articles critiquant les autorités syriennes qu'il avait publiés sur Internet. Il avait été libéré en septembre 2007. En Syrie, la liberté d'expression est étroitement contrôlée par les autorités. Les personnes qui expriment des points de vue dissidents courent le risque d'être arrêtées par les forces de sécurité, qui disposent de pouvoirs très étendus en matière d'arrestation et de placement en détention. Les tribunaux civils et militaires et la Cour de sûreté de l'État interprètent très largement les articles du Code pénal, rédigés dans des termes particulièrement flous, et prononcent souvent des peines d'emprisonnement très sévères à l'encontre des personnes soupçonnées d'être des opposants au régime. Pour en savoir plus Amnesty International Rapport 2008 Syrie - Amnesty
International Rapport 2008 En vigueur depuis 1963, l'état d'urgence conférait aux forces de sécurité de vastes pouvoirs en matière d'arrestation et de détention. Des restrictions sévères pesaient sur la liberté d'expression et d'association. Plusieurs centaines de personnes ont été arrêtées et des centaines d'autres – dont des prisonniers d'opinion et des condamnés n'ayant pas bénéficié d'un procès équitable – ont été maintenues en détention pour des motifs politiques. Des défenseurs des droits humains ont été harcelés et persécutés. Les femmes, comme la minorité kurde, subissaient des discriminations dans la législation et en pratique. Des actes de torture et des mauvais traitements ont été infligés en toute impunité. Les exécutions publiques ont repris. Contexte La Syrie a ratifié en février la Charte arabe des droits de l'homme. Le 6 septembre, des avions de l'armée de l'air israélienne ont bombardé un bâtiment dans le nord-est de la Syrie. Selon les médias israéliens, la cible du raid était un site nucléaire, mais le président Bachar el Assad a affirmé qu'il s'agissait d'un bâtiment militaire désaffecté. Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a reproché à l'État d'Israël de « s'être fait justice lui-même » et a ajouté que les autorités israéliennes n'avaient fourni aucun élément démontrant que la cible du raid était un site nucléaire secret. En novembre, la Commission d'enquête internationale indépendante sur l'assassinat, en 2005, de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri a remis son neuvième rapport, dans lequel elle faisait état de « conclusions préliminaires plus précises » et réaffirmait la coopération de la Syrie avec la commission. Arrestations et détentions arbitraires •Le 11 mars, la Cour suprême de sûreté
de l'État a déclaré coupables 24 hommes originaires
de la région de Qatana, non loin de Damas, d'appartenir «
à un groupe constitué dans le but de modifier la structure
économique ou sociale de l'État » et d'« affaiblir
le sentiment nationaliste ». Ces hommes auraient été
condamnés sur la base exclusive d'« aveux » qui, selon
eux, avaient été obtenus sous la torture. Ils ont été
condamnés à des peines comprises entre quatre et douze ans
d'emprisonnement. Arrêtés entre mai et novembre 2004, ils
avaient été détenus au secret pendant plus d'un an
dans les locaux de la Section Palestine, une branche du Service des renseignements
militaires à Damas, où des actes de torture et des mauvais
traitements sont systématiquement infligés aux détenus.
La Cour suprême de sûreté de l'État n'a ordonné
aucune enquête sur les allégations de torture formulées
par ces hommes. En juin, le Groupe de travail a conclu qu'Ayman Ardenli, incarcéré pendant trois ans sans inculpation, avait été détenu arbitrairement, son emprisonnement étant « dépourvu de toute justification légale ». Il a également estimé que Muhammad Zammar, détenu pendant près de cinq ans sans inculpation avant d'être condamné, le 11 février, par la Cour suprême de sûreté de l'État à douze ans d'emprisonnement, était en détention arbitraire, car son procès n'avait pas été conforme aux normes internationales en matière d'équité (voir plus loin). Liberté d'expression •Le 17 juin, Maher Isber Ibrahim, Tareq
al Ghorani, Hussam Ali Mulhim, Diab Siriyeh, Omar Ali al Abdullah, Allam
Fakhour et Ayham Saqr, qui étaient traduits devant la Cour suprême
de sûreté de l'État, ont été déclarés
coupables d'avoir « mené des actions ou fait une déclaration
écrite ou orale susceptible de mettre l'État en danger ou
de porter préjudice à ses relations avec un pays étranger
ou de l'exposer à une action hostile ». Ils avaient été
arrêtés pour avoir participé à la création
d'un groupe de discussion de jeunes et publié sur Internet des
articles favorables à la démocratie. Maher Isber Ibrahim
et Tareq al Ghorani ont également été déclarés
coupables de « diffusion de fausses informations » et condamnés
à sept ans d'emprisonnement. Leurs cinq coaccusés ont été
condamnés à cinq ans d'emprisonnement. Arrêtés
au début de l'année 2006 par des agents du Service de renseignement
de l'armée de l'air, ils auraient été maintenus au
secret jusqu'en novembre 2006. Lors de leur procès, ils sont revenus
sur leurs « aveux » en détention, affirmant que ceux-ci
avaient été obtenus sous la torture et la contrainte. La
Cour suprême de sûreté de l'État n'a toutefois
ordonné aucune enquête et a retenu ces « aveux »
à titre de preuve à charge. •Aref Dalilah, soixante-quatre ans, était
maintenu à l'isolement dans une petite cellule de la prison d'Adra
où il purgeait une peine de dix ans d'emprisonnement pour sa participation
au « Printemps de Damas ». Il souffrait de diabète
et d'hypertension, ainsi que des séquelles d'une attaque cérébrale,
mais était privé des soins médicaux requis. En février, le grand mufti de Syrie, Sheikh Ahmed Badreddin Hassoun, a condamné les crimes « d'honneur » et déclaré que la présence de quatre témoins était nécessaire pour prouver un adultère. Il a ajouté qu'il avait demandé au ministre de la Justice de désigner une commission chargée de modifier la législation relative aux crimes « d'honneur ». En juin, le Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes [ONU] a recommandé aux autorités syriennes l'adoption de plusieurs mesures. Il a demandé aux autorités de modifier ou d'abroger les lois discriminatoires, et notamment certaines dispositions du Code de statut personnel, du Code pénal et de la Loi sur la nationalité, et de faire en sorte que le viol conjugal soit érigé en crime et que les auteurs de crimes « d'honneur » ne soient pas dispensés de sanction ou ne bénéficient pas d'une remise de peine. Il a également demandé aux autorités de créer des centres d'accueil et des services pour les femmes victimes de violences, et de permettre aux organisations de défense des droits des femmes et des droits humains de fonctionner indépendamment du gouvernement. Discrimination envers la minorité kurde •Selon des informations reçues en
mars, l'artiste kurde Salah Amr Sheerzad a été arrêté
et maltraité dans les locaux des services de sécurité
à Alep, après avoir participé à un concert.
•Le 24 avril, Anwar al Bunni, avocat et
directeur du Centre syrien d'études et de recherches juridiques,
a été déclaré coupable par un tribunal pénal
de « diffusion de fausses informations de nature à porter
atteinte à la nation ». Il a été condamné
à cinq ans d'emprisonnement. Cette accusation était liée
à une déclaration faite, en avril 2006, à propos
de la mort en détention de Muhammad Shaher Haysa, apparemment des
suites de mauvais traitements, voire d'actes de torture. Anwar al Bunni
est considéré comme un prisonnier d'opinion. Des gardiens
de prison l'ont passé à tabac le 25 janvier. •Le 25 octobre, cinq prisonniers –
Radwan Abd al Qadr Hassan Muhammad, Kheiro Khalif al Fares, Abd al Hai
Faisal Abd al Hai, Saleh Youssef Mahmoud et Hassan Ahmed Khallouf –
ont été pendus en public à Alep. Les deux derniers,
qui n'avaient pas plus de dix-huit ans au moment de leur exécution,
étaient probablement des mineurs délinquants. Selon les
médias publics syriens, les suppliciés avaient commis «
plusieurs meurtres et des vols à main armée » et «
avaient terrorisé des citoyens innocents ». Visites et documents d'Amnesty International
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