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Les bons pro palestiniens agréés par le régime capitalo-sioniste se dévoilent. L’affaire du saccage de la libraire « Résistance » de la CAPJO (site internet http://www.europalestine.org). Une retombée collatérale provoquée par l’émergence du mouvement authentiquement antisioniste Dieudonné-Soral, ou pourquoi il faut continuer à soutenir la mouvance Dieudonné-Soral, même si on est parfaitement étranger à l’extrême droite, et à ces deux personnalités.


L’affaire du saccage de cette librairie parisienne, saccage opéré le 3 juillet 2009 par des nervis de la LDJ (Ligue de Défense Juive) qui est une organisation dépendant des services spéciaux israéliens, librairie dénommée en toute modestie « Résistance » (3 villa Compoint à Paris 17ème), qui appartient à la CAPJO – Europalestine (Coordination pour une paix « juste » au Proche-Orient), d’obédience trotskiste de Lutte ouvrière, organisation à laquelle appartient Olivia Zémor qui dirige la CAPJO, laquelle fait toujours ou a fait partie du bureau politique de LO, expose au jour l’existence des pro palestiniens du régime, soit des pro palestiniens protégés par Israël, pro palestiniens qui arrangent les affaires des israéliens, et qui collaborent donc à leur manière au programme fondamental inhérent à l'idéologie sioniste, soit à l’élimination radicale des palestiniens.

L’affaire du saccage de la librairie « Résistance », est relayée jour après jour par le quotidien national « Aujourd’hui en France », à ses pages de son cahier intérieur « Paris ». Les provinciaux en sont privés, mais il est vrai que tout ce qui compte en France a lieu à Paris, et que la principale population ciblée par la propagande du régime capitalo-sioniste, dont Aujourd’hui en France est l’un des meilleurs fleurons, sinon même le premier, est celle de Paris.

Aujourd’hui en France, organe de propagande sioniste par excellence, relate ainsi depuis peu, toutes les opérations organisées par la CAPJO, dont ses manifestations à l’intérieur des hypermarchés Carrefour pour le boycott des marchandises israéliennes. Aujourd’hui en France a d’ailleurs auparavant régulièrement relayé les diverses opérations publiques parisiennes des organisations pro palestiniennes "chouchoutées" par le régime capitalo-sioniste, telles celles des « Femmes en noir » et celles de la CNT et consort (Génération Palestine par exemple), cela toujours dans les seules pages de Paris, en direction de la seule population parisienne.

On apprend dans Aujourd’hui en France de samedi 11 juillet 2009, que « miraculeusement », les robots nervis télécommandés de la LDJ ont déjà été identifiés et arrêtés (par la police politique parisienne : les Renseignements Généraux de la Préfecture de Police de Paris - RGPP, qui est entièrement aux ordres des sionistes qui commandent la LDJ et qui organisent ses actions !), et qu’ils vont illico presto passer en jugement en comparution immédiate, et que le Procureur de la République à Paris, simple factotum judiciaire des sionistes, réclame à leur encontre de la prison ferme. On croit rêver, mais on ne rêve pas, car il ne s’agit que d’un banal effet collatéral de la campagne Dieudonné-Soral pour les dernières européennes. Il faut détourner tous ceux qui sont sensibles à la cause palestinienne du mouvement impulsé par Dieudonné-Soral.

Le mouvement Dieudonné-Soral est donc considéré par les autorités policières sionistes comme étant véritablement "Le Danger", et a contrario, apparaît clairement que la CAPJO et toutes les organisations d’extrême gauche pro palestiniennes apparentées, forment le rempart pour contenir le mouvement Dieudonné-Soral, rempart dont la fonction est donc la sauvegarde de l’entité sioniste dite Etat d'Israël, qui est le véritable centre idéologique du conglomérat totalitaire d'Occident, qu'on peut dénommer empire mondial capitalo-sioniste.

Il y a beaucoup à apprendre de cette affaire de « saccage » qui est sans aucun doute montée de toute pièce pour promouvoir les faux anti sionistes et faux pro palestiniens parisiens.

Ainsi apparaît dans la liste des organisations qui appellent à soutenir la librairie « Résistance » un improbable « Damascus Center for theoretical Studies and Civil Rights », qui ne peut être qu’une organisation bidon de défense des droits de l’homme a la solde du régime dictatorial syrien, régime qui ne peut continuer à exister qu’en éradiquant toute liberté en Syrie. Que vient donc faire une organisation dépendant des abominables et sinistres services spéciaux syriens dans cette affaire ?

L’appel à soutenir la librairie « Résistance » est relayé sans analyse critique, par les sites d’extrême droite, dont voxnr.com et toutsaufsarkozy.com, et par le Parti Anti Sioniste (PAS), ce dernier allant même jusqu’à proposer sa collaboration à la CAPJO. Le président du PAS avait annoncé au cours d’une conférence de presse tenue au Théâtre de la Main d’Or appartenant à Dieudonné, que le Hamas soutenait la liste anti sioniste de Dieudonné-Soral, information qui a été ultérieurement qualifiée par la CAPJO de mensongère.

Même le Réseau Voltaire du manipulateur du FSB russe Thierry Meyssan, a publié sur son site voltairenet.org/fr, un communiqué sur ce saccage.

Tout cela pourrait faire penser à la fameuse chanson d’Aznavour sur l’enterrement d’une mère d’un chef mafieu italien (La Mama) « ils sont venus ils sont tous là … ».

Dans cette affaire, brille par son absence le fameux collectif "Cheikh Yassine", d'Abdelhakim Séfrioui, un autre pro palestinien bien particulier, qui travaillait pour la clique Raoult-Goldnadel-Sarkozy, et le trouble site alterinfo.net, qui relaye la secte LaRouche, un outil de manipulation et d'influence de la CIA.

Ecrit à Paris, par Michel DAKAR, l’un des rares non-alignés, contre toutes les oppressions et contre tous leurs mensonges, manipulations et propagandes (anti capitalo-sioniste, anti russe, anti syrien, anti iranien, anti cubain, anti vénézuélien ... et tout autre camps des exploiteurs, camps ennemis qui s'opposent en apparence pour mieux respectivement se consolider, et dont l'unique et véritable ennemi est constitué de l'ensemble des populations qu'ils écrasent), le 13 juillet 2009.

 

Annexe :

1 - Communiqué de la CAPJO avec une liste d’organisations pro palestiniennes recommandées par le ministère de la santé sioniste.

2 - Communiqué du NPA-LCR, organisation trotskiste pro israélienne, soutenant la librairie « Résistance ».

3 - Communiqué du Centre Zahra, du PAS (Parti Anti Sioniste).

4 - Communiqué d'Amnesty International, relatif à la condamnation d'un écrivain syrien (http://www.amnesty.org), suivi du rapport 2008, d'Amnesty International sur la Syrie.

5 – Liens avec deux pages du site du Scalp Réflexes :

http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article442

http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article441

(http://www.reflexes.samizdat.net) du 21 ter rue Voltaire à Paris 11ème, là où la CAPJO avait organisé une conférence au cours de laquelle avait été agressés par la LDJ des jeunes arabes. Dans ce même centre parisien, centre chapeauté par le PS, le PC et les trotskistes, véritable dépendance des Renseignements G énéraux parisiens (de la Préfecture de police de Paris, tenus par le Préfet Michel GAUDIN, un grand ami de Sarkozy, ce service ayant été épuré de ses éléments tièdement sionistes, pour les remplacer par d'entièrement dévoués au sionisme), on trouve les organisations « Union des juifs français pour la paix » (PC) et « Association France Palestine Solidarité » (PC). Il est à noter que Scalp Réflexes diffuse des communiqués toujours anonymes dont le style est très très proche de celui du propagandiste-désinformateur-manipulateur et diffamateur d'habitude, le sioniste Jean-Yves Camus, qui publie en signant de son nom dans "Actualité Juive", chaque semaine, une sorte de notice diffamatoire et haineuse. Ces deux pages internet du site du Scalp Réflexes, permettent de comprendre quelle est l’opinion que portent les gens de la CAPJO, Réflexes et autres, sur la mouvance anti sioniste de Dieudonné-Soral. Ces deux pages mettent en évidence que le Scalp Réflexes pratique ouvertement la désinformation et le mensonge de la façon la plus éhontée et professionelle, sans aucun état d'âme. Ces deux pages sont relatives à l’agression par des nervis de la CNT-LDJ (CNT : Confédération Nationale du Travail - 33 rue des Vignolles à Paris 20ème : pseudo syndicat pseudo anarchiste totalement opaque, parfaite coquille creuse occupée par les RG et des éléments des services spéciaux israéliens, une caricature de tout le milieu anarchiste libertaire parisien - Fédération Anarchiste et Radio Libertaire), lors d’une distribution de tracts sur un marché du 20ème arrondissement de Paris, organisée par l’équipe Dieudonné-Soral. Alors que des vidéos démontrant sans ambiguïté que l’équipe Dieudonné-Soral avait fait l’objet d’une attaque extrêmement violente et préméditée, opérée par des agresseurs en nombre, disciplinés et armés (gaz, barres de fer, poings américains), attaque qui fit des blessés graves parmi les militants de Dieudonné (dont le caméraman - une vingtaine de points de suture sur le cuir chevelu), ce site inverse les rôles d’agresseurs et d’agressés, à la manière typiquement sioniste, et transforme les victimes en criminels, et les criminels en victimes.

Pages de Scalp Réflexes à lire attentivement :

http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article442

http://reflexes.samizdat.net/spip.php?article441

 

1 - Communiqué de la CAPJO avec une liste d’organisations pro palestiniennes recommandées par le ministère de la santé sioniste.

RASSEMBLEMENT MERCREDI SOIR POUR EXIGER L’INTERDICTION DE LA LDJ
Publié le 6-07-2009

De nombreuses organisations, librairies, réseaux de bibliothèques, appellent à un rassemblement devant la librairie Résistances ce mercredi soir 8 juillet, à partir de 18 H 30, pour exiger l’interdiction de la Ligue de Défense Juive, organisation terroriste qui multiplie les agressions en France.
Communiqué :
Ca suffit comme ça ! Dissolution de la Ligue de Défense Juive.
La Librairie Résistances, située dans le dix-septième arrondissement à Paris, a été attaquée et saccagée par des nervis de l’extrême-droite sioniste ce vendredi 3 juillet en plein après midi.
La Librairie Résistances est connue pour son engagement concernant le soutien au peuple palestinien et, au-delà, aux luttes des peuples du tiers-monde.
Il n’est donc pas étonnant qu’elle ait été aujourd’hui, une nouvelle fois, la cible de la violence des groupes ultra-sionistes, au premier lieu desquels la Ligue de défense juive (LDJ).
Interdite en Israël et aux Etats-Unis pour son caractère raciste et fascisant, la LDJ reste tolérée en France par les autorités, alors même que depuis plusieurs années, elle a été impliquée dans de nombreuses opérations de ratonnades de militants et de sympathisants de la cause palestinienne ainsi que d’agression contre la population magrhebine. La dernière en date étant l’attaque de la Mairie de Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, à l’occasion du cérémonie municipale faisant d’un dirigeant palestinien, Marwan Barghouti, citoyen d’honneur de la ville. Les agissements fascisants de la LDJ et des groupes de l’extrême-droite sioniste n’ont que trop duré.
Les signataires expriment leur totale solidarité avec la Librairie Résistances, et demandent fermement l’interdiction de la Ligue de défense juive, et la traduction en justice de ses nervis.
Les organisations signataires appellent à un rassemblement mercredi 8 juillet 2009 à partir de 18 H 30 devant la librairie Resistances 4, Villa Compoint. Paris 17e (à l’angle du 40 rue Guy Moquet). M° Guy Moquet (ou Brochant). Ligne 13. Bus 31. Arrêt : Davy-Moines.
Premiers signataires : NPA, les Verts, le parti de Gauche (Paris), AFD France, AFPS Gennevilliers, AJPF Association pour les jumelages entre les camps de réfugiés palestiniens et les villes françaises, Américains contre la guerre AAW France, Al-Rowwad, Les Alternatifs, Amis de Darna, Arab Human Rights Information Network ; Association Internationale pour Préservation du Patrimoine Palestinien (AIPPP), Association Romande Contre le Racisme, ATL Jenine, ATTAC Paris Nord Ouest, ATTAC France, Bellacio, CCIPPP, CAPJPO-EuroPalestine, CEDETIM, Civimed Initiatives, CPPI St Denis, Collectif Palestine 14, Collectif Faty Koumba, Collectif Judéo-Arabe et Citoyen pour la Paix, Collectif des libraires pour l’interdiction de la LDJ, Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, Comité de lutte contre la barbarie et l’arbirtaire, Comité Justice et Paix en Palestine et au Proche-Orient du 5ème arrondissement de Paris, Comité Poitevin France Palestine, Commission Arabe pour les Droits Humains, CVPR, Damascus Center for theoretical Studies and Civil Rights, Droits Devant ! Droit Solidarité, Editions Agone, Editions Syllepse, Femmes en Noir, Egalité/ Wardeh Boutros, Evry Palestine, La Fabrique Editions, Farrah-France, FTCR, La Fédération pour une Alternative Sociale et Ecologique, La Gauche Cactus, Génération Palestine, la GUPS, ISM (International Solidarity Movement), Handicap-Solidarités, Human Supporters, La Courneuve Palestine, Le Centre des Cultures, Librairie Envie de lire (Ivry-sur-Seine), Librairies L’Harmattan (Paris), Librairie L’Herbe rouge (Paris), Librairie Folies d’encre (Saint-Denis), Librairie Ishtar (Paris), Librairie des Lois (Toulouse), Librairie Equipages (Paris),Librairie Le Point du Jour (Paris)*, la Ligue des Droits de l’Homme de Talence, MAIF, Mouvement des Quartiers, MRAP, Mouvement des Indigènes de la République, Le M’PEP, Mouvement politique d’Éducation populaire, Nanterre Palestine, RESOCI, Respaix, Réveil des Consciences, Réseau International des Juifs Antisionistes (IJAN), Soint-Ouen Solidarité Palestine, SURVIE, Syndicat FSU de la Bibliothèque nationale de France, Union juive française pour la paix, Union Syndicale Solidaires, UTIT, Une Autre Voix Juive.
* Voir sur notre site le communiqué indépendant de ces librairies.

 

2 - Communiqué du NPA-LCR, organisation trotskiste pro israélienne, soutenant la librairie

AGRESSION CONTRE LA LIBRAIRIE RESISTANCES : LE NPA COMMUNIQUE
Publié le 4-07-2009

"Ca suffit comme çà", écrit samedi le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), après l’attaque de la librairie Résistances par la LDJ. Le NPA appelle notamment à une participation massive et unitaire au rassemblement de protestation, mercredi 8 juillet à 18h30, devant la librairie Résistances (4 Villa Compoint, 75017 - Paris). Voici le communiqué du NPA
Ca suffit comme ça !
Vendredi 3 juillet, la Librairie Résistances, située dans le Dix-septième arrondissement à Paris, a été attaquée et saccagée par des nervis de l’extrême-droite pro-israélienne
La Librairie Résistances, connue pour son engagement en soutien au peuple palestinien et, au-delà, aux luttes des peuples du tiers-monde, a été aujourd’hui la cible de la violence des groupes ultra sionistes., au premier lieu desquels la Ligue de défense juive (LDJ).
Interdite même en Israël et aux Etats-Unis pour son caractère raciste et fascisant, la LDJ reste tolérée en France par les autorités, alors même que depuis plusieurs années, elle a été impliquée dans de nombreuses opérations de ratonnades de militants et de sympathisants de la cause palestinienne, la dernière en date étant l’attaque de la Mairie de Vitry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, à l’occasion du cérémonie municipale faisant d’un dirigeant palestinien, Marwan Barghouti, un citoyen d’honneur de la ville.
Les agissements fascisants de la LDJ et des groupes de l’extrême-droite sioniste n’ont que trop duré. Le NPA exprime aujourd’hui sa totale solidarité avec la Librairie Résistances, et demande fermement l’interdiction de la Ligue de défense juive, et la traduction en Justice de ses nervis.
Le NPA participera mercredi 8 juillet 2009 au rassemblement unitaire devant la librairie « Résistance » à partir de 18h30.
CAPJPO-EuroPalestine

 

3 - Communiqué du Centre Zahra, du Parti Anti Sioniste :

De : Souad <souad.takdemt@centre-zahra.fr>
À : Souad <souad.takdemt@centre-zahra.fr>
Envoyé le : Mardi, 7 Juillet 2009, 20h46mn 49s

Objet : Communiqué du Parti Anti Sioniste.

Agression de la Librairie Résistances par la Ligue de Défense Juive (LDJ)
« Communiqué du Parti Anti Sioniste »

Le vendredi 3 juillet 2009 un commando sioniste a agressé et saccagé la Librairie Résistances à Paris. Certains parmi les agresseurs se sont réclamés ouvertement de la LDJ.
Le Parti Anti Sioniste se solidarise entièrement avec la Librairie Résistances, ses dirigeants, ses collaborateurs et tous ses amis.
Cette agression, commise à Paris en plein jour, confirme s’il en était besoin, l’arrogance et l’agressivité des milices sionistes qui ont pignon sur rue en France.
La LDJ (interdite aux USA et en Israël !) agit en toute impunité sur le territoire national : les enquêtes de police n’aboutissent jamais, ou si lentement que l’incriminé se soustrait toujours à la justice en trouvant asile en Israël, son vrai « pays ».
On peut constater le silence des syndicats professionnels des fonctionnaires de police et de justice au sujet de l’impunité dont bénéficient les milices sionistes en France, notamment la LDJ.
Nous savons également que les gros bras de la LDJ sont régulièrement utilisés comme service d’ordre par des organisations sionistes qui se veulent plus respectables, comme le CRIF dont le dîner annuel est le rendez-vous de toute la classe politique. Ainsi la boucle est bouclée.
Que tous ceux qui ont quelque gène à reconnaître l’existence d’un lobby sioniste en France réfléchissent à tout cela.
Le Parti Anti Sioniste continuera pour sa part à dénoncer et à combattre ce lobby dont l'agression contre la Librairie Résistances confirme le caractère profondément sioniste, c’est-à-dire ce mélange d’agressivité, d’impunité et de mépris.
Nous demandons l’interdiction et la dissolution des milices sionistes, dont la LDJ et le BETAR. Nous appelons tous les antisionistes sincères à la plus grande vigilance et à serrer les rangs face à notre ennemi commun, le sionisme et son lobby en France.
Le Parti Anti Sioniste renouvelle sa pleine solidarité avec la Librairie Résistances et se déclare prêt à étudier toute forme d’actions communes pour lutter contre le sionisme et ses milices en France.

Souad - www.centre-zahra.com

 

4 - Communiqué d'Amnesty International, relatif à la condamnation d'un écrivain syrien (http://www.amnesty.org), suivi du rapport 2008, d'Amnesty International sur la Syrie.

L'écrivain syrien Habib Saleh a été condamné à trois ans d'emprisonnement dimanche 15 mars pour avoir critiqué le gouvernement de son pays dans des articles publiés sur Internet.

Amnesty International considère cet homme comme un prisonnier d'opinion détenu uniquement pour avoir exprimé de manière pacifique ses opinions politiques, et elle a demandé qu'il soit libéré immédiatement et sans condition.

Les charges retenues contre Habib Saleh concernaient des articles sur certains aspects de la politique syrienne qu'il avait écrits et mis en ligne. Il y critiquait le gouvernement syrien et y exprimait son soutien à une personnalité de l'opposition, Riad al Turk.

Âgé de 61 ans, Habib Saleh a été reconnu coupable d'« affaiblissement du sentiment national » (article 285 du Code pénal) et de « diffusion de nouvelles susceptibles de porter atteinte au moral de la nation » (article 286). Le tribunal a abandonné d'autres charges pesant sur lui.

Arrêté dans la ville côtière de Tartous, dans l'ouest du pays, le 7 mai 2008, Habib Saleh avait été détenu au secret pendant trois mois avant d'être déféré à la justice.

Cet homme a déjà été emprisonné à deux reprises au cours de la décennie : de 2001 à 2004 et de 2005 à 2007. Amnesty International l'avait considéré comme un prisonnier d'opinion à ces deux occasions.

Également traducteur et ancien homme d'affaires, Habib Saleh est à l'origine de la création à Tartous d'une antenne du Forum de dialogue national, groupe de discussion interdit.

Il faisait partie des dix partisans d'une réforme arrêtés en septembre 2001 à l'issue du « Printemps de Damas », courte période pendant laquelle les autorités syriennes ont toléré une plus grande liberté d'expression. Il avait mis en ligne sur Internet des articles accusant le gouvernement syrien de « corruption », de « tyrannie » et de non-respect des droits humains. Il avait été reconnu coupable, à l'issue d'un procès inique, d'« incitation aux luttes raciales et de factions ».

Huit mois après sa libération, il avait été de nouveau arrêté et condamné à trois ans d'emprisonnement pour « affaiblissement du sentiment national » et « diffusion de fausses nouvelles ». Les charges retenues contre lui étaient elles aussi liées à des articles critiquant les autorités syriennes qu'il avait publiés sur Internet. Il avait été libéré en septembre 2007.

En Syrie, la liberté d'expression est étroitement contrôlée par les autorités. Les personnes qui expriment des points de vue dissidents courent le risque d'être arrêtées par les forces de sécurité, qui disposent de pouvoirs très étendus en matière d'arrestation et de placement en détention. Les tribunaux civils et militaires et la Cour de sûreté de l'État interprètent très largement les articles du Code pénal, rédigés dans des termes particulièrement flous, et prononcent souvent des peines d'emprisonnement très sévères à l'encontre des personnes soupçonnées d'être des opposants au régime.

Pour en savoir plus
Syrie. Prisonnier d'opinion / Craintes de torture / Détention au secret (action urgente, 7 juin 2005)
Syrie. Répression de la liberté d'expression : l'incarcération d'opposants pacifiques (rapport, 5 juin 2002)

Amnesty International Rapport 2008 Syrie - Amnesty International Rapport 2008
Les droits humains en République arabe syrienne
Nouvelles et publications Rapport 2007Rapport 2008 Chef de l'État : Bachar el Assad
Chef du gouvernement : Mohammad Naji Otri
Peine de mort : maintenue
Population : 20 millions
Espérance de vie : 73,6 ans
Mortalité des moins de cinq ans (m/f) : 20 / 16 ‰
Taux d'alphabétisation des adultes : 80,8 %

En vigueur depuis 1963, l'état d'urgence conférait aux forces de sécurité de vastes pouvoirs en matière d'arrestation et de détention. Des restrictions sévères pesaient sur la liberté d'expression et d'association. Plusieurs centaines de personnes ont été arrêtées et des centaines d'autres – dont des prisonniers d'opinion et des condamnés n'ayant pas bénéficié d'un procès équitable – ont été maintenues en détention pour des motifs politiques. Des défenseurs des droits humains ont été harcelés et persécutés. Les femmes, comme la minorité kurde, subissaient des discriminations dans la législation et en pratique. Des actes de torture et des mauvais traitements ont été infligés en toute impunité. Les exécutions publiques ont repris.

Contexte
La Syrie accueillait quelque 1,4 million de réfugiés irakiens, dont beaucoup étaient arrivés en 2007. Environ 500 000 réfugiés palestiniens résidaient également de longue date dans ce pays. Des dizaines de milliers de Syriens étaient toujours déplacés en raison de l'occupation du Golan par Israël.

La Syrie a ratifié en février la Charte arabe des droits de l'homme.

Le 6 septembre, des avions de l'armée de l'air israélienne ont bombardé un bâtiment dans le nord-est de la Syrie. Selon les médias israéliens, la cible du raid était un site nucléaire, mais le président Bachar el Assad a affirmé qu'il s'agissait d'un bâtiment militaire désaffecté. Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a reproché à l'État d'Israël de « s'être fait justice lui-même » et a ajouté que les autorités israéliennes n'avaient fourni aucun élément démontrant que la cible du raid était un site nucléaire secret.

En novembre, la Commission d'enquête internationale indépendante sur l'assassinat, en 2005, de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri a remis son neuvième rapport, dans lequel elle faisait état de « conclusions préliminaires plus précises » et réaffirmait la coopération de la Syrie avec la commission.

Arrestations et détentions arbitraires
Prisonniers politiques
Environ 1 500 personnes auraient été arrêtées pour des motifs politiques ; certaines étaient considérées comme des prisonniers d'opinion. Des centaines d'autres, arrêtées les années précédentes, ont été maintenues en détention. La majorité des quelque 170 personnes condamnées au cours de l'année à l'issue de procès manifestement inéquitables devant la Cour suprême de sûreté de l'État ou devant des juridictions pénales et militaires étaient, semble-t-il, des militants islamistes.

•Le 11 mars, la Cour suprême de sûreté de l'État a déclaré coupables 24 hommes originaires de la région de Qatana, non loin de Damas, d'appartenir « à un groupe constitué dans le but de modifier la structure économique ou sociale de l'État » et d'« affaiblir le sentiment nationaliste ». Ces hommes auraient été condamnés sur la base exclusive d'« aveux » qui, selon eux, avaient été obtenus sous la torture. Ils ont été condamnés à des peines comprises entre quatre et douze ans d'emprisonnement. Arrêtés entre mai et novembre 2004, ils avaient été détenus au secret pendant plus d'un an dans les locaux de la Section Palestine, une branche du Service des renseignements militaires à Damas, où des actes de torture et des mauvais traitements sont systématiquement infligés aux détenus. La Cour suprême de sûreté de l'État n'a ordonné aucune enquête sur les allégations de torture formulées par ces hommes.
•Le 10 mai, un tribunal pénal a reconnu Kamal al Labwani coupable de « conspiration ou communication avec un pays étranger en vue d'attaquer la Syrie » et l'a condamné à douze ans d'emprisonnement. Le chef d'accusation était lié à une visite effectuée par cet homme en Europe et aux États-Unis en 2005. Pendant son séjour, il avait rencontré des organisations de défense des droits humains et des responsables gouvernementaux, et appelé pacifiquement à une réforme démocratique en Syrie. Kamal al Labwani avait déjà passé trois ans en prison pour avoir participé au mouvement de réforme non violent du « Printemps de Damas » en 2000 et 2001.
•Le 13 mai, un tribunal pénal a reconnu Michel Kilo et Mahmoud Issa coupables d'« atteinte aux sentiments nationalistes » et les a condamnés à trois ans d'emprisonnement. Ils faisaient partie d'un groupe de 10 signataires de la « Déclaration Beyrouth-Damas » arrêtés en mai 2006 ; ce texte signé par 300 Syriens et Libanais prônait une normalisation des relations entre les deux pays.
•Sur la quarantaine de personnes arrêtées pour leur participation, le 1er décembre, à une réunion du Conseil national de la Déclaration de Damas pour un changement national démocratique, un organisme interdit regroupant plusieurs organisations, sept étaient toujours détenues au secret à la fin de l'année.
Groupe de travail sur la détention arbitraire
On a appris en février que le Groupe de travail sur la détention arbitraire [ONU] avait déclaré en mai 2006 que Riad Drar al Hamood était détenu arbitrairement, car son procès n'avait pas été conforme aux normes internationales en matière d'équité et sa condamnation sanctionnait le seul exercice du droit à la liberté d'expression. Riad Drar al Hamood avait été déclaré coupable par la Cour suprême de sûreté de l'État, en avril 2006, d'appartenance à une « société secrète », de « diffusion de fausses nouvelles » et d'« incitation aux luttes de factions », et condamné à cinq ans d'emprisonnement. Ces chefs d'accusation étaient liés à un discours prononcé lors des obsèques de Sheikh Muhammad Mashuq al Khiznawi, un dignitaire religieux kurde, qui avait été tué après avoir été enlevé.

En juin, le Groupe de travail a conclu qu'Ayman Ardenli, incarcéré pendant trois ans sans inculpation, avait été détenu arbitrairement, son emprisonnement étant « dépourvu de toute justification légale ». Il a également estimé que Muhammad Zammar, détenu pendant près de cinq ans sans inculpation avant d'être condamné, le 11 février, par la Cour suprême de sûreté de l'État à douze ans d'emprisonnement, était en détention arbitraire, car son procès n'avait pas été conforme aux normes internationales en matière d'équité (voir plus loin).

Liberté d'expression
La liberté d'expression restait soumise à de sévères restrictions.

•Le 17 juin, Maher Isber Ibrahim, Tareq al Ghorani, Hussam Ali Mulhim, Diab Siriyeh, Omar Ali al Abdullah, Allam Fakhour et Ayham Saqr, qui étaient traduits devant la Cour suprême de sûreté de l'État, ont été déclarés coupables d'avoir « mené des actions ou fait une déclaration écrite ou orale susceptible de mettre l'État en danger ou de porter préjudice à ses relations avec un pays étranger ou de l'exposer à une action hostile ». Ils avaient été arrêtés pour avoir participé à la création d'un groupe de discussion de jeunes et publié sur Internet des articles favorables à la démocratie. Maher Isber Ibrahim et Tareq al Ghorani ont également été déclarés coupables de « diffusion de fausses informations » et condamnés à sept ans d'emprisonnement. Leurs cinq coaccusés ont été condamnés à cinq ans d'emprisonnement. Arrêtés au début de l'année 2006 par des agents du Service de renseignement de l'armée de l'air, ils auraient été maintenus au secret jusqu'en novembre 2006. Lors de leur procès, ils sont revenus sur leurs « aveux » en détention, affirmant que ceux-ci avaient été obtenus sous la torture et la contrainte. La Cour suprême de sûreté de l'État n'a toutefois ordonné aucune enquête et a retenu ces « aveux » à titre de preuve à charge.
•Le 31 décembre, Faeq al Mir, dirigeant du Parti démocratique du peuple, a été déclaré coupable par un tribunal pénal de « diffusion de fausses nouvelles portant atteinte à la nation ». On lui reprochait, semble-t-il, d'avoir téléphoné à un homme politique libanais pour présenter ses condoléances à la suite de l'assassinat d'un ministre libanais. Il a été condamné à dix-huit mois d'emprisonnement.
•Le 7 juin, des membres du Service des renseignements militaires ont arrêté Kareem Arabji, apparemment parce qu'il animait le site http://www.akhawia.net/, un forum de jeunesse sur Internet. Cet homme était toujours maintenu au secret à la fin de l'année.
Torture et mauvais traitements
Comme les années précédentes, les détenus étaient torturés et maltraités ; cinq personnes seraient mortes en détention, apparemment des suites de tels sévices. Les autorités n'ont pris aucune mesure pour enquêter sur les allégations de torture.

•Aref Dalilah, soixante-quatre ans, était maintenu à l'isolement dans une petite cellule de la prison d'Adra où il purgeait une peine de dix ans d'emprisonnement pour sa participation au « Printemps de Damas ». Il souffrait de diabète et d'hypertension, ainsi que des séquelles d'une attaque cérébrale, mais était privé des soins médicaux requis.
•Le corps d'Abd al Moez Salem aurait été restitué à sa famille à Areeha le 4 juillet. Les obsèques se seraient déroulées en présence d'agents du Service des renseignements militaires qui n'ont pas autorisé les proches de cet homme à voir le corps, ni à le préparer pour l'inhumation. Abd al Moez Salem avait, semble-t-il, été détenu au secret pendant près de deux ans, notamment dans les locaux de la Section Palestine.
•Aref Hannoush, seize ans, faisait partie d'un groupe de neuf jeunes gens torturés et maltraités durant leur détention à Damas, en août. Ces jeunes se sont plaints d'avoir été entassés en cellule dans des conditions dégradantes, d'avoir été privés de sommeil et d'accès aux toilettes. Ils auraient également été battus, et notamment soumis au dulab (le pneu), un supplice par lequel la victime est suspendue dans un pneu et battue.
« Guerre contre le terrorisme »
•Muhammad Zammar, arrêté au Maroc et transféré de force en Syrie en décembre 2001, apparemment dans le cadre du programme de « restitutions » mis en place par les États-Unis, a été condamné en février à l'issue d'un procès inéquitable pour quatre chefs d'accusation, dont l'appartenance à l'organisation interdite des Frères musulmans. Aucune preuve de son appartenance à ce mouvement n'a cependant été présentée au cours du procès, et l'organisation a nié que Muhammad Zammar en ait jamais été membre ou qu'il ait eu des liens suivis avec le mouvement ou avec un quelconque de ses membres.
Violences et discrimination envers les femmes
On a appris en janvier que le ministre des Affaires sociales et du Travail avait interdit l'Association des femmes syriennes, qui existait depuis 1948. En février, le ministre a dissous l'Organisation d'initiative sociale, un autre groupe de défense des droits des femmes. Il a refusé, en septembre, d'autoriser cinq organisations non gouvernementales, dont l'Organisation d'aide aux femmes et aux victimes de violences domestiques.

En février, le grand mufti de Syrie, Sheikh Ahmed Badreddin Hassoun, a condamné les crimes « d'honneur » et déclaré que la présence de quatre témoins était nécessaire pour prouver un adultère. Il a ajouté qu'il avait demandé au ministre de la Justice de désigner une commission chargée de modifier la législation relative aux crimes « d'honneur ».

En juin, le Comité pour l'élimination de la discrimination à l'égard des femmes [ONU] a recommandé aux autorités syriennes l'adoption de plusieurs mesures. Il a demandé aux autorités de modifier ou d'abroger les lois discriminatoires, et notamment certaines dispositions du Code de statut personnel, du Code pénal et de la Loi sur la nationalité, et de faire en sorte que le viol conjugal soit érigé en crime et que les auteurs de crimes « d'honneur » ne soient pas dispensés de sanction ou ne bénéficient pas d'une remise de peine. Il a également demandé aux autorités de créer des centres d'accueil et des services pour les femmes victimes de violences, et de permettre aux organisations de défense des droits des femmes et des droits humains de fonctionner indépendamment du gouvernement.

Discrimination envers la minorité kurde
Les Kurdes continuaient de souffrir de discrimination fondée sur leur identité, et notamment de restrictions frappant l'utilisation de leur langue et de leur culture. Des dizaines de milliers de Kurdes de Syrie étaient de fait apatrides et ne bénéficiaient donc pas pleinement de leurs droits économiques et sociaux.

•Selon des informations reçues en mars, l'artiste kurde Salah Amr Sheerzad a été arrêté et maltraité dans les locaux des services de sécurité à Alep, après avoir participé à un concert.
•Huit Kurdes auraient été arrêtés le 5 avril, puis détenus pendant dix jours dans les locaux de la Sécurité politique à Damas. On leur reprochait, semble-t-il, de porter des bracelets aux couleurs du drapeau kurde.
Défenseurs des droits humains
Plusieurs organisations de défense des droits humains non autorisées poursuivaient leurs activités. Leurs membres risquaient toujours d'être arrêtés, harcelés ou interdits de déplacement à l'étranger.

•Le 24 avril, Anwar al Bunni, avocat et directeur du Centre syrien d'études et de recherches juridiques, a été déclaré coupable par un tribunal pénal de « diffusion de fausses informations de nature à porter atteinte à la nation ». Il a été condamné à cinq ans d'emprisonnement. Cette accusation était liée à une déclaration faite, en avril 2006, à propos de la mort en détention de Muhammad Shaher Haysa, apparemment des suites de mauvais traitements, voire d'actes de torture. Anwar al Bunni est considéré comme un prisonnier d'opinion. Des gardiens de prison l'ont passé à tabac le 25 janvier.
•Le 1er novembre, les autorités ont empêché Muhannad al Hasani, Khalil Maatouq, Mustafa Osso, Radif Mustafa et Hasan Masho, des avocats spécialisés dans la défense des droits humains, de se rendre en Égypte pour participer à un atelier organisé par la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH) et l'Institut d'études sur les droits humains du Caire.
Peine de mort
La peine de mort était toujours appliquée pour toute une série de crimes. Sept personnes au moins ont été exécutées, semble-t-il en public. Elles avaient été condamnées à l'issue de procès iniques qui s'étaient déroulés devant un tribunal militaire d'exception. Les accusés traduits devant cette juridiction ne bénéficient pas de l'assistance d'un avocat et n'ont pas le droit d'interjeter appel des décisions.

•Le 25 octobre, cinq prisonniers – Radwan Abd al Qadr Hassan Muhammad, Kheiro Khalif al Fares, Abd al Hai Faisal Abd al Hai, Saleh Youssef Mahmoud et Hassan Ahmed Khallouf – ont été pendus en public à Alep. Les deux derniers, qui n'avaient pas plus de dix-huit ans au moment de leur exécution, étaient probablement des mineurs délinquants. Selon les médias publics syriens, les suppliciés avaient commis « plusieurs meurtres et des vols à main armée » et « avaient terrorisé des citoyens innocents ».
Disparitions forcées
Les autorités n'avaient toujours pas donné d'informations sur le sort de quelque 17 000 personnes – pour la plupart des islamistes – victimes de disparition forcée après leur arrestation à la fin des années 1970 et au début des années 1980, ni sur celui de centaines de Libanais et de Palestiniens arrêtés en Syrie ou enlevés au Liban par les forces syriennes ou des milices libanaises ou palestiniennes.

Visites et documents d'Amnesty International
•Des délégués d'Amnesty International se sont rendus en Syrie en juin pour effectuer des recherches sur la situation des réfugiés irakiens et recueillir des informations sur les atteintes aux droits humains commises en Irak.
•Irak. La situation des réfugiés irakiens en Syrie (MDE 14/036/2007).