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Lettre circulaire
"On n'arrête pas le progrès".
Plus besoin de procès pour interdire une publication. Plus de droit de la défense, plus de débats contadictoires.
De : Michel DAKAR Paris, le 2 janvier 2007
Affaire Union des Etudiants Juifs de France (UEJF) et J'accuse-AIPJ (Association internationale pour la justice ; président Marc KNOBEL, du CRIF et du centre Simon Wiesenthal), contre le site Internet http://www.alterinfo.net.
Audience en référé au greffe de la 17ème chambre du TGI de Paris, dans le bureau du juge Nicolas BONNAL (audience publique), à 10 heures du matin (amenez vos croissants, le café sera offert par la maison).
Nous remercions (Nous = Comité pour la liberté internationale de penser et d'être - CLIPE) les associations sionistes J'accuse et UEJF, pour leur innovation mondiale élaborée en totale collaboration avec l'appareil judiciaire français en les personnes du juge du siège Nicolas BONNAL et du Procureur de la République à Paris Jean-Claude MARIN, pour la mise en place de l'interdiction de publication, sans jugement et sans défense.
En effet, avant, pour interdire un texte, il fallait obtenir un jugement sur le fond, par une formation judiciaire comprenant trois juges, à l'issue d'une audience de débats contradictoires (on pouvait même bénéficier de l' "exception de vérité" - exceptionnelle il est vrai, qui permet de prouver qu'on dit vrai). Maintenant, il suffira, comme ce qui arrive pour le site Internet "alterinfo.net", d'être convoqué dans le bureau du juge Adéquat, en référé, c'est à dire en procédure d'urgence, à la demande de qui en a le droit, c'est à dire les associations de vigiles sionistes.
Il pourra vous être ordonné de retirer immédiatement le texte qui dérange l'ordre dominant, c'est à dire sioniste, sous le prétexte que ce texte met en péril imminent la structure sociale (comme dans le cas par exemple où un immeuble menace de s'effondrer, et que le juge des référés ordonne l'arrêt immédiat de travaux provoquant ce péril), cela sans débattre sur le fond, à savoir si ce texte est illégal (le débat sur le fond est réservé à la juridiction normale, seule habilité à juger du fond, c'est à dire si ce texte est condamnable.
Et en plus, si vous ne vous exécutez pas immédiatement, le juge vous condamne à verser quelques centaines d'euros par jour, cela se nomme une "astreinte".
Ainsi, hors le droit européen (mais est-on encore en Europe), qui prône le "procès équitable, par un tribunal indépendant et impartial, le droit à la défense et autres), on peut être condamné pécuniairement, en matière de liberté d'expression.
L'ordonnance en référé est si peu considérée comme égale à un acte de jugement, que cette ordonnance n'a pas autorité de la chose jugée (c'est à dire qu'on peut la critiquer publiquement sans encourir une poursuite pénale), et que cette décision n'engage en rien la juridiction qui aura ensuite à se prononcer sur le fond.
Mais en attendant, le texte hérétique sera retiré de la publication, à moins de vouloir se suicider par la ruine financière (et finir dans une tente Médecins du monde).
On avance dans le jeter des masques de démocratie et d'état de droit qui sont ceux de notre régime, et si ce programme se réalise, on pourra considérer qu'il n'y a plus qu'à publier anonymement sur l'Internet, de plus à l'étranger, et dans un pays qui ne livre pas les noms des auteurs à la police française.
Dans le cas d'alterinfo, pour la petite histoire, il s'agit d'un texte vieux de plus d'un siècle, relatif aux banquiers juifs de la City de Londres, texte qui précise qu'il ne désigne pas les juifs ordinaires, et qui porte aussi sur les banquiers non-juifs. Ce texte est de plus paru en France en 2004 sur un autre site.
M. DAKAR
Bonne année et bonne santé à tous dans Shalomland (Terre de paix). Voir le texte incriminé : http://www.alterinfo.net/L-imperialisme-du-capital-juif-_a11726.html Commentaires sur :
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