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Lettre ouverte, adressée à quinze
directions bancaires parisiennes, au sujet d'un nouveau procédé
judiciaire de répression de toute critique envers le milieu bancaire
en général.
Michel DAKAR
Paris, le 29 janvier 2008
Mesdames, Messieurs,
Un amalgame juridique vient d'être opéré
entre juif et banquier juif, puis entre banquier juif et banquier en général,
par une instance judiciaire parisienne, permettant ainsi la pénalisation
de toute critique envers le milieu bancaire, par l'usage des lois antiracistes,
assimilant le milieu bancaire à une minorité raciale (ordonnance
en référé rendue le 14 janvier 2008 N° RG : 08/50234).
Cette amalgame a été réalisé par la coopération
entre le juge du TGI de Paris (chambre n° 17 dite de la presse), Nicolas
BONNAL, l'avocat Stéphane LILTY de Paris, et les dirigeants des
organisations juives AIPJ (Association internationale pour la justice
- J'accuse) Marc KNOBEL (membre du CRIF et du centre Simon Wiesenthal),
et de l'UEJF (Union des étudiants juifs de France) Raphaël
HADDAD.
Cet amalgame a pu être opéré grâce à
l'accomplissement d'un faux en écriture publique, dit "faux
intellectuel" (par opposition au "faux matériel"),
par la "troncation" de deux parties d'un texte incriminé,
troncation se traduisant par l'omission de ces deux parties dans la démonstration
du jugement de Nicolas BONNAL.
Ce faux en écriture publique devrait valoir
au juge Nicolas BONNAL d'être poursuivi devant la cour d'assises,
car c'est un crime en ce qui concerne un magistrat. L'avocat Stéphane
LILTY et ses commanditaires Marc KNOBEL et Raphaël HADDAD, devraient
aussi comparaître devant ces assises, pour complicité, et
même plus, en tant que donneurs d'ordre de ce faux, puisque le juge
Nicolas BONNAL n'a fait que suivre fidèlement l'écrit de
l'avocat Stéphane LILTY.
Rappel :
Cette affaire a donné lieu à l'envoi d'une précédente
lettre adressée à quinze directions bancaires parisiennes,
lettre datée du 27 décembre 2007, intitulée :
"Les banquiers sont-ils une ethnie ? ... et faut-il les protéger
?" ou ... "Est-ce que chaque juif est un banquier de Londres
?", lettre à laquelle le Crédit Lyonnais a répondu.
Exposé développé de cette affaire :
Un texte paru en 2007, sur le site internet www.alterinfo.net, est poursuivi
par les organisations juives AIPJ-J'accuse et UEJF, pour incitation à
la haine et diffamation raciales. Ce texte traite des banquiers du 19ème
siècle du quartier de la City de Londres. Ce texte est constitué
à peu près entièrement de passages recopiés
textuellement d'un écrit original paru en langue anglaise il y
a plus d'un siècle.
Le but de cette poursuite judiciaire se révèle dans la condamnation
obtenue par les organisations juives, condamnation d'une critique générale
du milieu bancaire, conduisant à la condamnation de toute critique
envers le milieu bancaire.
Cette condamnation n'a pu être obtenue que grâce à
un subterfuge.
Ce subterfuge a consisté à opérer
un double amalgame, celui entre juif et banquier juif, et entre banquier
juif et banquier non juif, soit entre juif et tout le milieu dirigeant
bancaire.
Ce subterfuge a pu être réalisé par la troncation
de deux parties du texte incriminé, parties qui allaient à
l'encontre de la démonstration recherchée.
L'une de ces deux parties est reproduite ci-après :
"Cet impérialisme n'exprime pas les intérêts
ou les souhaits des anglais, des étasuniens ou des juifs ordinaires".
Un passage précédent explicite ce que recouvre cet impérialisme
:
"l'impérialisme britannique (et étasunien) prend son
origine dans les besoins des banquiers juifs et de leurs confédérés
Gentils [ndlr : c'est à dire non juifs] ..."
Remarques :
1 - Ces passages démontrent que l'auteur a jugé important
et même essentiel d'opérer une séparation entre citoyens,
humains ordinaires, et les banquiers (juifs et non juifs), ce qui contredit
radicalement la démonstration du juge Nicolas BONNAL et des organisations
juives poursuivantes.
2 - Cette démonstration des organisations juives et du juge Nicolas
BONNAL, lequel ne fait que recopier fidèlement le travail de l'avocat
Stéphane LILTY, a pour but de réussir à faire l'amalgame
entre une classe dominante, celle des banquiers, avec les classes dominées
en général, en passant par l'intermédiaire de celle
des juifs ordinaires, ce qui permet de protéger la classe dominante,
par l'emploi des armes judiciaires relatives à la protection des
minorités (raciales, religieuses, ethniques et autres).
La seconde partie oubliée de concert dans
les démonstrations du juge Nicolas BONNAL et de l'avocat Stéphane
LILTY, est reproduite ci-après :
"Une étude récente de l'ONU indique que 2% de la population
possède 50% des richesses, alors que l'autre moitié en possède
à peine 1%. Inutile de le préciser, les 2% les plus riches
sont surtout des banquiers établis à Londres et leurs associés".
L'oubli de cette seconde partie du texte incriminé, par le Juge
Nicolas BONNAL et l'avocat Stéphane LILTY, porte au jour une seconde
fois, et confirme le but caché de cette procédure, celui
de solidariser la classe dominante avec les classes dominées, de
façon à faire bénéficier cette classe dominante
de la protection juridique accordée de par la loi à certaines
classes dominées.
Dans l'attente de vos réactions, pour cette affaire qui vous concerne
au premier chef, je vous prie de recevoir, Mesdames, Messieurs, l'expression
de mes salutations distinguées.
M. DAKAR
Copies adressées au juge Nicolas BONNAL,
à l'avocat Stéphane LILTY, aux directions des organisations
AIPJ-J'accuse et UEJF, au parquet de Paris, à la presse, aux directions
de Rothschild-Paris, Lazard, Lehman Brothers, Crédit lyonnais,
Crédit agricole SA, BNP-Paribas, Natexis, Société
générale, Crédit du nord, Banque Worms, Citigroup
France, Goldman Sachs Paris, UBS, HSBC, Crédit suisse.
Ce document est paru à la page :
http://www.aredam.net/alterinfo-faux-ecriture-banque.html
Lire la lettre initiale adressée aux banques
et datée du 27 décembre 2007 :
http://www.opadel.net/banque-justice.html
Lire l'ordonnance du 14 janvier 2008 du juge Nicolas
BONNAL :
http://www.aredam.net/jugement-alterinfo-bonnal-refere.pdf
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