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L’affaire Merah une bombe à retardement.

Chronique de son impossible étouffement.


Ce n’est pas l’objet du site aredam.net et de son auteur de perdre du temps dans les magouillasseries minables des services secrets, qui ne valent pas plus à notre époque, tellement elles sont devenues répétitives, que de figurer à la rubrique faits divers du glaviot d’or de référence de la presse de caniveau française Le Parisien, mais l’affaire Merah ouvre sur de vastes horizons.

Pour résumer, un gus du nom de Merah, sorte de niais infantile malingre et un tantinet excentrique, qu’on peut voir s’exhiber frénétiquement sur plusieurs vidéos où il se filme lui-même à l’aide de son portable, et qui semble être à un demi demeuré, commet un exploit digne d’un froid exécuteur professionnel et aguerri, jouissant d’une parfaite maîtrise de soi et de nerfs d’acier, d’un homme formé dans les meilleures écoles de commandos des services spéciaux, aux nerfs d’acier, maîtrisant parfaitement son arme, le tir et semblant suivre à la lettre un programme bien préparé, de plus agissant - en apparence - seul, et de plus sur une vulnérable moto en pleine heure de circulation d’une grande ville française, assassine au pistolet successivement sept personnes (définissables comme trois soldats et quatre juifs), sans avoir eu un accident et en ne se faisant pas capturer, et cela de plus dans une des villes stratégiques de caserne, quadrillée par la DPSD, l’ex sécurité militaire, et par la DRM, le renseignement militaire, sans oublier bien sûr sur la police politique générale, avec la DCRI.

On rit !

Ensuite, ce gus improbable est encerclé dans son petit appartement par une centaine de membres des troupes de choc de la police, et mis à mort par un déluge de balles, sans qu’on ait songé à s’en saisir vivant pour l’interroger, pour découvrir ses éventuels complices, réseaux et éventuels commanditaires - et aussi et surtout - pour s’assurer qu’il est bien l’auteur des crimes, malgré les moyens et l’expérience dont disposent ces troupes de choc, et sans qu’on lui ait donné la possibilité de se rendre.

Le tueur a ainsi été jugé et dans la foulée exécuté (dans le nouveau code pénal de la République la peine de mort est donc rétablie et c’est la police qui mène l’instruction, constitue le tribunal et exécute la peine. On est revenu à la Tchéka soviétique des années 1920 et à ses fameuses troïkas).

Pourquoi donc chercher ailleurs qui serait le ou les exécuteurs et le ou les commanditaires de ces sept assassinats ? Puisque dans la présente affaire l’aveu et les preuves c’est le cadavre.

Merah est donc censé avoir mijoté tout cela dans sa petite tête de piaf, tout décidé et tout fait seul. A le voir gesticuler sur ses vidéos où il se met en scène, il y a quand même un hic, un hiatus … Il n’a pas la carrure de l’emploi, l’étoffe d’un tueur professionnel.

Mais grâce au cadavre, la pièce est écrite, et le rideau tiré.

Les juifs et les employeurs de la soldatesque formée des néo-harkis des banlieues (les trois soldats sont issus de l’immigration et des ghettos dits quartiers sensibles) vont pouvoir édifier de nouveaux lieux de culte et de souvenir, de commémoration supplémentaires. Il est vrai qu’on n’en n’a jamais de trop de ces plaques à victimes qui servent à assouplir les échines, à faire plier les nuques, à interdire de réfléchir, de critiquer, à transmuter magiquement les criminels en victimes et les victimes en bourreaux. La marbrerie de propagande se porte bien.

Ce qui est intéressant dans la présente affaire est cette association entre des juifs innocents (des enfants et un éducateur d’une école confessionnelle … où certes on inculque le Deuteronome, les Psaumes et autres messages divins de la Torah juive (et de l’Ancien testament de la Bible des chrétiens). Exemples : Deutéronome 7 – 16, « Tu dévoreras tous les peuples que Yahweh, ton dieu, te livre ; ton œil sera sans pitié pour eux. » Deutéronome, 12/79, « Le Seigneur ton Dieu exterminera les peuples chez qui tu te rendras pour les déposséder de leur territoire ». Psaume 45/17, « De tes fils tu feras des princes sur toute la terre ». Psaume 18/44, « Yahweh a mis Israël à la tête de toutes les nations ».), et trois soudards quasi mercenaires, français d’origines arabe et noir, machines et viandes de guerre dressées à détruire leurs pays d’origine… mystères des équipes de think thanks de l’appareil de magouilles et propagande. Merah étant lui-même d’origine arabe par ailleurs (les mecs ont l’esprit bien alambiqués. Ils devraient arrêter de fumer la moquette, ou bien essayer le Sancerre ou le Pouilly fumé ou le Pinot noir d’Alsace).

 

Second acte

Un enregistrement audio et vidéo d’un échange par téléphone portable ayant eu lieu pendant le siège entre Merah et une de ses relations, est mis en circulation, aussi sous la forme de sa transcription. On y voit même Merah se filmer lui-même avant de mourir (Merah confond la réalité même à son moment ultime avec les reality show, faisant la preuve là d’une totale aliénation).
Au cours de l’échange entre Merah et cet interlocuteur, qui se révèle être un officier de la DCRI et son propre agent traitant qu’il appelle familièrement par son nom, (et on apprend ainsi que Merah est un agent de la DCRI), Merah affirme ne pas comprendre ce qui lui arrive, il demande qu’est-ce qu’il a fait et pourquoi on veut le tuer. Il reproche aussi à cet officier de l’avoir trahi. Le grand terroriste se lamente et prie … tout en se filmant.

 

Troisième acte

L’un des parents des trois soudards dessoudés porte plainte et prend l’agent Collard comme avocat. Une riche idée que de prendre ce Collard (qui donc la leur a soufflée ???). Collard dont tout le vice utile justement consiste à gérer dans l’intérêt de la raison d’Etat les affaires qui gênent ce dernier (voir son intervention dans l’affaire Allègre, et l’avis sur Collard du gendarme qui était en charge de l’enquête, auteur du livre « Homicide 31 ». Dommage, on n’a pas vu apparaître le Collard dans la procédure de l’assassinat d’Etat du juge Borrel à Djibouti. Il est vrai que la plaignante est elle-même magistrate et sait de quoi il en retourne avec ce genre de zig), donc un avocat de confiance pour les services, une sorte d’ « agent noir ». Il est vrai que dans ce genre de cas, le danger immédiat vient des familles et des proches des victimes, qui pourraient se poser des questions intelligentes et devenir vite incontrôlables, et surtout très difficilement muselables (on ne va quand même pas aussi éradiquer préventivement les familles et les proches, cela risque de paraître louche, d’encombrer les morgues et les cimetières, et surtout d’accroître à l’infini l’étendue des troubles impossibles à prévoir et à juguler). Alors, il y a la solution classique et efficace du maître-traître professionnel, qu’est l’avocat des services, espèce qui prospère grâce à la méconnaissance de la réalité judiciaire et politique des gens simples et affaiblis par les épreuves et le chagrin, comme le sont ceux de la famille de la victime de ces crimes en série attribués au Merah de service, le djihadiste porte-chapeau, le porte-turban décérébré salafiste-wahhabite-takfiriste comme savent en fabriquer en série la DCRI, le Qatar, l’Arabie saoudite, la CIA, la DGSE, le MI6, le Mossad et autres.


Quatrième acte

Et ensuite, sort un autre enregistrement audio et sa transcription, du fameux échange téléphonique, quasi identique au précédent, mais juste un peu caviardé. Il ne lui manque pas grand-chose, seulement les passages dérangeants (on n’y entend plus les propos selon lesquels Merah ne comprend rien à ce qui lui arrive, dit n’avoir rien fait qui justifie ce qui se passe et autres).
Cet enregistrement a été largement diffusé par les organes de l’appareil de manigance idéologique de désinformation et d’intoxication de masse du régime, dits médias, presse libre, cinquième pouvoir, entre autres noms d’oiseaux.


Cinquième acte

Depuis l’Algérie, la famille de Merah, le porte-burnous de la DCRI et d’Al Qaida, annonce qu’elle porte plainte pour assassinat et prend un avocat (sans doute un agent noir local). Maintenant, on peut donc constater la participation à l’embrouille Merah des services algériens, de mèche sans aucun doute avec les services français. Comme on dit, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, et là où il y a à manger pour un il y a à manger pour tous.


Sixième acte

Le député Mamère, réputé être l’un des chevaliers blancs non corrompu de la classe politique française (qui tient le rôle du Monsieur Propre, du nettoyeur à sec des costard cravates de ses collègues), classe politique qui elle n’existe que par la corruption et l’argent des lobbys qu’elle sert, qui se fout du peuple dont cette classe mime la représentation, Mamère en tant que chevalier en blanc (comme son collègue Montebourg, Mamère n’est pas le seul à porter l’habit blanc), qui malgré ce noble habit est un pur politicien professionnel et de carrière et à vie et j’en passe, trouve la solution à l’affaire Merah, qui dégage une persistante, intrigante, pernicieuse, suintante et imprégnante odeur de charogne avancée, en demandant la création d’une commission d’enquête parlementaire, car comme tout le monde le sait, le meilleur moyen d’enterrer quoi que ce soit, dont la vérité et les rumeurs et humeurs malodorantes, c’est le fameux service des pompes funèbres spéciales de l’Assemblée des lobbys dite « nationale » dénommé « commission parlementaire ».

 

Conclusion en forme de question

Ca va t’y péter pour quand la bombe Merah ?

 

Réponse

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Conclusion en forme de réflexion

A tout bien y penser, l’affaire Mohamed Merah rappelle l’affaire Michel Lajoye, en infiniment plus sanglant. Et l’affaire Michel Lajoye a duré plusieurs dizaines d’années, et pourrait encore bien ressortir. Mais au sujet de Lajoye, les services étrangers concurrents de ceux de l’Otanie n’étaient pas dans la danse et il n’y avait pas Internet (pour encore combien de temps d’ailleurs ?).

 

Note finale :

Il est très probable que l'affaire Merah a été aussi organisée pour resolidariser les juifs français autour de leurs dirigeants et des organisations dites "représentatives", cela afin de consolider par la peur cette communauté, ce qui est un travail qui est sans cesse à poursuivre, et à pousser les quelques rares têtes vides et brulées susceptibles de le faire, à emmigrer en Israël, pour compenser les juifs qui fuient chaque année et qui sont de plus en plus nombreux à le faire, cet Etat.

 

Michel Dakar, Villequier, le 6 novembre 2012


Sommaire des annexes au texte :

Annexe 1 : Copie de la page du site aredam.net : http://www.aredam.net/michel-lajoye.html

Annexe 2 : Copie de la page du site aredam.net : http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html

 

 

Annexes :

 

Annexe 1 :

Copie de la page du site aredam.net : http://www.aredam.net/michel-lajoye.html
La Licra ordonne, la justice obéit

Jeudi, 13 Avril 2006
La scandaleuse « affaire Michel Lajoye ».

Pour ceux qui ne connaîtraient pas ce scandale juridique, il convient de le situer dans son contexte.

Dans les années 1980, Michel Lajoye, qui est alors un jeune militant d'extrême-droite manipulé par la DPSD (un « service » dépendant de l'Armée), commet un attentat parfaitement nul contre un bar fréquenté par des maghrébins. L'explosion [Ndlr : il n’y a même pas eu d’explosion, la bombe que portait Lajoye était factice] est sans aucune conséquences autres que matérielles [Ndlr : aucun dégât matériel] : du plâtre sur le sol et des tables renversées, pas même un blessé léger, rien ! Mais Michel Lajoye passe en procès au lendemain d'une autre provocation : celle de Carpentras. Dans le climat d'hystérie qui règne alors il est condamné … à la prison à vie, avec une peine incompressible de 18 ans !

En prison, Michel Lajoye a mûri, il a compris qu'il avait été manipulé et que les immigrés n'étaient pas « l'ennemi », mais, comme nous mêmes, des victimes de la société marchande, déracinante, cosmopolite et apatride. Il a aussi acquis des connaissances lui permettant d'exercer une profession dans l'informatique. Il y a peu de temps, arrivant au terme de sa période de sûreté, il a donc déposé une demande de libération conditionnelle.

Il va sans dire qu'il répondait à tous les critères nécessaires : aucun risque de récidive, un CDI obtenu dans une entreprise importante et un logement assuré, permettant une réinsertion sans problème aucun.

Mais, depuis la « Loi Perben II », il est d'usage, avant toute libération conditionnelle, de demander l'avis des victimes. Comme, en l'espèce, il n'y avait pas de victime, c'est à la Ligue des droits de l'Homme et à la Licra que l'on a demandé leurs avis.

Si la Ldh a déclaré ne pas avoir de remarques à faire sur cette libération, la Licra a, par contre, fait savoir qu'elle y était totalement opposée car Michel Lajoye était … antisémite (rappelons qu'il est en prison pour un attentat anti-maghrébin et non pas anti-juif) !

Naturellement, les juges d'application des peines ont suivi les « conseils » de cette ligue de vertu et refusé la libération conditionnelle.

Michel Lajoye a décidé de faire appel, mais il est sans illusion car il sait que quand la Licra ordonne, la justice obéit…

Pour conclure, il n'est pas inutile de comprendre que c'est la prise de conscience politique de Michel Lajoye qui fait qu'il reste en prison. Serait-il resté un lecteur de Guillaume Faye et de Pierre Vial, un « identitaire » islamophobe et anti-arabe, la Licra n'aurait rien trouvé à redire à la libération d'un de ses alliés objectifs. Mais voilà, Michel Lajoye a compris… Quand il a écrit un livre sur ses années de prison, il l'a fait préfacer par Carlos et, derrière les barreaux, il s'est lié avec des membres de la branche lyonnaise d'Action directe. Il est donc passé dans le camps des « salauds absolus » et de ce fait il doit rester en prison.

Cette prise de conscience de Michel Lajoye explique aussi qu'aucun média des partisans de « la guerre ethnique » n'ait jamais pris sa défense ni appelé à le soutenir.

Cela a pour nous une conséquence : si Michel Lajoye n'était pas des nôtres quand il a commis un acte fort éloigné de notre combat, il l'est devenu par la suite, par la réflexion. Nous devons donc lui montrer au minimum notre soutien en contribuant au fonds qui permet de couvrir les frais de sa défense actuelle
(chèques à l'ordre de TV, à adresser à Ars Magna, BP 60426, 44004 Nantes cedex 1).
Note de la rédaction d'aredam.net :
Je ne sais pas qui est ce "nous", de notre combat, ni qui est Ars Magna, mais ce texte tient la route, et on le passe, et de toute manière, "nous" avons tous des devoirs envers ceux qui passent des dizaines d'années dans les enfers pénitentiaires, du totalitarisme siono-capitaliste actuel et agonisant.
PS : Michel Lajoye a écrit un livre qu’il est vivement conseillé de lire, sur son aventure.

 

Annexe 2 : Copie de la page du site aredam.net : http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html

Du judaïsme au sionisme, par des extraits de la Torah (Deuteronome et Psaumes), et des citations d'auteurs, d'idéologues et de chefs d'Etat sionistes, où, de la perpétuation à travers les siècles d'une idéologie de la haine, du racisme, de la xénophobie, du génocide, de l'accaparement, et de la domination.

 

1 - Extraits du Deuteronome et des Psaumes.

2 - Citations de sionistes célèbres.

1 - Extraits du Deuteronome et des Psaumes :

Deuteronome 6 – 10 à 6 – 11,
« Lorsque Yahweh, ton dieu, t'aura fait entrer dans le pays qu'il a juré à tes pères, à Abraham, à Isaac et à Jacob, de te donner : grandes villes que tu n'as pas bâties, maisons pleines de toutes sortes de biens que tu n'as pas remplies, citernes que tu n'as pas creusées ; vignes et oliviers que tu n'as pas plantés ; lorsque tu mangeras et te rassasieras, garde-toi d'oublier Yahweh, qui t'a tiré du pays d'Egypte. »

Deuteronome 7 – 1 à 7 – 4,
« Lorsque Yahweh, ton dieu, t'aura fait entrer dans le pays, où tu vas pour en prendre possession, et qu'il aura chassé devant toi beaucoup de nations, les Hittites, les Guirgachites, les Amorrhéens, les Chananéens, les Périzzites, les Hiwwites et les Jébuzéens, sept nations plus nombreuses et plus puissantes que toi, et que Yahweh, ton dieu, te les aura livrées et que tu les auras battues, tu les anathémiseras, tu ne concluras pas d'alliance avec elles et tu ne leurs feras point grâce. Tu ne contracteras pas de relations matrimoniales avec elles, tu ne donneras pas tes filles à leurs fils, et tu ne prendras pas leurs filles pour tes fils. »

Deuteronome 7 – 6,
« Car toi, tu es un peuple saint, consacré à Yahweh, ton Dieu. C'est toi que Yahweh, ton Dieu, a choisi pour devenir son peuple particulier, d'entre tous les peuples qui sont sur la face de la terre. Ce n'est pas parce que vous êtes plus nombreux qu'aucun des autres peuples que Yahweh s'est attaché à vous et vous a choisis, car vous êtes le plus petit de tous les peuples. Mais c'est parce que Yahweh vous aime et parce qu'il garde le serment qu'il a fait à vos pères, que Yahweh vous a fait sortir à main puissante et vous a rédimés de la maison de servitude, de la main de pharaon, roi d'Egypte. Tu sauras donc que c'est Yahweh, ton Dieu, qui est le Dieu, le Dieu fidèle qui garde l'alliance et la bienveillance jusqu'à mille générations, pour ceux qui l'aiment et qui garde ses commandements ; mais il rend la pareille directement à qui le hait ouvertement, en les détruisant ; il ne tarde pas envers qui le hait de lui rendre la pareille en personne. Tu observeras donc les commandements, les lois et les ordonnances que je te commande aujourd'hui, en les mettant en pratique.

15 – 1 à 15 - 3,
« A la fin de chaque septième année, tu feras rémission. Voici comment se pratiquera la rémission : que quiconque détient une créance remette ce qu'il a prêté à son prochain ; il ne pressera pas son prochain ni son frère, quand on aura publié la rémission de Yahweh. Tu pourras presser l'étranger ; mais pour ce qui t'appartient chez ton frère, tu le remettras. »

Deuteronome 15 – 6,
« Car Yahweh, ton Dieu, te béniras, comme il te l'a dit, tu prêteras à beaucoup de nations, et toi tu n'emprunteras pas ; tu domineras sur beaucoup de nations, mais sur toi on ne dominera pas. »

Deuteronome 17 – 15,
« Tu pourras te constituer un roi, celui que Yahweh, ton dieu, aura choisi, c'est entre tes frères que tu te constitueras un roi, tu ne pourras pas te soumettre à un étranger, parce qu'il n'est pas ton frère. »

Deutéronome 10/15,
" Israël est le peuple élu entre toutes les nations ".

Deutéronome 14/2,
" Le Seigneur t'a choisi pour être son peuple à Lui parmi tous les peuples de la terre ".

Deutéronome 1/13,
" Lorsque Yahweh ton Dieu aura exterminé les nations dont Yahweh ton Dieu te donnes le pays.

Deutéronome 7/3,
" Tu ne contracteras pas de relations matrimoniales avec elles (les populations non-juives), tu ne donneras pas tes filles à leurs fils, et tu ne prendras pas leurs filles pour tes fils.

Deutéronome 7 – 16,
« Tu dévoreras tous les peuples que Yahweh, ton dieu, te livre ; ton œil sera sans pitié pour eux. »

Deutéronome 7 – 20,
« Yahweh, ton dieu, enverra même sur eux des guêpes jusqu'à ce que périssent ceux qui auront pu rester et se cacher devant toi. »

Deuteronome 11 – 23,
« Yahweh chassera toutes ces nations devant vous, et vous vous soumettrez des nations plus grandes et plus puissantes que vous ».

Deuteronome 12 – 29,
« Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé les nations, dans lesquelles tu te rends pour les chasser devant toi, que tu les auras chassés et que tu habiteras leurs pays. »

Deutéronome 7 - 24,
« Yahweh, ton dieu, chassera peu à peu ces nations devant toi ; tu ne pourras pas les exterminer rapidement, afin que les bêtes sauvages ne se multiplient pas contre toi. Yahweh, ton dieu, te les livreras, et il les bouleversera d'un grand bouleversement, jusqu'à ce qu'elles soient anéanties. Il te livrera leurs rois, et tu feras disparaître leurs noms de dessous les cieux ; personne ne tiendra devant toi, jusqu'à ce que tu les aies anéantis. »

Psaume 45/17,
" De tes fils tu feras des princes sur toute la terre ".

Psaume 18/44,
" Yahweh a mis Israël à la tête de toutes les nations ".

Deutéronome, 12/79,
" Le Seigneur ton Dieu exterminera les peuples chez qui tu te rendras pour les déposséder de leur territoire ".

Deutéronome 28/9 à 28/13 :
" Yahweh te maintiendra, pour lui en peuple saint, ainsi qu'il te l'a juré, si tu observes les commandements de Yahweh, ton Dieu, et si tu marches dans ses voies; et tous les peuples de la terre verront que le nom de Yahweh est nommé sur toi, ils te craindront. Yahweh te fera surabonder de biens, dans le fruit de tes entrailles, dans le fruits de tes bêtes et le fruit de ton sol, dans le pays que Yahweh a juré à tes pères de te donner. Yahweh t'ouvrira son magnifique trésor, le ciel, pour envoyer à ton pays la pluie en son temps, et pour bénir tout le travail de tes mains. Tu prêteras à beaucoup de nations, et tu n'emprunteras pas. Yahweh te mettra à la tête, et non à la queue; tu seras uniquement en haut, et tu ne seras pas en bas, si tu obéis aux commandements de Yahweh, ton Dieu ... ".

Deuteronome 19 – 1,
« Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé les nations dont Yahweh, ton dieu, te donne le pays ; lorsque tu les auras chassés et que tu habiteras dans leurs villes et dans leurs maisons. »

Deuteronome 20 – 10 à 20 – 16,
« Lorsque tu t'approcheras d'une ville pour la combattre, tu lui offriras la paix. Si elle te fais une réponse de paix et s'ouvre à toi, tout le peuple qui s'y trouvera te sera tributaire et te servira. Si elle ne fait pas la paix avec toi, et qu'elle veuille te faire la guerre, tu l'assiègeras et, quand Yahweh, ton dieu, te l'aura livrée, tu passeras tous les males au fil de l'épée. Mais les femmes, les enfants, le bétail, et tout ce qui sera dans la ville, tout son butin, tu le pilleras pour toi, et tu pourras manger le butin de tes ennemis que Yahweh, ton dieu, t'auras donné. C'est ainsi que tu agiras à l'égard des villes éloignées de chez toi, et qui ne sont pas des villes de ces nations-ci.
Mais quant aux villes de ces peuples que Yahweh, ton dieu, te donne en propriété, tu n'y laisseras la vie à rien de ce qui respire. »

Deuteronome 23 - 20,
Tu n'exigeras pas de ton frère un intérêt pour argent, ni intérêt pour vivre, ni intérêt pour autre chose qui se prête à intérêt. Tu exigeras un intérêt de l'étranger, mais tu n'exigeras pas d'intérêt de ton frère. »

Deuteronome 26 – 18 à 26 – 19,
« Et Yahweh t'a fait dire aujourd'hui que tu veux lui devenir un peuple particulier, comme il te l'a dit, et observer tous ses commandements, et ainsi te rendra-t-il supérieur à toutes les nations qu'il a faites, en gloire, en renom et en splendeur, et fera-t-il de toi un peuple saint à Yahweh, ton Dieu, comme il l'a dit. »

Psaume 2, 7 à 9
« Et moi (Yahweh), j'ai établi mon roi sur Sion, ma montagne sainte
Je vais publier le décret de Yahweh : Yahweh m'a dit : tu es mon fils, moi-même, aujourd'hui, je t'ai engendré.
Fais m'en la demande, et je te donnerai les nations pour héritage,
Tu les régiras avec une houlette de fer ; comme le vase du potier tu les mettras en pièces. »

Psaume 47, 17 et 18
« Tes enfants prendront la place de tes pères ;
tu les établiras comme princes sur toute la terre. »

 

2 - Citations de sionistes célèbres :

« Nous devons expulser les arabes et prendre leur place ».
David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël.

« Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves ».
Président Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987.

« « Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population arabe ».
Israël Koenig, « The Koenig memorandum ».

« La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule tribu ».
Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973.

« Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »,
Israel Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans.

Après avoir visité la Palestine en 1891, l’essayiste hébreu Achad Ha-Am a commenté : « A l’étranger nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque vide ; que rien n’y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas acheter les terres qu’il désire. En réalité, la situation n’est pas ainsi. Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà cultivée ».

« Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n’y a personne à qui les rendre ».
Golda Meir, premier ministre d’Israël, 8 mars 1969.

« Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens n’ont jamais existé ».
Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969.

« « Les palestiniens » seront écrasés comme des sauterelles … leurs têtes éclatés contre les rochers et les murs ».
Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril 1988.

« Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne sont pas les mêmes ».
Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989.

« Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la frontière en lui refusant du travail. Le processus d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection ».
Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale, note du 12 juin 1895.

Description par Rabin de la conquête de Lydda, après l’achèvement du plan Dalet. « Nous réduirons la population arabe à une communauté de coupeurs de bois et de serveurs ».
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion, 1960, tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias.

« Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent … ».
Ehud Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30 août 2000.

« Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes ».
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and the beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman, 25 juin 1982.

« Il y a une énorme différence entre nous (les juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c’est comme si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui n’appartenait pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait véritablement à une autre galaxie ».
Président israélien Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001.

« Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les palestiniens) ne reviennent pas » … « Les vieux mourront et les jeunes oublieront ».
David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948.

« Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille ».
Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces de défense israéliennes (Tsahal), New york Times, 14 avril 1983.

« La thèse d’un danger d’un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu’Israêl se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre ». Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972.

« C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction des arabes et l’expropriation de leurs terres ».
Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972.

« La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif ultime qui est la création de l’Empire israélien ». Moshe Dayan, ministre israélien de la défense et des affaires étrangères, 12 février 1952 Radio Israel.

« Des villages juifs ont été construits à la place des villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent plus. Et non seulement les livres, mais les villages n’existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays qui n’a pas une ancienne population arabe ».
Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz, 4 avril 1969.

« … si les gens s’habituent à cette donnée et que nous soyons réellement obligés d’accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour nous, quand nous seront confrontés à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne vivaient pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu’il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre … sinon ».
Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan, directeur général du ministère des affaires étrangères israélien (ISA FM 2564/22). D’après Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés palestiniens 1947-49 », p. 297.

« Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d’empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela qu’elle est dépendante d’une force armée. Il est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la colonisation.
Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur du likoud), Le Mur de fer, 1923.

« La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone.
C’est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d’une puissance indépendante de la population locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est notre politique à l’égard des arabes.
Vladimir Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923.

« Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons pas notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas d’autres possibilités que de transférer les arabes d’ici vers les pays voisins - tous. Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit rester.
Joseph Weitz, chef du département colonisation de l’Agence juive en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem ».

« Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les arabes des territoires ».
Benyamin Netanyahu, alors député israélien au ministère des affaires étrangères, ancien premier ministre d’Israël, s’exprimant devant des étudiants à l’université de Bar Ilan, tiré du journal israélien « Hotam », du 24 novembre 1989.

« A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ? De la même façon, les arabes de Palestine n’abandonneront pas leur souveraineté sans l’usage de la violence ».
Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes sionistes), cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou problème juif » (Jewish people or jewish problem).

« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ?
David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.

« Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont aucun droit de s’établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël …
La force est l’unique chose qu’ils comprennent. Nous devons utiliser la force absolue jusqu’à ce que les palestiniens viennent ramper devant nous ».
Raphael Eitan, chef d’Etat-major des forces de la défense israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York Times, le 14 avril 1983.

« Si l’assemblée générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de l’armistice (frontière d’avant juin 1967), Israël refuserait de se plier à cette décision ».
Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères. New York Times, 9 juin 1967.

« Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela …
Je vais vous dire quelque chose de très clair :
Ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique, et les américains le savent ».
Le premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael.

« Parmi les phénomène politique les plus inquiétants de notre temps, il y a l’émergence, dans l’Etat nouvellement créé d’Israël, d’un parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des nazis et des partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus premiers ministres ».
Albert Einstein.
Hana Arendt et d’autres juifs américains célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948.

« La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le mandat britannique. Le peuple juif possède une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate ».
Ben Gurion.

« Nous devons affronter la réalité qu’Israël n’est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion, nous les juifs avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population de réfugiés dans une diaspora ».
Martin Buber, philosophe juif, s’adressant au premier ministre Ben Gurion, sur le caractère moral de l’Etat d’Israël en faisant référence aux réfugiés arabes en mars 1949.

« Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous sommes retournés en Palestine … la majorité des juifs, ont préféré apprendre d’Hitler plutôt que de nous ».
Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958.

« Le pouvoir légal d’Hitler était basé sur le « décret de loi », qui était voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Führer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de loi. Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le parlement israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien, et à ses représentants le pouvoir d’Hitler, qu’ils utilisent de façon hitlérienne ».
Docteur Israel Shahak, président de la Ligue israélienne pour les droits de l’homme et les droits civiques, survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les lois d’urgence de l’armée israélienne suite à la guerre de 1967.
Palestine, vol. 12, décembre 1983.

« Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon a répété sa question : « Que devons-nous faire avec la population palestinienne ? » Ben Gurion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les » ».
Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New York times, 23 octobre 1979.

A l’origine :
Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non-juives en Palestine, ni aux droits dont les juifs jouissent dans tout autre pays.
Déclaration de Balfour au Baron Rothschild, le 2 novembre 1917.