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Titre de cette page :
L’affaire Merah une bombe à retardement. Chronique de son impossible étouffement.
Pour résumer, un gus du nom de Merah, sorte de niais infantile malingre et un tantinet excentrique, qu’on peut voir s’exhiber frénétiquement sur plusieurs vidéos où il se filme lui-même à l’aide de son portable, et qui semble être à un demi demeuré, commet un exploit digne d’un froid exécuteur professionnel et aguerri, jouissant d’une parfaite maîtrise de soi et de nerfs d’acier, d’un homme formé dans les meilleures écoles de commandos des services spéciaux, aux nerfs d’acier, maîtrisant parfaitement son arme, le tir et semblant suivre à la lettre un programme bien préparé, de plus agissant - en apparence - seul, et de plus sur une vulnérable moto en pleine heure de circulation d’une grande ville française, assassine au pistolet successivement sept personnes (définissables comme trois soldats et quatre juifs), sans avoir eu un accident et en ne se faisant pas capturer, et cela de plus dans une des villes stratégiques de caserne, quadrillée par la DPSD, l’ex sécurité militaire, et par la DRM, le renseignement militaire, sans oublier bien sûr sur la police politique générale, avec la DCRI. On rit ! Ensuite, ce gus improbable est encerclé dans son petit appartement par une centaine de membres des troupes de choc de la police, et mis à mort par un déluge de balles, sans qu’on ait songé à s’en saisir vivant pour l’interroger, pour découvrir ses éventuels complices, réseaux et éventuels commanditaires - et aussi et surtout - pour s’assurer qu’il est bien l’auteur des crimes, malgré les moyens et l’expérience dont disposent ces troupes de choc, et sans qu’on lui ait donné la possibilité de se rendre. Le tueur a ainsi été jugé et dans la foulée exécuté (dans le nouveau code pénal de la République la peine de mort est donc rétablie et c’est la police qui mène l’instruction, constitue le tribunal et exécute la peine. On est revenu à la Tchéka soviétique des années 1920 et à ses fameuses troïkas). Pourquoi donc chercher ailleurs qui serait le ou les exécuteurs et le ou les commanditaires de ces sept assassinats ? Puisque dans la présente affaire l’aveu et les preuves c’est le cadavre. Merah est donc censé avoir mijoté tout cela dans sa petite tête de piaf, tout décidé et tout fait seul. A le voir gesticuler sur ses vidéos où il se met en scène, il y a quand même un hic, un hiatus … Il n’a pas la carrure de l’emploi, l’étoffe d’un tueur professionnel. Mais grâce au cadavre, la pièce est écrite, et le rideau tiré. Les juifs et les employeurs de la soldatesque formée des néo-harkis des banlieues (les trois soldats sont issus de l’immigration et des ghettos dits quartiers sensibles) vont pouvoir édifier de nouveaux lieux de culte et de souvenir, de commémoration supplémentaires. Il est vrai qu’on n’en n’a jamais de trop de ces plaques à victimes qui servent à assouplir les échines, à faire plier les nuques, à interdire de réfléchir, de critiquer, à transmuter magiquement les criminels en victimes et les victimes en bourreaux. La marbrerie de propagande se porte bien. Ce qui est intéressant dans la présente affaire est cette association entre des juifs innocents (des enfants et un éducateur d’une école confessionnelle … où certes on inculque le Deuteronome, les Psaumes et autres messages divins de la Torah juive (et de l’Ancien testament de la Bible des chrétiens). Exemples : Deutéronome 7 – 16, « Tu dévoreras tous les peuples que Yahweh, ton dieu, te livre ; ton œil sera sans pitié pour eux. » Deutéronome, 12/79, « Le Seigneur ton Dieu exterminera les peuples chez qui tu te rendras pour les déposséder de leur territoire ». Psaume 45/17, « De tes fils tu feras des princes sur toute la terre ». Psaume 18/44, « Yahweh a mis Israël à la tête de toutes les nations ».), et trois soudards quasi mercenaires, français d’origines arabe et noir, machines et viandes de guerre dressées à détruire leurs pays d’origine… mystères des équipes de think thanks de l’appareil de magouilles et propagande. Merah étant lui-même d’origine arabe par ailleurs (les mecs ont l’esprit bien alambiqués. Ils devraient arrêter de fumer la moquette, ou bien essayer le Sancerre ou le Pouilly fumé ou le Pinot noir d’Alsace).
Second acte Un enregistrement audio et vidéo d’un
échange par téléphone portable ayant eu lieu pendant
le siège entre Merah et une de ses relations, est mis en circulation,
aussi sous la forme de sa transcription. On y voit même Merah se
filmer lui-même avant de mourir (Merah confond la réalité
même à son moment ultime avec les reality show, faisant la
preuve là d’une totale aliénation).
Troisième acte L’un des parents des trois soudards dessoudés porte plainte et prend l’agent Collard comme avocat. Une riche idée que de prendre ce Collard (qui donc la leur a soufflée ???). Collard dont tout le vice utile justement consiste à gérer dans l’intérêt de la raison d’Etat les affaires qui gênent ce dernier (voir son intervention dans l’affaire Allègre, et l’avis sur Collard du gendarme qui était en charge de l’enquête, auteur du livre « Homicide 31 ». Dommage, on n’a pas vu apparaître le Collard dans la procédure de l’assassinat d’Etat du juge Borrel à Djibouti. Il est vrai que la plaignante est elle-même magistrate et sait de quoi il en retourne avec ce genre de zig), donc un avocat de confiance pour les services, une sorte d’ « agent noir ». Il est vrai que dans ce genre de cas, le danger immédiat vient des familles et des proches des victimes, qui pourraient se poser des questions intelligentes et devenir vite incontrôlables, et surtout très difficilement muselables (on ne va quand même pas aussi éradiquer préventivement les familles et les proches, cela risque de paraître louche, d’encombrer les morgues et les cimetières, et surtout d’accroître à l’infini l’étendue des troubles impossibles à prévoir et à juguler). Alors, il y a la solution classique et efficace du maître-traître professionnel, qu’est l’avocat des services, espèce qui prospère grâce à la méconnaissance de la réalité judiciaire et politique des gens simples et affaiblis par les épreuves et le chagrin, comme le sont ceux de la famille de la victime de ces crimes en série attribués au Merah de service, le djihadiste porte-chapeau, le porte-turban décérébré salafiste-wahhabite-takfiriste comme savent en fabriquer en série la DCRI, le Qatar, l’Arabie saoudite, la CIA, la DGSE, le MI6, le Mossad et autres.
Et ensuite, sort un autre enregistrement audio
et sa transcription, du fameux échange téléphonique,
quasi identique au précédent, mais juste un peu caviardé.
Il ne lui manque pas grand-chose, seulement les passages dérangeants
(on n’y entend plus les propos selon lesquels Merah ne comprend
rien à ce qui lui arrive, dit n’avoir rien fait qui justifie
ce qui se passe et autres).
Depuis l’Algérie, la famille de Merah, le porte-burnous de la DCRI et d’Al Qaida, annonce qu’elle porte plainte pour assassinat et prend un avocat (sans doute un agent noir local). Maintenant, on peut donc constater la participation à l’embrouille Merah des services algériens, de mèche sans aucun doute avec les services français. Comme on dit, pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, et là où il y a à manger pour un il y a à manger pour tous.
Le député Mamère, réputé être l’un des chevaliers blancs non corrompu de la classe politique française (qui tient le rôle du Monsieur Propre, du nettoyeur à sec des costard cravates de ses collègues), classe politique qui elle n’existe que par la corruption et l’argent des lobbys qu’elle sert, qui se fout du peuple dont cette classe mime la représentation, Mamère en tant que chevalier en blanc (comme son collègue Montebourg, Mamère n’est pas le seul à porter l’habit blanc), qui malgré ce noble habit est un pur politicien professionnel et de carrière et à vie et j’en passe, trouve la solution à l’affaire Merah, qui dégage une persistante, intrigante, pernicieuse, suintante et imprégnante odeur de charogne avancée, en demandant la création d’une commission d’enquête parlementaire, car comme tout le monde le sait, le meilleur moyen d’enterrer quoi que ce soit, dont la vérité et les rumeurs et humeurs malodorantes, c’est le fameux service des pompes funèbres spéciales de l’Assemblée des lobbys dite « nationale » dénommé « commission parlementaire ».
Conclusion en forme de question Ca va t’y péter pour quand la bombe Merah ?
Réponse Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac Tic Tac …
Conclusion en forme de réflexion A tout bien y penser, l’affaire Mohamed Merah rappelle l’affaire Michel Lajoye, en infiniment plus sanglant. Et l’affaire Michel Lajoye a duré plusieurs dizaines d’années, et pourrait encore bien ressortir. Mais au sujet de Lajoye, les services étrangers concurrents de ceux de l’Otanie n’étaient pas dans la danse et il n’y avait pas Internet (pour encore combien de temps d’ailleurs ?).
Note finale : Il est très probable que l'affaire Merah a été aussi organisée pour resolidariser les juifs français autour de leurs dirigeants et des organisations dites "représentatives", cela afin de consolider par la peur cette communauté, ce qui est un travail qui est sans cesse à poursuivre, et à pousser les quelques rares têtes vides et brulées susceptibles de le faire, à emmigrer en Israël, pour compenser les juifs qui fuient chaque année et qui sont de plus en plus nombreux à le faire, cet Etat.
Michel Dakar, Villequier, le 6 novembre 2012
Sommaire des annexes au texte : Annexe 1 : Copie de la page du site aredam.net : http://www.aredam.net/michel-lajoye.html Annexe 2 : Copie de la page du site aredam.net : http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html
Annexes :
Annexe 1 : Copie de la page du site aredam.net : http://www.aredam.net/michel-lajoye.html
Jeudi, 13 Avril 2006 Pour ceux qui ne connaîtraient pas ce scandale juridique, il convient de le situer dans son contexte. Dans les années 1980, Michel Lajoye, qui est alors un jeune militant d'extrême-droite manipulé par la DPSD (un « service » dépendant de l'Armée), commet un attentat parfaitement nul contre un bar fréquenté par des maghrébins. L'explosion [Ndlr : il n’y a même pas eu d’explosion, la bombe que portait Lajoye était factice] est sans aucune conséquences autres que matérielles [Ndlr : aucun dégât matériel] : du plâtre sur le sol et des tables renversées, pas même un blessé léger, rien ! Mais Michel Lajoye passe en procès au lendemain d'une autre provocation : celle de Carpentras. Dans le climat d'hystérie qui règne alors il est condamné … à la prison à vie, avec une peine incompressible de 18 ans ! En prison, Michel Lajoye a mûri, il a compris qu'il avait été manipulé et que les immigrés n'étaient pas « l'ennemi », mais, comme nous mêmes, des victimes de la société marchande, déracinante, cosmopolite et apatride. Il a aussi acquis des connaissances lui permettant d'exercer une profession dans l'informatique. Il y a peu de temps, arrivant au terme de sa période de sûreté, il a donc déposé une demande de libération conditionnelle. Il va sans dire qu'il répondait à tous les critères nécessaires : aucun risque de récidive, un CDI obtenu dans une entreprise importante et un logement assuré, permettant une réinsertion sans problème aucun. Mais, depuis la « Loi Perben II », il est d'usage, avant toute libération conditionnelle, de demander l'avis des victimes. Comme, en l'espèce, il n'y avait pas de victime, c'est à la Ligue des droits de l'Homme et à la Licra que l'on a demandé leurs avis. Si la Ldh a déclaré ne pas avoir de remarques à faire sur cette libération, la Licra a, par contre, fait savoir qu'elle y était totalement opposée car Michel Lajoye était … antisémite (rappelons qu'il est en prison pour un attentat anti-maghrébin et non pas anti-juif) ! Naturellement, les juges d'application des peines ont suivi les « conseils » de cette ligue de vertu et refusé la libération conditionnelle. Michel Lajoye a décidé de faire appel, mais il est sans illusion car il sait que quand la Licra ordonne, la justice obéit… Pour conclure, il n'est pas inutile de comprendre que c'est la prise de conscience politique de Michel Lajoye qui fait qu'il reste en prison. Serait-il resté un lecteur de Guillaume Faye et de Pierre Vial, un « identitaire » islamophobe et anti-arabe, la Licra n'aurait rien trouvé à redire à la libération d'un de ses alliés objectifs. Mais voilà, Michel Lajoye a compris… Quand il a écrit un livre sur ses années de prison, il l'a fait préfacer par Carlos et, derrière les barreaux, il s'est lié avec des membres de la branche lyonnaise d'Action directe. Il est donc passé dans le camps des « salauds absolus » et de ce fait il doit rester en prison. Cette prise de conscience de Michel Lajoye explique aussi qu'aucun média des partisans de « la guerre ethnique » n'ait jamais pris sa défense ni appelé à le soutenir. Cela a pour nous une conséquence : si Michel
Lajoye n'était pas des nôtres quand il a commis un acte fort
éloigné de notre combat, il l'est devenu par la suite, par
la réflexion. Nous devons donc lui montrer au minimum notre soutien
en contribuant au fonds qui permet de couvrir les frais de sa défense
actuelle
Annexe 2 : Copie de la page du site aredam.net : http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html Du judaïsme au sionisme, par des extraits de la Torah (Deuteronome et Psaumes), et des citations d'auteurs, d'idéologues et de chefs d'Etat sionistes, où, de la perpétuation à travers les siècles d'une idéologie de la haine, du racisme, de la xénophobie, du génocide, de l'accaparement, et de la domination.
1 - Extraits du Deuteronome et des Psaumes. 2 - Citations de sionistes célèbres. 1 - Extraits du Deuteronome et des Psaumes : Deuteronome 6 – 10 à 6 – 11, Deuteronome 7 – 1 à 7 – 4, Deuteronome 7 – 6, 15 – 1 à 15 - 3, Deuteronome 15 – 6, Deuteronome 17 – 15, Deutéronome 10/15, Deutéronome 14/2, Deutéronome 1/13, Deutéronome 7/3, Deutéronome 7 – 16, Deutéronome 7 – 20, Deuteronome 11 – 23, Deuteronome 12 – 29, Deutéronome 7 - 24, Psaume 45/17, Psaume 18/44, Deutéronome, 12/79, Deutéronome 28/9 à 28/13 : Deuteronome 19 – 1, Deuteronome 20 – 10 à 20 –
16, Deuteronome 23 - 20, Deuteronome 26 – 18 à 26 –
19, Psaume 2, 7 à 9 Psaume 47, 17 et 18
2 - Citations de sionistes célèbres : « Nous devons expulser les arabes et prendre
leur place ». « Nous devons tuer tous les palestiniens
à moins qu’ils ne soient résignés à
vivre en tant qu’esclaves ». « « Nous devons utiliser la terreur,
les assassinats, l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt
de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée
de sa population arabe ». « La seule solution est Eretz Israel (Grand
Israël), ou au moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à
l’ouest du Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place
pour un compromis sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village,
pas une seule tribu ». « Une terre sans peuple avec un peuple sans
terre », Après avoir visité la Palestine en 1891, l’essayiste hébreu Achad Ha-Am a commenté : « A l’étranger nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque vide ; que rien n’y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas acheter les terres qu’il désire. En réalité, la situation n’est pas ainsi. Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà cultivée ». « Comment pourrions-nous rendre les territoires
occupés ? Il n’y a personne à qui les rendre ».
« Il n’y a jamais rien eu de tel puisque
les palestiniens n’ont jamais existé ». « « Les palestiniens » seront
écrasés comme des sauterelles … leurs têtes
éclatés contre les rochers et les murs ». « Le sang juif et le sang des « goys
» (non-juifs) ne sont pas les mêmes ». « Chasser la population pauvre (les arabes)
au-delà de la frontière en lui refusant du travail. Le processus
d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être
mené discrètement et avec circonspection ». Description par Rabin de la conquête de
Lydda, après l’achèvement du plan Dalet. « Nous
réduirons la population arabe à une communauté de
coupeurs de bois et de serveurs ». « Les palestiniens sont comme les crocodiles,
plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent … ».
« Les palestiniens sont des bêtes
qui marchent sur deux jambes ». « Il y a une énorme différence
entre nous (les juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité,
mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la
vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c’est comme
si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple
qui n’appartenait pas à notre continent, à notre monde,
qui appartenait véritablement à une autre galaxie ».
« Nous devons tout faire pour nous assurer
qu’ils (les palestiniens) ne reviennent pas » … «
Les vieux mourront et les jeunes oublieront ». « Lorsque nous aurons colonisé le
pays, il ne restera plus aux arabes que de tourner en rond comme des cafards
drogués dans une bouteille ». « La thèse d’un danger d’un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu’Israêl se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre ». Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972. « C’est le devoir des leaders israéliens
d’expliquer à l’opinion publique, clairement et courageusement,
un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec
le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a
pas de sionisme, de colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction
des arabes et l’expropriation de leurs terres ». « La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif ultime qui est la création de l’Empire israélien ». Moshe Dayan, ministre israélien de la défense et des affaires étrangères, 12 février 1952 Radio Israel. « Des villages juifs ont été
construits à la place des villages arabes. Vous ne connaissez pas
le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de
géographie n’existent plus. Et non seulement les livres,
mais les villages n’existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul,
le Kibbutz Gevat a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé
Hanifas et Kafr Yehoushua celle de tel Shaman. Il n’y a pas un seul
endroit dans ce pays qui n’a pas une ancienne population arabe ».
« … si les gens s’habituent
à cette donnée et que nous soyons réellement obligés
d’accepter le retour des réfugiés, il pourrait être
difficile pour nous, quand nous seront confrontés à des
hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne vivaient
pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu’il arrive,
il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre …
sinon ». « Une réconciliation volontaire avec
les arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur.
Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà,
vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche
personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation,
parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible
toute tentative de détruire ou d’empêcher cette colonisation,
la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE.
Le sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela
qu’elle est dépendante d’une force armée. Il
est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il
est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien
je termine le jeu de la colonisation. « La colonisation sioniste doit être
exécutée contre la volonté de la population autochtone. « Entre nous soit dit, il doit être
clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays.
Nous n’atteindrons pas notre but si les arabes sont dans ce pays.
Il n’y a pas d’autres possibilités que de transférer
les arabes d’ici vers les pays voisins - tous. Pas un seul village,
pas une seule tribu ne doit rester. « Israël aurait dû exploiter
la répression des manifestations en Chine lorsque l’attention
du monde s’est focalisée sur ce pays, pour mettre à
exécution des expulsions massives parmi les arabes des territoires
». « A-t-on vu un seul peuple abandonner son
territoire de sa propre volonté ? De la même façon,
les arabes de Palestine n’abandonneront pas leur souveraineté
sans l’usage de la violence ». « Si j’étais un leader arabe,
je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal,
nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis,
mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il
y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais
était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose
: nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter
? « Nous déclarons ouvertement que
les arabes n’ont aucun droit de s’établir sur ne serait-ce
un seul centimètre du Grand Israël … « Si l’assemblée générale
devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de
l’armistice (frontière d’avant juin 1967), Israël
refuserait de se plier à cette décision ». « Chaque fois que nous faisons quelque chose,
vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela … « Parmi les phénomène politique
les plus inquiétants de notre temps, il y a l’émergence,
dans l’Etat nouvellement créé d’Israël,
d’un parti de la Liberté (Herut), un parti politique très
proche, dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique
et son appel social, des nazis et des partis fascistes. Begin et Yitzhak
Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus premiers ministres
». « La carte actuelle de la Palestine a été
dessinée sous le mandat britannique. Le peuple juif possède
une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer
de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate ». « Nous devons affronter la réalité
qu’Israël n’est ni innocent, ni rédempteur. Et
que lors de sa création et de son expansion, nous les juifs avons
créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population
de réfugiés dans une diaspora ». « Quand nous (disciples du judaïsme
prophétique) nous sommes retournés en Palestine …
la majorité des juifs, ont préféré apprendre
d’Hitler plutôt que de nous ». « Le pouvoir légal d’Hitler
était basé sur le « décret de loi »,
qui était voté tout à fait légalement par
le Reichstag et qui permettait au Führer et à ses représentants,
en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage juridique,
de publier des décrets ayant pouvoir de loi. Exactement le même
type de loi votée par la Knesset (le parlement israélien)
juste après la conquête de 1967, accordant au gouvernement
israélien, et à ses représentants le pouvoir d’Hitler,
qu’ils utilisent de façon hitlérienne ». « Nous sommes sortis, accompagnés
par Ben Gurion. Allon a répété sa question : «
Que devons-nous faire avec la population palestinienne ? » Ben Gurion
a levé sa main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les
» ». A l’origine :
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