Site internet http://www.aredam.net
Voir les nouveautés sur le site : http://www.aredam.net/divers.html
Titre de cette page :
1 - Affaire de pédocriminalité institutionnelle Karim Kamal, article du Nouvel Observateur n° 1640, du 11 avril 1996. 2 - Voici la version G o o g l e de la page mise
en cache de http://interpol-2004.site.voila.fr/page2.html extraite le
7 nov 2007 (ce site n'existe plus actuellement) : 3 - Article tiré du site politiquedevie.net
: Nota : article censuré le 27 juin 2012, sur demande de la famille, dans l'intérêt de la victime. 4 - Article tiré du site labanlieuesexprime.org
:
1 - Affaire de pédocriminalité institutionnelle Karim Kamal, article du Nouvel Observateur n° 1640, du 11 avril 1996. Nº 1640 SEMAINE DU JEUDI 11 AVRIL 1996 Nice: robes noires et ballets roses
Nice: robes noires et ballets roses Au cabinet de Me Grattirola, dans le quartier des musiciens à Nice, on l'appelle «le monstre». A l'origine, le monstre, c'est un banal dossier de divorce. Un dossier qui a tellement grossi qu’il remplit désormais une pièce entière... En janvier 1994, lorsque Miguel Grattirola a commencé à mettre le nez dans les querelles conjugales d'un de ses clients nommé Karim Kamal, ce jeune avocat spécialisé en droit civil était loin de se douter de ce qui l'attendait. Il ne pouvait soupçonner qu'il deviendrait un jour la bête noire des magistrats du palais de justice de Nice et l'accusateur dans une sombre affaire de ballets roses susceptible de mettre en cause une volée de robes noires. Tout commence en juin 1993 par le divorce très conflictuel de Karim Kamal, 33 ans, d’avec Marie-Pierre Guyot, 35 ans. La mère obtient la garde de Lauriane, 4 ans. Le père, défendu alors par Me Pasquini, l’actuel ministre des Anciens Combattants, voit son droit de visite et d'hébergement réduit à quatre jours par mois. Jusque-là rien d'exceptionnel. Débutent les allées et venues ordinaires d'une enfant du divorce entre les domiciles de ses parents. Et une affaire qui empoisonne aujourd'hui les milieux judiciaires de la Côte d'Azur. Une affaire qui révèle non seulement le curieux fonctionnement des instances chargées de protéger l'enfance en danger, mais aussi l’existence probable d'un réseau de pédophilie impliquant des juges, des avocats et des policiers niçois ! C’est du moins ce qu’affirme un rapport accablant du Comité international pour la Dignité de l'Enfant (Cide), basé à Lausanne. Retour en octobre 1993, soit quatre mois après le divorce du couple Kamal. Lauriane se plaint à son père. Elle dit que sa mère et le nouveau compagnon de celle-ci, Philippe D., la frappent. Karim Kamal a déjà remarqué des hématomes suspects sur le corps de sa petite fille. Un médecin généraliste constate que les bleus pourraient être la conséquence de sévices. Kamal porte plainte auprès du tribunal des enfants. Le mois suivant, en novembre, le docteur Santini-Malek, psychologue-expert commise par le juge des enfants, Mme Dorcet, rend ses conclusions. Elle conseille de «confier Lauriane à son père avec qui elle est plus sereine et plus sécurisée». En vain. La plainte de Karim Kamal est classée. Comme le seront toutes celles qu'il déposera, par la suite pour «mauvais traitements et excitation à la débauche» en dépit de trois certificats médicaux et pas loin d'une dizaine d'expertises psychologiques particulièrement alarmantes. «Tu sais, il me font des choses pas bien, Philippe et maman, explique Lauriane au docteur Gilles Suquet, médecin légiste et expert auprès des tribunaux, consulté par Karim Kamal. Philippe met son kiki dans la zézette à maman. Ils sont tout nus et ils me disent: "Regarde"! Philippe me dit: je vais te mettre quelque chose dans le cucul.» Au vu de cette première expertise, qui date de novembre 1993, Karim Kamal décide de solliciter la garde de son enfant. Il ne sait pas encore le plus grave, que Lauriane a confié à sa grand-mère paternelle: Philippe la harcèlerait sexuellement et la contraindrait à participer à des «fêtes» avec des «gens méchants», portant des masques. Des «juges», insiste-t-elle, hommes et femmes, dont elle cite certains noms et qui la forceraient, elle et d'autres enfants, à leur «toucher le zizi». «J'étais horrifiée, se souvient Laeticia Kamal-Pasqualini, ancienne institutrice d'origine corse et épouse d'un professeur d'université marocain, aujourd'hui à la retraite. Ces révélations étaient pour moi tellement insoutenables que je lui ai demandé de se taire et de ne plus en parler.» Me Miguel Grattirola, lui, prend immédiatement le sort de la petite fille au sérieux. Il récupère le dossier de Karim Kamal, après que celui-ci se fut fait débouter, début janvier 1994, de sa demande de garde. Pourquoi? Parce que quelques jours avant l'audience la petite s'est rétractée devant le juge des enfants de Nice: «C'est papa qui m'oblige à dire du mal de maman.» Brutalement, l'étau judiciaire se resserre sur Karim Kamal. Le papa est poursuivi pour «subornation de témoin». Pourtant aucune confrontation de l'enfant avec ses parents, aucune contre-expertise psychologique n’ont jamais été organisées pour tenter de découvrir la vérité. «Tout se passait, comme s'il y avait une intelligence supérieure, qui organisait la privation des droits de cet enfant, dit aujourd'hui Me Grattirola. Dans les cas de maltraitance, les textes permettent d'agir de toute urgence pour protéger l'enfant et le placer dans un cadre indépendant de toutes pressions. Or, pour Lauriane, personne ne bougeait. Les appels au secours du père étaient systématiquement ignorés.» Lauriane habite toujours chez sa mère en ce 2 avril 1994 quand Karim Kamal apporte à Me Grattirola le certificat établi par le professeur Quatrehomme. Ce médecin légiste de renommée internationale constate pas moins de quinze hématomes «compatibles avec des coups» sur le corps de Lauriane. Il confirme par ailleurs la vraisemblance de ses propos concernant des abus sexuels commis sur elle par des adultes. Lauriane n'a pas encore osé reparler des «fêtes» en compagnie de «juges». Ce 2 avril, donc, Miguel Grattirola décide d'écrire à René Salomon, président du tribunal de grande instance de Nice. L’avocat veut alerter le magistrat sur l'attitude incompréhensible de ses services. Résultat? Cinq jours plus tard, au mépris des règles de la profession, le bâtonnier de Nice, Me Capponi, intime à son confrère l'ordre d'abandonner la défense de Karim Kamal. Motif? Ce monsieur persiste à mettre en cause l'honorabilité des magistrats. «Devant le président Salomon qui, à mon plus grand étonnement, assistait à l'entretien, raconte Miguel Grattirola, le procureur de la République en personne, Paul-Louis Auméras, m'a menacé au cas ou je refuserais d'obtempérer, de me "poursuivre pénalement, et sous n'importe quel prétexte".» Privé de son défenseur, harcelé par les multiples plaintes en justice déposées par son ex-épouse et celles-ci, comme par hasard toutes suivies d'effets, Karim Kamal décide d’enlever Lauriane et de se réfugier aux Etats-Unis. Dès leur arrivée, mi-avril 1994, Kamal conduit sa petite fille chez une psychologue clinicienne réputée, Nicole Karman-Gilbert, qui se livre, durant six semaines, à une nouvelle expertise : l'enfant y réitère, cette fois officiellement, ses accusations contre les «méchantsjuges». Ainsi que l'y oblige la loi américaine, Nicole Gilbert fait une dénonciation auprès du département des mineurs. Karim Kamal obtient la garde de sa fille. Interdiction est faite à la mère d'approcher l'enfant. Est-ce la fin du calvaire de Lauriane? Eh bien non. Le 24 juin, munie d'un mandat d'arrêt international délivré à Nice contre son ex-mari et assistée d'un commando de dix personnes, dont le vice-consul de France à Los Angeles, Marie-Pierre Guyot récupère Lauriane de force et la ramène en France via le Mexique. A Nice, dans les mois qui vont suivre, Karim Kamal sera successivement déchu de ses droits parentaux, condamné par défaut à six mois de prison ferme pour «dénonciation calomnieuse», plus un an pour «enlèvement d'enfant». De son côté, Me Grattirola qui a accusé – sans toutefois les nommer – certains magistrats de couvrir un réseau de pédophilie, voire d'y participer eux-mêmes, écope d'un an de prison avec sursis pour «outrage à magistrat». L'affaire aurait pu en rester là si un juge du tribunal des enfants de Grasse n'avait enfin décidé de faire son travail. Saisie en juin 1995 par les grands-parents Kamal, Marie-Agnès Murciano reprend l'enquête de zéro. Le tribunal des enfants de Nice refuse de lui transmettre le dossier de Lauriane qui croupit aux archives? Qu'à cela ne tienne! Elle accumule les pièces à conviction, convoque nombre de témoins, y compris les médecins-experts qui jusqu'alors n'avaient jamais été entendus. Et huit mois plus tard, le 29 février dernier, elle rend sa décision: une ordonnance aux fins de placement provisoire de Lauriane dans un foyer de la DAMS, exécutoire dès le lendemain. Le foyer Inch'Allah de Cap-d'Antibes attend toujours l’enfant. Le 1er mars, Marie-Pierre Guyot a disparu avec sa fille sans laisser d'adresse. Et c'est au tour du juge Murciano de rencontrer quelques déboires. Elle devra patienter trois jours pour obtenir qu'un «avis de recherche» soit enfin lancé. Cela fait maintenant six semaines que la mère et l'enfant se sont évanouies dans la nature et qu'aucun mandat d'arrêt n'a été délivré. Tout paraît donc pour le moins bizarre dans cette méchante affaire. L'attention, d'abord, qu’ont semblé lui porter les deux plus hauts magistrats du TGI de Nice, son président et son procureur. Est-ce par fidélité à la mémoire de leur éminent confrère Jean-Louis Guyot, avocat général de la Cour de Cassation et père de Marie-Pierre, qui s'est mystérieusement suicidé il y a six ans? Inimaginable. Alors pourquoi cet attentisme criminel des services de protection des mineurs de Nice? Pourquoi s'est-on acharné à bafouer les droits d'un père inquiet, à juste titre, pour sa petite fille? Enfin, pour quelles raisons a-t-on cherché à museler un avocat défendant normalement la cause de son client? Parce qu'il crie la vérité? A toutes ces interrogations une seule réponse: mystère... Et les plus folles rumeurs qui courent dans les couloirs du palais. Mais le Cide, de son côté, ne s’est pas contenté de rumeurs. Les cas de deux autres enfants, dont le dossier semble avoir été traité avec la même indifférence par la justice niçoise, ont été soumis à ce très sérieux organisme suisse de protection de l'enfance. Il s’agit de Florian, 8 ans aujourd'hui, et Aurore, 10 ans, tous deux enfants du divorce, tous deux victimes d'abus sexuels dénoncés au tribunal de Nice, tous deux réfugiés actuellement avec leurs mères aux Etats-Unis. Lauriane, Florian et Aurore ne se sont, a priori, jamais rencontrés. Mais ils ont tous raconté la même histoire aux psychologues américains: ces parties fines auxquelles ils étaient conviés, en compagnie d'autres enfants et d'adultes nus et masqués, parmi lesquels les fameux «juges». C'est dans un climat pestilentiel pour le petit
milieu judiciaire de Nice que le nouveau procureur de la République,
Jean-Jacques Zirnhelt, a pris ses fonctions au mois de novembre. Il semble
que ce procureur se soit résolu à taper du poing sur la
table. Fin décembre il a digilenté, auprès du SRPJ
de Marseille, l'ouverture d'une enquête préliminaire afin
de vérifier l'existence d'un prétendu réseau de pédophiles.
Mais pour bon nombre d'observateurs locaux, cette décision n'est
qu'un effet de manche. «D'ici à trois mois l'enquête
sera classée, dit un journaliste niçois. Je doute qu'on
apprenne quoi que se soit. Nice est la ville où les hommes politiques,
les flics et les magistrats font les carrières les plus longues.Tout
le monde se connaît et se tient par la barbichette.» Ce sont
peut-être les Suisses qui mettront le pied dans la fourmilière.
D'ici à la fin de cette semaine, le Cide va saisir le garde des
Sceaux pour «dysfonctionnement de la justice». Jacques Toubon
sera ainsi contraint de demander une enquête de l'Inspection générale
des Services de Justice. Les «méchants» seront démasqués.
A moins que cette sale affaire de moeurs ne soit définivement couverte,
comme le pense un grand avocat du barreau de Nice, par le «secret
d'Etat». Le Nouvel Observateur
2 - Voici la version G o o g l e de la page mise en cache de http://interpol-2004.site.voila.fr/page2.html extraite le 7 nov 2007 (ce site n'existe plus actuellement). Descriptif étendu du phénomène de la pédocriminalité internationale.
Les Crimes contre l’Enfance sont des Crimes contre l’Humanité. Depuis la transmission à l’OIPC – Interpol des premiers signalements entre les 24 mai 1998 et 26 juillet 1999, les affaires de « pédophilie » organisée et d’éventuels réseaux internationaux tant sur l’Internet que sous couvert d’orphelinats et autres institutions n’ont cessé de défrayer la chronique. Au Portugal, depuis 2002, l’affaire « Casa Pia », premier réseau d’orphelinats du pays, met en cause des hommes politiques de tout premier plan, le nom du Chef de l’Etat a même été prononcé, un ancien ambassadeur près l’UNESCO, des étoiles du sport et des médias. L’affaire Karim Kamal, en 2001, a connu une phase spectaculaire avec l’obtention de l’asile politique aux Etats-Unis par ce Français exilé en Californie depuis 1994 en raison de l’implication alléguée de sa petite fille, 4 ans à l’époque, dans un hypothétique réseau pédophile qui impliquerait sur la Côte d’Azur des magistrats et auxiliaires de justice. En 2002, une vingtaine de mères notamment françaises cherchaient refuge en Suisse pour des raisons similaires, mais décalées géographiquement, à celles de Karim Kamal. Fin 2002, la Presse a fait grand cas de l’affaire de François Lefort des Ylouzes, prêtre – médecin, impliqué par la justice dans le viol de jeunes africains au Sénégal et en Mauritanie où ce héros français de l’humanitaire entretenait des maisons d’enfants des rues avec le concours d’institutions prestigieuses comme Médecins du Monde, Caritas International, les œuvres de l’Ordre de Malte. En même temps, grâce au quotidien Le Parisien notamment sous la plume de la journaliste Nelly Terrier était révélée l’implication parallèle de ressortissants français dans des affaires de pédophilie au Cambodge et au Népal dans le cadre de l’aide à l’enfance des rues. Courant 1999, suite à l’arrestation le 13 mai du Français Jean- Jacques H., à Katmandou, Népal, à la tête de la maison des enfants des rues « Les Enfants de Chhauni », France Région 3 et France 2, deux chaînes publiques françaises, avaient diffusé deux reportages connexes sur les enfants des rues népalais victimes des prédateurs « pédophiles » occidentaux dont Jean- Jacques H,. Le partenaire local de l’ONG française, « Bal Mandir », n’est autre que le principal orphelinat d’Etat agréé pour l’adoption internationale. Association des Hauts-de-Seine sise à Antony, « Les Enfants de Chhauni » parrainaient depuis 13 ans une maison d’enfants des rues à Katmandou, Népal, grâce à l’action d’un Français, Jean-Jacques H., salué comme un quasi héros de l’humanitaire par le fameux « Guide du Routard » (en 1996) en France et au Népal comme un exemple de défense des droits de l’enfant par l’INSEC, officine népalaise de promotion des « Droits de l’Homme ». Les « Enfants de Chhauni » sont au cœur du scandale « pédophile » qui éclate à Katmandou à partir du 13 mai 1999 avec l’incarcération de leur directeur – bienfaiteur accusé d’« actes barbares » ou « contre –nature » sur certains de ses protégés mineurs. Une victime révèle à la Presse comment le « pédophile » le bâillonnait pour étouffer ces cris pendant qu’il le sodomisait nuitamment. Par la suite, un Australien, Christopher Fraser Jenkins, directeur de la maison des enfants des rues « La Lumière des Etoiles » et une jeune Française de 19 ans, Anne Charlotte Laure de Mailly, enseignante d’anglais dans un établissement scolaire, étaient successivement mis sous les verrous. C’est alors que la Presse révéla que, de sources policières et attribuées à «l’OIPC - INTERPOL », la Police détiendrait les preuves d’agressions sexuelles sur mineurs dans une dizaine d’institutions enfantines de la Vallée de Katmandou et placées aux mains de « pédophiles » occidentaux. Née en 1996 dans l’esprit du public avec l’affaire « Dutroux » en Belgique, l’idée d’un « réseau international de pédophilie » filtra aussi à Katmandou, Népal. Cette idée évoquée en 1996 – 1997, notamment dans le Kathmandu Post, après l’implication de ressortissants européens, un Anglais, un Danois et deux Polonais dans des affaires identiques ou similaires, ressurgit en 1999 avec force. Depuis les années 80, les affaires « Le Coral » en France et « Spartacus » en Grande – Bretagne, l’hypothèse du « réseau organisé international » s’était imposée à certains enquêteurs et magistrats. C’est, d’ailleurs, la révélation du réseau homosexuel – pédophile « Spartacus » qui lance François Lefort des Ylouzes sur la trace des pervers organisés. En 1996, avec Marc Dutroux, certains pointèrent des connexions très « huppées ». Plus récemment, un magazine allemand relayé par une feuille à sensation luxembourgeoise relata de prétendues orgies auxquelles auraient participé des têtes couronnées. La Presse « People » publia le portrait d’un haut dignitaire belge. Mais jusqu’à la très récente affaire « Casa Pia » au Portugal, l’hypothèse d’un « réseau » s’adonnant à la pédophilie dans les hautes sphères de la société confinait au mythe ou à la cabale. Pourtant ni Henri de Montherlant ni son ami l’écrivain français d’origine russe Gabriel Matzneff n’ont jamais caché leurs penchants. Nombre d’intellectuels français non plus. Quant à Gabriel Matzneff qui décrit en détail les agressions sexuelles auxquelles il se livre sur des mineurs de 15 ans au Maghreb, en Asie et en France, il n’a jamais été inquiété. En janvier 1977, deux hommes politiques français, Messieurs Jack Lang et Bernard Kouchner, futurs ministres socialistes du Gouvernement de la République française, prirent publiquement partie en faveur de trois « pédophiles » des Hauts-de-Seine en Ile-de-France. Condamnés par la Cour des Assises des Yvelines à Versailles, les trois protagonistes étaient déjà à l’époque des cinéastes amateurs d’ébats sexuels entre mineurs. En 1990, dans le cadre de l’affaire du Pasteur Joseph Doucé, le prêtre défroqué des « pédophiles » et « sexuellement déviants » enlevé à Paris puis retrouvé assassiné à l’ombre d’une forêt humide, on fit des gorges chaudes de l’implication de « hauts personnages de l’Etat », une filière qui aurait remonté jusqu’au Palais de l’Elysée. Le Ministre de la Justice démissionna. Le Ministre de l’Intérieur aussi mais pour prendre le portefeuille de la Défense. Proche du Chef de l’Etat de l’époque, un « haut personnage », dont le nom fut mentionné avec une certaine insistance, figure aujourd’hui parmi le comité de parrainage d’une prestigieuse institution onusienne dont le siège jouxte la non moins prestigieuse « Ecole militaire » de Paris. A la même époque, selon un journal local du Centre de la France, vingt mille clichés pédo-pornographiques étaient découverts par la police au domicile d’un prêtre au presbytère duquel un homme politique français de premier plan avait élu domicile pour des raisons électorales. Selon ses déclarations au journaliste et écrivain Bernard Violet, cet homme politique, futur Ministre des Affaires étrangères à partir de 1997, ignorait tout des activités pédophiles de son hébergeur qui ne tarda pas à décéder d’une crise cardiaque à sa sortie de prison préventive. Aujourd’hui, l’expansion hyperbolique sur l’Internet des « réseaux pédo-pornographiques transfrontaliers » paraissent constituer une suite logique au phénomène décelé il y a déjà plus de vingt ans de cela, car, derrière l’affaire « Le Coral » qui impliquait quarante à cent institutions pour handicapés mentaux légers dans le Sud de la France, le juge Salzmann, chargé de l’instruction, supputait l’action d’un réseau international d’échanges de clichés pédo-pornographiques notamment avec les Pays-Bas. Parallèlement, l’exploitation sexuelle des mineurs ne cesse de s’étendre sur le terrain. Le Sénégal a acquis une triste réputation dans le domaine du tourisme sexuel. Des organisations privées comme une certain « Fondation Jacqueline de Croÿ » affiliée au cercle flamand « Woerkgroup Morkhoven » font état sur l’Internet de sorte de « bordels d’enfants » notamment au Niger ou au Nigéria. Le 14 janvier 2004, l’association française « Le Bouclier » mettait en ligne un dossier qui, en Afrique, pointe le Maroc, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Niger, le Cameroun, Madagascar, Djibouti, l’Egypte comme impliqués dans un réseau international de trafic d’enfants et de trafic d’organes. Mais aucun preuve ou élément probant n’est apporté…. Le trafic d’organes d’enfants fait la « UNE » en 1993 lors que le professeur Schwartzenberg lance une alerte à la tribune du Parlement européen. Le Brésil est montré du doigt. Interpellé à ce sujet au Palais Bourbon, le Gouvernement français fera état du résultat négatif d’une enquête menée conjointement sur place, au Brésil, par l’OIPC – Interpol et la « Fédération internationale des Droits de l’Homme » qui n’ont découvert aucun élément matériel probant pour étayer la thèse d’un trafic d’organes d’enfants mené depuis ce pays. Une journaliste récompensée par le Prix Albert Londres pour son reportage télévisuel sur le trafic d’organes d’enfants en Amérique latine (Guatemala, notamment) en est rapidement privée suite à une campagne de dénigrement conduite, dit-on à l’époque, par un lobby américain très puissant. Pour les détracteurs de l’hypothèse de ce trafic, il ne s’agit que d’une légende urbaine parmi tant d’autres, un mythe. Finalement tout comme pour les contempteurs des pourfendeurs de « réseaux de pédophilie » : un mythe, une légende … En 1995, néanmoins, un document censément
entre les mains de la Commission des Droits de l’Enfant près
le Haut Commissariat des Nations unies aux Droits de l’Homme à
Genève, ferait état d’un trafic d’organes d’enfants
entre le Népal et l’Inde selon une source policière
népalaise haut placée. Du moins si l’on en croît
un excellent ouvrage de synthèse publié en 1998 aux Editions
du Cherche –Midi sous le titre « L’esclavage des enfants
» et préfacé par le président du Comité
français pour l’UNICEF du moment.
3 - Article tiré du site politiquedevie.net Nota : article censuré le 27 juin 2012, sur demande de la famille, dans l'intérêt de la victime. Affaire (....) : quand les plus hautes autorités policières et judiciaires de l'État français protègent activement des criminels pédophiles. Arrestation des auteurs et protection de la victime
ou démission de M. Dominique PERBEN ? Au moment où les grands media se font l'écho des turpitudes indignes de certains magistrats français (Toulouse, Bobigny, Versailles, Nîmes... Voir, par exemple, le Monde du 17 mai, page 10), les réseaux pédophiles travaillent en toute impunité, protégés qu'ils sont au plus haut niveau de l'État Français. Le 18 mars dernier, Politique de Vie a demandé à Monsieur Dominique PERBEN, Garde des Sceaux, d'assurer la protection de la jeune (....), victime depuis plusieurs années de violences sexuelles majeures (voir la présentation détaillée ci-dessous). Malgré une réponse du Chef de Cabinet Lionel RIMOUX en date du 2 avril dernier, à ce jour, 16 mai 2003, rien n'a été fait pour protéger la victime, alors que plus de trente acteurs socio-éducatifs, médicaux, policiers et judiciaires (voir ci-jointe, la "lettre aux acteurs" concernés) sont parfaitement informés des violences indiscutables subies par la jeune (....). Il faut dire que l'actuel Directeur de Cabinet de M. PERBEN, un certain Patrick HUBERT, fut autrefois le Directeur Adjoint du Cabinet de Jacques TOUBON, alors Garde des Sceaux ; et que ce même Jacques TOUBON protégeait alors, précisément, les pédocriminels agresseurs de la jeune (....) ... A votre avis, pourquoi magistrats honnêtes, policiers et autres acteurs - dont certains aujourd'hui menacés de mort, comme notre amie la violoniste bretonne Marie-Lise PEYRACHE - travaillent-ils autant qu'ils peuvent ces jours-ci avec Politique de Vie et les avocats de la famille de la victime pour protéger cet enfant ? Nous ne sommes plus dans un état de droit : les institutions judiciaires de l'état français sont utilisées par des réseaux mafieux de protection mutuelle. Le magistrat de Versailles mis en examen aujourd'hui pour une affaire indigne de pédophilie faisait précisément partie du Conseil Supérieur de la Magistrature à l'époque où, il y a quelques années, étaient sanctionnés certains magistrats trop curieux des turpitudes pédophiles de leurs collègues... Monsieur Dominique PERBEN, je crois qu'il serait raisonnable que vous présentiez rapidement votre démission à Monsieur le Premier Ministre. A moins que vous ne préfériez utiliser comme fusibles M. Jean-Louis MARIN, votre Directeur des Affaires Criminelles et des Grâces, ou encore Lionel RIMOUX ou Patrick HUBERT ?
2. Suite aux comportements très perturbés de (....), qui fait de nouvelles révélations mettant directement en cause sa mère, le père dépose plainte avec constitution de partie civile le 14 mars 2002. 3. La mère de (....), (....), mise en cause par sa fille, est connue sous le nom de (....). Elle est fondatrice de l'association " (....) " qui sera parrainée, financée, sponsorisée et dirigée par des cadres du Lion's Club International à partir de 98. C'est en qualité de Présidente de cette association de protection de l'enfance que (....) dite (....) lancera " L'appel à la reconnaissance des crimes contre l'enfance " lors d¹une conférence de presse le 12 mars 1998. Après avoir quitté (....), (....) va fonder successivement plusieurs associations dont (....). (....) est l'auteur du livre : (....) dans lequel elle dénonce les violences et les abus sexuels qu'elle a subis dans son enfance. 4. Mars 2002 - Maître Brigitte PLAZA, avocate du C.I.D.E. à Lausanne Comité International pour la Dignité de l'Enfant - prend contact avec le père de (....) et interpelle le Procureur de la République de Créteil. Le père de (....), (....), dénonce auprès de ce procureur la présence dans le dossier du substitut FRAGNOLI. Celui-ci avait été partie prenante, comme juge des enfants au TGI de Meaux, dans une procédure de divorce que M. (....) avait eu avec la mère de ses trois premiers enfants, dont il avait obtenu la garde. 5. Avril 2002 - Le Procureur de Créteil informe l'avocat du père que le substitut FRAGNOLI est évincé du dossier et que d'autres enfants victimes du même instituteur pédophile, (....), ami de la mère de (....), sont déclarés dans la même affaire. 6. (....) rejoint sa famille paternelle à l'occasion des vacances scolaires d'avril 2002 dans un état physique et psychologique préoccupant. Les dessins réalisés par (....) dans le cabinet du praticien sont tellement éloquents que le médecin réclame un examen médico-judiciaire de l'enfant. 7. L'Unité Médico-Judiciaire de l'hôpital de Lagny, dans laquelle le père se rend avec son enfant le (....), l'adresse au commissariat de police pour obtenir la réquisition du Parquet indispensable à la réalisation des examens. L'OPJ (....) reçoit le père et le capitaine (....), après avoir auditionné l'enfant, prend contact avec le parquet de Meaux. L'adjoint du Procureur, M. PAGEOT, avisé de l'identité de la mère de l'enfant, fait injonction à l'OPJ d'annuler la plainte déposée par le père et de mettre un terme immédiatement à sa présence et à celle de l'enfant dans le commissariat de police. Il évoque la relation intime connue des autorités de l'État qu'a la fondatrice de (....), (....), dite (....), avec (....), ancien Garde des Sceaux. Dans les minutes qui suivent, le capitaine (....) donne l'ordre de mettre un terme au dépôt de plainte, refuse que le père le signe et lui fait les reproches suivants : " Vous vous êtes bien gardé de nous dire que la mère de (....) est aussi la petite amie de M. (....). Je viens d'avoir l'information de l'adjoint au Procureur, M. PAGEOT. Veuillez reprendre votre fille et quitter notre commissariat sur le champ. Il y a déjà une procédure concernant cette affaire au parquet de Créteil qui a été classée sans suite le 3 septembre 2001. " 8. Août 2002 (....) part en vacances avec sa famille paternelle, qui fait étape dans un camping près de Rennes. (....) y rencontre Mme PEYRACHE, musicienne de l'orchestre de Bretagne, à qui elle confie son drame qui persiste. Mme PEYRACHE établi un témoignage très détaillé des violences sexuelles et autres subies par la jeune (....) du fait de sa mère et de son ancien instituteur, (....). L'enfant est entendue par le pédopsychiatre WISSE (CSAED du CHU de Rennes) qui fait immédiatement un signalement au Parquet de Rennes et conseille au père de renoncer à ses vacances en Espagne. 9. 21 août 2002 - De retour précipité à Paris pour être prise en charge par un pédopsychiatre au domicile du père, (....) est entendue par un Huissier de Justice, Maître Philippe FIX, qui note certains propos de (....) : " (....) et maman me réveillent la nuit. (....), il voulait que je lui suce le zizi, mais moi je ne voulais pas. Ma maman me donne des claques et puis ma maman des fois me mets des jouets dans la zézette et ça me fait très mal. Elle le fait souvent à Paris et en vacances. Une fois j'ai vu sortir du lait du zizi à (....). Elle le fait toujours maman. Ma maman, elle a aussi pris une grande photo quand (....) me touche la zézette. " 10. Sur les recommandations de l'Huissier de Justice, le père alerte le 22-08-02 le Procureur Général de la République, M. NADAL, ainsi que M. Le Président de la République, dans le but que la justice place l'enfant sous protection et provisoirement hors de tous contacts avec la mère et l'instituteur mis en cause. 11. Début septembre 2002, devant l'absence de réaction de la justice et la détresse de (....) à la perspective de retourner chez sa mère et malgré un nouveau signalement du Dr LOUVIGNE, pédopsychiatre à Paris, Mme PEYRACHE, Présidente de l'association KERJEANNE qui organise la découverte de la musique en milieu hospitalier et carcéral, décide de mettre en oeuvre les moyens de protéger et écouter (....) dans un hôpital spécialisé à BERLIN. (....) est ainsi placée hors de toutes influences de l'association (....), qui multiplie ses interventions auprès des praticiens pour discréditer la parole d'une enfant qui met en cause la fondatrice de l'association. 12. Un rapport de mission d'une société de protection rapprochée agrée par la Préfecture d'Ile et Vilaine établit que le père de (....) et ses trois enfants ont fait l'objet de menaces et de surveillances de la part d'inconnus non identifiés entre le 2 et le 6 septembre 2002, date à laquelle la mère venait d'être avertie du lieu d'hospitalisation de (....) par lettre AR du papa. 13. 10 septembre 2002 L'huissier de Justice qui a reçu le 21 août les déclarations de (....) délivre une signification de la sommation interpellative qu'il a établie à : M. le Procureur de la République, TGI de
Créteil, 14. Le 12 septembre 2002, c'est à dire au lendemain des significations faites par l'huissier Maître Philippe FIX auprès, notamment, des trois magistrats de Créteil concernés (significations avec constat de difficultés), le Doyen des Juges d'Instruction de Créteil, Mme J. AUDAX, signe une ordonnance de non-recevabilité de la plainte déposée le 14 mars par (....), alors que ce même juge avait signé une ordonnance de consignation le 27 mai 2002. 15. Le même jour, ce 12 septembre 2002, le père de (....), (....), est mis en garde à vue sur ordre du Parquet de Créteil puis interné / séquestré à l'hôpital de Meaux pour " aliénation mentale et dangerosité à l'égard d'autrui ". Cet internement est justifié par des certificats établis par le Dr MAHÉ de Meaux (en date du 11 septembre) sur la base d'un arrêté du 12-09-02 signé par (....), maire de la commune de (....) ((....)), confirmé par un arrêté préfectoral signé le 13-09-02 par le Préfet de Seine-et-Marne et par délégation, par le Secrétaire Général de la Préfecture, Jean-François SAVY. 16. Les (....) plus grands enfants de (....), père de (....), se retrouvent seuls, alors qu'ils sont élevés par leur père depuis 10 ans et que sa capacité éducative n'a jamais été remise en cause. Le Procureur de Melun ordonne leur placement provisoire chez un tiers en attendant que le juge des enfants ne statue sur leur sort. 17. Le père ayant reçu une convocation pour le 16 septembre du juge des enfants, qu'il avait lui-même saisi, il décide de faire présenter (....). En l'absence du père (interné), (....) sera entendue par le juge, qui décidera de la rendre à sa mère. 18. Le 23 septembre 2002, les médecins psychiatres du service de psychopathologie adulte de l'hôpital de Lagny demandent l'abrogation de l'internement de M. (....). Le 24 septembre, le Dr Muriel FISCHMAN-MATHIS, expert auprès de la Cour d'Appel, désignée par le juge d'instruction GERVILLIE du TGI de Meaux rend un rapport qui dément de façon catégorique les motifs d'aliénation mentale et de dangerosité invoquées par les autorités préfectorales et le Parquet de Melun pour justifier l'internement de M. (....). Le 27 septembre, le père retrouve ses grands enfants, suite à un arrêté préfectoral du 26-09 qui lève l'internement d'office. L'ordonnance du Procureur de la République de Melun, qui plaçait les enfants chez un tiers, est levée par le juge des enfants de Meaux le 30-09. 19. Octobre 2002 La jeune (....) réclame inlassablement d'être avec son père, ses soeurs et son frère. Compte tenu de l'expertise psychiatrique de (....) et de l'abrogation de l'internement, les magistrats de Créteil mis en cause dans le dossier font ordonner une mise en examen et un contrôle judiciaire de (....) par le juge d'instruction du TGI de Meaux, M. GERVILLIE. Celui-ci interdit en outre au père de (....) tout contact avec celle-ci, sauf autorisation du Juge des Enfants de Créteil. 20. Alerté sur cette affaire, M. Le Président de la République a transmis le dossier à l'actuel Garde des Sceaux, M. Dominique PERBEN. Le 21 septembre 2002, M. Jean-Michel BOURLES, Adjoint au Chef de Bureau des Politiques Pénales Générales et de la Protection des Libertés Individuelles (Sous-Direction de la Justice Pénale Générale, Direction des Affaires Criminelles et des Grâces) signait un courrier déclinant toute compétence du Ministre de la Justice à intervenir dans ce dossier. 21. Les personnes impliquées dans cette affaire affirment que la mise en cause de M. (....) par le Procureur Adjoint de Créteil n'a pas favorisé la prise en compte des intérêts de l'enfant (....), pas plus que de ceux des autres enfants victimes dans cette affaire du même instituteur pédophile, dont la jeune demi soeur de (....), (....). (....), ancien Garde des Sceaux, personnalité politique influente proche du Président de la République actuel, est membre du Lion's Club International de Paris 13ème, qui contrôle et finance l'association (....) dont la mère de (....) est la fondatrice. Christian COTTEN L'ensemble de ce dossier a été étudié par l'équipe "Dysfonctionnements Judiciaires" de Politique de Vie. Toutes les affirmations et accusations développées ci-dessus ont été validées par plusieurs experts, dont des magistrats et des policiers, et sont aisément démontrables au travers des pièces du dossier et des déclarations réitérées des victimes, attestées par plusieurs enregistrements. Plusieurs avocats travaillent actuellement bénévolement sur cette affaire, en interaction avec notre équipe.
Voici le dernier courrier qui a été envoyé à l'ensemble des acteurs sociaux, éducatifs, médicaux, policiers et judiciaires concernés par cette affaire dans le but de les obliger à assumer leurs responsabilités.
Boulogne, le 4 mai 2003 À l’attention de : (....) Copie à : M. Jean-Claude MARIN, Direction des Affaires Criminelles et des Grâces, et M. Lionel RIMOUX, Chef de Cabinet, Ministère de la Justice
Madame, Monsieur, Je vous invite à prendre attentivement connaissance du dossier ci-joint, qui concerne la jeune (....), victime depuis plusieurs mois d’agressions sexuelles répétées. Vous avez eu à connaître personnellement de cette affaire dans le cadre de votre activité professionnelle. L’analyse psycho-sociologique et juridique de ce dossier nous a conduit aux conclusions suivantes. À ce jour, la victime est toujours sous l’emprise de deux agresseurs parfaitement identifiés et sa vie est gravement mise en danger. Les déclarations réitérées de la victime – et de deux autres victimes de l’un des deux pédophiles – sont parfaitement fiables, crédibles et totalement convaincantes. Or, le système institutionnel dont vous êtes partie prenante continue à ce jour, par les incompétences, les inactions et/ou les complicités actives des différents acteurs – dont vous-même spécifiquement – à maintenir une situation dramatique pour la victime et à protéger de facto les délinquants. En conséquence, je vous informe que votre responsabilité pénale personnelle est engagée dans cette affaire, pour les principaux motifs suivants : - non-dénonciation de crime (articles 434-1
et 434-3 du Code Pénal), Je vous informe que vous disposez d’un délai de 10 jours à compter de la réception de la présente pour mettre en œuvre toutes les actions nécessaires et utiles, seul(e) ou en accord avec d’autres acteurs institutionnels, pour soustraire la victime à l’emprise de ses agresseurs et enclencher toute autre action légitime permettant au droit et à la justice de se manifester. Au cas où nous ne pourrions pas vérifier sous ce délai la mise en œuvre effective des actes concrets nécessaires à la sauvegarde de la victime, vous ferez personnellement l’objet d’une Citation Directe à Comparaître devant le Tribunal Correctionnel de Paris pour non-dénonciation de crime et non-assistance à personne en danger. Je vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l’assurance de ma parfaite considération. Christian COTTEN
4 - Article tiré du site labanlieuesexprime.org DES HOMMES POLITIQUES FRANÇAIS ENTRETIENNENT-ILS DES RESEAUX PEDOPHILES EN AFRIQUE ???? - Pourquoi n’y aurait-il pas de pédophile dans le monde politique... ??? Bien évidemment on a voulu faire passé cette homme pour fou et l’interner... (LBS) jeudi 17 janvier 2008 Lors de l’audience relative à l’affaire des ZOZOS de l’humanitaire au TGI de Créteil, lundi dernier, 14 janvier 2007, le plus importante ne s’est pas passé à l’intérieur du Tribunal, loin de là. En réalité, la "scène" la plus importante du jour, au delà du pitoyable spectacle donné par Breteau et ses "copains", s’est déroulée à l’exterieur, devant les cameras de journalistes et autres chaînes nationales et internationales. En effet, un homme s’est avancé devant les micros tendus par les journalistes, à la surprise générale, il a commis un HORS SUJET ENORME, tellement explosif qu’il a provoqué, semble t-il, une amnésie chez ceux censés informer les Français. Sinon, comment expliquer que les propos accusateurs et bien ciblés de cet homme qui a vidé son sac n’aient pas fait la UNE des JT ? Ses révélations sur l’existence de réseaux pédophiles impliquant des NOTABLES Français, principalement des hommes politiques, en Afrique, peuvent-elles provoquer un TSUNAMI ? Oui ! Pour preuve, l’homme, qui a également révélé que sa vie était en danger depuis qu’il disait ce qu’il savait, dérangeait visiblement, au point que les fonctionnaires de police sur place se sont sentis obligés de l’intimider. Comment ? En tentant de le faire taire, soit en l’entourant pour mieux l’isoler des curieux qui écoutaient, stupéfaits,ses révélations, soit en lui demandant sa pièce d’identité. Peut-être pensaient-ils tenir un "sans papier" à expulser pour "gagner plus" ? Ce qu’il faut retenir de ce témoignage
EXCLUSIF, qui devrait provoquer des remous, c’est que l’on
a des informations circonstanciées et précises sur ceux
qui auraient activement participé comme CONSOMMATEURS dans les
réseaux pédophiles entre la France et l’Afrique. Aujourd’hui,
parceque ceux qui sont incriminés dans ce témoignage doivent
s’expliquer, il ne reste plus qu’à leur lancer un appel,
comme le fait le blog Alert2neg.com. Au moins, ça devrait faire
éclater la vérité sur cette affaire d’une gravité
extrême, et donner l’occasion aux Christian Favier, Patrick
Sève, Jean-Jacques Bridey, Alain Frison, M. Grudeck ( ancien maire
de Fresnes), de s’expliquer pour défendre leur "honneur",
comme on l’espère. Puissent-ils s’inspirer du cas Dominique
Baudis, accusé dans l’affaire Patrice Allègre, qui
s’est expliqué dans les médias pour "tordre le
coup" aux rumeurs ? C’est tout ce que l’on peut souhaiter. A2N http://www.alert2neg.com Voir les deux vidéos. ............. ATTENTION :
23 janvier 2008, Téléchargez
les 2 vidéos de la sortie du procès de l'arche de Zoé, au TGI de Créteil
(94), le lundi 14 janvier 2008, là où un inconnu a fait des déclarations
fracassantes, détaillées et non vérifiées, concernant l'existence de l'usage
d'enfants africains par des notables politiciens du Val-de-Marne (le maire
de Fresnes, le président du Conseil général du Val-de-Marne, le maire
de l'Haÿ-les-Roses), dans vos ordinateurs, en cliquant sur les liens qui
suivent : http://ufo.the-foundation.fr/maracouja972-video-embed/partie-2.flv
|