Site internet http://www.aredam.net
Voir les nouveautés sur le site : http://www.aredam.net/divers.html
Titre de cette page : http://aredam.net/affaire-clement-meric-juin-2013.html
L'affaire Clément Méric et ses implications positives Ou à travers l’affaire du meurtre accidentel début juin 2013 à Paris, de Clément Méric, extrémiste de gauche, tué au cours d’une rixe sur la voie publique, par un extrémiste de droite, quelques leçons qu'on peut tirer de cet évènement afin que les armées l'UIU (USA-Israël-Union européenne) gagnent la guerre de conquête mondiale que ses dirigeants ont entreprise depuis la chute de l'Empire soviétique en 1990 (en annexe l'injonction de Victor Hugo en 1879). En France, et je ne crois pas que cela soit une particularité en UIU (USA-Israël-Union européenne), les extrémistes sont devenus depuis plus de deux dizaines d’années, des supplétifs de la police politique, leurs organisations n’étant que des annexes des bureaux spécialisés de cette police, la vocation de ces extrêmes étant entre autres de pacifier la jeunesse, d’écarter de la masse des jeunes tout individu réellement original et radical, dont l’influence est par essence subversive, et de fournir accessoirement des nervis aux formations politiques plus centrales, et du personnel pour les opérations de manipulation des services spéciaux politiques (cette liste de fonction n’est pas exhaustive). Le petit Clément, lui était membre de la CNT de la rue des Vignoles à Paris 20ème, l’une des organisations d’extrême gauche parmi les plus typiques de supplétifs de la police politique, cette organisation étant « syndicaliste », « anarchiste » et « révolutionnaire » (on imagine les traitants de la Préfecture de police de Paris recevant leurs dirigés dirigeants de la CNT, dans leurs locaux du boulevard du Palais. La CNT est étroitement articulée avec le Nouveau parti anticapitaliste (NPA), ex-Ligue communiste révolutionnaire, qui est aussi un parangon d’annexe de la police politique. Le petit Clément était aussi lié au NPA. S’activant au sein de deux organisations « extrémistes », "révolutionnaires", anticapitalistes, et surtout "antifascistes", le petit Clément poursuivait ses chères études à Sciences-Po, autrement dénommée « Ecole libre des sciences politiques », une institution privée mise en place à la fin du 19ème siècle par l’ancêtre de l’actuel MEDEF, le syndicat des patrons (les anciens maîtres des forges), dont l’objectif unique est toujours de former des cadres politiques afin de maintenir la population dans l’impuissance de renverser le capitalisme, au sein d’un système politique fondé sur l’intermédiaire des partis politiques dits « représentatifs », placés entre la population et le gouvernement, et surtout entre la population et ceux qui détiennent le réel pouvoir et qui commandent ce gouvernement. La couillonnade des couillons a commencé à l'instant même de l’instauration de la République, après le génocide réussi des communards de Paris en 1871 (ces horrifiques et diaboliques "partageux égalitaristes économiques"), qui a suivi la chute du nabot Sarkozy de l’époque, Napoléon le petit, l’homme des chambres de commerce, de l’industrie et des banques. Et cette couillonnade ma foi continue de bien fonctionner. Le petit Clément se destinait à devenir un cadre politique de la chambre de commerce, de l’industrie et des banques. Le régime a donc perdu un élément prometteur et précieux. Sciences-Po recrute maintenant même des fantoches de couleur dans les banlieues, des néo-harkis bicots et négros, avec autant de bougnoulesses et de négresses pour la fameuse parité des sexes du politically correct, que cette institution place au premier plan sur les photographies pour prouver que le code de l’indigénat n’est plus en vigueur, et que « l’égalité des chances » est bien réelle, et que dans les banlieues, il existe aussi les fameux ascenseurs qui permettent au chiards du populo d’accéder aux cimes où on laisse l’air empoisonné à ses ex-voisins des cités "sensibles", et qu’il y a des planches de salut autres que le djihad en Syrie des agences de voyages organisés tenues par les chers « frères musulmans » de l’OTAN, cela pour les quéquettes circoncises (circoncision qui n'est qu'une forme de castration mentale, d'amputation de son individualité), ou encore putes pour les meufs, dindes emmitouflées jusqu'aux yeux même sous le cagnard d'août et sa canicule, qui servent à illustrer l’anéantissement de la femme et la suprématie morale de l’UIU sur les métèques, barbus crétinisés au regard bovin et à la cervelle de mouton dont la fonction est idoine, rats de mosquée exposant leurs trous du cul au regard d'Allah dans le ciel, footballeurs pour ceux dont le cerveau s'est réfugié dans les chaussettes, rappeurs pour les violents verbaux et cogneurs sur leurs femmes, dealeurs de crèmes fraîches au fond des caves, sniffeurs d’essence au benzène écologique dans les arrières parkings souterrains, fourgeurs de plâtre nasal en sachet de cinq grammes, fast drivers en caravanes entre Lille et Tanger, délégués aux services sociaux sous la forme de « grands frères » pour les balaises opportunistes, kalachnikoveurs pour les millionnaires d'un jour à Marseille, sociologues de l'EHESS pour les pédants pédouilleux doctorants en espionnage social dont les travaux alimentent les instituts de sécurité, chair à prisons pour les industriels de la construction carcérale, soit un ensemble de carrières bien alléchantes. Ah ! J’allais oublier les engagés dans l’armée française et ceux qui les tirent comme des lapins comme ce cher petit Mérah (ou plutôt comme porteur de chapeau pour le contractuel tueur professionnel importé sans doute de l’étranger par la DGSE qui a organisé le coup), cher petit Mérah qui aurait pu être un pote du cher petit Clément, si Mérah avait choisi Science-Po et n'avait pas croqué l'appât du tour operator offert par la DGSE. Pour en revenir plus précisément au cher petit Clément, mon officine de propagande préférée, le quotidien Le Parisien, écrit qu’il se destinait à intégrer une institution ou à devenir journaliste. Pour l’institution, cela est trop vague, mais pour journalisme, cela est clair. Les écoles de journalisme, après le 11 septembre 2001, sont devenues des véritables vidoirs à cervelles. Celle de Paris a vu sa bibliothèque éradiquée. Il y est interdit de lire. Mieux que dans Fahrenheit 451 (voir le sublime film de François Truffaut, et lire le livre de Ray Bradbury dont il est tiré). On y apprend à obéir aux ordres et à recopier les dépêches de l’AFP, elles-mêmes des copies rigoureuses des dépêches des agences « d’information » américaines. Durant les stages obligatoires dans les entreprises de presse ou de l’audiovisuel, on y est jugé sur sa servilité et sa capacité à jouer le jeu, c’est-à-dire à se conformer au modèle de comportement imposé dans le groupe. Le cher petit Clément se destinait à être un employé de l’appareil de propagande, de désinformation et de manipulation. Une carpette journalistique du régime. Quant à l’institution, désirait-il intégrer une para organisation étatique policière internationale, comme la FIDH (Fédération internationale des droits de l’homme), ou la fameuse Amnesty ? Ou encore l'une des multiples et renommées Coquins du monde ou sans frontières ? On ne le saura jamais hélas, car Otto le vilain, le sombre nahazzzzzih de la terrible mouvance d'extrême droite dite "Troisième voie", nous a ôté ce chevalier blanc immaculé, ce futur Monsieur propre des bidets du régime. Le petit Clément devait sans doute participer aux activités récréationnelles organisées par le NPA et la CNT, qui mènent le bal à Paris et en province, dans le domaine des manifestations pour le maintien du simulacre de soutien populaire aux opérations militaires mondiales de l’UIU, en Syrie, par exemple, et la chasse à ceux qui manifestent leur opposition à cette guerre totale entreprise par l'UIU contre tous les autres peuples de la planète. Le petit Clément était sans doute un grand ami des « frères musulmans », comme le petit chef du NPA, l'homoncule Besançenot, qui s’est empressé de venir soutenir les frangins barbus quand ils ont pris le pouvoir en Tunisie, lors du printemps arabe, cette saison due à un dérèglement climatique causé par les services spéciaux de l’UIU, qui a permis de porter au pouvoir en Palestine, en Tunisie, en Egypte nos chefs néo-harkis, tels nos néo-Glaouis de l'ex-colonie marocaine ; Gannouchi, Mamamouche, Merddouche et Sahataâche. Comme dans le même registre, on a pu voir la fameuse anti-sioniste juive israélienne, pluri propriétaire foncière de biens confisqué au nom de Jéhova aux indigènes de Palestine, Olivia Zémor, au regard torve et fuyant, qui appartient au parti d'extrême gauche révolutionnaire et anti-capitaliste Lutte ouvrière (voir son ex-perroquet bègue Arlette, et son nouveau Nathalie ... "le camp des travailleurs", la forme trots-kyste du goulag stalinien sans doute), qui noyaute la cause palestinienne à Paris avec son officine Capjo-Europalestine (sise à la librairie "Résistance" Paris 17ème) en tête de l'opération internationale en France de boycott des produits israéliens (campagne dite BDS), réussir à franchir pour la première fois de sa carrière avec son troupeau de moutons militants bêlants et bénets, la frontière entre l’Egypte et Gaza, depuis que ses chers frangins barbus, les barbouzes frappadingues de l'OTAN, du Qatar et d'Arabie Saoudite, sont au pouvoir des deux côtés de la frontière, et cela bien-sûr et en sous-main avec l'onction de l’Entité sacrée. La chasse aux authentiques et radicaux antisionistes non "cryto-sionistes des services" a toujours été l’une des tâches dévolues aux officines telles les NPA, CNT et autres LDH, Amnesty, que fréquentait le cher petit Clément. Pour finir, il a été beaucoup question du fameux Serge Ayoub, l'un des pivots du milieu des groupuscules d’extrême droite depuis des dizaines d’années à Paris, dont celui auquel appartiendrait le meurtrier du petit Clément. On ne dit pas que Serge est sans doute juif, tout comme l’autre chef d’équipe de l’extrême d’en face, Julien Terzic, de la CNT-NPA, lié au Bétar, au député ultra sioniste Julien Dray. On ne dit pas que tous les deux, Serge et Julien, travaillent sans doute pour la police politique du régime, qu’ils relèvent simplement de deux officiers traitants ou de deux bureaux différents, et encore, ce n’est même pas sûr qu'ils soient deux, et ce qui n’est même pas aussi sûr, c’est qu’ils ne participent pas ensemble aux mêmes réunions des services et ne partagent pas la même table au restaurant. Alors, comme tout doit être constructif, voici pour conclure ce texte, une proposition qui fera avancer la cause de l’UIU (USA-Israël-Union européenne). Cette séparation entre les deux extrêmes est dépassée, je propose la fusion des extrêmes en une seule branche unique, qui aura pour ennemi clairement désigné ceux qui s’opposent réellement au régime de l’UIU, c’est-à-dire ceux qui refusent que l’élite de l’UIU règne sans partage sur la planète, pillent tous les autres peuples, détruisent leurs pays. Il faut des extrémistes, c’est-à-dire des têtes vidées et qu’on peut ainsi remplir pour pouvoir ouvertement prôner un tel programme. Il faut des Terzic, des Ayoub, des petits Clément, des Mérah, et autres, pour énoncer explicitement la loi du plus fort, la seule loi qui se légitime d’elle-même. C’est à cette seule condition, oser avancer à visage découvert, oser exprimer sa loi du plus fort, sans autre légitimité que la victoire, que l’UIU vaincra la coalition de tous les autres peuples de la planète qui lui fait face et qui a commencé à lui infliger défaites sur défaites, à la mettre en échec, comme en Syrie. La Syrie est l'équivalent actuel de la retraite de Russie de Napoléon 1er et de la défaite de Stalingrad d'Hitler. On ne vaincra pas une coalition mondiale devenue supérieure en nombre, en qualité d'hommes, en motivation, en conservant cette façade piteuse à laquelle plus personne ne croit, et qui ne fait même plus sourire, celle des droits de l'homme, de se faire passer pour les victimes des néo-nazis ou des terroristes islamistes. Le défit de l'UIU est actuellement de totalement révolutionner son idéologie légitimatrice de son offensive planétaire guerrière, et c'est à cette seule condition de réussir cette révolution, que l'UIU vaincra. Le temps des FIDH, ou des pitoyables Amnesty, HRW et autres coquilles creuses, qui ne font au mieux que semer la confusion dans le camp même de l'IUI et entraver la concentration de ses forces et leur virulence, est révolu. L'UIU vaincra à la seule condition de se débarrasser de ses oripeaux hypocrites et minables qui gênent les mouvements de ses bras armés dans les combats. Il faut que l'appareil de propagande de l'UIU reprenne à son compte le mot d'ordre des armées de Franco éradiquant sans faiblesse les subversifs : "Vive la mort !", "Viva la muerte !". D'autre part, il faut informer la population de l'UIU qu'une guerre mondiale, et pour la première fois de toute l'histoire humaine, une guerre totale est déclenchée. C'est aussi une première dans toute l'histoire humaine qu'une population soit conservée dans l'inconscience d'une guerre entreprise par ses dirigeants, et qui plus est une guerre mondiale et totale, dont l'issue ne tolère pas d'armistice, ni de traité de paix, ni même de totale reddition du vaincu. Tout ce passe comme si les dirigeants de l'UIU se méfiaient de leur propre population, et même qu'ils considéraient leur propre population comme l'un de leurs ennemis, où encore que les buts de cette guerre étaient défavorables à la population même de l'UIU. Donc, il faut enfin informer la population de l'UIU de la guerre en cours, et aussi l'intéresser à la victoire, c'est à dire que les dirigeants de l'UIU partagent les bénéfices de guerre, le butin, avec sa propre population. Cela a toujours été fait dans le passé et dans toutes les régions du monde. Il faut aussi modeler le moral de la population à l'agressivité guerrière, à l'esprit de conquête. Cela ne pose pas de problème, car il existe en UIU des outils de conditionnement de masse déjà en place, comme ces émissions de "télé-réalité", dont il suffit de modifier les scénarios (telles Koh Lanta, Secret story, L'Amour est dans les près ...). Pour finir, il faut instaurer des réjouissances nationales lors des victoires, ainsi que des récompenses honorifiques nationales, des fêtes, et des gratifications de masse. Par exemple, si les armées de l'UIU détruisent enfin la Syrie, on pourrait exempter la population de l'UIU d'impôt sur le revenu durant deux années, donner des terres en Syrie pour ceux qui désirent exploiter des établissement agricoles, créer une décoration honorifique pour ceux qui ont eu un comportement valeureux lors des opérations guerrières. On pourrait aussi instaurer une semaine de réjouissance, avec des banquets publics gratuits et ouverts à tous, des bals, l'alcool gratuit, des voyages gratuits au Proche-Orient. Il faut aussi anoblir les agents de la propagande, valoriser la fonction de propagandiste, créer des instituts de la propagande, des filières de formation à la propagande, au mensonge, à la manipulation, afficher ces activités au grand jour, les assumer comme utiles et honorables. C'est à ces conditions que l'UIU gagnera la guerre de conquête mondiale que ses dirigeants ont entamé dès la chute de l'ex-empire soviétique, en 1990. Pour motiver nos masses populaires rétives comme dans les banlieues, il faut créer des programmes de colonisation, mis en oeuvre en cas de victoire, prévoyant l'édification de villes nouvelles agréables, confortables, spacieuses, en Russie, en Iran, en Chine ou en Inde, où seront transplantés les populations démunies de nos banlieues, qui seront assurées d'être prises en charge pécuniairement durant les cinq premières années d'implantation. Voici en annexe la copie d’une page tiré du site : http://www.forum-politique.org/ dont on m’a fait parvenir le lien, sur l’affaire du petit Clément, agent de la loi du plus fort. Michel Dakar, Villequier, le 23 juin 2013, téléchargé à l’office du tourisme ce jour.
Annexe : liens mouvance "antifa" : http://www.forum-politique.org/ Copie de la page 58 du Forum : http://pensetouseul.unblog.fr/2009/06/09/julien-terzic-antifa-vs-dieudonne-soral/#
Injonction de Victor Hugo, 1879 : "Unissez-vous, allez au Sud ! Ce bloc de sable et de cendre, ce morceau inerte et passif qui, depuis six mille ans, fait obstacle à la marche universelle (...)" Et désignant les "quatre nations d'où sort l'histoire moderne : la Grèce, l'Italie, l'Espagne, la France ... et un cinquième peuple : l'Angleterre", il poursuit : "Allez, peuples, emparez-vous de cette terre. Prenez-la. A qui ? A personne : prenez cette terre à Dieu. Dieu donne la terre aux hommes, Dieu offre l'Afrique à l'Europe. Prenez-la (...) Versez votre trop-plein dans cette Afrique et du même coup, résolvez vos questions sociales, changez vos prolétaires en propriétaires."
|