http://aredam.net/acceptation-operation-covid-par-population-occidentale-rien-a-lui-reprocher.html
Au
sujet de l’acceptation par la population de l’Opération
Covid.
De quoi peut-on se plaindre ?
Il
n’y a rien à lui reprocher.
Michel Dakar, le 15
avril 2021, Villequier, France.
Le
registre de la peur est invoqué pour expliquer l’absolue
soumission de la population occidentale à l’Opération
Covid.
« Vaccination » ou plutôt
pseudo-vaccin, en fait un poison génétique visant à détériorer
les organes vitaux (poumons, cœur, reins, foie, cerveau et
autres), de façon à accroître sur la durée la courbe de
mortalité et à remplacer la masse populaire par des machines et
des automatismes dénommés « intelligence
artificielle ».
La peur est la raison admise par
conformisme et rejet de la vision objective de la situation de
l’humanité, telle qu’elle est depuis l’époque dite
civilisée, il y a environ 10 000 ans.
Or, que
s’est-il passé il y a 10 000 ans ?
Dans
certaines régions de la planète, dont deux sont bien connues,
la vallée de l’Indus et le Proche-Orient (1), une
concentration de la puissance, du pouvoir, la hiérarchie
sociale, l’inégalité, un dispositif d’endoctrinement ) la
domination-soumission (religion), s’est mis en place.
(1)
et la méso-Amérique beaucoup plus tardivement ; les Incas
et les Aztèques.
Cet ensemble n’a fait que
s’étendre sur toute la planète, allant jusqu’à
l’éradication parfaite de toutes autres manières de cohabiter
et d’envisager la vie, et n’a fait que se renforcer en
efficience, en complexité, devenant un enfermement de l’espèce
où la plus infime issue est colmatée avec un ciment aussi
solide que le meilleurs des aciers.
Le stade actuel
« Opération Covid » n’est sans doute pas
l’aboutissement du système social déterminé par le rapport
domination-soumission, mais une étape signalant qu’on n’est
pas loin de cet aboutissement.
Deux courants de
sensibilité ont réagi pour tenter de s’échapper de ce
système, de ce déterminisme.
Il s’agit du courant
anarchiste européen du 19è siècle, et du courant taoïste
chinois d’il y a environ 2500 ans (rien à voir avec le taoïsme
religieux qui est à l’opposé).
Il faut bien
comprendre ce qu’est un système.
Dans un système,
chaque éléments n’existe que parce que le système
existe.
Et réciproquement.
C’est à dire
qu’on est en face d’un problème de réalité.
Le
dominant comme le soumis ne peuvent exister que dans la réalité
du système de domination-soumission.
C’est à dire
que :
Les soumis défendront le système de
domination-soumission jusqu’à leur propre extermination, ce
qui est le déterminisme de ce système.
Et que :
Les
dominants défendront de même le système de
domination-soumission jusqu’à leur propre disparition, car
sans dominés, pas de dominants, et que la disparition des
dominés est le déterminisme de ce système, et que le fameux
remplacement de la masse dominée par des machines est une
impasse, car dominer une machine n’est pas dominer un autre
être humain.
Comme le dit Orwell dans 1984, qu’est-ce
qui est la preuve de la domination d’un humain sur un
autre ?
C’est la souffrance.
Et
est-ce qu’une machine souffre ?
Aussi, je
propose, pour faire durer le système, de suggérer d’orienter
la recherche vers des robots souffrants (2).
Autrement
dit :
La souffrance c’est la conscience !
La
souffrance c’est la vie …
(2) le clébard de
Boston Dynamic glapissant quand on lui fout un coup de pied au
cil (par exemple).
|