2021,
l’an 1 de la Nouvelle Humanité.
Communication de Michel
Dakar, le 27 décembre
2020.
http://aredam.net/2021-an-1-de-la-nouvelle-humanite.html
Introduction
Pour
commencer sur un bon pied cette ère de la Nouvelle Humanité,
dont l’année 2021 est l’an 1, il faut opérer juste une mise
au point, consistant en un état global des lieux avant l’entrée
dans cette nouvelle ère, car partir d’un bon pied est
essentiel pour progresser dans ce nouvel univers qui s’ouvre
devant nous. Bien comprendre cet univers qui n’a plus rien de
commun avec l’ancien que nous venons de quitter, permettra de
bien s’y orienter … et d’y trouver sa place
naturelle.
Bonus liminaire : Juste une mise au point,
1983, Jackie Quartz.
https://www.youtube.com/watch?v=EMuOD4NGspE
Généralité
Les
anciennes guerres mondiales classiques n’étant plus possibles
à mener en raison des armes atomiques, le problème de la
surpopulation humaine se pose d’une manière vitale, car la
croissance continue de la population mondiale est l’un des
premiers facteurs d’anéantissement de l’espèce humaine. Il
était donc primordial de réduire cette population.
Les
expériences chinoises de réduction de population, même visant
à simplement à la maintenir stable, ont échoué, malgré
l’efficacité reconnue de l’Etat chinois, de même pour
l’Inde et l’Afrique, qui au fond ne l’ont même pas
tenté.
Un programme de réduction de population
viable ne peut qu’être graduel.
Un second facteur
essentiel se surajoutant à la nécessité vitale de réduire la
population humaine, est que la masse n’a plus aucune utilité
dans le nouveau monde, en raison de son remplacement par les
machines. On peut considérer que la Nouvelle société peut
fonctionner avec seulement 5 % à 10 % de son effectifs
actuel de la masse . C’était la même situation pour les
anciens canuts de Lyon qui ont été éliminés lors de la
mécanisation du tissage au cours du 19ème siècle.
La
réduction de la population mondiale doit donc s’opérer
graduellement et sans à-coups.
Les progrès réalisés
dans les domaines du contrôle social par l’électronique et
dans l’ingénierie médicale permettent la mise en place d’un
processus maîtrisé de réduction de la population mondiale,
étalé sur une plage temporelle d’environ une
génération.
C’est le but unique de l’opération
Covid 19 actuellement en cours.
A ce programme de
réduction se sont associés tous les pouvoirs mondiaux en place.
Tous les blocs, même les plus hostiles y collaborent, de même
que toutes les factions présentes en chaque
bloc.
Spécificités.
Spécificité
1
Dans tous les blocs ennemis, le contrôle social est
devenu absolu. Parfait. C’est l’ère du panopticon (
https://fr.wikipedia.org/wiki/Panoptique
) :
« Le
panoptique
est un type d'architecture
carcérale
imaginée par le philosophe utilitariste
Jeremy
Bentham et son frère, Samuel
Bentham, à la fin du XVIIIe siècle. L'objectif de la
structure panoptique est de permettre à un gardien, logé dans
une tour centrale, d'observer tous les prisonniers, enfermés
dans des cellules individuelles autour de la tour, sans que
ceux-ci puissent savoir s'ils sont observés. Ce dispositif
devait ainsi donner aux détenus le sentiment d'être surveillés
constamment et ce, sans le savoir véritablement, c'est-à-dire à
tout moment. Le philosophe et historien Michel
Foucault, dans Surveiller
et punir
(1975), en fait le modèle abstrait d'une société
disciplinaire, axée sur le contrôle
social. »
Dans le bloc « Occident », ce dispositif
s’est doublé de la création d’un univers entièrement
illusoire, un mirage du réel, où toute manifestation
socio-politique de masse est entièrement fabriquée par le
régime, est une imposture. C’est ce qu’on peut dénommer
fausse opposition, fausse résistance, fausse vie politique,
fausse vie sociale.
Ce type de dispositif de
contention sociale est très légèrement appliqué dans le bloc
« Russie », et semble-t-il pas du tout dans le bloc
« Chine ».
[Ceci dit sans
certitude]
Spécificité 2
Les
problèmes
Problème 1
La nouvelle
société est évidemment hiérarchisée et divisée en
classes.
La masse ayant disparue, la nouvelle société sera
divisée comme suit :
l’élite ou les
oligarques ou « ogres »,
la classe des espions
(diverses polices politiques secrètes),
la classe des
tarés pervers qui sont en charge des concepts qu’on trouve
actuellement dans les « Réservoirs de pensées » ou
Think Tanks,
la classes des techniciens (sortes de neutres
idéologiques, castrats existentiels à qui on peut tout
demander),
la classe des pseudo-humains, des machines,
simulacres de conscience et d’intelligence.
Le
premier problème apparaît par la disparition avec la masse de
la classe moyenne, qui était le vivier unique où pouvaient
apparaître les créatifs, ceux qui faisaient progresser la
société, en effet, seuls les individus sont aptes à la
création, et l’individualité n’est possible que dans les
interstices de liberté qui n’existaient qu’au sein de la
classe moyenne.
On peut déjà prévoir que l’évolution
s’arrêtera avec l’instauration de la nouvelle société.
C’est à dire que la nouvelle société engendrera d’abord la
stagnation, puis la régression, dans tous les domaines de la vie
humaine.
Problème 2.
La
guerre interne pour le pouvoir continuera même de plus belle,
même sera exacerbée, car il n’existera plus qu’un seul
profil psychologique, lequel aura éliminé tout autre, soit
toute autre manière de concevoir l’existence, seul restera le
type humain du prédateur, soit le personnage de l’Ogre des
contes pour enfants.
La stabilité ne sera
qu’apparente, tant au sommet que dans les couches inférieures
(espions, tarés, techniciens et pseudo-humains), la guerre sera
constante, d’autant plus que la hiérarchie étant figée, la
progression sociale ne pourra s’obtenir qu’au sein de chaque
classe.
L’unique classe qui sera dangereuse, sera
celle des espions, capables de transgresser la limite entre la
classe des Ogres et la sienne.
D’où probablement la
mise en place d’une multitude de catégories d’espions,
destinée à se faire concurrence et à s’épuiser et se
neutraliser en guerres intestines.
Problème
3
Le problème 3 est le plus crucial car il
engage la survie même de l’espèce humaine.
C’est la
nécessité de la création d’un espace existentiel
asymptotiquement toxique, létal, qui seul permet la mise en
place de cette dystopsie.
En effet, la contrôle social ne
pourra s’opérer qu’avec la prolifération de réseaux
d’ondes, dont on ne veut surtout pas reconnaître la terrible
toxicité, comme l’ingénierie médicale, qui est devenue une
technologie de la dégradation de la santé, de nécrose, de la
déchéance jusqu’à la destruction totale de la santé
humaine.
Il est prévisible que le programme Nouvelle
Humanité s’arrêtera de lui-même faute de
participants.
Problème 4
Le
problème 4 est celui de la disparition de tout garde-fou à ces
déterminations, les garde-fou sociaux se rencontrant uniquement
parmi les individus, et le type humain de l’individu étant
destiné à disparaître.
Le garde-fou est en architecture
ce qui empêche la chute depuis une hauteur.
Problème
5
La masse actuelle, comme la caste actuelle des
oligarques (présente dans tous les blocs ennemis-coopérateurs),
possède au moins en commun le trait purement humain d’une
sorte de rejet de la vision de la réalité.
C’est pour
cette raison que tout ce qui est écrit dans ce texte a toutes
les chances de se réaliser.
Il faut abandonner l’idée de
tout retour à la raison.
On ne peut que contempler le
déroulement du désastre jusqu’à sa fin.
Rien ne peut
l’arrêter.
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