http://www.aredam.net/une-affaire-qui-commence-a-prendre-une-tournure-qui-releve-de-l-exemplarite-et-de-l-interet-general.html
http://www.aredam.net/procedures-calme.html http://www.aredam.net/sommaire-publications-procedures-calme.html
Texte
publié le 21 octobre 2018
Lettre
de : Dakar 9, Route de
Barre-y-va Villequier 76490 Rives-en-Seine
Adressée
à : M. Patrick Cureau,
expert Les Cardinales ; Bât. B 1, allée
de la Glacière 14200
Hérouville-Saint-Clair
Villequier, le 18 octobre
2018
Références générales : Tribunal
Administratif de Rouen, Dossier n° 1701776 Ordonnance
du 13 décembre 2017
Référence
expert : EXP 456-13122017
Observations
relatives aux observations de la Communauté
d'Agglomération Caux Vallée de Seine, datées
du 16 octobre 2018, concernant le pré-rapport
d'expertise daté du 20 septembre
2018.
Monsieur,
1 –
Observations générales.
Mes
préconisations de mes observations concernant votre
pré-rapport ont un unique objectif, celui de ne pas
avoir à renvoyer de nouveau cette affaire devant le
Tribunal administratif ou devant la justice pénale, à
l'avenir.
C'est le sens de mes préconisations
dont celles premières dans
cette optique, figurant à l'article « 1 –
Boîte noire pour la piscine »,
d'enregistrement permanent de tout mouvement sonore sur le
lieu, et de contrôle et de l'entretien du matériel
d'enregistrement indépendant de l'autorité
de la Communauté d'Agglomération.
Les
observations figurant aux article 2, 3, 4, 5 sont
toutes dans leurs détails indispensables
pour ne pas avoir à revenir porter ce dossier devant la
justice.
Mon but est d'en finir une fois pour toutes
avec cette affaire.
2 –
Informations sur le contexte pénal.
La
Communauté d'Agglomération a communiqué
dans son courrier daté du 16 octobre 2018, des
documents relatifs au contexte pénal, lequel, je dois
le souligner concerne
des qualifications dont certaines relèvent de la Cour
d'assises, et dont le délai de
prescription est de 10 ans.
Je vous communique la copie
du courrier adressé à la Gendarmerie de
Rives-en-Seine daté du 8 octobre 2018. La Gendarmerie
m'a demandé communication du pré-rapport, et m'a
déclaré avoir décidé de procéder
à des auditions. Je communique à la Gendarmerie
la copie de la présente.
3 –
Observations d'ordres humain et
moral.
La terminologie utilisée par la
Communauté d'Agglomération Caux Vallée de
Seine, dans ses observations datées du
16 octobre 2018, apparaissant dans l'extrait : « …
ne résulte pas de provocations
de la part de M. Dakar »,
révèle, outre la banale inversion accusatoire
des délinquants, particulièrement des violeurs
qui quasiment tous soutiennent avoir été
provoqués par leur victimes (on n'a pas encore vu de
casseurs de vitrines de bijoutiers arguant avoir été
provoqués par l'étalage des bijoux), mais
surtout une forme de mépris envers autrui en général,
mépris allant jusqu'aux 9000
€ de pénalités demandés
aux juges du Tribunal administratif de Rouen à mon
encontre, lors de la requête en récusation de
l'expert. Je dois souligner que cela revenait ouvertement
à faire des juges des complices de
faits relevant des assises. Ce mépris d'habitude s'est
une seconde fois manifesté dans un courrier daté
du 31 juillet 2018 adressé à l'expert par la
Communauté d'Agglomération, arguant « des
faits revêtus de la chose jugée »,
formulation de plus bizarre, qui fait dire aux
Juges
du Tribunal administratif de Rouen ce qu'ils n'ont pas dit (ce
qui est un délit), et qui voudrait
le faire croire à un expert
judiciaire.
Je
dois dire que les parties adverses ne m'aident pas à
clore cette affaire, et qu'elles semblent subir une sorte
d'enfermement mental fataliste les poussant à alimenter
la suite de cette procédure.
Je n'ai pas
vocation ni d'intérêt intellectuel à
m'occuper de leurs cas qui me désintéresse
radicalement, et ne désire qu'avoir la paix dans mon
environnement quotidien.
Toutefois cette affaire
commence à prendre une tournure qui relève de
l'exemplarité et de l'intérêt général,
ce qui est le type même des affaires que j'ai traitées
depuis
environ une trentaine d'années et que je continue de
traiter.
Je rappelle que ma première association est dénommée
« Application et Evolution du droit »
(AD), domiciliée au Musée social à Paris
7ème, fondée avec un trésorier
particulièrement versé dans
les
fondements
du
Droit,
et devenu expert dans les collectivités
territoriales.
Je
vous prie de recevoir, Monsieur, l'expression de mes sincères
salutations, et regrette que vous soyez malgré vous
mêlé à tout cela.
M.
DAKAR
-
Pièce jointe : Lettre adressée à la
Gendarmerie de Rives-en-Seine, datée du 8 octobre
2018. - Diffusion par LRAR : Gendarmerie de
Rives-en-Seine, Expert M. Patrick Cureau, Tribunal
administratif de Rouen, Mairie de Rives-en-Seine, Communauté
d'Agglomération Caux Vallée de Seine à
Lillebonne.
Annexe 1 :
Voir les
documents : http://www.aredam.net/lettre-au-president-de-la-cour-d-appel-de-douai-article-40-du-code-de-procedure-penale.pdf
Annexe 2
:
Articles
de codes afférant à l'affaire :
Article
160 du Code de procédure civile (convocation par
l'expert des parties par LRAR), donc conservation de la preuve
de dépôt postal des convocations par l'expert, de
l'accusé de réception, et des enveloppes par les
destinataires).
Article 434-4 du Code pénal
(destruction de preuve ; de la preuve de dépôt
et de l'accusé de réception par l'expert, et de
l'enveloppe de la convocation portant l'imprimé de
recommandation
postal
par
la Communauté d'Agglomération Caux Vallée
de Seine).
Article 441-4 du Code pénal (faux en
écriture publique ; convocation par l'expert de la
Mairie de Rives-en-Seine).
Usages de faux en écriture
publique :
Maire de Rives-en-Seine. Communauté
d'Agglomération Caux Vallée de
Seine.
Circonstances
aggravantes :
Faux
en écritures publiques commis lors d'un procès
dans le but de tromper les juges.
Faux commis lors d'un
procès dans le but d'obtenir la condamnation d'une
partie adverse pour abus de procédure et d'obtenir des
frais de procédures (donc des frais pour la fabrication
des faux). Dans ce cas 9000 €.
Usage de faux
commis par un service juridique d'une
administration publique.
Incriminations
secondaires :
Faux
témoignages, subornations
de
témoins, faux en écritures
privés
(faux email).
Facteur
aggravant :
Délits
commis par des personnes en charge de l'autorité
publique et de faire respecter l'ordre (Maire et Président
de Communauté d'Agglomération), de plus dont les
services assurent l'authentification de documents.
Délit
commis par le biais d'un service juridique.
Nota :
liste des articles et des incriminations et autres
non-exhaustive.
Liste
non-exhaustive des pièces à conviction :
-
Preuve de dépôt de la convocation adressée
à la Mairie de Rives-en-Seine à Lillebonne.
-
Accusé de réception de cette convocation.
-
Enveloppe de la convocation portant l'imprimé de
recommandation postale adressé à la Communauté
d'Agglomération Caux Vallée de Seine.
-
Enregistrements électroniques originaux des emails
échangés entre la Mairie de Rives-en-Seine et la
Communauté d'Agglomération Caux Vallée de
Seine :
à partir de 2 disques durs de la
Mairie de Rives-en-Seine (internet et intranet),
à
partir d'un disque dur de la Communauté d'Agglomération
Caux Vallée de Seine.
à partir du système
informatique de la Ste OVH à Roubaix.
Annexe
3 :
Association A.D. Application du Droit, N°
de parution 20000016, Département : Paris - Île
de France), Déclaration Préfecture de police,
Objet : application et évolution du droit, Siège
social : B.P. 8, 5 rue Las cases, 75007 Paris. Date de
déclaration : 15 mars 2000.
N° annonce
J.O. : 1411 Paru le 15 mars 2000
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