Liberté, égalité, criminalité ; un régime réduit aux plus minables bassesses.
Le dévoilement de la réalité du régime politique français à travers le cas de la Mairie de Rives-en-Seine et de la Communauté d'agglomération Caux Vallée de Seine.
Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier ex-France, province coloniale de l'Empire israélo-US en voie de désagrégation rapide, le 12 janvier 2019.
http://www.aredam.net/un-regime-reduit-aux-plus-minables-bassesses.html

Illustration :
http://www.aredam.net/documentation-faux-en-ecriture-publique-et-protection-gendarmerie.pdf


Il existe une uniformité et une cohérence au sein d'un régime, et ce qui se passe en province est de la même nature logique et politique que ce qui se passe à Paris et à l'international, mais il est rarissime que l'approche de la nature réelle d'un régime prenne en compte cette totalité. C'est ce qui est tenté d'être fait ici.

L'affaire en question qui permet ce rapprochement peut se résumer à l'affront fait par un simple citoyen sans aucun pouvoir envers deux potentats politiciens locaux, cet affront consistant à exiger d'être respecté par eux.

Dans le premier document constituant
le PDF joint en illustration, le simple citoyen sans aucun pouvoir écrit à ces deux potentats une lettre où il leur expose qu'il n'a aucune envie de les recevoir eux ou bien leurs subalternes dans l'intimité de sa demeure, à l'occasion d'une réunion d'expertise devant avoir lieu dans le contexte d'une procédure judiciaire que le citoyen a engagé à l'encontre de ces deux potentats. Il demande que ces potentats envoient à leur place un avocat, jugeant humiliant de les recevoir alors qu'ils ont manifesté durant des années leur plus entier mépris à l'égard de ce citoyen. C'est cette lettre sincère exprimant un sentiment de dégoût et d'aversion qui a révélé la vraie nature de ces potentats, les menant à fabriquer des faux en écritures publiques, à suborner des témoins et à produire des faux témoignages. Les faux en écritures publiques sont des crimes et valent les assises avec un maximum de 15 ans de prison et 225 000 € d'amende. Le délai de prescription est de 10 ans, et peut être reconduit en relançant la procédure.

Ce qui est déconcertant dans cette affaire est la facilité avec laquelle ces potentats ont fait fabriquer à une cadence industrielle
ces faux, comme si le faux était leur réelle nature.

De plus ces faux ont été réalisés lors d'une procédure judiciaire au Tribunal administratif, sans aucun égard pour la Justice, les juges et évidemment le droit et la morale.

Chose dont on peut s'étonner les juges ont rejeté la demande des potentats d'entériner comme vrais ces faux, fabriqués dans le but d'obtenir
des juges la condamnation du simple citoyen qui osait exiger le respect (de plus les deux potentats sans vergogne ont pris la posture de la victime). Les juges n'ont pas voulu devenir complices de ces criminels.

Cela pose un très sérieux problème car dans ce régime par nature criminelle où ceux qui dirigent sont des falsificateurs, donc des criminels, des juges ont osé faire preuve d'honnêteté et sont restés intègres.

Eux ne sont pas faux et n'ont pas accepté de devenir des faux.

Seront-ils sanctionnés ?

Cela pose aussi un autre problème, majeur, car cela signifie qu'il y aurait quelque chose à sauvegarder dans ce régime, quelque chose qui se manifeste par l'existence de juges intègres, prenant la défense des faibles (à l'inverse de la morale d'une des fables de La Fontaine « Selon que vous soyez puissants ou misérables, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir »).

Par contre, la gendarmerie locale, puis son commandement régional et le ministère de la défense qui supervise l'ensemble, protègent les falsificateurs, et sont donc complices de leurs crimes, ce qui signifie que les gendarmes et le ministre de la défense sont des criminels eux-mêmes.

Le Premier ministre ainsi que le Président de la République ont été informés de l'affaire sans que rien ne se passe, ainsi que les présidents des commissions du Sénat et de l'Assemblée nationale. Tous ces gens sont donc aussi des criminels.

Il faut là prendre en compte que le Premier ministre connaît personnellement les deux potentats criminels avec qui il participe toujours à des activités politiciennes locales (ville du Havre Pôle de l'Estuaire).

D'autres instances ont été informées, et la diffusion de l'information se poursuivra sans répit, au niveau national, international, local, et touchera toutes les catégories de populations.

Au niveau local, le politicien professionnel dit écologiste Jean-Michel Bérégovoy, de Rouen, vient d'être informé. Ce dernier se présente sur sa page Facebook comme étant intègre.

Peu à peu il deviendra impossible de feindre ignorer l'information.

Il s'agit ici d'une expérience de vérité qui est menée, pour savoir si le crime est devenu la norme de ce régime politique.


Liberté, égalité criminalité.


Est-ce possible d'associer dans une même phrase ces trois termes ?

La criminalité n'exclue-t-elle pas la liberté et l'égalité ?


Autant savoir dans quel régime on vit, et le faire savoir à tous.

Vivre sans illusion est la condition indispensable à tout progrès.

Cette expérience sera poursuivie jusqu'à son terme et même au-delà.


Pour approfondir l'affaire :
http://www.aredam.net/procedures-calme.html
http://www.aredam.net/sommaire-publications-procedures-calme.html
http://www.aredam.net/procedures-calme-documentation.html
http://www.cauxseine-realite.net/