Un puzzle à quatre pièces
révélateur de l'état psychologique du
pouvoir profond réel occidental. « Être
sans être », « l'éternité
est l'absence », « la
mort c'est
encore la
vie
».
http://www.aredam.net/un-puzzle-a-quatre-pieces-revelateur-de-l-etat-psychologique-du-pouvoir-profond-reel-occidental.html
Pièces du puzzle : P-1 Visites
domiciliaires psyops d'environ 2006 à 2014 chez
l'auteur. P-2 Manoeuvres psyops obliques visant
l'ensemble de la population. P-3 L'égérie
psyops torve du réchauffement climatique. P-4
L'actuel programme psyops « piscine de
Caudebec-en-Caux-Bastien Coriton ».
« Être
sans être » « L'éternité
est l'absence » « La mort c'est
encore la
vie »
P-1 Visites
domiciliaires psyops d'environ 2006 à 2014 chez
l'auteur.
Durant environ une dizaine
d'années, une officine sans doute privée
dépendant de la police politique sans doute
française, et sans doute associée aux services
spéciaux israéliens, a poursuivi une menée
qualifiable de psyops, à mon domicile parisien, puis
de façon concomitante, à un appartement dont
j'avais la garde à Rouen et à ma maison de
Villequier.
Il s'agissait d'intrusions faites en
l'absence d'occupant, laissant soit des traces évidentes,
soit d'infimes indices, à la limite de la capacité
de perception.
Ce chapitre n'a pas pour objet de
détailler cette menée, mais d'exposer les
conclusions auxquelles je suis parvenu concernant le but de
ce type de menées, et l'état mental de ceux
qui les ont conçu et mis en œuvre.
Série
de buts recherchés :
- Porter des
atteintes graves de façon à ce que la victime
ne puisse pas les dénoncer, soit par ce que le
caractère propre de ces menées est trop
complexe à exposer, soit ce caractère est trop
pervers (ce qui est aussi une forme de complexité)
pour que la victime puisse formuler clairement une plainte,
rendant sa plainte inintelligible, soit que le rapport entre
les faits, et/ou leur chronologie soit volontairement
incohérent de façon à semer la
confusion dans l'esprit de la cible, soit que l'exposé
des faits rende ridicule le plaignant et que la durée
des opérations, leur répétitivité
rende lassante l'audition des plaintes, soit que les
intrusion soient faites de façon si délicates
que le doute s'installe dans l'esprit de la cible quant à
leur réalité ; etc ...
La base
destructrice de ce type de menée est que le sujet n'a
plus aucune vie privée, d'intimité, qu'il
s'agit donc d'un viol permanent, et qu'il adopte la
conviction qu'il n'a plus aucun refuge, que ceux qui le
visent sont donc tout puissant et qu'il n'est rien.
Ceci
tend à créer une situation de totale
soumission face à cette menée destructrice, et
à provoquer un état de sidération
rendant inoffensif la cible. C'est ce que la psychologie
animale lors d'expériences a constaté
chez les animaux soumis à une situation de stress où
ils ne peuvent ni affronter ni fuir. Ces animaux finissent
par se coucher endurant sans bouger la torture.
C'est
apparemment ce type de démarche qu'ont poursuivies
les américano-israéliens dans le camp de
torture-conditionnement de Guantánamo sur l'île
de Cuba, pour fabriquer des « djihadistes »,
entre autres par le procédé des noyades en
série, et de la vie en cages grillagées
transparentes.
Je n'aborderai pas le détail
des contre-mesures (simples, peu coûteuses et
efficaces) prises pour lever le doute, rétablir
l'intimité, porter l'affaire au public, rendre la vie
compliquée aux factotum en charge d'opérer sur
le terrain, ridiculiser les donneurs d'ordres, les persuader
de l'inutilité de leurs efforts, de leur impuissance,
de leur imbécillité, les faire douter
d'eux-mêmes, soit de retourner leurs « maléfices »
contre eux. Je devrais faire une texte spécial sur
ces sujets pour rendre service à ceux qui ont ou
auront à subir ce genre d'aventures. Cela viendra
plus tard. Ce type d’œuvre psychologique néfaste
a été abordé par la sociologue Sonia
Combe dans ses livres sur la Stasi, la police politique de
l'ex-RDA, qui avait développé à son
académie, un enseignement de « psychologie
opérationnelle », et une section
spécialisée de « destruction de la
personnalité ». Mais du temps de la Stasi
il y avait des gens à l'esprit créatif et
perspicaces, il est évident que cela n'est plus le
cas, d'autant que ce type de méthode fonctionne dans
un environnement comme celui de l'ex-RDA, où de fait
la population était réduite à un état
effectif de totale impuissance, mais pas dans la
pseudo-démocratie France où le devoir
d'apparence oblige à laisser une marge de liberté,
et de plus à l'ère de la circulation mondiale
de l'information par l'Internet. Dix ans d'impôts
gâchés ! Certains ont dû se remplir
les poches …
Mais ce qui est révélateur
de ce type de fonctionnement, de la part des donneurs
d'ordres de ces opérations psyops de « destruction
de la personnalité », est l'état de
rupture totale d'avec le monde.
C'est la seule chose
qui est remarquable, et c'est sans doute ce qui définit
la situation psychologique de ceux qui opèrent aux
postes de commandement du régime occidental.
Car
pendant environ dix ans, ils ont pénétré
mon intimité, connu dans le détail mes
moindres faits et gestes, sans avoir eux le moindre contact
avec moi. J'ai été visité durant
environ dix ans, par des « absents »,
ou par une absence.
Il faut imaginer, du moins
essayer de le faire, ce que peut être d'exister dans
un état de rupture totale d'avec le monde, la vie,
soit « être sans être ».
« Être sans être »,
est la caractéristique psychologique essentielle, qui
définit le type du potentat du régime
occidental, apparaissant dans les quatre chapitres
constituant les pièces de ce puzzle.
D'ailleurs,
depuis environ maintenant cinq années que ces visites
ont cessé, on pourrait considérer qu'elles
continuent, puisque j'ai été visité par
des absents, et que maintenant ils sont toujours absents.
Ils ont inventé en réalité l'éternité
et découvert la vraie définition de
l'éternité, l'éternité est
l'absence. Merci les génies !
P-2
Manœuvres psyops obliques visant l'ensemble de la
population.
Après cette première
pièce du puzzle, qui en est en fait l'introduction,
laquelle à elle seule porte en réduction
l'image entière du puzzle, aller à l'essentiel
de la signification des trois autres pièces est
facile.
Les manœuvres obliques psyops
auxquelles est soumise la population occidentale, et celles
d'autres contrées convoitées (en ce moment
Hong Kong), sont du même ordre, car pour en faire la
synthèse, elles consistent en la création de
faux mouvements de populations dont la liste est infinie
(LGBT, antifa, djihadistes, identitaires, gilets jaunes),
infinie, car il s'agit de recréer la totalité
des possibles mouvements populaires. Les absents de la vie
au pouvoir fabriquent de toutes pièces une apparence
de vie sociale et politique, soit une absence de vie.
Mais
cela va bien au-delà et ne pas préciser serait
fautif, car ils fabriquent un faux peuple, une fausse vie
populaire, de fausses nations, de faux sentiments, soit un
faux univers, un néant, et fabriquer un néant
est un exploit dont seuls des absents sont capables.
Ceux
qui participent à ces mouvements d'absents sont
eux-mêmes devenus des absents.
L'absence
devient la norme dans ce régime dont la tête
est absente.
P-3 L'égérie
psyops torve du réchauffement climatique.
Cette
pauvre fille, à la fois adolescente et sans âge,
atteinte du syndrome d'Asperger, autiste, inapte à
reconnaître les signes affectifs d'autrui, soit en
rupture d'avec les autres humains et au-delà, avec le
monde, car toutes les espèces sont sociales et
l'individu appartenant à une espèce donnée
construit sa capacité de contact d'avec le monde à
partir des canaux relationnels établis avec les
autres individus de son espèce, a été
portée à la vue de tous par les absents aux
commandes de l'Occident, comme phare guidant vers la
résolution du réchauffement climatique !
Un
phare qui diffuse la lumière que pourrait diffuser
les trous noirs de l'espace, ces effondrements d'étoiles
sur elles mêmes, qui sont si denses qu'ils absorbent
par leur gravité énorme toutes les lumières
qui passent à leur proximité, trous noirs
qu'on ne connaît que par leur absence, leur effet
indirect sur leur environnement.
C'est
particulièrement dramatique d'avoir choisi comme
symbole de la conscience du réchauffement climatique
l'absence, la rupture d'avec le monde, la planète, la
vie, et de présenter à tous ce non-être
à la fois souriant et glaçant en plein milieu
de cet été torride, qui épuise et fait
perdre l'envie de sourire à tous. C'est sûr
qu'on peut sourire de façon permanente dans la
fournaise, voire même sur un bûcher, quand on
est absent du monde.
Ce personnage de cauchemar est
même un déni de la conscience du réchauffement
climatique, conscience qui ne peut naître dans
l'esprit des absents du pouvoir occidental, car comment
pourraient-ils être conscients du réchauffement
alors qu'ils sont en état d'absence ?
P-4
L'actuel programme psyops « piscine de
Caudebec-en-Caux-Bastien Coriton ».
« La
mort c'est
encore la
vie»
Ce qui se passe à
Villequier commence à sentir la psyops -
foireuse - comme il se doit.
Comment
est-il possible que cette affaire de bruits de piscine et de
faux en écritures publiques mouillant les deux
politiciens les plus importants locaux de plus dans la
sphère de l'actuel premier ministre soit relayée
par les deux médiats locaux et régionaux, sur
une totalité de deux pages, qu'un droit de réponse
soit publié encore plus incisif que les contenus des
articles, de plus dans l'édition desservant le fief
féodal du premier ministre alors qu'il n'aurait pas
dû l'être à cette place, et que de façon
concomitante, deux décisions de justice aillent à
l'encontre de ces politiciens ?
Pour rappel, un
élu local (maire et autres) n'est autre qu'un
« maton » en charge de contenir la
population dans la prison où elle est confinée,
que les élus locaux sont les chaînons
indispensables au maintien de l'ordre, que la presse
régionale est équivalente aux revues
municipales des maires et autres organes locaux et régionaux
uniquement en charge de maintenir la population dans
l'inconscience, la confusion, la crédulité,
l'ignorance de la réalité, que ces organes
médiatiques sont entièrement aux ordres et
obéissent comme des cadavres aux instances du
pouvoir, que le pouvoir soutient ses matons, comme un
directeur de prison soutient les siens contre les
prisonniers, et pour finir avec ces banalités, que la
justice jouit du même statut que les médiats.
La démocratie est comme ces feuilles de salade qui
décorent une assiettes de bavette frites. Sa base,
élective, est la masse cultivée, entretenue et
choyée d'imbéciles qui croient au père
Noël, et comme le disait Chirac ou l'un de ses frères,
« on est sûr de gagner les imbéciles
sont avec nous », et « les promesses
n'engagent que ceux qui y croient ». L'appareil
de maintien dans l'imbécillité a pris des
proportions gigantesques et occupe une armée de
parasites méphitiques (TV, radios, journaux, films,
chansons, spectacles, réseaux sociaux, portables,
jeux vidéos etc … c'est la messe dominicale 7
jours sur 7 et 24 heures sur 24).
Pour rappel, et
pour aider à la culture publique populaire, qui est
la seule véritable, lorsque je vivais à Paris
dans le 18ème arrondissement, quartier Goutte d'Or,
j'ai relevé trois graffitis, l'un dans les toilettes
de la mairie : « classe politique classe
parasite », un second à environ 10 mètres
de haut sur un mur pignon : « plus le singe
monte haut dans l'arbre plus on voit son cul proverbe
africain », et un petit dernier situé sous
la plaque identifiant l'impasse du curé : « la
religion est une impasse ». De plus la seule fois
en 20 ans où j'ai entendu parler des élections,
dans ce milieu concerné directement et physiquement
par la politique réelle internationale auquel
j'appartenais, ce fut pour entendre dire de façon
désinvolte, par une professionnelle, que si elles
pouvaient changer quelque chose elles seraient immédiatement
interdites. Personne ne s'est même donné la
peine de relever tant c'était l'évidence.
Alors,
placer dans la même cage un maton et un prisonnier, en
donnant au prisonnier un importance égale au maton,
où veut-on en venir ?
A quoi jouent les
petit génies absents immatures qui ne sortent pas de
leurs bureaux climatisés et qui ne touchent plus le
monde qu'au travers d'écrans plats en plastique en
deux dimensions ?
Sachant que dans cette affaire
il s'agit d'une sorte d' « âme morte
gogolienne » caricaturale, contrainte à la
proximité d'une bouche de
vie.
« La mort c'est
encore la vie ».
S'agirait-il
d'une opération Lazare, une résurrection
?
S'agirait-il d'une opération golem, un
non-être à tout faire destiné à
exécuter les plus ignobles tâches pour ses
patrons ?
De la création originale d'un
hybride cadavre-vie
?
http://www.aredam.net/sommaire-publications-procedures-calme.html
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