Adresse de cette page : http://www.aredam.net/un-monde-de-plus-en-plus-obscur.html Mise à jour effectuée le 15 octobre 2013
Vivre dans un monde de plus en plus obscur (ère post défaite historique mondiale de Syrie)
Préambule La peinture ci-dessus a été découverte sur l'une des parois de la grotte des Eyzies, en France en Dordogne, et a sans doute été réalisée il y a environ 35 000 années. A cette époque, qu'on peut qualifier d'âge d'or de l'humanité, ou plutôt de l'âge de l'épanouissement, l'humain n'avait pas inventé dieu, l'exploitation des animaux, des humains qui n'est que son corollaire, les prisons, les mises à mort, le commerce. Très peu de représentations d'humains par rapport aux représentations d'animaux ont été retrouvées. C'est l'époque de la symbiose entre l'humain et l'univers, l'époque heureuse. La rupture va se faire avec la mise en esclavage des autres formes de vie, animales et végétales, entraînant celle de l'humain, entraînant l'instauration d'un système hiérarchique d'oppression d'une minorité sur la masse, sa légitimation par le personnage du prêtre et l'invention de dieu, du surnaturel, de l'au-delà, de la vie après la mort, et du personnage du commerçant, qui n'est au début que le fonctionnaire royal délégué au loin pour traiter des échanges avec les autres royautés, ce dernier personnage prenant rapidement son autonomie, jusqu'à évincer le roi dans l'ordre hiérarchique, le commerçant des biens étant à son tour évincé par le commerçant ultime, celui de la finance et des assurances. Pour connaître à nouveau un tel état d'épanouissement, dont le souvenir s'est conservé dans notre patrimoine génétique, un courant de pensée s'est développée, égalitariste, dont les premières expressions structurées ont été « Le Manifeste des égaux » du révolutionnaire français Sylvain Maréchal, et le courant anarchiste européen de la fin du 19ème siècle (lien : http://www.aredam.net/le-manifeste-des-egaux-sylvain-marechal.html ). Ce premier texte, suivi de ceux des anarchistes, posait le principe de l'égalité réelle, c'est à dire en biens et jouissances, ce qui est à l'opposée de la fameuse « égalité en droits », qui n'est qu'une imposture, servant à pérenniser le régime inégalitaire et oppressif, et à dissimuler l'inégalité de fait en droit qui ne peut que se perpétuer du fait de l'inégalité en biens et jouissances. C'est le régime actuel des fausses démocraties, démocraties vides ou fantômes, où les personnages des politiciens, syndicalistes et professionnels des associations, ne servent qu'à maintenir la population dans un état léthargique, autorisant ceux qui détiennent le pouvoir réel sur l'économie, de jouir sans opposition de leur position dominante. Seuls ceux-là possèdent des droits.
Exposé de la synthèse des données existentielles apportées par les sciences naturelles modernes, dont celles traitant de l'évolution générale et de la génétique. Cette synthèse doit être présente à l'esprit de ceux qui désirent affronter les problèmes globaux qui se posent à notre époque, car ce qu'on doit conclure de cette synthèse ne peut que guider sa vision et sa compréhension des événements actuels, et structurer sa pensée, cela dans le seul but d'exercer son choix. (Bibliographie : Stephen Jay Gould « L'éventail du vivant », Gregory Bateson « La nature et la pensée »)
Tout d'abord, la pensée, l'esprit, n'est que le fruit de l’arrangement de la matière. L'âme, dieu, « les » esprits, ne sont que des imaginations issues de la matière. Nos idées, philosophies, sentiments, constructions intellectuelles politiques (et religieuses), nos ambitions, nos colères, nos décisions, notre mode de vie, ne sont que les effets de mécanismes biologiques matériels. L'être est un mécanisme, l'homme comme les autres êtres, et la matière qu'on dit improprement inanimée. C'est si exact que les polices politiques du monde entier s'empressent de relever systématiquement le code génétique des dissidents, dans l'espoir d'en extirper les séquences récurrentes des gènes spécifiques à ces derniers, dans le but de discriminer « dans l’œuf », les fauteurs de troubles sociaux. A ce stade, il faut préciser que ceux qu'on nomme « dissidents politiques », ne sont qu'une forme mineure de la dissidence, un forme qu'on peut même qualifier d'inférieure, de négligeable, de dévoyée. Le dissident vrai ne s'occupe même pas de la société, car il est trop différent de l'humain normal qu'il ne peut même pas se référer au groupe humain normal. Ce qui caractérise le dissident vrai , c'est qu'il n'est pas une mécanique, qu'il ne fonctionne pas. Il est le fruit d'un changement évolutif qui a provoqué l'émergence d'un caractère asocial au sens global qui dépasse le sens couramment admis d'asocial, une « asocialité » au sens universel. Il n'est plus un élément d'un ensemble, d'un système. Il peut apparaître comme un inutile, un parasite. Un dissident vrai ne fonctionne pas à l'inverse de l'humain normal. Tous les dissidents sont des cas uniques, les dissidents politiques n'étant qu'une forme abâtardie du dissident vrai, située entre l'humain normal, qui n'est qu'un rouage d'un système, et le dissident vrai, qui est le total étranger à tout système, qui est seul au sein de l'univers, face aux milliards de soleil et à l'immensité de l'existant. Les dissidents vrais ne font qu'exceptionnellement parler d'eux. L'un des rares qui s'est adonné à l'expression publique est celui américain qui a été Theodore Kaczynski surnommé « Unabomber ». Un autre, français, était Richard Durn. Et ces deux-là sont sans doute les plus accessibles pour la masse des normaux (dominants et populaires) parmi les dissidents vrais, et donc parmi les plus anodins, conventionnels. Les dissidents vrais ne forment pas une élite. Ils existent hors de l'échelle des valeurs de la normalité. Le but discret d'un tel texte, qui ne s'adresse qu'aux très rares dissidents vrais qui s'occupent des affaires publiques, est de favoriser une prise de conscience dans l'ensemble global des dissidents (ceux qui s'intéressent ou non aux affaires publiques), de leur caractère propre, et du devoir que tout dissident devrait éprouver, d'influer dans les affaires publiques humaines, ne serait-ce que pour préserver les autres formes de vie, ce qui est mon choix personnel, cela par pur amour. Le projet de créer un réseau de dissidents vrais se heurte à l'omniprésence des polices politiques qui le noyauteront immédiatement, et parmi ces polices politiques, à celle, unique, qu'on peut considérer comme le distillat ultime de tous leurs venins, qui à elle seule concentre toutes leurs toxines, qui tend à noyauter toutes les autres et à les assujettir, dont les membres sont ethniquement homogènes, des sortes de peste existentielle, et qu'il est interdit de nommer, qui d'ailleurs n'existe pas, et qu'on peut identifier sans effort grâce à ces deux caractéristiques. Deuxièmement, nous sommes fondamentalement libres. Il n'existe pas de détermination, de finalité, de tendance dans l'évolution, ni au plus complexe, ni au progrès, ni au meilleur, ni au bien, ni au mal, ni même une soi-disant détermination à la survie du soi-disant plus apte. L'univers, ce qui existe est indifférent, neutre, a-déterminé, dépourvu de sens, et surtout a-hiérarchique. Toutes les formes de la vie, et celles que prennent la matière qu'on dénomme improprement inanimée, sont à considérer de la même façon, et à situer sur un pied d'égalité, depuis la structure d'une pierre, une molécule d'air, un virus, une bactérie, ou l'humain. On peut choisir sa manière d'être, car il n'existe pas de valeurs de directions, de repères, indiquant ce qui est profitable, bénéfique, souhaitable. Ces notions sont d'ailleurs inexistantes. Sa manière de vivre peut être totalement destructrice, et n'entraîner que le malheur, la souffrance, et à court terme sa propre destruction et celles des autres espèces, comme c'est le cas actuellement. C'est indifférent. On peut aussi faire d'autres choix. C'est aussi indifférent. Il n'y a pas de compte à rendre, et personne à qui les rendre. Nous ne sommes redevables de nos actes à quiconque. Il n'y aura pas plus de récompense à agir en répandant le bonheur et en étant soi-même heureux et épanouis, qu'en cultivant systématiquement le malheur, l'absurdité et le désespoir, comme c'est le cas. Car nous sommes entièrement libre, la liberté étant inhérente à l'existant. La conscience de cette liberté doit seule nous guider, et décider du choix de notre manière d'être. On peut très bien choisir le malheur, comme choisir d'être heureux. C'est égal.
Comment se représenter les pouvoirs actuels qui dominent la planète humaine ? S'il est un domaine social qui est évité par les sociologues, c'est bien celui-ci. Seul Michel Seurat s'y est risqué en ce qui concerne le pouvoir en Syrie, est cela l'a perdu (lire son ouvrage « L'Etat de barbarie ». En ce qui concerne la fameuse Syrie, lire l'ouvrage du géographe politique Fabrice Balanche « La région alaouite et le pouvoir syrien »). Les sociologues ne sont que des techniciens domestiques au service des pouvoirs, des sortes d'agents de renseignement universitaires, qui alimentent en données intellectuelles les services de répression des masses, de ces pouvoirs. C'est ce qu'on nomme les « sciences humaines », dont l'exemple type s'exerce à Paris, à l'EHESS (l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales) (un autre exemple type est Laurent Mucchielli, qui travaille sur les problèmes de sécurité publique http://www.laurent-mucchielli.org/ ). Malgré ce qui constitue un véritable trou noir dans le réel (la connaissance des structures de pouvoirs), un effort va être fait pour tenter de discerner les constructions internes des pouvoirs mondiaux, tant dans leur globalité que dans leurs spécificités, concernant ceux d'Occident, des juifs, des russes, des chinois et autres.
Du niveau global au plus particulier
Un mouvement d'uniformisation et de « médiocrisation » Un simple coup d’œil suffit à convaincre qu'une uniformisation générale de tous les peuples s'est imposée sur toute la planète. Même mode de vie tristement stéréotypé, même architecture insipide, même langue anglaise appauvrie, même nourriture toxique, même sous-« culture », même système économique, même gadgets inutiles, même idéologie pseudo démocratique et des droits de l'homme, même inégalitarisme qui est considéré comme le socle naturel de la vie sociale, même décompte de ces tristes et sinistres milliardaires, qu'ils soient américains, européens, russes, chinois, indiens et maintenant africains (tiens, comme c'est curieux, on ne voit pas apparaître de statistique concernant les milliardaires juifs. Les statisticiens seraient-ils tous des vilains antisémites ? Ou bien tous juifs ?) etc …
Un mouvement de fragmentation des communautés et d'isolement social, de disparition de l'intimité et de pénétration totale par la police politique A l'exemple de la société occidentale (USA-Europe), toutes les sociétés dans le monde subissent une fracturation qui implacablement tend à leur atomisation, toute structure communautaire solidarisant les individus étant peu à peu dissoute. L'individu tend à devenir totalement isolé des autres individus. A cette absence de liaison sociale et de groupe d'appartenance se substituent des liens d'appartenance artificiels, factices, dont ceux informatiques actuels dits « réseaux sociaux », entièrement contrôlés par les polices politiques générales, toute communication interindividuelle se devant être d'être tenue en public et de plus se devant de traverser le bureau des écoutes. Ce régime général fait l'objet d'exceptions, qui ne sont qu'en apparence des exceptions. Il s'agit en premier lieu des juifs, qui au contraire du mouvement général ne font que renforcer sans cesse la solidité de leur groupe. Ceci est une réalité. La cohésion du groupe juif en tant que tel se renforce effectivement. Toutefois, l'individu juif est totalement dépersonnalisé. Il perd toute individualité, tant qu'on ne doit pas utiliser le terme « individu » en ce qui concerne un juif. Un juif est totalement désindividualisé. Il n'est plus qu'une pièce dans un système. C'est le cas extrême de dépersonnalisation, de désindividualisation, de toute la communauté humaine. Ce n'est plus une personne mais un objet d'un système. Aussi, on ne peut parler de communauté humaine en ce qui concerne la communauté juive, mais d'un système, et de plus asocial. Le système juif n'est plus une société. C'est en ce sens que l'exception juive n'en n'est pas une, car on ne peut mettre sur le même plan les communautés humaines non-juives et le système juif. De même, les individus appartenant aux « élites », aux castes des pouvoirs, ne sont évidemment pas soumis aux régimes de fragmentation et d'isolement, et de privation de toute intimité et à la perte de tout secret. Mais de même que pour les juifs, ce n'est qu'une apparence d'exception, car l'appartenance aux cercles de la dominance entraîne obligatoirement la dépersonnalisation, la désindividualisation, et réduit ceux qui en sont les victimes à des non-humains, des non-êtres, à de simples objets d'un système. On ne peut parler de communauté en ce qui concerne les milieux du pouvoir, ni d'individus en ce qui concerne ceux qui gravitent dans ces milieux. Aussi, il ne peut y avoir de désintégration des communautés des pouvoirs, car le concept de communauté au sein de ces cercles n'existe pas.
Première conclusion Au fond, ce à quoi nous assistons, globalement, est l'identification de l'individu appartenant à l'ensemble de la population humaine dominée, au non-être appartenant à l'ensemble de la population déshumanisé dominante. Il s'agit encore là d'un processus d'uniformisation. Tout cela exprimé plus directement : l'esclave est devenu la copie du maître, ou encore, les esclaves sont devenus les ombres de leurs maîtres …
Introduction aux problèmes globaux objectifs, une approche au mur du réel.
Japon, Fukushima (2011, année de la catastrophe de la centrale atomique), poisson génétiquement modifié par les radiations, pêché en 2013. Photographie tirée du site http://aipri.blogspot.com/
Une énumération du plus grave au plus léger des problèmes frappant l'humanité, et auxquels elle ne fait pas face. L'éxagération extraordinaire de la population humaine. Plus de 7 milliards actuels, 10 milliards prévus en 2050, plus de 11 milliards en 2100. On peut considérer qu'il y a déjà trois fois trop d'humains sur la planète pour même qu'à très court terme la vie soit supportable pour tous, et pour les autres formes de vie. Nous devrions nous limiter à un maximum de 2 milliards d'individus. Cette extraordinaire démographie entraîne à elle seule tous les autres problèmes. Le réchauffement climatique (diminution des productions alimentaires). La disparition progressive de surfaces de terres arables (diminution des productions alimentaires) et de forêts primaires. La stérilisation progressive des terres arables (diminution des productions alimentaires). L'épuisement des principales sources d'énergie (pétrole à très court terme, uranium à court terme, gaz à moyen terme, charbon à plus long terme), dont l'effet immédiat est la diminution des productions alimentaires, car toute la production alimentaire mondiale repose maintenant sur ces sources d'énergie, dont la production d'engrais. L'empoisonnement multiforme et généralisé de tout l'environnement affectant toutes les espèces vivantes. La disparition de nombres d'espèces animales dites évoluées. La dégénérescence physique, mentale, morale et culturelle de la population humaine.
Toutefois, concernant la pérennité de la vie, il n'y a aucune raison de s'inquiéter. La majeure partie de la « biomasse » terrestre est constituée des bactéries, qui occupent toutes les niches écologiques possibles, à condition qu'il y existe de l'eau sous forme fluide. La majeure partie de cette biomasse bactérienne demeure sous la surface du sol, jusqu'à 5 km de profondeur, dans les pores des roches. Etendue sur la surface de la planète, cette biomasse la recouvrirait entièrement, océans compris, et sur une épaisseur d'un mètre et demi. De plus, l'autre forme de vie dominante sur la planète Terre sont les arthropodes, dont la majeure partie sont des insectes. La branche humaine et celle des espèces dites évoluées ne constituent que d'infimes ramilles dans l'arbre très touffus de la vie, et de plus très courtes et très tardives (les bactéries existent depuis plus de trois milliards d'années, l'humanité selon les évaluations subjectives et empreintes d'idéologies depuis deux million à 50 000 ans). La disparition de l'humanité n'a aucune conséquence quant à la sauvegarde de la vie en général. Les bactéries et les arthropodes survivront à tout empoisonnement de la planète, et une partie d'entre-eux évoluera ou non (c'est indifférent) vers des formes dites évoluées. Certains considèrent que de multiples planètes possèdent les conditions nécessaires à l'apparition de la vie dont les premières formes sont les bactéries, qui sont capables de s'adapter à quasiment toutes les conditions possibles d'environnement à condition qu'il y existe de l'eau sous la forme fluide, ce qui est déjà probablement le cas d'une demi douzaine de planètes au sein du seul système solaire. Il semble qu'au contraire de ce que nous ont « enseigné » les religions, la vie ne soit pas un phénomène exceptionnel, sacré, mais qu'elle soit probablement apparue spontanément dans une infinité d'endroits dans l'univers, et sans doute continue d'apparaître. Il n'y a donc pas lieu d'être pessimiste par rapport à notre petite et dérisoire histoire locale qui visiblement tourne mal. Quant à la discrimination que nous faisons entre les formes de vie dotées de conscience, comme la nôtre, et celles qui n'auraient pas de conscience, il ne peut s'agir encore une fois que d'opinions formées par les antiques propagandes religieuse, dont celle chrétienne qui considérait il y a peu que les femmes étaient dépourvues d' « âme », et les animaux n'étaient que des mécaniques. Il est probable que ceux qui professaient ce type de doctrine étaient réellement dépourvus de conscience. Evidemment, ceux qui se considéraient comme dotés d'une conscience ne se considéraient pas eux comme des mécanismes biologiques. Il est vrai que pour ce type d'engeance, qui veut croire que le monde a été créé il y a environ 5000 ans (cas des juifs, des chrétiens et des musulmans), que nos ancêtres soient des bactéries apparues il y a trois milliards et demi d'années dans un univers vieux de treize milliards d'années, la sortie du réel est leur nature vraie. Pour clore temporairement sans regret cet aparté relatif à la sacrée liberté de culte, de croyance, de conviction, je ne peux omettre d'évoquer que les connaissances en génétique exposent que la femme constitue le « modèle de base » dans l'espèce humaine. Cela signifie que le type génomique féminin est la base sur laquelle se fabrique les deux sexes dans l'espèce humaine. Pour obtenir un humain de sexe masculin, le génotype féminin basique est simplement modifiée par un seul chromosome. La femme ne naît pas d'une côte de l'homme, comme le dit la bible juive, chrétienne, et la croyance islamique qui découle de ces deux religions, mais c'est exactement l'inverse si l'on peux dire. L'homme n'est qu'une femelle à peine modifiée. On peut aussi un peu compliquer les choses. La génétique nous apprend aussi que le développement de l'embryon peut s'orienter vers un individu qui a l'apparence d'un des deux sexes, mais qui psychologiquement et pour certaines fonctions physiologiques, est de sexe opposé. Il y a même des individus qui possèdent les deux sexes parfaitement, mais c'est rare. Pour ceux qui tiennent à ce que le genre masculin soit le modèle, prédominant, qu'ils se rassurent, la nature est généreuse. Chez d'autres espèces, c'est le cas. Ils n'ont plus qu'à convertir certains passages de la bible, où il est question que dieu ait créé l'homme à son image, et à remplacer dans l'iconographie les représentations de dieu comme un humain à grande barbe, par celle d'un tatou par exemple. Un tatou avec une barbichette bien sûr. Ils n'ont qu'à consulter un spécialiste en sciences naturelles, et à se faire communiquer la liste des espèces où le masculin est le modèle de base, et à choisir. Pourquoi pas la mante religieuse ? Non, quand même, c'est la femelle qui dévore son mâle après l'accouplement. Cela ne fait ni très islamique, ni chrétien ni juif. Comme c'est compliqué … C'est pourquoi si il faut absolument choisir un dieu, un seul convient et je vais vous dire lequel. Les bactéries sont les briques de la vie. Ce sont elles qui ont formé les cellules qui constituent notre corps, les corps de plantes et des autres animaux, de tous les êtres qui existent. Les plus anciennes bactéries ne sont pas seulement nos ancêtres, mais continuent à vivre en nous à travers nos cellules qui ne sont que celles-ci transformées après de multiples changements. Si il faut choisir un dieu, c'est le dieu bactérie, et il a en effet créé l'homme à son image, car ce dernier n'est qu'un assemblage de bactéries transformées.
Maintenant nous allons passer à des choses très secondaires, celles du monde proprement social humain, et tenter de décrire la réalité des pouvoirs existants à cette ère post défaite de Syrie. Pour commencer, il faut citer ce passage d'un document d'analyse traitant de la mafia sicilienne, organisée en « coupole », ou commission suprême réunissant les chefs des principales familles mafieuse de Sicile. Ce document attirait l'attention sur le fait que tous ces chefs mafieux du plus haut rang passaient leur temps à s'interroger sur ce que tramait les autres chefs, et tentaient de comprendre ce qui s'organisait au-dehors d'eux, tant la réalité du monde mafieux que pourtant ils pénétraient au plus profond, restait opaque pour chacun d'eux.
Progression empirique dans l'obscurité des cercles centraux du pouvoir actuel
Concrètement : Qui commande ?
Une première réponse : Il est facile et avec très peu de moyen, de connaître qui ne commande pas. Pour ce faire, il suffit de prendre un exemplaire de l'organe populaire de contention de l'esprit de masse, le quotidien français Le Parisien. Il suffit d'avancer depuis la page de couverture jusqu'à son dos de couverture. Les premières pages sont toujours consacrées à la faction des politiciens. Je peux en conclure que les politiciens n'ont aucun pouvoir. On peut élargir la notion de faction des politiciens en y incorporant les syndicalistes, les journalistes, les employés à la distraction des masses (chanteurs, acteurs, écrivains etc …), et les associatifs (lesquels n'apparaissent que rarement dans Le Parisien). Aux éléments appartenant à la factions des politiciens, on peut ajouter les éléments techniques, tels ceux des administrations, militaires, policiers, spécialistes des finances, de la santé et autres domaines de gestion de la masse. Ceux-là encore une fois, ne comptent pas, n'ont aucun pouvoir réel. Les pages suivantes du Parisien sont consacrées à la masse, avec une spécialité hilarante de ce journal, qui donne superbement dans le comique de dérision, avec sa brochette de têtes de zigs tirés du néant de la masse, brochette de têtes dont on renouvelle chaque jour la fraîcheur à l'étal : Exemple : Le Parisien du samedi 12 octobre 2013, page 3 (on demande l'avis sur la guerre économique mondiale à trois membres du bétail !)
Première conclusion : Les forces qui commandent en Occident n'apparaissent pas au grand jour. Elles restent inconnues, et c'est un travail que de les discerner. Certaines choses sont sûres. Ceux qui apparaissent au jour ne possèdent aucun pouvoir, comme ceux qui sont évoqués ci-dessus.
Seconde constatation : Provenant de mon expérience dans le domaine de la guerre mondiale, et de mon passage sur le terrain associatif parisien, je m'interroge sur deux constatations : Dans le domaine crucial de la défense de la cause palestinienne, comment se fait-il que l'une des plus étranges organisations qui œuvrent dans ce secteur, qui est à la pointe dans le domaine primordial de cette cause, le boycott d'Israël, soit en relation - par sa dirigeante - et cela de façon très très étroite, avec l'industrie pharmaceutique, industrie qui n'est elle-même qu'une émanation du secteur pétrochimique (il s'agit de l'organisation CAPJO-Europalestine, site internet http://europalestine.org/ ). Comment se fait-il
que toutes les principales têtes
dirigeantes de l'organisation occidentale d'influence
diplomato-politico-stratégique (en fait américaine)
Amnesty France, soient liées et cela très très
étroitement, au secteur
pétrochimique ?
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