Recherche de la
source psychologique du malheur humain, le « double
bind » ; l'exemple de la lignée
judaïsme-christianisme-islam, son antithèse ;
les exemples du taoïsme et du bouddhisme, et la conséquence
du « double bind », la seule réaction
possible face au double bind, la fuite de soi ;
les exemples de la « conquête spatiale »,
d'ITER (International Thermonuclear Experimental Reactor) et
de la cybernétique.
Suite n° 3 de ce texte
: http://www.aredam.net/source-du-malheur-humain-double-bind-judaisme-christianisme-islam-suite-3.html
Suite n° 2 de ce
texte : http://www.aredam.net/source-du-malheur-humain-double-bind-judaisme-christianisme-islam-suite-2.html
Suite
n° 1 de ce
texte : http://www.aredam.net/source-du-malheur-humain-double-bind-judaisme-christianisme-islam-suite-1.html
Texte
originel
: http://www.aredam.net/source-du-malheur-humain-double-bind-judaisme-christianisme-islam.html
Troisième suite :
Le fait
de la souffrance.
Selon l'escroc intellectuel et moral
Alexandra David Néel, dont les écrits sont
paradoxalement sans comparaison plus pertinents sur le bouddhisme
que ceux des autres spécialistes occidentaux et orientaux
sur ce sujet, l'unique propos du bouddhisme est la libération
de la souffrance.
Comme le taoïsme, le bouddhisme
affronte sans échappatoire l'essence du mal-être
humain, sans refuge dans une religion, et leurs espoirs factices,
ni inventions d'êtres supérieurs omnipotents,
miracles, paradis, vie après la mort, récompenses,
mondes surnaturels, entités surnaturelles et autres
farces.
Le bouddhisme et le taoïsme traitent de la
souffrance intrinsèque à être, car il y a une
souffrance intrinsèque au fait même d'être,
qui est déniée dans ce qu'on nomme religions, et
dans quasiment toutes les cultures autres que celles
orientales.
Toutefois, le bouddhisme et le taoïsme
n'ont pu faire œuvre intègre en raison de l'époque
antique où ils sont apparus (500 ans avant le personnage
de fiction juif dit Jésus Christ), où aucune
construction intellectuelle n'aurait été tolérée
et propagée faisant état que la cause principale de
la souffrance humaine résulte de l'état politique
d'inégalité, et que seul l'état d'égalité
réelle, soit en possessions et avantages, et de plus
étendue aux autres règnes du vivant, impliquant un
partage de l'espace vital et des ressources avec les autres
espèces, donc que seul cet état d'égalité
réelle, permet de résoudre le problème de la
souffrance d'être.
Il est vain de traiter de
l'impermanence comme cause de la souffrance d'être comme le
fait le bouddhisme, ou de la rupture de l'être individuel
avec l'unité primordiale comme le fait le taoïsme, si
l'état d'égalité social, économique
et politique n'est pas instauré, incluant les autres
espèces et toutes les formes de vie.
De plus, cet
état d'égalité est en parfaite cohérence
avec l'esprit du taoïsme, puisque seule l'égalité
entre tous les êtres réalise dans le domaine
temporel une communauté similaire à l'unité
primordiale.
Sans état d'égalité,
l'humanité disparaîtra, en entraînant dans son
anéantissement d'autres espèces, et c'est ce qui
est en train d'arriver, à grande allure. Il n'y a pas
d'autres remèdes à la chute fatidique qui ne cesse
de s'accélérer que de parvenir à un état
d'égalité réelle.
La
souffrance vue par les religions de la lignée proche
orientale (judaïsme, christianisme et islam).
Il est
très probable que le judaïsme ait été
une création de toutes pièces ayant eu lieu entre
500 à 600 ans avant le fictif J.C., création du
fait d'une clique appartenant au pouvoir central perse, la Perse
ayant conquis le proche-orient.
On ne saura jamais les
tenants et aboutissants de cette manipulation, qui a utilisé
une partie de la population indigène, qui a été
dénommée ultérieurement juive.
Il
suffit de regarder les intrications des forces ayant concourues à
l'instauration de l'actuelle Israël pour avoir une idée
de la complexité qui peut exister lors d'opérations
politiques de ce type.
Le judaïsme est fondé
sur la souffrance, et à l'opposé de tenter de
résoudre l'état de souffrance intrinsèque à
l'être, ce qui est un système de conditionnement
mental le renforce pour l'utiliser comme outil d'asservissement
appliqué à maintenir sous le joug les
populations.
Les christianisme et islam possèdent
évidemment cette même détermination
fondamentale, seules leurs modes opératoires
diffèrent.
Le bouddhisme et le taoïsme sont
une recherche des causes fondamentales de la souffrance d'être,
et de solutions, le judaïsme, le christianisme et l'islam
sont à l'opposé le renforcement de la souffrance
d'être, et l'interdiction de toute échappatoire.
Le
judaïsme est l'exemple type de l'instauration d'un état
de souffrance inséparable de l'état d'inégalité,
souffrance et inégalité étant les deux faces
d'un même système, celui de rupture d'avec l'unité
primordiale qui est au centre de la conception intellectuelle du
taoïsme.
L'état d'inégalité, ou
état de malheur, de souffrance, est amené par ces
systèmes fondés
sur l'élitisme, sur
l'idée de supériorité, de
race supérieure, de
peuple guide, tel le judaïsme, et dans une moindre mesure,
l'hindouisme, fondé sur les castes.
Les
christianisme et islam portent en eux le même principe
d'inégalité, d'élitisme, mais aménagé
par des circonstances historiques et culturelles différentes.
Le marxisme est de même une extension du judaïsme,
avec son peuple élu, le prolétariat, qui n'est
qu'une simpliste inversion des valeurs, conservant la structure
fondamentale d'inégalité, les derniers devenant les
premiers comme dans la religion chrétienne, promus
dominants. Le slogan d'une société future sans
classe n'étant énoncé que pour légitimer
l'illégitime justification de ne pas instaurer l'égalité
réelle « ici et maintenant ».
Nous
assistons maintenant à l'instauration d'un règne de
la souffrance, du malheur, avec ce conglomérat dit
terroriste des trois religions, judaïsme, christianisme et
islam, sous les dénominations de DAESCH ou ISIS, Al Qaida,
et autres, qui ne sont que les outils des organes militaires des
trois cultures juive, chrétienne et musulmanes.
Par
un effet retour, la souffrance devient indispensable pour
maintenir l'état d'inégalité, et est même
la condition indispensable à cet état, alors que
l'inégalité est à l'origine de la
souffrance.
En effet, seule l'application de la souffrance
contraint l'individu à adhérer au monde factice
créé par les systèmes inégalitaires
tels ceux engendrés par les cultures juive, chrétienne
et musulmanes.
On le voit avec les exécutions
sadiques opérées par les troupes de mercenaires
formées par les services secrets juif, occidentaux et
musulmans de l'ISIS, les tortures de Guantánamo.
Mais
on trouve ce même principe d'application de la souffrance
pour forcer à l'adhésion à l'irréalité,
avec les supplices appliqués aux femmes dans l’hindouisme,
les tortures de l'inquisition chrétienne, celles de procès
de Moscou, et celles décrites par George Orwell dans son
roman 1984.
La civilisation
judéo-chrétienno-musulmane, fondée sur
l'inégalité et la souffrance, est arrivée à
son apogée, et nous sommes dans l'ère qu'on peut
dénommer de l'atroce, du cauchemar, précédent
celle de l'effondrement.
Michel Dakar, Villequier, le
7 septembre 2015.
Annexe :
Bibliographie :
Tchouang-tseu
Oeuvre complète Folio essais Gallimard 1969 Préfacé,
traduit du chinois et annoté par Liou Kia-hway
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