Bureau d’Analyses Stratégiques Globales Anti-siono-capitaliste – BASGA.

Communiqué n° 14, du 20 avril 2006

« Pour qui sonne le glas ? Mais pour toi, voyons ! »

 

Etude du cas Israël Adam Shamir, et conclusions générales.

 

Israël Adam Shamir a commis un nouveau texte, dont le titre « Pour qui sonne le glas ? Mais pour toi ! », est à la fois le résumé de son contenu, la démonstration de son objectif, qui est la démoralisation des anti-sionistes et des opposants à l’ordre universel siono-capitaliste, auxquels ce texte est destiné, et la démonstration de la réalité gardée cachée de Shamir, soit d’être l’un de ces nombreux agents d’influence sionistes, chargés d’intoxiquer les milieux anti-sionistes occidentaux.

Un second élément met en évidence la qualité cachée de Shamir. Cet élément est un passage de son livre « L’Autre visage d’Israël », passage relatif aux attentats suicide qu’on impute aux Palestiniens, exercés à l’encontre des israéliens. Selon Shamir, ces attentats sont au regard de la propagande contre-productifs, et pour cela devraient être abandonnés, outre que probablement, la plupart de ces attentats sont téléguidés par les services spéciaux israéliens (ce qui est très probable, et dans ce cas, on ne voit pas pourquoi perdre son temps à conseiller publiquement à leurs auteurs de les abandonner). Ces attentats servent en effet d’évidence la propagande israélienne pour ressouder la communauté juive autour de ses chefs, lui faire haïr les Palestiniens et plus largement les Arabes, justifier l’anéantissement des Palestiniens, justifier l’assassinat des dirigeants palestiniens, blanchir les Israéliens aux yeux de l’opinion publique, entre autres profits. Rien que pour l’ensemble de ces raisons, on peut en déduire que la plupart des attentats suicide palestiniens, sont sinon organisés, du moins induits, par les Israéliens.

Or, la seule raison valable pour proscrire la pratique de ces attentats, ne peut apparaître que dans l’esprit d’un vrai anti-sioniste, ce qui n’est d’évidence pas celui de Shamir.

Cette raison est que la véritable et seule défaite, face aux sionistes, est de finir par leur ressembler, de devenir comme eux, soit d’user du crime de masse et du mensonge, de devenir complètement amoral .

En effet, la seule chance de victoire des sionistes, la seule chance de perdurer du régime siono-capitaliste mondial, est de parvenir à transformer tous les humaines de la planète à l’image de l’homme idéal sioniste et capitaliste.

De cela Shamir, en tant qu’agent d’influence sioniste, en a l’intuition, et il sait inconsciemment que la seule ressource du réduit sioniste, qui est devenu la fraction dirigeante de l’actuel régime terroriste totalitaire mondial, est de démoraliser ses adversaires, soit de les convaincre de se rendre à l’évidence présentée comme étant la réalité par les sionistes, que le combat est perdu d’avance, que les sionistes sont trop puissants, et que leurs opposants doivent se rendre sans combattre, se soumettre.

Or, l’analyse globale de la situation actuelle prouve exactement le contraire. Il n’est même pas au fond besoin de lutter de front pour mener le siono-capitalisme au gouffre où il se dirige très bien tout seul, et à une vitesse de plus en plus grande, dans la seule tactique qui visiblement lui reste possible, soit la fuite en avant de manière sans cesse accélérée.

Il n’est besoin pour lui résister et pour le vaincre, que de rester soi-même.

Jamais un dominant n’a été aussi fragile car si radicalement coupé de la masse qu’il domine. La base de la pyramide qui porte et subie cette tête, lui est totalement désolidarisée et ne lui est plus reliée que par des sentiments négatifs, tels que la peur allant jusqu’à la terreur, et les seules méthodes de cette tête pour garder le lien à sa base, ne sont plus que de l’ordre de la contrainte, de la coercition, de la corruption, de la compromission, du chantage et de la menace.

Si un vrai sondage était réalisé, au sujet de l’accord de la population avec le régime dominant et ses maîtres, sa conclusion serait effrayante pour ces derniers, qui ne vivent plus que dans l’auto-persuation et l’auto-congratulation permanentes, servies à jets continus par leurs médias.

Jamais le pouvoir de tête n’a été en aussi mauvaise posture, car sous la lumière impitoyable et crue révélant son caractère constitutivement criminel et néfaste aux yeux de tous, pouvoir symbolisé par l’Etat d’Israël et par son génocide rampant, mis en œuvre par une bande de fanatiques entièrement décervelés.

Le roi est nu, seul sur la plate-forme au haut de la pyramide, sans un seul angle mort où il puisse un seul moment se dissimuler des regards de l’immensité qui le réprouve.

Il ne peut plus que noyer la masse sous les flots constamment grossis de ses fleuves de mensonges, pour ne pas entendre le chant immense de répugnance, de rejet et d’hostilité que cette masse lui envoie à chaque instant.

Shamir, le faux converti au christianisme (religion qui n’est que l’enrobage dans du sucre, du judaïsme), faux antisioniste, a aussi dans son ouvrage (du moins qui porte sa signature, et qui doit plutôt être une oeuvre collective, de divers bureaux …) « L’Autre visage d’Israël », a encore intuitivement défini ce que sont les sionistes, en les comparant aux « MORLOCKS », des êtres du futur, tirés du roman d’anticipation du 19 ème siècle, de H. G. Wells, « La Machine à remonter le temps » :

« Ils avaient exactement la couleur livide qu’ont les vers et les animaux conservés dans l’alcool, tels qu’on les voit dans les musées zoologiques. Au toucher, ils étaient d’un froid répugnant. »

« Il me vint à ce moment à l’esprit que dans très peu de jours la lune serait nouvelle et que les apparitions de ces déplaisantes créatures souterraines, de ces blêmes lémuriens, de cette vermine qui avait remplacé l’ancienne, se multiplierait. »

« Vivant comme ils le faisaient, dans ce qui me paraissaient d’impénétrables ténèbres, leurs yeux étaient anormalement grands et sensibles, comme le sont ceux des poissons des grandes profondeurs, et ils réfléchissaient la lumière de la même façon. »

« J’essayais de les appeler, mais le langage qu’ils parlaient était apparemment différent de celui des gens d’au-dessus. »

« Un peu plus bas, vers le centre, j’apercevais une petite table de métal blanchâtre, sur laquelle semblait être servi un repas. Les Morlocks, en tout cas, étaient carnivores ! A ce moment-là même, je me rappelle m’être demandé quel grand animal pouvait avoir survécu pour fournir la grosse pièce saignante que je voyais. »

« Vous pouvez difficilement vous imaginer combien ils paraissaient peu humains et nauséabonds – la face blême et sans menton, et leurs grands yeux d’un gris rosâtre sans paupières – tandis qu’ils s’arrêtaient aveuglés et égarés. »

Voilà ce que sera l’ « humanité » du futur, s’il n’en reste que les Morlocks.

Le champ essentiel de la lutte est passé des plans militaire et économique, à celui spirituel.

Le siono-capitalisme est un fruit pourri de l’évolution, de l’arbre de la vie, un fruit pourri qui a une existence propre, qui ne veut pas disparaître, et pour durer, qui doit entraîner le pourrissement de la branche qui le soutien, puis de tout l’arbre.

La voie est simple et lumineuse pour ceux qui s’opposent à l’ordre siono-capitaliste.

Il suffit de prendre à l’envers les valeurs sacrées du siono-capitalisme pour connaître ce qui rend une société viable.

Pas d’exploitation, pas de profit sur la vie et le travail d’autrui, pas de commerce, pas d’accaparement, pas d’appropriation, pas d’accumulation, pas de domination, pas d’élitisme, pas de privilèges, pas d’exclusivisme, pas de ségrégation et de discrimination, respect et place à toutes les formes de la vie, agir en dehors de son intérêt propre, reconnaître chaque individu comme une totalité et une originalité, une unicité, et son épanouissement comme aussi légitime et à égalité avec celui du groupe, voilà le chemin d’avenir, juste à l’opposé de celui dans lequel cherchent à entraîner toute l’humanité, ces êtres du passé qui ne veulent pas se rendre à la poussière, les Morlocks, si bien nommés pas l’agent sioniste d’influence Shamir.

Made in Baalbek by Aboul l’Oignon.