Un officier des Renseignements généraux français (RG) écarté du

dossier sectes pour avoir rédigé une thèse sur la Scientologie !

Comment la droite protège les sectes de la police (Charlie Hebdo, hors série N° 18 - mai 2004)

 

Comment la droite française protège les sectes de la police

Charlie Hebdo, hors série N° 18, mai 2004 par Antonio Fischetti

[Texte intégral]

dessin de Tignous

Un officier des RG, Arnaud Palisson, s'est vu écarté du dossier des sectes pour avoir rédigé une thèse sur la Scientologie. L'affaire illustre bien la politique du gouvernement de droite. Depuis la réélection de Chirac en 2001, les consignes du gouvernement se font de plus en plus claires pas touche aux sectes.

Au départ, Arnaud Palisson est un spécialiste du droit. Il décide alors de consacrer sa thèse de doctorat à la Scientologie. Avec tous les délits commis par la secte, ce n'est pas a matière qui manque. En même temps qu'il bûche sa thèse, il entre aux Renseignements généraux, où il devient le Monsieur Scientologie. Jusque-là, tout va bien. Mais c'était une époque d'avant Raffarin-Sarkozy.

Les ennuis d'Arnaud Palisson commencent quand il soutient sa thèse, en 2002. La Scientologie cherche d'abord à faire annuler le doctorat auprès du tribunal administratif. «Car M. Palisson est un fonctionnaire de police et il a fait cette thèse dans le cadre de ses fonctions», bredouille Danielle Gounord, porte-parole de la secte.

La requête est (heureusement) rejetée et Arnaud Palisson obtient son doctorat. Il en fait alors un livre (1). Re-pressions auprès de l'éditeur, Pierre-Marcel Favre : «Les scientologues m'ont téléphoné pour chercher à me rencontrer, mais j'ai refusé.» En revanche, aucune plainte contre le livre. «Car c'est un bouquin sans valeur», explique Danielle Gounord. Tu parles, la vérité, c'est qu'il est juridiquement inattaquable. Pour finir, Arnaud Palisson met sa thèse en accès libre sur Internet (2).

La logique voudrait que l'auteur d'un tel travail soit gratifié d'une promotion, ou du moins d'une reconnais- sance d'estime. Mais c'est tout l'inverse qui se produit, comme le raconte Pierre-Marcel Favre : «La hiérarchie d'Arnaud Palisson lui a demandé de ne pas maintenir la thèse sur Internet. Mais il l'a conservée, et Arnaud a été mis au placard. On lui a demandé de ne plus travailler sur les sectes. À sa place, on a mis quelqu'un d'autre, qui ne connaît pas la Scientologie.» Le brillant officier aurait-il été sanctionné pour avoir divulgué des dossiers secrets ? «Pas du tout, il a fait un travail d'enquête, mais avec des documents publics qu'il cite et qu'on peut trouver partout», explique Roger Gonnet, le créateur du site hébergeant la thèse d'Arnaud Palisson.

Les gourous, alliés objectifs du Medef

Le fonctionnaire des RG ne peut pas s'exprimer à cause du devoir de réserve. Quant au service de commu- nication de la Direction générale de la police nationale, il se borne à la version officielle : «C'est M. Palisson qui a demandé lui-même son changement d'affectation.» Peut-être, oui, à force d'être placardisé ... Mais on voit mal comment, à peine son travail abouti, un spécialiste qui a consacré de longues années à un sujet solliciterait un changement d'affectation sans y être gentiment poussé ... Alors quoi ?

Des pressions de la Scientologie auprès du ministère de l'Intérieur ? Peut-être ... Mais la raison de l'éviction d'Arnaud Palisson, c'est surtout la volonté de calmer le jeu sur les sectes. Pas de vagues chez les gourous, voilà la consigne du gou vernement de droite ! Les conséquences sont visibles à tous les niveaux.

Prenons la mission gouvernementale qui s'occupe des sectes, créée par Alain Vivien. Au départ, elle s'appelait la Mils, «Mission interministérielle de lutte contre les sectes». Aujourd'hui, elle est devenue la Miviludes, «Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires».

Petit détail hautement parlant : alors que les RG faisaient partie de la Mils ... les voilà tout bonnement virés de la Miviludes ! On ne pouvait pas mieux faire pour leur suggérer de lever le pied sur les sectes.

Encore un détail. Depuis onze ans, le scientologue Michel Raoust demandait l'accès à son dossier aux RG. Ces derniers avaient toujours refusé, comme ils en ont le droit, en invoquant la «sûreté de l'État». Mais Michel Raoust a tellement joué les sangsues de tribunal que l'affaire est arrivée devant le Conseil d'État ... qui vient de donner raison au scientologue.

Cela ravit évidemment les adorateurs de Ron Hubbard, qui avaient naguère exigé rien de moins que la disso- lution des RG ! Le gouvernement Raffarin peut faire mine de chouchouter les flics. Tout va bien tant qu'ils s'attaquent aux sans-papiers. Mais gare à leurs galons s'ils s'aventurent à taquiner les escrocs drapés de religion. Évidemment, les sectes sont sacrément utiles à un gouvernement qui n'a de cesse de saborder la santé, la culture et la recherche. Pendant que les gens récitent des mantras ou rêvent de changer le monde en méditant, au moins, ils ne descendent pas dans la rue. 

 

1. «Grande Enquête sur la Scientologie. Une secte hors la loi», Editions Favre, 2003.

2. www.antisectes.net/these-droit.htm3

 

Hors-série SECTES CHARLIE HEBDO (extrait)

 

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Section de Toulon de la LDH

l’Espagne attribue le statut de religion à la scientologie

 


article de la rubrique
laïcité
date de publication : dimanche 3 février 2008




Considérée selon les pays comme un mouvement sectaire (en Belgique), une entreprise purement commerciale (en Suisse), ou une association loi 1901 (en France), la scientologie vient de se voir attribuer le statut de religion par la justice espagnole.

Après la Suède, le Portugal, la Slovénie, la Croatie, la Hongrie et l’Espagne, faut-il s’attendre à pareille reconnaissance de la scientologie en France ? Le président de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires ne le pense pas.

Mais Nicolas Sarkozy prépare un “toilettage” de la loi de 1905 portant séparation des Eglises et de l’Etat...

 

Sarkozy prépare une révision de la loi de 1905

[NOUVELOBS.COM, le 24 janvier 2008]

Selon sa directrice de cabinet, "ce sera fait durant le quinquennat". La réforme des conditions d’application de la loi qui assure la séparation de l’Eglise et de l’Etat pourrait favoriser les sectes.

Nicolas Sarkozy prépare bien une révision de la loi de 1905 qui garantit une séparation de l’Eglise et de l’Etat, a indiqué sa directrice de cabinet à l’Elysée Emmanuelle Mignon, affirme le Canard enchaîné mercredi 23 janvier. "Ce sera fait durant le quinquennat" a-t-elle assuré à l’hebdomadaire. "Le président a la volonté d’avancer sur les conditions d’application de la loi de 1905. Et notamment en élargissant la notion d’association cultuelle" a-t-elle affirmé au Canard qui précise que "en accordant ce label à de nouvelles chapelles (…) il s’agit bien de rétablir le financement public des cultes". Car ce label permet aux associations qui en bénéficient d’obtenir des subventions de l’Etat ou aux donateurs de voir leurs dons partiellement défiscalisés.

Sectes

Et selon l’hebdomadaire, "les congrégations religieuses ne seraient pas les seules concernées par ce “toilettage”". Les Témoins de Jéhovah ou l’Eglise de Scientologie pourraient obtenir les nouveaux avantages et ainsi "bénéficier de la bénédiction de l’Etat", précise le Canard qui rappelle la réception de Tom Cruise, "vitrine de la Sciento", par Nicolas Sarkozy lorsqu’il était ministre des Finances. Le président avait tenu à clarifier son attachement à la laïcité en tant que "respect de toutes les croyances et non un combat contre les religions" dans ses vœux aux responsables religieux, le 17 janvier, après avoir prononcé un discours très critiqué à Ryad sur l’héritage "civilisateur" des religions. Ces différentes déclarations ont fait éclaté une polémique et déclenché l’inquiétude des plus attachés au principe de séparation de l’Eglise et de l’Etat.

La justice espagnole accorde à la Scientologie le statut de religion

par Stéphanie Le Bars, Le Monde, 9 janvier 2008

L’Eglise de scientologie s’installe peu à peu dans le paysage cultuel européen. Après la Suède, le Portugal, la Slovénie, la Croatie ou la Hongrie, la justice espagnole vient à son tour d’inscrire la scientologie au registre légal des religions. Cette inscription, intervenue le 19 décembre, fait suite à une décision de l’Audience nationale, la plus haute juridiction espagnole.

Dans sa décision, datant du mois d’octobre, l’Audience nationale estimait que le refus du gouvernement d’inscrire l’Eglise de scientologie au registre des religions ne respectait pas les règles de "neutralité et d’impartialité des Etats face aux croyances religieuses". Selon le tribunal, "aucun des documents présentés" par le mouvement ou par l’administration espagnole n’"a montré qu’il ne s’agit pas d’une entité religieuse ou avec des fins religieuses".

Considérée selon les pays comme un mouvement sectaire (en Belgique), une entreprise purement commerciale (en Suisse), ou une association loi 1901 (en France), la scientologie est donc désormais en Espagne une religion comme les autres. Ce changement a été perçu comme une victoire par les quelque 10 000 scientologues d’Espagne. "C’est la fin d’une ère durant laquelle nous avons dû lutter pour la reconnaissance de nos droits", a affirmé le président de l’Eglise de scientologie en Espagne, Ivan Arjona, un jeune homme de 27 ans, à la tête du mouvement depuis 2002.

Cette reconnaissance intervient alors que l’organisation, après plusieurs années de déboires judiciaires, connaît un certain développement en Espagne et que le luxueux siège de l’Eglise de scientologie à Madrid, installé sur cinq étages non loin du Parlement espagnol, a été inauguré en 2004 par l’un des plus célèbres adeptes de la scientologie, l’acteur américain Tom Cruise.

"La scientologie était déjà légale, car inscrite au registre des associations religieuses, mais cette inscription nous place au rang des grandes religions. Nous bénéficions désormais de certaines facilités, et nous pouvons faire du prosélytisme plus tranquillement", souligne M. Arjona.

Concrètement, cela ne devrait pas changer grand-chose au quotidien de l’Eglise de scientologie dans le pays : le mariage religieux n’y est pas reconnu et le mouvement ne devrait pas disposer, avec son nouveau statut, d’avantages fiscaux particuliers.

En octobre 2007 aussi, l’Eglise de scientologie avait pu se prévaloir d’une décision favorable. La municipalité de Moscou avait refusé d’enregistrer l’Eglise de scientologie comme association religieuse. Mais cette décision avait été annulée en avril et confirmée par la Cour européenne des droits de l’homme, qui a rejeté une requête du gouvernement russe. Régulièrement, à travers l’Europe, des décisions administratives et juridiques reconnaissent la nature religieuse de la scientologie.

Même dans les pays les plus réticents face aux activités et aux méthodes des scientologues, au premier rang desquels la France et l’Allemagne, le statut de l’Eglise de Ron Hubbard semble en voie de normalisation.

Alors que le ministre allemand de l’intérieur et ses collègues des Länder avaient déclaré, en décembre 2007, que l’Eglise de scientologie était contraire à la Loi fondamentale et devait de ce fait être interdite sur le territoire, les services de renseignement, cités par la presse allemande, ont estimé qu’ils ne disposaient pas d’éléments suffisants pour justifier une telle interdiction. Par ailleurs, en dépit de réactions assez violentes dans la classe politique allemande, l’ouverture d’un nouveau siège de l’Eglise de scientologie s’est déroulée en janvier 2007, en plein coeur de Berlin, installant dans la capitale allemande une tête de pont pour une implantation dans les anciens pays de l’Est.

En France aussi, la justice administrative a, ces derniers mois, donné raison aux scientologues. Ainsi, en avril 2007, la ville d’Angers a été déboutée après avoir voulu interdire la vente d’ouvrages de scientologie sur des marchés. "Soit on considère que l’Eglise de scientologie représente un danger et on demande sa dissolution, avec un dossier bien étayé, soit on lui réserve un traitement équivalent à n’importe quelle association relevant de la loi de 1901", souligne un spécialiste du dossier. "Les critiques concernant la manipulation mentale sont éculées", déclarait récemment au Monde Danièle Gounord, la porte-parole de l’Eglise en France. "Notre activité principale consiste à dispenser des enseignements payants."

La Miviludes, mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires, estimait récemment que la France, avec ses "2 000 à 3 000" adeptes, n’est pas une terre de mission et considèrait l’Eglise de scientologie comme une "multinationale commerciale" soucieuse de mener des actions de "lobbying".

Stéphanie Le Bars

La Scientologie, une religion ? "Impossible en France"

par Claire Chartier, L’Express, 8 janvier 2008

La justice espagnole a reconnu fin 2007 le statut de religion à l’organisation. La France suivra-t-elle le même chemin ? Non, répond Jean-Michel Roulet, le président de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires.

La Scientologie, un mouvement spirituel comme les autres ? La justice espagnole a reconnu fin 2007 le statut de religion à l’organisation très polémique, fondée par l’Américain Ron Hubbard dans les années 1950 à Los Angeles. Une heureuse publicité pour la Scientologie, qui, forte de ses 7 à 10 millions de membres, tente depuis de nombreuses années de corriger son image sectaire sur le Vieux continent. La France suivra-t-elle le même chemin ? Impossible, répond Jean-Michel Roulet, le président de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires.

Non, pour la simple raison que l’Etat français, conformément à la loi de 1905, ne reconnaît aucune religion. En France, ni le culte catholique, ni le juif, ni le musulman, ne sont reconnus. Notre pays garantit la totale liberté de culte, mais ne se permet pas de définir ce qui est, ou pas, une religion. Certes, la Scientologie aurait pu entreprendre des démarches pour acquérir le statut d’association cultuelle, régie par la loi de 1905. Mais ce statut implique le contrôle de l’Etat dans le fonctionnement et les activités de l’association, notamment. L’organisation a songé un temps à en faire la demande, puis y a renoncé.

En Espagne, les scientologues n’ont fait que bénéficier d’un droit qui n’existe pas en France. Dans la péninsule ibérique, dès l’instant où une organisation demande à être reconnue comme religion, et qu’elle patiente de nombreuses années sans que la justice ne trouve rien à lui reprocher, elle obtient, de façon incontournable, le statut de religion. La décision espagnole ne doit pas nous inquiéter. A partir d’aujourd’hui, si la Scientologie commet une infraction, elle sera aussitôt sanctionnée.

Là encore, l’organisation habille les faits. A Moscou, la Cour européenne des droits de l’homme n’a pas affirmé que la Scientologie était une religion. En vertu du principe de la liberté de croyance, elle s’interdit de qualifier comme tel quelque mouvement que ce soit. La Cour a en réalité sanctionné les manœuvres dilatoires dont a usé l’administration moscovite pour retarder l’inscription de l’organisation comme association religieuse. Pour autant, je ne dis pas qu’il ne faut pas s’inquiéter. Je suis d’ailleurs le premier à tirer la sonnette d’alarme. Connaissez-vous, en France, une seule religion où les sacrements soient payants ? C’est comme si le curé ne vous donnait la confession qu’à condition que vous soyez à jour de vos cotisations ! En se faisant passer pour des gens respectables, les scientologues risquent de faire davantage de victimes. En Allemagne, où l’organisation, répertoriée comme association, est en train de s’implanter de façon très visible, les ministres de l’Intérieur réfléchissent d’ailleurs aujourd’hui pour savoir si la Scientologie est vraiment conforme à la Constitution. En Belgique, un grand procès s’ouvrira cette année, où l’organisation devra répondre de nombreuses accusations. Son issue aura sans doute des conséquences importantes sur l’image de la Scientologie en Europe.

En Belgique : l’Eglise de scientologie hors-la-loi ?

[Article publié le 4 septembre 2007 sur le site de la RTBF]

Extorsion, escroquerie, exercice illégal de la médecine, entrave à la pratique médicale, ou encore non-assistance à personne en danger, voilà quelques-unes seulement des préventions retenues par le Parquet Fédéral à l’égard de l’Eglise de Scientologie. Un parquet qui vient d’achever son réquisitoire, comme l’annonce mardi matin "La Libre Belgique"…

1999, après 2 ans d’enquête, la justice belge perquisitionne les locaux de l’Eglise de scientologie. Il faudra attendre encore 8 ans, et des investigations très minutieuses, avant que le parquet fédéral ne boucle le dossier. Ce qui est désormais chose faite. Le parquet demande donc le renvoi devant un tribunal correctionnel de 12 personnes physiques et 2 personnes morales : l’ASBL "Eglise de scientologie de Belgique" et le "Bureau des droits de l’homme de l’Eglise de scientologie".

Depuis longtemps, l’Eglise de scientologie essaie de s’implanter en Belgique dans des bâtiments prestigieux. D’abord rue de la Loi puis boulevard de Waterloo, où elle devrait selon certains installer son centre européen. Mais ce possible procès qui s’annonce, pourrait contrecarrer ses plans….

Car désormais c’est à la chambre du conseil de définir si les adeptes du fondateur de la scientologie, le romancier Ron Hubbart, doivent ou non se retrouver devant un tribunal pénal pour extorsion, escroquerie, exercice illégal de la médecine, entrave à la pratique de la médecine, non assistance à personne en danger, infraction à la loi sur le commerce et la loi sur le respect de la vie privée, association de malfaiteur et en fin organisation criminelle.

Si tel devait être le cas, et même si une procédure d’appel est bien sûr possible, il ne serait plus question de secte, mais bien de pratiques illégales. En clair c’est le fonctionnement même de l’Eglise de scientologie qui serait alors jugé hors-la-loi.

P.-S.

Fondation. Ron Hubbard, auteur de science-fiction, a fondé l’Eglise de scientologie aux Etats-Unis dans les années 1950. La première église est enregistrée en 1954 à Los Angeles. Ron Hubbard développe le concept de dianétique, présenté comme une méthode d’éveil personnel. La scientologie se considère comme une religion non révélée, selon laquelle chaque homme travaille à son propre salut spirituel. Les scientologues affirment "opérer comme n’importe quel culte" et proposent des cérémonies de baptême, de mariage, l’ordination de ministres...

Effectifs. Selon l’Eglise de scientologie, il existe 7 500 centres dans 163 pays ; les adeptes seraient au nombre de 7 millions à 10 millions.

Complément. On pourra également lire sur ce site miracle à l’église de scientologie.

 

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