Synthèse globale novembre 2019.
Texte
de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome,
Villequier ex-France, province coloniale en cours de dépeçage
de l'Empire ex-mondial israélo-US, nécrogène,
en voie de dislocation
rapide,
le 1er
novembre
2019.
1
- Le système social planétaire unique et les
guerres oligarchiques. 2 - Pourquoi le « crédit
social » chinois s'étendra sur toute la
planète. 3 - La psychologie de « Round-up ». Round-up
est un personnage fictif, dont les aventures figurent au
sommaire : http://www.aredam.net/les-aventures-de-round-up.html
Ce présent texte complet apparaîtra donc aussi
dans ce sommaire à
l'adresse : http://www.aredam.net/round-up-1.html 4
- L'espèce humaine est entrée en régression. 5
- Des animaux, des plantes et autres entités de
vie.
http://www.aredam.net/round-up-1.html
Autre
lien du même texte
: http://www.aredam.net/synthese-globale-novembre-2019.html
Sensible (œuvre de l'auteur)
1 - 1 Le système social
planétaire unique.
Le système
social humain est devenu unique sur toute l'étendue de la
planète au 21ème siècle.
Il a une
structure pyramidale.
Le sommet de la pyramide (1
centième en hauteur) est occupé par une
oligarchie.
Cette oligarchie est constituée de
plusieurs types d'oligarques :
- les ploutocrates
(milliardaires, recrutés dans la catégorie
psychiatrique des psychopathes mégalomaniaques).
-
les gens de guerre (spécialistes des opérations de
guerre, des services secrets, de la psychologie individuelle, de
masse et des actions dites « psyops », des
médias, recrutés dans la catégorie
psychiatrique des psychopathes paranoïaques).
- les
manipulateurs des masses (politiciens et associés,
recrutés dans la catégorie psychiatrique des
psychopathes pervers narcissiques).
La partie de la
pyramide inférieure (les 99 centièmes en hauteur)
est réservée aux non-oligarques.
Ces
non-oligarques sont constitués de plusieurs types de
non-oligarques :
- les renégats, soit les
non-oligarques qui trahissent la masse des non-oligarques en
contrepartie de meilleures conditions de sécurité
et de confort (services divers de contention de la masse,
recrutés dans la catégorie psychiatrique des
psychopathes sado-masochistes, environ 10% du total de la
population humaine).
- les serfs, individus en réalité
hors la notion même de droit, qui relèvent
légalement de l'état de chose, c'est à dire
que le droit qui s'applique à eux est celui qui concerne
ceux qui les possèdent, et les rapports entre ceux qui les
possèdent (dans cette catégorie majoritaire en
nombre (90% des individus humains, se rencontre uniquement là,
les gens sains d'esprit).
Note - 1 : les psychopathes se
caractérisent essentiellement par une totale incapacité
à pouvoir échanger avec autrui, et une totale
rupture avec l'environnement, ce qui explique leur capacité
à détruire les humains, les autres espèces,
la nature en général, soit la vie, en fait ne se
ressentant eux-même comme des vivants, il ne ressentent
rien à la destruction de ce qui vit. Ce type d'individu
est traité dans le chapitre qui suit, la psychologie de
round-up.
La caricature du psychopathe est le robot, et
l'humanité est entrain de se conformer à l'image de
l'élite du sommet de la pyramide, laquelle œuvre à
la transformation des autres humains à son image, en
robots. Ce n'est pas pour rien qu'un certain smartphone est dit
sous « androïde ». En fait l'humanité
est entrain de muter en androïde, il ne s'agit plus d'une
espèce vivante, l'espèce humaine, mais d'une
non-espèce, abiotique, d'une androïdisation.
Note
- 2 :
On remarquera qu'on retrouve la banale
séparation sociale indienne pluri-millénaires, dont
les termes sont interchangeables avec l'actuelle, en haut les
prêtres, puis les guerriers et les commerçants, puis
le reste, avec au socle les intouchables, soit l'enfer, mis en
place comme menace pour ceux du corps de la pyramide qui
oseraient ne pas rester à leur place.
Note -
3 :
Le psychopathe est définissable très
simplement. Il est incapable d'échanger. Quelle que chose
est incapable d'échanger quand cette chose est enclose par
une enceinte impénétrable. Donc le psychopathe est
en état de rupture parfait avec l'extérieur, et il
ne peut exister que dans son monde clos, le contact avec
l'extérieur lui est impossible, douloureux à
l'extrême et le mène à sa propre
destruction.
Donc, son action va consister, pour survivre,
à transformer l'extérieur à son image, c'est
à dire qu'il va détruire ce qui lui est extérieur,
qu'il va transformer l'extérieur pour qu'il devienne son
intérieur, c'est à dire un lieu de non-vie. C'est
pourquoi les psychopathes occupent tous des positions
d'influence, de pouvoir, et c'est aussi pourquoi leur action ne
peut être que destructrice
On peut les classer en
trois catégories, suivant leur capacité propre
d'influence, de force personnelle, de puissance à
transformer l'extérieur.
- Les plus capables
occupent le sommet, ce sont les potentats économiques,
militaires, politiques.
- Les moyennement capables
occupent des positions intermédiaires, comme enseignants,
politiciens locaux, psychiatres, psychologues, etc ....
-
Les moins capables occupent le bas de l'échelle de la
psychopathie, et se rencontrent dans les professions de
garde-chiourmes divers, en contact direct avec la masse dont ils
doivent briser mécaniquement, physiquement, sa capacité
d'échange afin qu'elle devienne psychopathe, soit les
policiers, gendarmes, gardiens de prison, contre-maître
d'usines etc ...
1 - 2 Les guerres
oligarchiques.
L'intégralité des
conflits armés auxquels nous assistons sont devenus des
conflits entre oligarchies.
Ces oligarchies pour la
plupart ont encore des racines géographiques, mais la
tendance est qu'elles se détachent d'un sol, pour devenir
planétaire.
Ainsi, il serait déjà
judicieux d'arrêter de parler de russe, de chinois,
d'américain et autres.
La période actuelle
est une période de mutations, et il est encore trop tôt
pour discerner les caractéristiques des entités
oligarchiques en germination, en cours de croissance et en cours
d'évolution.
On peut toutefois déjà
retenir le caractère hybride des entités en
devenir, résultant d'un processus d'hybridation
généralisé, touchant tous les types
d'oligarchies, celles territoriales entre elles, celles
sectorielles entre elles (finance, industrie, armée,
services secrets, réseaux d'influence de toutes sortes),
et entre les territoriales et les sectorielles dans tous les
arrangements possibles.
Il n'y a aucune autre logique à
rechercher dans les conflits armés visibles que celle de
sortes de négociations entre oligarchies, de marchandages
du type « marchands de tapis », comme il
n'y a aucune logique à rechercher autre que la défense
de bas intérêts dans les prises de positions sur des
thèmes globaux et cruciaux actuels, comme celui du
réchauffement climatique, ceux qui soutiennent que le
réchauffement est du à l'activité humaine ne
sont mus que par des intérêts triviaux pécuniaires
et non par une objectivité scientifique, comme ceux qui
soutiennent le contraire. (voir à ce sujet l'article du
Réseau Voltaire :
https://www.voltairenet.org/article208093.html
).
Il en est de même pour tous les autres thèmes
cruciaux engageant la survie de l'espèce humaine, et
celles des autres espèces, comme la pollution généralisée,
la disparition des ressources naturelles vitales, la disparition
des autres espèces, la stérilisation des sols, la
généralisation des maladies environnementales, etc
…
Le type psychopathe est dépourvue de tout
sens vital, au contraire, il a développé un sens de
la destruction du vital. Son action va donc aller vers la
destruction généralisé de ce qui vit.
2
- Pourquoi le « crédit social »
chinois s'étendra sur toute la planète.
Le
« crédit social » chinois est le
meilleur moyen de répression des émeutes et autres
types de résistance de la masse à son
asservissement. Il ne s'agit pas comme l'annonce le gouvernement
chinois d'un procédé pour moraliser la société,
mais d'une arme globale répressive, à classer dans
la panoplie des armes de répression politiques et
sociales, comme les gaz lacrymogènes, les flash ball et
autres.
Une fois ce système étendue à
toute la population et relié à toutes les autres
sortes de procédés de répression, comme la
reconnaissance faciale, le suivi en direct et à chaque
instant de tout individu par son smartphone devenu impossible à
quitter comme le bracelet électronique des prisonniers, la
disparition du cash, entre autres, le crédit social
permettra de réduire à la plus totale impuissance
les fauteurs de troubles activistes, laissant les suivistes
dépourvus de chefs, et donc condamnés à
l'inertie. La système de crédit social accordé
avec les autres technologies sus-décrites ouvrira alors
une ère de paix éternelle et de domination absolue
et définitive des masses.
Quant au développement
du nombre de cas de folie irrépressible dans la masse,
dans celle des psychopathes dits intermédiaires et
renégats, et même chez ceux de la pointe de la
pyramide, il est prévisible, et n'exemptera personne,
comme pour les maladies environnementales.
Cela accélérera
la mutation de l'individu humain en androïde, car seule les
machines échappent à la folie.
3
- La psychologie de « Round-up ».
Round-up
est un personnage fictif, dont les aventures figurent au
sommaire : http://www.aredam.net/les-aventures-de-round-up.html
Ce présent texte complet apparaîtra donc
dans ce sommaire aussi à
l'adresse : http://www.aredam.net/round-up-1.html
Roud-up est un cas caricatural de psychopathe,
envahissant. Il est même trop caricatural pour la guilde
des psychopathes dont il fait partie, aussi celle-ci s'est
résolue à l'éliminer, de plus d'autres
lorgnant sa place, que paradoxalement il a tant rapidement
enrichie, qu'elle est devenue un gâteau appétissant
pour ses concurrents.
La génération de
Roud-up est par chance connue. C'est probablement dès le
berceau que Round-up a perdu sa capacité à
échanger, et là, il faut en rechercher la cause
dans les travaux en psychologie réalisés autour du
rapport mère-enfant, surtout pas psychanalytiques mais
scientifiques, basés sur l'observation et la vérification,
dans un non-rapport subit par Round-up instauré par sa
mère.
Round-up a bien eu une mère, chez
laquelle de plus il a longtemps vécu, bien au-delà
de l'âge auquel les jeunes le font, qui n'avait que
l'apparence d'une mère, d'une humaine, mais qui en fait
est une non-personne sans contact avec l'extérieur, et
donc avec son fils.
Round-up s'est modelé sur le
non-contact, et ne peut que mener une pseudo-vie avec des
pseudo-contacts, des non-contacts, ce qui le rend parfaitement
adapté à cette société qui est fondée
sur le non-contact. Sa capacité personnelle le plaçant
au niveau des psychopathes intermédiaires, il a
naturellement trouvé sa place.
Il s'est entouré
d'autres incapables de contacts, d'autres psychopathes, est
parvenu à une position de pouvoir très rapidement,
et a immédiatement entrepris de transformer son aire
d'influence en une zone de non-contacts, de psychopathie active,
au point que cette zone paraît être devenue un cas à
observer par les laboratoires spéciaux de recherche en
psychologie des services spéciaux dédiés aux
« psyops » de masse, comme pour les
sondages, certaines localités sont sondées avant un
vote national car reflétant quasi à l'identique,
les intentions de votes du pays entier.
Mais
l'effondrement de Round-up est programmée, et cela va
devenir une source d'enrichissement pour ce même
laboratoire de psyops, d'observer les péripéties de
cet effondrement, ce qui sera utilisable pour d'autres opérations
psyops.
A suivre …
4 - L'espèce
humaine est entrée en régression.
Il
n'existe plus aucune création, et cela dans la totalité
des domaines différents de création.
L'unique
avancée se fait en technologie, qui n'est que
l'application pratique des connaissances scientifiques, et de
plus dans les technologies d'enfermement et de
destruction.
L'idéal du psychopathe, son paradis,
est celui de la sphère étanche, de la bulle
impénétrable, et grâce à la
technologie, ce paradis est entrain de devenir réalité.
L'espèce
humaine devenue espèce-non-humaine psychopathe est entrain
de créer un sorte de kyste de non-vie au sein de
l'Univers, un état qui est inconnu dans l'histoire de
l'évolution, car même ce qu'on nomme la matière
simple est vie.
Cet état de non-vie n'est même
pas situable sur l'échelle de l'évolution, et
parler de régression est une simple commodité de
langage, faute de mieux. Cet état est un hors-être.
Cela
commence à apparaître de façon évidente
et visible, par d'abord des voitures et des appartements bulles,
dont l'air est filtré sous prétexte de la
pollution, et de ces projets de villes recouvertes d'une bulle
plastique étanche.
Cela apparaît aussi dans
tous ces films de science-fiction se passant dans le cosmos ou
des planètes dénuées d'oxygène, où
les humains vivent dans un espace hermétiquement clos, un
monde stérile de plastique, de verre et de métal,
l'extérieur étant ressenti comme mortel,
hostile.
Les étapes ultérieures sont déjà
prévisibles :
L'androïde, par greffes de
terminaux directement sur le corps humain et devenant partie
intégrante de l'individu, qui ne pourra exister sans ces
ajouts.
Puis l'humain totalement synthétique, dont
il ne restera au début que le cerveau, lui-même
étant peu à peu entièrement remplacé
par un cerveau synthétique.
Il sera alors possible
d'éradiquer toute capacité d'empathie et de
parvenir à l'état de psychopathe parfait.
Seul
le naufrage total de l'espèce et sa disparition définitive
pourront empêcher ce programme de se réaliser.
5
- Des animaux, des plantes et autres entités de vie.
Ce
qui caractérise formes de vie les non-humaines est aisé
à caractériser, c'est l'ouverture, l'empathie, la
spontanéité, l'échange, l'état de
présence, ici et maintenant.
A quel moment
l'espèce humaine a commencé à perdre ces
capacités ?
L'humain est un animal, comme les
autres animaux. De plus, la définition d'animal est aussi
extrêmement simple, il suffit de s'en tenir à
l'étymologie, du latin anima, souffle, vie. Il y a l'idée
de mouvement qui est intrinsèque au souffle, à la
vie. Vie et souffle, anima, est mouvement.
L'espèce
humaine est entrain de s'éloigner de l'anima, du
mouvement.
On peut déjà prévoir,
alors, quel sera son mode d'anéantissement, celui de la
pétrification, du non-mouvement.
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