Recherche de l'essentiel dans l'affaire Alstom –
General electric. Texte
de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome,
Villequier ex-France, province coloniale de l'Empire ex-mondial
israélo-US, nécrogène, en voie de
désagrégation rapide, le 30
juin
2019.
http://www.aredam.net/recherche-de-l-essentiel-dans-l-affaire-alstom-general-electrique.html
Sommaire : Introduction. 1 – Le « Piège
américain » doit se lire l' « Ennemi
américain ». 2 – La vrai cause de la
vente d'Alstom n'est pas la peur de poursuites judiciaires contre
son PDG Patrick Kron, mais le noyautage de sa direction par les
USA, son PDG étant vraisemblablement un agent US introduit
chez Alstom pour mener à bien sa spoliation par General
Electric. 3 – L'affaire Alstom met en évidence le
noyautage intégral de tous les pouvoirs en France par les
USA et les organisations juives. 4 – Au-delà de
la destruction de la France, c'est celle de l'Europe qui est
prévue. 5 – Annexe : 5 – 1 La
« France China Foundation » et le
gouvernement Macron. 5 – 2 Présentation du livre
de Frédéric Piérucci. 5 – 3 Exposé
de l'affaire Alstom-General Electric par CF2R. 5 – 4 L'
« Armada » 2019, défilé de
bateaux entre Rouen et Le Havre sur la Seine, et sa patrouille du
« US COAST GUARDS » dans ses eaux
territoriales que sont les rives de la Seine. 5 – 5
« Jesus camp », captures d'écran du
documentaire de 2006 sur les 40 millions de chrétiens
fanatiques, obscurantistes et impérialistes américains
(dieu protège nos soldats en Irak). 5
– 6 L'affaire « Satellite Tracking Systems »
connexe à l'affaire Alstom. 5 – 7 Biographie de
M. Patrick Kron. 5 – 8 Présentation de la
multinationale française Sanofi (P. Kron est membre de son
Conseil d'administration). 5 – 9 Parc nucléaire
français, exploitant EDF
: https://www.connaissancedesenergies.org/fiches-pedagogiques-energies
Introduction
Un type inusité de bouquin a
atterri dans le présentoir des livres neufs à ma
bibliothèque municipale (Caudebec-en-Caux -
Rives-en-Seine), inusité car le genre courant est celui
qui propage la non-pensée, la non-information, la
non-connaissance, les bibliothèques publiques s'étant
transmutées en organes de destruction de masse des
consciences peu à peu depuis une dizaine
d'années.
Pourquoi cet ouvrage « Le
Piège américain, l'otage de la plus grande
entreprise de déstabilisation économique
témoigne », par Frédéric Piérucci
(acteur et auteur) avec Mathieu Aron (journaliste) (2019,
Jean-Claude Lattès, éditeur) a-t-il été
acheté et proposé à la populace dont je suis
membre ? A ma question la bibliothécaire m'a répondu
que c'était sur les listes des bibliothèques
publiques, je compte redemander.
Qu'est-ce que je retiens,
moi, étudiant iconoclaste des affaires humaines générales
du sujet de ce livre, soit le vol d'une très importante
entreprise française parmi les plus importantes (peut-être
La plus importante),
Alstom par l'entreprise US General
electric, on me pardonnera ma
franchise, mais n'ayant aucune prétention à faire
ma place dans un quelconque milieu, et ayant même du mal à
simplement communiquer avec le milieu qui s'occupe des affaires
générales (ayant le tord - sans doute - de mettre
dans le même sac tous ses membres), étant par
essence un marginal et fier de l'être et reconnaissant pour
seuls pairs les marginaux, je dis un chat un chat, un vol un vol,
un truand un truand, des ordures des ordures, et comme on dit,
cela va mieux en le disant.
Je vais tenter de présenter
ce qui est selon moi à retenir de cette affaire, depuis le
plus urgent, car il est question
avant tout d'un état d'urgence jusqu'au plus
annexe.
1 – Le titre du livre de Piérucci
est une lâcheté, car il faut lire non pas « Le
Piège américain », mais « L'Ennemi
américain ». En effet, la France est le pays au
monde le plus nucléarisé, soit celui qui possède
la plus haute densité au sol de centrales nucléaires
(19 centrales – 58 réacteurs ; 71 % de
l'électricité produite, pour environ 550 000 km2,
hexagone géographique, environ 1000 km entre les angles
opposés, inclus dans un cercle d'environ 500 km de
rayon; pas un seul endroit en France à l'abri d'une
contamination en cas d'accident grave sur réacteur,
réacteurs anciens en fin de course et prolongés au
delà de la limite initialement prévue, nécessitant
de constants travaux difficiles et coûteux de
sécurisation). General
electric dès sa mainmise sur
Alstom en charge de l'entretien des centrales nucléaires
françaises a volontairement suspendu ses services à
EDF en février 2016, quelques jours, mettant en difficulté
EDF et la sécurité du pays (page 312 et 313 du
livre :
http://www.aredam.net/chantages-sur-securite-des-centrales-nucleaires-en-France-par-les-USA.pdf
). De plus, seul un État fort et riche peut entretenir de
façon sûre un tel parc nucléaire, et le vol
d'Alstom par les américains, prive cet État d'une
source de richesse, car Alstom était une entreprise
profitable. Seul un ennemi, et non un allié peut se
comporter de cette façon, et il faut donc oser le conclure
et le dire, les USA ne sont pas des alliés, mais des
ennemis qui cherchent à détruire la France. Sans
omettre que les nuages nucléaires sautent les frontières,
et arroseront de nucléides l'Espagne, l'Italie,
l'Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas, l'Angleterre, le
Portugal, le Danemark, la Suède, la Norvège etc …
Quant à imaginer que les spoliateurs (américains,
russes, chinois, juifs et autres à venir) prendraient en
compte qu'ils seront aussi les bénéficiaires des
produits radioactifs qui aiment à faire le tour de la
planète ... Question n° 1 à
10 dollars : que va-t-il se passer au cas où un réacteur
nucléaire rendrait le territoire français
invivable, quant à l'entretien des autres réacteurs
? Question n° 2 à 10 dollars : que va-t-il se
passer quand à l'instar de la Grèce, la France sera
économiquement lessivée, en ce qui concerne
l'entretien de nos 19 centrales nucléaires et 58
réacteurs, déjà vétustes en 2019 ? La
France sera-t-elle transformée en un immense sarcophage
nucléaire comme à Tchernobyl et à Fukushima
? Documentation
: https://www.connaissancedesenergies.org/fiches-pedagogiques-energies
2 – Le livre de Piérucci ment
en ce qui concerne la raison de la « vente »
d'Alstom par sa direction, dont son PDG Patrick Kron, car l'enjeu
était tel que la raison invoquée du chantage aux
poursuites judiciaires par les américains envers Kron et
d'autres (pour corruption) ne tient pas. On ne peut que conclure
que Kron et sans doute d'autres membres du cercle dirigeant sont
des agents américains ayant été infiltrés
chez Alstom pour mener à bien sa spoliation par General
electric. La lecture de ce livre fait
apparaître de même que les américains tiennent
les politiciens français dont particulièrement
l'actuel Président de la République Emmanuel Macron
qui est sans aucun doute un agent américain, la quasi
totalité des politiciens tous partis confondus, les
syndicats, les services secrets, et les « médias
dits libres », la Justice (en
effet, il est impensable qu'un individu comme Patrick Kron n'ait
pas été poursuivi pour haute trahison, et
incarcéré) l'ensemble étant
indispensable pour que cette spoliation ait pu se réaliser.
En lisant les pages scannées du livre, on constate que
EDF a résisté à General
electric. Pour combien temps et
est-ce que ce serait encore le cas actuellement ? Car il n'y
a aucune raison pour que les américains se privent de
noyauter la direction d'EDF. Nota : Patrick Kron
a été placé au Conseil d'administration de
Sanofi. Cet individu avait projeté de transférer
le siège d'Alstom à Singapour pour bénéficier
de sa fiscalité réduite et ainsi priver la France
de revenus. Photographie
de Patrick Kron, prise de la page Wikipedia qui lui est consacrée
– Wikipedia; organe mondial de désinformation US :
http://www.aredam.net/patrick-kron.html
)
3 – Quant on parle
du noyautage par les américains de l'ensemble des pouvoirs
français en France, on doit ne pas omettre de préciser
sous peine de mensonge, par omission, ce qui est l'une des formes
les plus graves de mensonge et de manipulation, que ce noyautage
n'est possible que grâce à la collaboration des
organisations juives qui contrôlent les médias dits
libres français, la plupart des politiciens français
et les services secrets français. On peut parler dans le
vol d'Alstom de synergie entre les américains et les
organisations juives et donc classer les organisations juives au
même titre que les américains comme ennemies de la
France et cherchant sa destruction.
4 – Au-delà
de la destruction de la France, il s'agit de la destruction de
l'Europe et principalement de sa puissance prépondérante,
de l'Allemagne. On ne peut que constater que l'Europe est l'objet
d'une transaction globale entre puissances concurrentes
mondiales, soit entre américains, russes, chinois et
juifs. L'exemple de la Grèce (dépecée et
vendue à l'encan, des milliers de grecs fouillent chaque
jour dans les poubelles pour y trouver leur nourriture)
donne une idée de ce qui va se passer pour le reste de
l'Europe.
Ce qui est
gravissime, selon moi, est que dans le contexte global, l'Europe
est encore un havre de modération et sans doute le dernier
gîte où s'exerce encore une certaine indépendance
de réflexion fondamentale. Sans doute est-ce au fond
insupportable à l'ensemble des puissances concurrentes
mondiale énumérées au-dessus. J'oserais dire
que l'Europe est le dernier reste de civilisation humaniste
encore en place. C'est ce reste de civilisation au niveau mondial
qui est menacé.
5 –
Annexe :
5 – 1 : La vente des biens français
aux chinois par l'équipe
Macron : http://www.aredam.net/france-china-foundation-comite-strategique.pdf
(voir Attali et
Fabius) http://www.aredam.net/france-china-foundation-galeries-de-tetes.pdf
5 – 2 : Présentation générale
du livre de Frédéric
Piérucci : http://www.aredam.net/le-piege-americain-frederic-pierucci-alstom.pdf
5 – 3 : Exposé sur l'affaire Alstom par le
Centre Français de Recherche sur le Renseignement :
(https://www.cf2r.org/
) : http://www.aredam.net/rr13.pdf
5 – 4 : L' « Armada », en
2019, une cinquantaine de navires, surtout à voiles et/ou
militaires, défilent entre Le Havre et Rouen, voir le PDF,
avec sa photographie du « US COAST GUARD »,
lequel considère que les eaux de la Seine constituent les
eaux territoriales américaines et vient y patrouiller, et
que les « Rives de la Seines » sont les
côtes des USA … (voir aussi les photographies des
deux politiciens locaux, et la biographie de l'un, l'actuel maire
de « Rives-en-Seine »
(http://www.aredam.net/bastien-coriton.html)
: http://www.aredam.net/armada-rouen-2019.pdf
Voir l'affaire « du local au global »
: http://www.aredam.net/procedures-calme.html http://www.aredam.net/sommaire-publications-procedures-calme.html http://www.aredam.net/procedures-calme-documentation.html
Nota
: deux centrales nucléaires à proximité :
Paluel et Penly Raffinerie
de pétrole ExxonMobil à Notre-Dame-de-Gravenchon,
Total à
Gonfreville l'Orcher (Le Havre).
5
– 5 : L'obscurantisme et le fanatisme américain à
travers des captures d'écran du documentaire « Jesus
camp », 2006, par Heidi Ewing et Rachel Grady, le
peuple élu (L'Amérique; un pays
sous dieu, « prions pour nos soldats en Irak »)
et le broyage des cerveaux dès l'enfance :
http://www.aredam.net/jesus-camp.pdf
5 – 6 : Article BFM du
03/11/2015 (https://bfmbusiness.bfmtv.com/
)
Discrète filiale d'Alstom et fournisseur de
l'armée française, Satellite Tracking Systems vient
de passer sous pavillon américain dans le cadre de la
cession des activités du groupe dans l'énergie
officialisée lundi 2 novembre.
Qui connaît Satellite Tracking Systems,
une filiale très stratégique mais assez discrète
d'Alstom? Spécialisée dans le suivi et repérage
de satellites, cette filiale, qui emploie environ 540 personnes,
est rattachée au pôle Energie que l'industriel
français a cédé à General Electric.
Son site
Internet
(http://alstomenergy.gepower.com/satellite-tracking-systems/contact-info/index.html)
arbore désormais les couleurs et le logo de son nouveau
propriétaire américain. L'accord validant la
cession d'une partie des activités du groupe français
au géant américain ayant été
officialisé ce lundi 2 novembre.
Basée à Grenoble et héritière
du savoir-faire de la société Neyrpic (qu'Alstom a
complètement rachetée en 1967), elle a développé
des algorithmes lui permettant de suivre et de contrôler la
trajectoire des satellites mis sur orbite.
Dans le domaine militaire, sa technologie
permettrait de vérifier qu'un satellite en orbite exécute
correctement les ordres et instructions qui lui sont adressés
par les forces armées depuis la terre.
La filiale d'Alstom "fournissait
notamment le Centre militaire d'observation par satellite,
installé sur la base de Creil, près de Paris, et
qui travaille notamment au profit de la Direction du
renseignement militaire (DRM)" expliquait un
rapport du centre français de recherche sur le
renseignement, en décembre 2014, qui s'inquiétait
d'une telle cession.
Un fournisseur de l'industrie
française du satellite
Satellite Tracking Systems fournit aussi des
industriels français spécialisés dans les
satellites (Astrium, Thalès Alenia Space,...) et des
opérateurs de satellites (Eutelsat, Orange). Cette société
compte 900 systèmes installés au sol dans plus de
70 pays.
"Le rachat par GE n’a pas pour but
d’acquérir une technologie dont les Américains
ne disposeraient pas, mais au contraire d’en priver un
allié souvent rétif, dérangeant, et surtout
un concurrent réel" expliquaient les auteurs du
rapport "Racket américain et démission
d'Etat, les dessous du rachat d'Alstom par General Electric".
Cette cession suit de quelques semaines, celle
des câbles sous-marins de télécommunications
d'Alcatel-Lucent. Cette activité sera
finalement vendue à Nokia, comme le reste des
activités de l'industriel franco-américain, alors
qu'il fut un temps envisagé qu'elle
soit séparée du périmètre cédé.
En deux cessions de ses fleurons à des
industriels étrangers, la France aura donc perdu une
parcelle de sa souveraineté technologique dans les
télécommunications, du fond des océans
jusqu'aux orbites spatiales.
Quand on connaît l'importance des
liaisons satellitaires et sous-marines pour l'économie
mondiale (sans parler de l'enjeu lié à l'accès
aux données qui transitent par ces artères de
communication vitales), on peut s'interroger sur l'absence de
réactions officielles à cette vente, passée
(presque) inaperçue.
5 – 7 Extrait
de la page Wikipedia ( Wikipedia;
organe mondial de désinformation US ) de
Patrick Kron :
Famille
Patrick
Kron est le fils de Beno et Helena Kron, juifs
polonais2
originaires de Łódź,
en Pologne.
Comptable de formation, Beno Kron monte une entreprise de
confection pour hommes3.
La famille Kron
compte un autre fils, Philippe, frère cadet de Patrick et
médecin radiologue4.
Patrick Kron a trois enfants.
Formation
Patrick Kron fait ses études secondaires
au lycée
Jacques-Decour puis est en classes
préparatoires scientifiques au lycée
Louis-le-Grand. Il entre ensuite à l'École
polytechnique (X1973)5,1,
dont il sort major de promotion. Il choisit alors de rejoindre le
Corps des
mines5,6.
Carrière
Fonction
publique
Patrick Kron commence sa carrière au
ministère
de l'Industrie de 1979 à 1984, d'abord à la
DRIRE
des Pays
de la Loire (1979 à 1983), puis à la direction
générale de l'Industrie (1983 à 1984).
Pechiney
Patrick Kron rejoint
le groupe Pechiney
en 19847,
où il va faire une carrière de près de 15
ans, occupant diverses fonctions opérationnelles,
financières et de direction générale.
De 1984 à
1988, Patrick Kron est responsable de l'exploitation de l'une des
plus importantes usines du groupe installée en Grèce8,
avant de prendre la direction générale de la
filiale grecque de Pechiney. Il occupe ensuite diverses fonctions
opérationnelles et financières entre 1988 et 1993,
à la direction d'un ensemble d'activités de
transformation de l'aluminium, puis en tant que
Président-directeur général de Pechiney
électrométallurgie.
En 1993, Patrick Kron
devient membre du comité exécutif du groupe
Pechiney9
et président-directeur général de Mersen
(anciennement Carbone Lorraine) dont il assure la direction de
1993 à 1997.
De 1995 à 1997, il dirige les activités
d'emballage alimentaire, hygiène et beauté de
Pechiney et assure les fonctions de Chief Operating Officer
d'American National Can Company à Chicago.
Imerys
En 1998, Patrick Kron
rejoint Imerys
(ex Imetal) en tant que président du directoire,
responsabilité qu'il exerce jusqu'en 2002, s'attachant à
développer l'entreprise, devenue un des leaders mondiaux
des minéraux industriels.
Alstom
Administrateur du groupe Alstom depuis 2001,
Patrick Kron est nommé directeur général le
1er janvier 2003 puis président-directeur
général le 11 mars 2003.
Sa mission est
de mener à bien le redressement du groupe. À court
de trésorerie, le groupe énergétique et
ferroviaire est au bord de la faillite. L'Etat vient à la
rescousse, apporte 730 millions d'euros et prend 21 % du
capital. En contrepartie, la Commission européenne exige
de lourdes cessions. Les effectifs vont passer de 115 000
à 60 000 personnes. En 2006, l'entreprise redevient
bénéficiaire. L'Etat cède la place à
Bouygues en réalisant une plus-value d'1,3 milliard
d'euros10.
Truffle
En novembre 2016, il
prend la tête du fonds de capital-risque Truffle33.
Autres
mandats
Rémunérations
En 2012, le salaire de Patrick Kron s'élève
à 2,290 millions € (+5 % vs 2011), ce qui
le place 21e
dans le classement des salaires des patrons du
CAC 40 publié
par le magazine Challenges35.
Les Échos
notent une augmentation de 17 % de sa
rémunération entre 2011 et 2013 alors même
que le CA
et le résultat
opérationnel sont en recul de 3 % et de 7 %
sur la même période16.
Décorations
5 – 8 Présentation de SANOFI
Extrait de la page Wikipedia ( Wikipedia;
organe mondial de désinformation US ).
Sanofi
est une entreprise transnationale
française
dont les activités incluent la pharmacie
(notamment des médicaments de prescription dans les
domaines du diabète, des maladies rares, de la sclérose
en plaques et de l'oncologie, des produits de santé grand
public et des génériques) et les vaccins.
Dans le secteur de la santé, Sanofi occupe le troisième
rang mondial4
selon le chiffre
d'affaires (34,46 milliards d'euros en 20185),
mais seulement le onzième pour la capitalisation boursière
(102 milliards de dollars). Sanofi réalise 72,6 % de
son chiffre
d'affaires hors d'Europe et emploie plus de 100 000 personnes
dans une centaine de pays (dont 25 400 en France)6.
Très rentable, elle a distribué 3,773 milliards
d'euros de dividendes
à ses actionnaires en 2018 sur un résultat
net de 6,82 milliards d'euros6.
Troisième capitalisation
boursière de la Bourse
de Paris7
(99 milliards d'euros, fin 2018, derrière Total
et le groupe
LVMH), elle est détenue à hauteur de 9,48 %
par L'Oréal6.
Première
entreprise française en termes de recherche
et développement, Sanofi a investi 5,894 milliards
d'euros dans ce domaine en 2018 (17,1 % du CA)6.
En
2016, Sanofi a amorcé un virage stratégique à
la suite de l'accord conclu avec le laboratoire allemand
Boehringer-Ingelheim.
En janvier 2017, Sanofi a finalisé l'échange de son
activité santé
animale contre l'activité santé grand public de
Boehringer Ingelheim8.
Sanofi est devenu ainsi l'un des leaders mondiaux des médicaments
sans ordonnance, avec des marques fortes (Doliprane, Lysopaïne,
Maalox, MagnéB6...) dans un marché en croissance
régulière et non concurrencé par les
médicaments génériques. Sanofi va également
remettre à plat son organisation interne, en passant d'une
organisation par pays à une organisation par produits9.
Sanofi a lancé une
nouvelle signature, Empowering life (« Donner
toute sa force à la vie »), le 18 octobre
201710.
Le 7
juin 2019, Sanofi annonce l'arrivée de Paul Hudson,
jusqu'alors PDG de Novartis Pharmaceuticals, à la tête
du groupe pour remplacer Olivier Brandicourt qui prend sa
retraite11,12.
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