De : Michel DAKAR, Paris, le 29 juin 2006
Lettre ouverte au sujet d’un type particulier de répression politique par la police.
Je suis l’objet en ce moment de manœuvres de déstabilisation « classiques » policières. « On» s’introduit à mon domicile, sans effraction, toujours le même jour de la semaine et au même moment de la journée, quand je suis obligatoirement absent. Afin de me signaler cette visite, mon ou mes visiteurs laissent une marque de leur passage, que je ne peux manquer de constater. Ce genre de visite a eu lieu la première fois il y a environ quatre mois, puis il y a quinze jours et hier. Le rythme semble s’accélérer avec la proximité de l’audience judiciaire du 26 juin 2006, à Versailles à la 6ème chambre à 9heures, audience relative à l’association CODEIG dont je suis le Président, cette association étant dédiée à la lutte contre tous les génocides, dont celui en cours d’exécution des Palestiniens par les sionistes. J’ai décidé de faire une lettre ouverte diffusée par Internet et par voie postale, sur ce genre de méthodes policières. Peu de gens ont la connaissance de ces méthodes policières. Elles font peur et ceux qui en sont victimes hésitent à en faire état publiquement. En effet, se rendre compte que la police qui est censée vous protéger se change en cambrioleur, met en évidence son rôle réel, comme cela met en évidence que la vraie guerre, la seule guerre qui existe et qui n’a pas connu de trêve depuis des milliers d’années, est celle qui oppose la caste du pouvoir à l’humanité qu’elle domine, oppresse, asservit et exploite, et que l’appareil policier n’est que l’un des moyens que cette caste emploie pour briser la population. Tous les régimes totalitaires utilisent ce genre de méthode policière, telle la violation de domicile sans effraction, laquelle rend difficile le dépôt d’une plainte, et d’y réagir de toute manière autre. Le but de ce genre de méthode est de persuader de son impuissance la personne visée, pour la briser psychologiquement.
En ce qui me concerne, ces visites ont aussi à voir avec les trois destructions successives des disques durs de mon installation informatique, qui me sert à créer et à publier mes sites Internet, destruction dont mon expert en informatique m’affirme qu’elle est impossible à distance, et qu’il faut pour la réaliser, s’introduire à mon domicile. Cela a aussi à voir avec le sabotage passé de mon site Internet http:// www. aredam.net, dont la page d’accueil avait disparu, ce qui ne présente pas de problème si on possède le code d’accès à la gestion du site, code d’accès qui est dans un dossier en évidence à mon domicile. Enfin, tout cela a à voir avec le service de police dit de « protection de la personne », ex-BEAP, ex-BASLP et actuel BRDP, qui tente de me faire passer pour fou en raison de mes dénonciations gênantes sur ce service, qui dépend du CRIF et dont l’activité principalement consiste à faire la chasse aux opposants en France à l’Etat génocidaire et raciste israélien. Ce service a pour tutelle la 4ème section du Parquet de Paris, section de la presse et dite des « Libertés publiques ». Ce service est situé au 122/126 rue du Château-des-Rentiers à Paris 13ème. Il est impliqué en ce qui me concerne, dans une affaire de faux en écritures publiques, une autre de fausses menaces de mort en collaboration avec le CRIF attribuées à moi-même, et de tortures d’un opposant au sionisme, Daniel Milan de Nice, dont je préside une association pour sa réhabilitation.
Faites connaître cette lettre, car ce qui m’arrive arrive à beaucoup d’autres personnes qui n’osent pas en parler, et peut aussi vous arriver un jour.
|