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Pourquoi les lois antiracistes sont aconstitutionnelles.
Ce texte m’a été demandé par mon ami Daniel
Milan, militant antitotalitaire, libertaire et musulman.
Daniel Milan est très sensible à la notion d’égalité
de tous devant la loi.
Cette notion est en effet fondamentale, et est l’un des piliers
de la Constitution.
Il peut sembler étrange, à première vue, que les
lois antiracistes soient aconstitutionnelles, au titre qu’elles
enfreignent la notion d’égalité de tous devant la
loi.
Pourtant, à bien y réfléchir, il semble que cela
soit le cas, et que ces lois aient pour objet de discriminer la masse
et de favoriser une élite, qui elle, est au-dessus de la loi.
Pour comprendre ce phénomène, il faut se tourner vers les
associations antiracistes.
Ces associations, principalement en France le MRAP (Mouvement contre le
racisme et l’amitié entre les peuples, d’obédience
communiste, mais chapeautée par des juifs sionistes dès
le départ), et la LICRA (Ligue internationale contre le racisme
et l’antisémitisme, le racisme ayant été tardivement
rajouté, à l’origine il s’agissait de la LICA,
succursale de l’organisation américaine Anti Diffamation
Ligue – ADL, sioniste), discriminent en effet le racisme général,
de l’antisémitisme, qui serait un racisme particulier, un
racisme d’une essence supérieure dans le mal. Ce que d’ailleurs
ces organisations se gardent bien d’expliciter.
Hors, il y a bien une sacrée différence entre le racisme
qui touche les noirs, les arabes, et autres non-blancs, et l’antisémitisme,
qui est non pas un racisme, mais un rejet de l’hégémonie
des juifs.
En effet, le racisme anti noirs ou anti arabe, n’est qu’une
justification de l’exploitation des noirs et des arabes, une légitimation
de la violence faite à des populations placées en état
d’infériorité.
Il suffit d’ouvrir les yeux pour voir que ce n’est pas le
cas des juifs, qui se trouvent en position exactement inverse.
Il est donc absolument absurde de placer sur le même plan le racisme
et l’antisémitisme.
Cela revient à se servir des populations placées en état
d’infériorité, exploitées, qui subissent la
violence, pour garantir l’impunité d’une population
qui domine les autres, et qui donc exerce, elle, la violence sur les autres
populations.
Ainsi, les lois antiracistes permettent de légitimer la violence
d’une population sur les autres populations, et en dernier ressort,
donc, de légitimer le racisme, soit l’inégalité
devant la loi, soit de légitimer l’atteinte à la Constitution.
Mais au-delà, cela mène à donner une définition
rapide du judaïsme, car qu’est ce que chercher à comprendre
l’antisémitisme, si non ne cherche pas à comprendre
le judaïsme et à le définir ?
Le judaïsme peut être définit en une seule phrase, comme
un programme mondial visant à substituer à toutes les élites
nationales, des juifs.
Ce programme apparaît explicitement dans la torah, et particulièrement
dans sa partie nommée deutéronome.
Les lois antiracistes servent donc à interdire de s’opposer
à ce programme, au titre de contenir le racisme.
Les lois antiracistes servent donc, en utilisant les populations qui sont
inférieures de fait devant la loi, à favoriser l’élévation
d’une population au-dessus de la loi.
Ces lois antiracistes sont donc bien aconstitutionnelles, dans le sens
où elles sont étrangères à la constitution.
Elles sont d’une autre logique que celle qui fonde la constitution,
d’une autre manière de penser l’humanité.
Mais pour élargir le sujet, il faut regarder au-delà du
judaïsme seul, car le judaïsme ne peut exister seul, indépendamment
de l’humanité générale.
Tous le systèmes humains sont fondés sur la hiérarchie,
l’inégalité.
Il n’y a pas besoin des juifs pour propager l’inégalité,
elle existe sans eux, sans le judaïsme.
Le judaïsme ne pourrait exister dans un monde égalitaire.
Le judaïsme est né de l’état général
du monde humain, fondé sur l’inégalité.
Les créateurs du judaïsme n’ont fait que tirer jusqu’à
la conclusion ultime, la prise de conscience que la société
humaine avait définitivement déviée vers une forme
inégalitaire.
Cette conclusion était que dans un monde irrémédiablement
inégalitaire, la seule voie de succès est de s’organiser
en un groupe dont les membres ayant pour principe inculqué de partout
progresser, placent certains de leur membre aux postes les plus élevés
partout où cela est possible. Le judaïsme est une solidarité
d’arrivistes.
Mais l’arrivisme, comme l’inégalité ou la solidarité
égoïste de groupe ne sont pas propres aux seuls juifs.
Alors que peut-on reprocher de spécifique aux juifs ?
Simplement que tous les efforts qui sont fait pour tendre vers l’égalité
sont mis à mal par eux, car le judaïsme et les juifs ne peuvent
que subsister au sein de l’inégalité, et que quand
tous les postes clé des systèmes sociaux sont accaparés
par eux, tout se bloque pour que le système général
se fige dans l’inégalité.
C’est bien le patron à vie de la LICRA, le sioniste Patrick
Gaubert, qui avait osé déclarer publiquement que les juifs
seraient à présent persécutés au nom de l’égalité
…
Quant au problème de l’égalité, il est pour
certain vital, car il ne peut y avoir de société humaine
viable, sans égalité.
L’interdiction faite d’accéder ou de se rapprocher
d’un état d’égalité réelle (principalement
économique), et non pas seulement en droit, ce qui n’est
qu’une première étape, interdit la survie à
terme de l’humanité.
Et pour finir, il devient clair en Occident, que l’antisémitisme
devient peu à peu, par glissement, assimilé à une
atteinte aux élites en général, soit une atteinte
aux dominants, qu’ils soient juifs ou non. Un antisémite
devient peu à peu celui qui s’oppose à un ordre inégalitaire.
Par le fait du « politically correct » occidental (synonyme
de pensée unique), l’antisémitisme devient le péché
mortel implicite, non-dit, celui de vouloir un ordre non fondé
sur l’argent, un ordre de non-domination, car dans notre système
occidental, c’est par l’argent qu’on domine.
Il est à remarquer que sous le bolchevisme, l’antisémitisme
a été assimilé, dès le départ, à
une atteinte au communisme, les juifs étant prépondérants
dans les sphères dirigeantes, jusqu’à l’épuration
opérée par Staline. Avant Staline, les antisémites
étaient passibles de la peine de mort.
Pour ceux qui penseraient pouvoir poursuivre en justice ce texte pour
antisémitisme, qu’ils sachent qu’à l’audience,
la lecture sera donnée du deutéronome, et d’autres
morceaux choisis de la torah, ce programme de domination mondiale établi
il y a environ deux milliers d’années.
Michel Dakar, le 20 avril 2012
Annexe :
Extraits de la torah, bible - deuteronome, psaumes,
et citations de sionistes : à la source de la mentalité
génocidaire et raciste)
http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html
Du judaïsme au sionisme, par des extraits
de la Torah (Deuteronome et Psaumes), et des citations d'auteurs, d'idéologues
et de chefs d'Etat sionistes, où, de la perpétuation à
travers les siècles d'une idéologie de la haine, du racisme,
de la xénophobie, du génocide, de l'accaparement, et de
la domination.
1 - Extraits du Deuteronome et
des Psaumes.
2 - Citations de sionistes
célèbres.
1 - Extraits du Deuteronome et des Psaumes :
Deuteronome 6 – 10 à 6 – 11,
« Lorsque Yahweh, ton dieu, t'aura fait
entrer dans le pays qu'il a juré à tes pères, à
Abraham, à Isaac et à Jacob, de te donner : grandes villes
que tu n'as pas bâties, maisons pleines de toutes sortes de biens
que tu n'as pas remplies, citernes que tu n'as pas creusées ; vignes
et oliviers que tu n'as pas plantés ; lorsque tu mangeras et te
rassasieras, garde-toi d'oublier Yahweh, qui t'a tiré du pays d'Egypte.
»
Deuteronome 7 – 1 à 7 – 4,
« Lorsque Yahweh, ton dieu, t'aura fait
entrer dans le pays, où tu vas pour en prendre possession, et qu'il
aura chassé devant toi beaucoup de nations, les Hittites, les Guirgachites,
les Amorrhéens, les Chananéens, les Périzzites, les
Hiwwites et les Jébuzéens, sept nations plus nombreuses
et plus puissantes que toi, et que Yahweh, ton dieu, te les aura livrées
et que tu les auras battues, tu les anathémiseras, tu ne concluras
pas d'alliance avec elles et tu ne leurs feras point grâce. Tu ne
contracteras pas de relations matrimoniales avec elles, tu ne donneras
pas tes filles à leurs fils, et tu ne prendras pas leurs filles
pour tes fils. »
Deuteronome 7 – 6,
« Car toi, tu es un peuple saint, consacré
à Yahweh, ton Dieu. C'est toi que Yahweh, ton Dieu, a choisi pour
devenir son peuple particulier, d'entre tous les peuples qui sont sur
la face de la terre. Ce n'est pas parce que vous êtes plus nombreux
qu'aucun des autres peuples que Yahweh s'est attaché à vous
et vous a choisis, car vous êtes le plus petit de tous les peuples.
Mais c'est parce que Yahweh vous aime et parce qu'il garde le serment
qu'il a fait à vos pères, que Yahweh vous a fait sortir
à main puissante et vous a rédimés de la maison de
servitude, de la main de pharaon, roi d'Egypte. Tu sauras donc que c'est
Yahweh, ton Dieu, qui est le Dieu, le Dieu fidèle qui garde l'alliance
et la bienveillance jusqu'à mille générations, pour
ceux qui l'aiment et qui garde ses commandements ; mais il rend la pareille
directement à qui le hait ouvertement, en les détruisant
; il ne tarde pas envers qui le hait de lui rendre la pareille en personne.
Tu observeras donc les commandements, les lois et les ordonnances que
je te commande aujourd'hui, en les mettant en pratique.
15 – 1 à 15 - 3,
« A la fin de chaque septième année,
tu feras rémission. Voici comment se pratiquera la rémission
: que quiconque détient une créance remette ce qu'il a prêté
à son prochain ; il ne pressera pas son prochain ni son frère,
quand on aura publié la rémission de Yahweh. Tu pourras
presser l'étranger ; mais pour ce qui t'appartient chez ton frère,
tu le remettras. »
Deuteronome 15 – 6,
« Car Yahweh, ton Dieu, te béniras,
comme il te l'a dit, tu prêteras à beaucoup de nations, et
toi tu n'emprunteras pas ; tu domineras sur beaucoup de nations, mais
sur toi on ne dominera pas. »
Deuteronome 17 – 15,
« Tu pourras te constituer un roi, celui
que Yahweh, ton dieu, aura choisi, c'est entre tes frères que tu
te constitueras un roi, tu ne pourras pas te soumettre à un étranger,
parce qu'il n'est pas ton frère. »
Deutéronome 10/15,
" Israël est le peuple élu entre
toutes les nations ".
Deutéronome 14/2,
" Le Seigneur t'a choisi pour être
son peuple à Lui parmi tous les peuples de la terre ".
Deutéronome 1/13,
" Lorsque Yahweh ton Dieu aura exterminé
les nations dont Yahweh ton Dieu te donnes le pays.
Deutéronome 7/3,
" Tu ne contracteras pas de relations matrimoniales
avec elles (les populations non-juives), tu ne donneras pas tes filles
à leurs fils, et tu ne prendras pas leurs filles pour tes fils.
Deutéronome 7 –
16,
« Tu dévoreras tous les peuples que
Yahweh, ton dieu, te livre ; ton œil sera sans pitié pour
eux. »
Deutéronome 7 –
20,
« Yahweh, ton dieu, enverra même sur
eux des guêpes jusqu'à ce que périssent ceux qui auront
pu rester et se cacher devant toi. »
Deuteronome 11 – 23,
« Yahweh chassera toutes ces nations devant
vous, et vous vous soumettrez des nations plus grandes et plus puissantes
que vous ».
Deuteronome 12 – 29,
« Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé
les nations, dans lesquelles tu te rends pour les chasser devant toi,
que tu les auras chassés et que tu habiteras leurs pays. »
Deutéronome 7 - 24,
« Yahweh, ton dieu, chassera peu à
peu ces nations devant toi ; tu ne pourras pas les exterminer rapidement,
afin que les bêtes sauvages ne se multiplient pas contre toi. Yahweh,
ton dieu, te les livreras, et il les bouleversera d'un grand bouleversement,
jusqu'à ce qu'elles soient anéanties. Il te livrera leurs
rois, et tu feras disparaître leurs noms de dessous les cieux ;
personne ne tiendra devant toi, jusqu'à ce que tu les aies anéantis.
»
Psaume 45/17,
" De tes fils tu feras des princes sur toute
la terre ".
Psaume 18/44,
" Yahweh a mis Israël à la tête
de toutes les nations ".
Deutéronome, 12/79,
" Le Seigneur ton Dieu exterminera les peuples
chez qui tu te rendras pour les déposséder de leur territoire
".
Deutéronome 28/9 à 28/13 :
" Yahweh te maintiendra, pour lui en peuple
saint, ainsi qu'il te l'a juré, si tu observes les commandements
de Yahweh, ton Dieu, et si tu marches dans ses voies; et tous les peuples
de la terre verront que le nom de Yahweh est nommé sur toi, ils
te craindront. Yahweh te fera surabonder de biens, dans le fruit de tes
entrailles, dans le fruits de tes bêtes et le fruit de ton sol,
dans le pays que Yahweh a juré à tes pères de te
donner. Yahweh t'ouvrira son magnifique trésor, le ciel, pour envoyer
à ton pays la pluie en son temps, et pour bénir tout le
travail de tes mains. Tu prêteras à beaucoup de nations,
et tu n'emprunteras pas. Yahweh te mettra à la tête, et non
à la queue; tu seras uniquement en haut, et tu ne seras pas en
bas, si tu obéis aux commandements de Yahweh, ton Dieu ... ".
Deuteronome 19 – 1,
« Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé
les nations dont Yahweh, ton dieu, te donne le pays ; lorsque tu les auras
chassés et que tu habiteras dans leurs villes et dans leurs maisons.
»
Deuteronome 20 – 10 à 20 –
16,
« Lorsque tu t'approcheras d'une ville pour
la combattre, tu lui offriras la paix. Si elle te fais une réponse
de paix et s'ouvre à toi, tout le peuple qui s'y trouvera te sera
tributaire et te servira. Si elle ne fait pas la paix avec toi, et qu'elle
veuille te faire la guerre, tu l'assiègeras et, quand Yahweh, ton
dieu, te l'aura livrée, tu passeras tous les males au fil de l'épée.
Mais les femmes, les enfants, le bétail, et tout ce qui sera dans
la ville, tout son butin, tu le pilleras pour toi, et tu pourras manger
le butin de tes ennemis que Yahweh, ton dieu, t'auras donné. C'est
ainsi que tu agiras à l'égard des villes éloignées
de chez toi, et qui ne sont pas des villes de ces nations-ci.
Mais quant aux villes de ces peuples que Yahweh,
ton dieu, te donne en propriété, tu n'y laisseras la vie
à rien de ce qui respire. »
Deuteronome 23 - 20,
Tu n'exigeras pas de ton frère un intérêt
pour argent, ni intérêt pour vivre, ni intérêt
pour autre chose qui se prête à intérêt. Tu
exigeras un intérêt de l'étranger, mais tu n'exigeras
pas d'intérêt de ton frère. »
Deuteronome 26 – 18 à 26 –
19,
« Et Yahweh t'a fait dire aujourd'hui que
tu veux lui devenir un peuple particulier, comme il te l'a dit, et observer
tous ses commandements, et ainsi te rendra-t-il supérieur à
toutes les nations qu'il a faites, en gloire, en renom et en splendeur,
et fera-t-il de toi un peuple saint à Yahweh, ton Dieu, comme il
l'a dit. »
Psaume 2, 7 à 9
« Et moi (Yahweh), j'ai établi mon
roi sur Sion, ma montagne sainte
Je vais publier le décret de Yahweh : Yahweh
m'a dit : tu es mon fils, moi-même, aujourd'hui, je t'ai engendré.
Fais m'en la demande, et je te donnerai les nations
pour héritage,
Tu les régiras avec une houlette de fer
; comme le vase du potier tu les mettras en pièces. »
Psaume 47, 17 et 18
« Tes enfants prendront la place de tes
pères ;
tu les établiras comme princes sur toute
la terre. »
2 - Citations de sionistes célèbres
:
« Nous devons expulser les arabes et prendre
leur place ».
David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël.
« Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils
ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves
».
Président Heilbrun, du comité pour la réélection
du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987.
« « Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l’intimidation,
la confiscation des terres et l’arrêt de tous les programmes
sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population
arabe ».
Israël Koenig, « The Koenig memorandum ».
« La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au
moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du
Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis
sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule
tribu ».
Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973.
« Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »,
Israel Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans.
Après avoir visité la Palestine en 1891, l’essayiste
hébreu Achad Ha-Am a commenté : « A l’étranger
nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque
vide ; que rien n’y pousse et celui qui veut acheter de la terre
peut aller là-bas acheter les terres qu’il désire.
En réalité, la situation n’est pas ainsi. Dans ce
pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà
cultivée ».
« Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ?
Il n’y a personne à qui les rendre ».
Golda Meir, premier ministre d’Israël, 8 mars 1969.
« Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens
n’ont jamais existé ».
Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969.
« « Les palestiniens » seront écrasés
comme des sauterelles … leurs têtes éclatés
contre les rochers et les murs ».
Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril 1988.
« Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne
sont pas les mêmes ».
Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est
pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin
1989.
« Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la
frontière en lui refusant du travail. Le processus d’expropriation
et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement
et avec circonspection ».
Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale,
note du 12 juin 1895.
Description par Rabin de la conquête de Lydda, après l’achèvement
du plan Dalet. « Nous réduirons la population arabe à
une communauté de coupeurs de bois et de serveurs ».
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion,
1960, tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias.
« Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez
de viande, plus ils en veulent … ».
Ehud Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem
post du 30 août 2000.
« Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes
».
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk,
« Begin and the beast » «(Begin et les bêtes),
New Statesman, 25 juin 1982.
« Il y a une énorme différence entre nous (les juifs),
et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale,
la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience.
Ils sont nos voisins ici, mais c’est comme si à quelques
centaines de mètres, il y avait un peuple qui n’appartenait
pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait véritablement
à une autre galaxie ».
Président israélien Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai
2001.
« Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les palestiniens)
ne reviennent pas » … « Les vieux mourront et les jeunes
oublieront ».
David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948.
« Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus
aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans
une bouteille ».
Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces de défense israéliennes
(Tsahal), New york Times, 14 avril 1983.
« La thèse d’un danger d’un génocide qui
nous menaçait en juin 67 et qu’Israêl se battait pour
son existence physique était seulement du bluff, créé
et développé après la guerre ». Général
Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972.
« C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer
à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain
nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps.
Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme,
de colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction des
arabes et l’expropriation de leurs terres ».
Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972.
« La population doit se préparer à la guerre, mais
il revient à l’armée israélienne de poursuivre
le combat avec l’objectif ultime qui est la création de l’Empire
israélien ». Moshe Dayan, ministre israélien de la
défense et des affaires étrangères, 12 février
1952 Radio Israel.
« Des villages juifs ont été construits à la
place des villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages
et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent
plus. Et non seulement les livres, mais les villages n’existent
plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé
Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle
de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays qui n’a
pas une ancienne population arabe ».
Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz,
4 avril 1969.
« … si les gens s’habituent à cette donnée
et que nous soyons réellement obligés d’accepter le
retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour
nous, quand nous seront confrontés à des hordes de plaignants,
de convaincre le monde qu’ils ne vivaient pas tous sur le territoire
israélien. Quoi qu’il arrive, il serait souhaitable de réduire
au minimum leur nombre … sinon ».
Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à
Walter Eytan, directeur général du ministère des
affaires étrangères israélien (ISA FM 2564/22). D’après
Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés
palestiniens 1947-49 », p. 297.
« Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors
de question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez
coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous
devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne
ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation,
parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible
toute tentative de détruire ou d’empêcher cette colonisation,
la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE.
Le sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela
qu’elle est dépendante d’une force armée. Il
est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il
est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien
je termine le jeu de la colonisation.
Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur
du likoud), Le Mur de fer, 1923.
« La colonisation sioniste doit être exécutée
contre la volonté de la population autochtone.
C’est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous
la protection d’une puissance indépendante de la population
locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression
de la population locale. Ceci est notre politique à l’égard
des arabes.
Vladimir Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923.
« Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y
a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons
pas notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas d’autres
possibilités que de transférer les arabes d’ici vers
les pays voisins - tous. Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit
rester.
Joseph Weitz, chef du département colonisation de l’Agence
juive en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem
».
« Israël aurait dû exploiter la répression des
manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est
focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des
expulsions massives parmi les arabes des territoires ».
Benyamin Netanyahu, alors député israélien au ministère
des affaires étrangères, ancien premier ministre d’Israël,
s’exprimant devant des étudiants à l’université
de Bar Ilan, tiré du journal israélien « Hotam »,
du 24 novembre 1989.
« A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre
volonté ? De la même façon, les arabes de Palestine
n’abandonneront pas leur souveraineté sans l’usage
de la violence ».
Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes
sionistes), cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou
problème juif » (Jewish people or jewish problem).
« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais
un accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays.
C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les
concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme,
les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils
ne voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays.
Pourquoi devraient-ils l’accepter ?
David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par
Nahum Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.
« Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont aucun
droit de s’établir sur ne serait-ce un seul centimètre
du Grand Israël …
La force est l’unique chose qu’ils comprennent. Nous devons
utiliser la force absolue jusqu’à ce que les palestiniens
viennent ramper devant nous ».
Raphael Eitan, chef d’Etat-major des forces de la défense
israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York
Times, le 14 avril 1983.
« Si l’assemblée générale devait voter
par 121 voix contre une le retour aux frontières de l’armistice
(frontière d’avant juin 1967), Israël refuserait de
se plier à cette décision ».
Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères.
New York Times, 9 juin 1967.
« Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que
l’Amérique fera ceci ou fera cela …
Je vais vous dire quelque chose de très clair :
Ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique
sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique,
et les américains le savent ».
Le premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à
Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael.
« Parmi les phénomène politique les plus inquiétants
de notre temps, il y a l’émergence, dans l’Etat nouvellement
créé d’Israël, d’un parti de la Liberté
(Herut), un parti politique très proche, dans son organisation,
ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des
nazis et des partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient
membres de ce parti sont devenus premiers ministres ».
Albert Einstein.
Hana Arendt et d’autres juifs américains célèbres,
ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite
en Amérique de Begin, en décembre 1948.
« La carte actuelle de la Palestine a été dessinée
sous le mandat britannique. Le peuple juif possède une autre carte
que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer de mener à
bien : celle du Nil à l’Euphrate ».
Ben Gurion.
« Nous devons affronter la réalité qu’Israël
n’est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création
et de son expansion, nous les juifs avons créé ce dont nous
avons souffert historiquement : une population de réfugiés
dans une diaspora ».
Martin Buber, philosophe juif, s’adressant au premier ministre Ben
Gurion, sur le caractère moral de l’Etat d’Israël
en faisant référence aux réfugiés arabes en
mars 1949.
« Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous
sommes retournés en Palestine … la majorité des juifs,
ont préféré apprendre d’Hitler plutôt
que de nous ».
Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958.
« Le pouvoir légal d’Hitler était basé
sur le « décret de loi », qui était voté
tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait
au Führer et à ses représentants, en langage simple,
de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage juridique, de publier
des décrets ayant pouvoir de loi. Exactement le même type
de loi votée par la Knesset (le parlement israélien) juste
après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien,
et à ses représentants le pouvoir d’Hitler, qu’ils
utilisent de façon hitlérienne ».
Docteur Israel Shahak, président de la Ligue israélienne
pour les droits de l’homme et les droits civiques, survivant du
camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les lois d’urgence
de l’armée israélienne suite à la guerre de
1967.
Palestine, vol. 12, décembre 1983.
« Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon a
répété sa question : « Que devons-nous faire
avec la population palestinienne ? » Ben Gurion a levé sa
main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les » ».
Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiées
dans le New York times, 23 octobre 1979.
A l’origine :
Le gouvernement de Sa Majesté envisage
favorablement l’établissement en Palestine d’un foyer
national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter
la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu
que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils
et religieux des collectivités non-juives en Palestine, ni aux
droits dont les juifs jouissent dans tout autre pays.
Déclaration de Balfour au Baron Rothschild, le 2 novembre 1917.
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