De : Michel DAKAR Paris, le 11 mai 2006
A : Association Mondiale de Psychiatrie
Lettre ouverte Titre : « En effet, il est clair qu’il ne peut y avoir de privilégiés sans esclaves, et pour cela, il faut supprimer les hommes intelligents … Les rois et les riches n’ont jamais reculé devant aucun crime pour maintenir leur domination. ».
Monsieur,
Je suis poursuivi en justice par l’Etat français, en raison de ma dénonciation du génocide actuellement en cours, des Palestiniens, génocide mis en œuvre par les juifs sionistes. L’existence de ce génocide est déniée par les autorités occidentales, lesquelles officieusement le légitiment et y collaborent.
En guise d’introduction à mon dossier judiciaire, figure un courrier émanant de policiers, où ces derniers me décrivent comme étant « un illuminé victime de défaillances psychologiques ».
Je ne connais que trop les méthodes policières et judiciaires pour ignorer cette manipulation, qui n’est que le signe avant-coureur d’une « pathologisation » générale de l’opposition politique, par la psychiatrie.
Ce cheminement est bien connu et inhérent à tous les régimes totalitaires. Plus largement, le corps médical n’a jamais manqué d’aider ce genre de régime.
Dans le passé c’était l’Eglise qui décidait ce qu’était la réalité, et elle exterminait ceux qui osaient la dire autre. En dernier ressort, dans le présent, ce seront les spécialistes du comportement, ceux de l’hygiène mentale, les psychologues, psychanalystes et psychiatres.
Cette détermination à anéantir tout discours insoumis, libre, qui caractérise tout totalitarisme, commence là à se manifester en qualifiant de fous ceux qui voient et disent la réalité du sionisme et celle de son génocide des Palestiniens.
On active en premier de simples subalternes de police. Ces agents en question appartiennent à un service totalement assujetti aux sionistes. Ce service est unique et renommé en France. Il porte selon les époques, les dénominations orwelliennes de Brigade de « répression des atteintes à la personne », ou de « protection de la personne », ou des « affaires sanitaires », et parfois même des « Libertés Publiques ». Il dépend de la 4ème section du Parquet de Paris, section non moins orwellienne dite des « Libertés publiques », qui s’occupe des affaires de publication, soit de museler la liberté d’expression, et de pourchasser les pensées et les réflexions non conformes à l’idéologie du régime. Ce système est complété par les chambres judiciaires de la presse, 17ème et 11ème en première instance et en appel au Palais de justice de Paris, et 6ème et 8ème à celui de Versailles, dont les juges contorsionnistes, qui ont pour modèle ceux de la CEDH (Cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg), s’échinent à paraître « indépendants », « équitables » et « impartiaux », selon les termes lumineux de la façade de papier sacrée et ultime du régime, qu’est la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Ce régime pourrait être qualifié de tartufo-orwellien. C’est un régime quasi-schizoïde.
Mais cet ensemble n’est qu’une dépendance de la police de la pensée sioniste, qui se compose d’une nébuleuse informelle d’organisations. La plus connue de ces organisations est l’ADL (Anti Diffamation Ligue). Son siège est aux USA. Son rôle est de diffamer, d’espionner et de persécuter les opposants à l’Etat d’Israël. L’ADL se nomme en France LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme). Le président de la LICRA est M. Patrick Gaubert. Il est connu pour ses prises de position aux connotations raciale et eugéniste, et s’occupe de la promotion de l’Etat d’Israël, comme député au Parlement européen.
C’est dans le but de prévenir de ce qui approche, soit de la psychiatrisation de l’anti-sionisme, et plus largement, de ce qui suivra, soit de la psychiatrisation de l’ensemble de l’opposition politique au régime totalitaire mondial occidental, que je vous écris, et que dans le même temps je rends publique cette lettre.
Je n’ignore ni l’importance en nombre ni le poids de l’influence des personnes d’origine juive parmi les professionnels de la santé mentale, non plus que la prégnance de l’idéologie sioniste parmi elles.
Ceux qui s’opposent spécifiquement au sionisme ne sont que des éclaireurs, l’avant-garde qui est la plus exposée aux coups des organes répressifs du régime, et qui découvrent en premier ce que le reste de l’opposition connaîtra ultérieurement.
La raison en est que le pouvoir en Occident est entre les mains des sionistes, ce que tous ceux qui sont engagés en politique savent en leur for intérieur, mais qu’il est interdit de dire, et même de formuler en pensée.
Aux USA, dans un passé proche, des psychiatres allaient jusqu’à sectionner certaines parties du cerveau, pour réduire ceux qui perturbaient l’ordre.
Dans l’ex-URSS, des psychiatres étaient embrigadés au sein du Goulag, pour rendre invalide par les électrochocs, les piqûres d’insuline et les neuroleptiques, les dissidents politiques.
Des médecins nazis, ainsi que des médecins japonais, expérimentaient sur des prisonniers durant la seconde guerre mondiale.
En Israël, qui est le centre réel du régime totalitaire mondial, la torture a été déclarée légale par la Cour suprême en 1996, déclaration qu’elle a réitérée en 1997 et 1998. Des médecins israéliens assistent les tortionnaires dans leur travail, et mentent sur les causes des décès occasionnés par les sévices. Le conseil israélien de l’ordre des médecins protége ces pratiques. La torture est intégrée aux mœurs en Israël. Des dizaines de milliers de Palestiniens y ont été et y sont soumis. Des centaines en sont morts. Les experts tortionnaires israéliens enseignent leur savoir-faire sur tous les continents, aux services policiers et militaires, étatiques ou privés concernés.
Les USA utilisent pareillement la torture dans leur réseau mondial de prisons.
Je souhaite que vous preniez position. Ce qui se pratique dans le Tiers-Monde et en Israël actuellement, est ce qui se pratiquera ici dans l’avenir.
Je vous prie de recevoir, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
Pièce jointe : copie de la lettre policière, deux feuillets.
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