Nice : un Imam arrêté et expulsé dernièrement, selon le principe de la lettre de cachet.

Dernièrement un Imam algérien, Bohrane Eddine Benyahia âgé de 33 ans, marié à une française, père d'un jeune enfant français, parfaitement en règle a été arrêté et expulsé de Nice, en catimini, vers l'Algérie, pour « atteinte à la Sûreté de l'Etat » sur la base d'un rapport des RG. Nice-Matin, n'a relaté l'information que le 15 Janvier, soit plusieurs jours après les faits, par la plume de son directeur politique, qui approuve et justifie cette décision.

Mais que faisait donc ce « dangereux » imam qui nécessite une arrestation et une expulsion d'urgence du territoire Français ? Il « avait un discours haineux, prônant la guerre sainte et la loi islamique, éloignant les jeunes de l'influence occidentale et des liens actifs, de contacts internationaux avec des mouvances islamistes et des organisations à caractère terroriste » selon les RG et les services de la préfecture sans avancer le moindre début de preuve. Selon certains témoignages, il ne faisait rien d'autre que de prêcher un retour à l'Islam ; « au pire », peut-être, n'adhérait-il pas aux « valeurs » occidentales et était-il solidaire, du moins, en parole, des musulmans opprimés, massacrés et persécutés à travers le monde et ne prêchait pas la soumission obligatoire et obligée à l'idole et ne prônait pas la tolérance et le respect dû aux bourreaux, conformément aux règles totalitaires émises. Voilà ce qui a pu « justifier » cette énième nouvelle arrestation et cette expulsion, en violation du droit et des Droits de l'homme, avec la caution des médias, des droits de l'homme et des politiques ; car comme chacun sait le droit et les Droits de l'homme, sont la propriété de l'homme supérieur, naturellement « tolérant », « humaniste »et « antiraciste » !

 

 

 

Les contrôles à Nice sont toujours aussi « ciblés »…

Particulièrement à l'entrée des cités habitées par des populations d'origine maghrébine et/ou africaine ; mais ce ne sont là que des pures coïncidences ; chacun sait que les policiers et la police, ne sont pas racistes, «  la preuve, nous trouvons dans la police, de plus en plus d'agents d'origine maghrébine »ne manquent pas de répéter les syndicats policiers. Un argument qui n'est pas sans rappeler un autre qui malgré les décennies écoulées, lui ressemble comme une goutte d'eau, simple coïncidence…

 

 

 

Il n'y a pas de violences policières illégales et illégitimes à Nice…

La preuve, on ne voit jamais de policiers poursuivis et encore moins condamnés pour ce délit, car, comme chacun sait, et les syndicats policiers, les magistrats ne manquent jamais de le rappeler, les policiers ne font qu'employer «  la force juste et nécessaire » pour interpeller des individus, afin que « la force juste et nécessaire, reste à la loi » . Il n'y a pas de «  violences illégales et illégitimes », mais des «  violences légales et légitimes »commises sur les auteurs « d'actes de rébellion », «  d'outrages et de violences à policiers ». du reste ce ne sont pas les magistrats, les policiers, les médias dont Nice-Matin, les urgentistes, voire les avocats et les droits de l'homme , qui vous diront le contraire… Nous sommes dans le pays des lumières, de la démocratie et des Droits de l'homme, ça ce sent d'ailleurs, car l'odeur y est plus forte qu'ailleurs ! C'est tout de même beau la démocratie et les Droits de l'homme…

 

 

 

«  Nice : commissariat attaqué à l'Ariane »

C'est ce que nous « informe » Nice-Matin dans sa « une » du 23 Janvier 2005, de « violents incidents »se seraient produits entre policiers et jeunes du quartier durant 10 heures, le vendredi 21 Janvier, à la suite de la chute d'un jeune motocycliste de 22 ans, qui aurait percuté l'avant d'un véhicule de police…

 

 

 

Selon des sources sérieuses et bien informées :

- Les Israéliens ont mis au point une arme qui envoie des micro ondes, en visant le cerveau, et capable de plonger la victime dans l'inconscience. Cette arme a été fabriqué dans une colonie illégale de Cisjordanie, dans les territoires occupés palestiniens.

- En Tunisie, il semblerait qu'il soit devenu d'un usage courant que le régime utilise un procédé technique ayant pour finalité d'envoyer des ondes ( micro ondes ou laser ?) dans le cerveau des victimes, comme moyen de torture et pour effectuer une lobotomie, ce qui détruit définitivement le cerveau. Ce procédé ne laisse pas ou peu de traces. Les forces de sécurité tunisienne, comme celles du Maroc et de l'Algérie, jouissent des conseils de spécialistes israéliens.