Note préliminaire du site
aredam.net :
Ce site assume
rigoureusement son inspiration chrétienne, juive et iranienne
Je ne suis pas venu apporter la paix,
mais l’épée. Car je suis venu mettre la division entre
l’homme et son père, entre la fille et sa mère, entre
la belle-fille et sa belle-mère ; et l’homme aura pour ennemis
les gens de sa maison. Celui qui aime son père ou sa mère
plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime son fils
ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi ; celui qui ne prend
pas sa croix et ne me suit pas, n’est pas digne de moi. »
(Evangile selon Saint Mathieu 10 : 34-37, parole de Jésus Christ,
Nouveau Testament chrétien. Nota : Jésus Christ est un personnage
fictif historique).
« Tu dévoreras tous
les peuples que Yahweh, ton dieu, te livre ; ton œil sera sans pitié
pour eux. » (Deutéronome
7 – 16, texte commun à l'Ancien Testament chrétien
et à la Torah juive)
« Yahweh, ton dieu, enverra
même sur eux des guêpes jusqu'à ce que périssent
ceux qui auront pu rester et se cacher devant toi. » (Deutéronome
7 – 20, texte commun à l'Ancien Testament chrétien
et à la Torah juive)
" De tes fils tu feras des princes
sur toute la terre " Psaume 45/17 (texte
commun à l'Ancien Testament chrétien et à
la Torah juive)
" Yahweh a mis Israël à
la tête de toutes les nations " Psaume 18/44
(texte commun à l'Ancien
Testament chrétien et à la Torah juive)
"Au yeux de l'aristocratie musulmane,
les autres couches de la population étaient l'àmma, la "grande
masse", pour ne pas dire la populace, qu'elle regardait avec mépris
du haut de sa grandeur. Ainsi, un vizir de la célèbre famille
iranienne des Barmékides, qui tombèrent en disgrâce
en 803 auprès du calife Hàrun-ar-Rachid, divisait la société
islamique de cette époque en quatre "classes" : 1. les
souverains que le mérite a mis au sommet; 2. les vizirs, qui se
distinguent par l'intelligence et l'esprit; 3. les gens de haut rang,
que la richesse a élevés; 4. la classe moyenne qui se rattache
à eux par l'instruction. Les autres hommes sont une écume
malpropre, un ruisseau fangeux, des animaux inférieurs. Chacun
d'eux ne pense qu'à manger et à dormir." (Mez, A. :
Die Renaissance des Islams. Heidelberg, 1922) Ainsi le rang politique,
l'argent et, en dernier ressort, l'instruction jouaient un rôle
déterminant dans le prestige. Même la couche fort nombreuse
des marchands et artisans ne jouissait d'aucune considération,
sauf ceux qui étaient très riches. Femmes en Islam, Editions
Sindbad, 1980.
Deux extraits
des Rubâ'iyat, d'Omar Khayyâm :
Dans la mosquée, le medressèh,
dans l'église et la synagogue
Ils craignent le feu de l'enfer et
recherchent le paradis
La semence de ces soucis n'a jamais
germé dans la tête de ceux qui se sont approchés de
l'essence du Tout-puissant
Aurais-tu parcouru le monde
Tout ce que tu as vu n'est rien
Tout ce que tu as pu entendre ou
entrevoir, cela n'est rien
Ta vie n'était que passerelle
en vain jetée entre deux vides
Sur ton tapis tu as prié ?
Tout cela n'est encore rien
Historique de la religion juive :
Les pères fondateurs du judaïsme,
et les rapports entre les descendants actuels de ces fondateurs, qui sont
les actuels iraniens chiites, avec les juifs sionistes.
Le judaïsme fut inventé par une faction
du clergé perse, vers 600 avant Jésus Christ.
Auparavant, il n’y a aucune trace historique d’un peuple juif,
ni d’une doctrine religieuse nommée judaïsme. Les populations
diverses de Palestine étaient toutes polythéistes, dont
la fraction qui a été conditionnée par les prêtres
madéens, et qui a servi de vecteur au judaïsme.
La bible ou torah ne sont qu’une compilation de textes mythologiques
issus de différents peuples et époques du Proche-Orient,
et tous ses personnages prestigieux sont imaginaires (Abraham, Moïse
et autres).
Vers 600 avant JC, le conquérant perse Cyrus vainquit l’autocrate
de Babylone Nabuchodonosor, lequel régnait sur le Proche-Orient
dont la Palestine actuelle, dont il avait déporté une partie
de sa population en Mésopotamie, pour des raisons de repeuplement
et de main d’oeuvre
C’est cette population palestinienne qui fut endoctrinée
par une faction de prêtres perses, lesquels imaginèrent une
nouvelle religion, qui était un syncrétisme de la religion
d’état perse, le mazdéisme (ou zoroastrisme) et de
certains mythes mésopotamiens, palestiniens et égyptiens.
Il est évident que cette faction de prêtres perses avait
pour but trivial et pragmatique de se constituer une masse de «
fidèles » (ou autrement nommés de serviteurs, de serfs,
d’esclaves), afin d’acquérir un pouvoir.
Le judaïsme n’était qu’un avatar du mazdéisme,
adapté au Proche-Orient, et ses fondateurs furent des perses, dont
les descendants sont les actuels iraniens chiites.
Le mazdéisme était réservé aux iraniens de
sang. On ne pouvait pas se convertir au mazdéisme, il fallait naître
perse. On était mazdéen de naissance, mazdéen par
la moelle, exactement comme pour le judaïsme, on naît juif,
on est juif par le sang, on ne le devient pas (ce qui est d'ailleurs totalement
utopique ou plutôt "onirique", puisque l'immense majorité
des juifs actuels descendent de convertis, et non d'ancêtres authentiquement
juifs de Palestine. Il s'agit de kazhars pour les juifs européens
dits ashkénazes, et des populations berbères d'Afrique du
Nord pour les juifs orientaux dits sépharades.
Le fameux concept de dieu unique, de monothéisme, qui est présenté
comme une évolution positive par les historiens, au regard des
cultes polythéistes désignés comme barbares, archaïques,
rétrogrades, n’est que la transposition dans le domaine dit
« sacré », divin, du principe profane politique de
"roi des rois" des potentats perses, le dieu unique n’étant
que le dieu des dieux, régnant sur tous les dieux.
Le principe de l’appartenance au mazdéisme par la naissance
est évidemment indissociable de celui d’élection divine
des perses, principe qui a été introduit par les prêtres
mazdéens perses dans le judaïsme (choisis par dieu dès
la naissance et même dès la conception puisque ce sont leurs
parents et donc ancêtres qui ont été choisis par dieu,
jusqu'à l'ancêtre premier, qu'on peut considérer comme
le fils de dieu, qui porte donc en lui l'essence de la divinité,
ce concept étant retrouvé, ou plutôt replacé
dans le christianisme, Jésus étant à la fois homme
et d'essence divine, fils de dieu - mais le Christ n'est qu'une copie
tardive du personnage mazdéen de Mithra - tout nous vient des anciens
perses !).
L’autre principe du judaïsme, celui de domination mondiale
(« Israël lumière des nations », « Yahweh
a mis Israël à la tête de toutes les nations »
etc ..., voir la page du site aredam.net : http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html),
n’est lui aussi que la transposition de la détermination
politique géostratégique des potentats perses à la
domination internationale, à la formation d’un empire soumettant
tous les royaumes existants.
Le concept du dualité, soit du duo de principes en opposition de
bien et de mal (qui a donné bien plus tard le manichéisme)
du judaïsme provient de même du mazdéisme, le principe
de bien, soit de création, de stabilité et de vérité
étant incarné par le pouvoir perse, et celui de destruction,
soit de désagrégation, de désordre et de mensonge,
étant incarné par ce qui s’oppose à l’empire
perse et menace le pouvoir du roi des rois.
Le personnage imaginaire de Mithra appartenant au culte mazdéen,
a inspiré le personnage tout aussi imaginaire du Christ, qui n’en
n’est qu’une scrupuleuse copie.
Lors de la conquête de l’empire perse par les arabes musulmans
au 7ème siècle après Jésus Christ, et la substitution
de la religion d’état perse, le mazdéisme par l’islam
(processus qui dura environ 3 siècles), se développa un
courant islamique nommé chiisme, qui reconnaît comme seuls
successeurs du « prophète » Mahomet des membres de
sa lignée familiale (Ali et Hussein), lesquels furent assassinés
au profit d'allogènes (reconnus eux comme seuls héritiers
légitimes de Mahomet par le courant dominant de l’islam nommé
sunnisme, soit par environ 85% des musulmans). Là encore, on reconnaît
l’importance du lien par le sang, propre au mazdéisme et
à son dérivé le judaïsme.
Ce courant chiite qui devint prédominant en Iran seulement au 16ème
siècle, est donc fortement imprégné de mazdéisme.
En Iran contemporain, des éléments mazdéens sont
conservés dans les rituels religieux chiites, de même que
les chiites se tiennent pour les élus de dieu (« En vérité
nous tenons de dieu un secret dont Dieu n’imposa le fardeau à
personne d’autre qu’à nous. Puis il nous ordonna de
le transmettre. Nous le transmettrons » (sixième imam, Jaafar
Al-Sadegh)).
De même, on retrouve le personnage type
de "prophète" du mazdéisme (Zaratoustra) dans
le judaïsme, puis dans le chiisme (la lignée des douze prophètes
dont celui dit "occulté", menant au prophète final
le Madhi, rédempteur - cette idée de rédemption est
issue du mazdéisme, replacée dans le judaïsme et le
christianisme, comme l'idée de résurection à une
fin des temps).
Nous assistons donc actuellement au Proche-Orient à l’affrontement
des descendants de ceux qui créèrent le judaïsme, et
de ceux qui sont façonnés et enfermés, soumis par
cette création, qui en sont les esclaves, auxquels on pourrait
appliquer l'idéal jésuite d'obéir comme des cadavres
(mais il faut noter que les créateurs de cette idéologie
de la domination, n'étaient eux-mêmes déjà
que des esclaves de l'idéologie de la domination, comme le sont
les descendants actuels de cette création, les chiites iraniens.
Il ne s'agit en fait que d'une guerre entre esclaves, qui ne cherchent
aucunement la liberté, une guerre entre serviteurs pour être
ceux qui portent les plats à la table du maître. L'esclave
ne peut vivre que dans les limites d'un enclos. La disparition de la clôture
le fait disparaître. L'esclave lutte donc pour le maintien de toute
clôture. Chiites et juifs sont les champions du maintien de l'humain
dans l'enfermement, dans la limitation).
Nota :
Abdallah, ce prénom arabe signifie esclave
de dieu, les musulmans étant par extension des esclaves de dieu,
tout comme les juifs, qui sont les élus de dieu, ce qui signifie
qu'ils ont été choisis pour accomplir sa volonté,
ce qui signifie que les juifs sont privés de volonté propre,
qu'ils ne s'appartiennent pas, qu'ils sont des esclaves.
L'islam, le judaïsme, et le chrisitianisme
sont des cultes de l'esclavagisme.
Leur but réel et unique est l'inculquer
une mentalité d'esclave au populations.
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