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Le principe absolu de division a été créé de manière spontanée, par le système socio-politique,
vers 500 à 600 avant J.C., au Moyen-Orient, dans l'actuelle région Irak-Iran.

Ce principe de division a pris la forme de ce que nous connaissons actuellement, et depuis,
sous le nom de judaïsme.

Ce principe de division, dont l'objet est d'opposer la population à elle-même, soit la masse soumise
et exploité de l'humanité, dominée et asservie par une minorité, de manière à ce que l'agressivité
de cette masse se retourne contre elle-même, et épargne le sommet du pouvoir. Ce principe de division
est une création de ce pouvoir, mais au-delà, c'est une création spontanée de l'ensemble
du système socio-politique humain, une création collective, de l'ensemble de l'existant socio-politique.

On peut affirmer que dans tout système socio-politique fondé, structuré par le pouvoir, c'est à dire
régit par le rapport de force, par la violence, par la contrainte réciproque, il n'existe aucune liberté,
à aucun niveau de la pyramide sociale, pyramide qui est la forme schématique de la société humaine.

On peut même affirmer que plus la place d'un individu est proche du sommet, plus sa marge de manoeuvre,
plus son degrè de liberté, est proche du néant. Quant à ceux ou celui, qui occupent le sommet lui-même,
il est clair qu'ils ne jouissent d'aucune liberté, qu'ils sont comme des choses, des objets, de simples
appendices du système du pouvoir.

Il est à remarquer que la forme pyramidale est apparue spontanément dans des régions du globe très
éloignées, et sans communication, les unes avec les autres, et cela dans toutes les parties du globe.
La structure hiérachique, d'oppression de la masse par une minorité, s'est donc instaurée d'elle-même,
quasiment dans toutes les populations humaines, aussi naturellement que la loi de la gravitation s'exerce
de la même façon partout sur le globe. De même, le principe de division, soit la religion, dont en ce
qui concerne l'Occident ce qu'on nomme "judaïsme", qui n'est guère plus que l'une de ses manifestations
parmi les plus accomplies, ce principe de division, s'est créé de lui-même.

Cette absence de liberté se manifeste par la création par le système lui-même, de ses propres rouages,
engrenages, règles fonctions, qui lui permettent de perdurer, d'assurer sa continuité, de rester identique
dans le temps, immuable malgrè les forces qui tendent à le réformer.

C'est comme si un robot, une machine, une mécanique devenait capable de créer de nouveaux organes
qui lui permettent de s'adapter pour rester conforme à son identité initiale, à de nouvelles conditions
environnementales - une machine auto-créatrice.

En fait, c'est le fondement même de la société humaine sur la force, qui mène à son caractère
fondamental de mécanique, avec sa caractéristique essentielle, qui est l'absence de liberté.

Une chose, un objet, sont par essence non-libres. Les évènements, les transformations qui adviennent
dans ce type de société, ont lieu par "la force des choses", et jamais par la volonté, le désir, le choix,
la conscience des individus qui la composent.

La principe de division absolu, soit le judaïsme moderne, est une création de l'ensemble du système
social humain, de la région moyen orientale. Cette création-apparition a eu lieu à l'occasion de la
déportation à Babylone de l'élite de la population du royaume de Juda, actuellement nommé Palestine
occupée, dite Etat d'Israël, par Nabuchodonosor, roi de Babylone.

Cette déportation était motivée comme moyen de contraindre la Judée conquise à la soumission, et
cette élite était otage du roi de Babylone.

Cette élite fut utilisée par ce roi comme le corps administratif de son état. Ce corps administratif fut repris
à la chute de Babylone par le roi des Perses Cyrus, avant qu'il ne réintègre sa région d'origine,
actuellement la Palestine.

En tant que corps administrant la population pour ces rois, ce qui signifie en tant qu'organe d'exploitation
de ces rois sur leurs populations, l'élite juive fut coupée et rendue hostile à ces populations par
des privilèges, et aussi par la création d'un doctrine élito-suprématiste, légitimant, justifiant ses privilèges,
sa séparation, son isolement de la population, et sa suprématie.

Il n'y a pas à entrer plus avant dans le détail historique de ces évènements, car ce n'est au fond qu'anecdotes,
de plus il n'en reste presque aucune trace, et tout ce qui est narré dans les fameux livres "divins", tels les
bible, talmud thora et autres, n'est que pure propagande politico-religieuse, soit pur mensonge.

Ce qu'on nomme le judaïsme moderne, est le corpus idéologique de cette élite administrative, au service
à l'origine du pouvoir absolu et sans limite du roi Nabuchodonosor, puis Cyrus.

Ce corpus idéologique s'est inscrit dans l'ancien corpus religieux du judaïsme antérieur à l'exil en Babylonie,
corpus idéologique qui ne discriminait pas les Juifs de l'humanité, en y apportant les principes absolus et
totalitaires de discrimination et de suprématie des Juifs de toute l'humanité.

Cela a produit les principes absolus de dicrimination et de suprématie que nous connaissons en tant
que judaïsme moderne, qui fait du judaïsme, et de ceux qui y sont soumis, l'un des rouages essentiels
du système socio-politique pyramidal, fondé sur le pouvoir, sur la domination par une minorité, de la masse.

Ceux qui incriminent le judaïsme et les Juifs, comme étant ceux qui détiennent le pouvoir, se trompent
absolument. Les Juifs ne détiennent aucunement le pouvoir, mais ne sont que l'un des rouages du système
de pouvoir, dans un monde humain qui a toujours été celui du pouvoir.

Il est aussi clair que comme dans le système pyramidal, tout individu situé proche du sommet de la
pyramide, ne détient aucune liberté, c'est à dire qu'il est lui-même parmi les plus victimes du pouvoir.

Si on veut considérer "les" Juifs, en tant que communauté, il est clair que cette communauté est parmi
celles qui sont elles-mêmes les plus victimes du pouvoir, et parmi celles qui sont les plus dénuées de toute
liberté.

Comme si on veut considérer le type individu juif, en tant que tel, si cela existe, il est clair que ce type
d'individu est parmi ceux qui sont les plus dénués de liberté.

Il est totalement injuste d'accabler "les" Juifs, le judaïsme, et au-delà, le sionisme, qui selon moi n'est que la
continuité du judaïsme, de tous les maux comme beaucoup le font. Le faire est comme désigner un simple
rouage parmi tous les rouages d'un mécanique sans conscience, une machine, celle du système humain
fondé sur le pouvoir, comme étant le système lui-même.

Pour résumer, le "rouage juif" n'est pas "le" système.

Dans ce système fondé sur le pouvoir, tous les individus et les communautés d'individus qui composent
cette mécanique sans esprit, sont totalement dénués de toute liberté, et bien proche d'être aussi dénués
de toute conscience. Le rouage nommé "juif", judaïsme, sionisme, est à situer exactement au même niveau
que n'importe lequel des autres rouages de l'ensemble du système humain fondé sur le pouvoir, du système
pyramidal.

On n'avancera jamais d'un pas si on s'arrête à ce qui n'est qu'un rouage, et de plus parmi ceux qui sont
les plus incapables du plus infinitésimal mouvement autonome.

On peut nommer ce mouvement autonome liberté, l'absence de mouvement autonome le néant,
et ceux qui sont capables d'un mouvement autonome, d'êtres, et ceux qui en sont incapables, de non-êtres.

Il est clair que le système fondé sur l'absence de liberté, sur le néant, sur le non-être, s'emploie
mécaniquement, à la fin de se perpétuer, à détruire tout mouvement autonome, soit la liberté,
et tout être, c'est à dire individu libre, et cela bien sûr dans la plus totale inconscience.

Il est clair que ce sont les rouages les plus proches du sommet, ou qui sont au sommet même de la pyramide,
qui sont les plus activés à ces destructions.

Il faut toujours garder à l'esprit, pour ceux qui s'emploient à instaurer la liberté, que ceux qui s'opposent
à la liberté, ne sont que des choses, des objets, et qu'on ne peut haïr des choses et des objets, que ce qu'on
doit faire est d'éveiller ces choses, ces objets, à la conscience, à les rendre elles-mêmes libres.

S'obnubiler sur "les juifs", le judaïsme, le sionisme, est comme pour un chien s'obnubiler sur le bâton
qui le frappe et qui mord ce bâton, en place de mordre le bourreau qui tient ce bâton
et qui l'en frappe.