Généalogie de la création des conditions législatives propres à l’instauration de l’actuel Etat totalitaire.

Depuis le vote de la loi Fabius-Gayssot, en 1990, instituant la version étatique et donc totalitaire de l’histoire de la seconde guerre mondiale, et donc ouvrant à la persécution des libertés de penser et d’expression en général, jusqu’à l’automne 2006, et la tentative par les sionistes de faire voter par le Parlement européen un texte réprimant toute critique de l’Etat d’Israël, soit de son racisme constitutif et de son génocide du peuple de Palestine, texte légal ouvrant donc la voie à l’établissement institutionnel du racisme et du droit de génocide en général, en Occident.

 

Récapitulatif et exposé succinct des manipulations siono-policières depuis les années 1980 :

1 - Affaire de la fausse menace de mort antisémite de Daniel MILAN (1980) et du faux attentat antisémite de la synagogue de la rue Copernic à Paris (1980),

2 - Affaire du faux attentat raciste de Michel Lajoye (1988),

3 - Affaire du cimetière juif de Carpentras (mai 1990), et vote de la loi Fabius-Gayssot (juillet 1990),

4 - Automne 2006, le futur vote de la loi européenne réprimant les critiques du racisme et du droit de génocide sionistes en Palestine, et au-delà, ouvrant à l’institutionnalisation du racisme et du droit de génocide en Occident.

 

1 – Exposé des raisons des manipulations siono-policières, et de l’alliance entre certains services militaro-policiers français, les officines sionistes de guerre par la propagande et une fraction de l’extrême droite française corrompue par les sionistes et sous l’emprise de certains services militaro-policiers français.

 

Exposé :

Afin d’obtenir le vote par les députés et les sénateurs, et la non-saisine du Conseil constitutionnel, d’une loi instaurant une vérité historique officielle (la loi dite Fabius-Gayssot de 1990), ce qui est l’une des caractéristiques de tout régime totalitaire, les officines sionistes de guerre psychologiques durent créer une série d’événements terrorisants, pour contraidre moralement les instances représentatives françaises à adopter une telle loi.

Il faut rappeler que même Jacques Chirac était opposé à une telle loi, de même que Simone Weil, comme la plupart des plus hautes autorités morales et politiques, de même que celles universitaires dans le domaine du droit.

Les arguments avancés par les historiens révisionnistes, dont par leur chef de file Robert Faurisson, étant très difficiles à contrecarrer sur le terrain des faits objectifs, de la logique et de la démonstration scientifiques. Il fallait faire taire par la force les historiens révisionnistes. Pour cela, une loi réprimant le simple fait de discuter de la validité de la version officielle de l’histoire de la seconde guerre mondiale était indispensable.

Une telle loi était un aveu d’échec de la part des tenants de la version officielle de l’histoire, mais à ce stade de déroute, ces derniers n’avaient plus d’autres choix. L’idée de cette loi apparue très tôt. Une réunion au cours de laquelle fut décidé ce projet de loi eu lieu à Paris en 1986. A cette réunion participaient le rabbin Sirat, Serge Klarsfeld, Pierre Vidal Naquet.

Les services « actions » de certains services spéciaux militaro-policiers français, associés à certaines organisations de guerre sionistes, de leur côté, continuaient de  fabriquer « à la chaîne » des évènements spectaculaires qui permettaient le déchaînement des passions, de la haine et des angoisses, de façon à interdire tout débat rationnel et toute opposition morale au sujet d’une telle loi.

A la suite de cet exposé, figure un bref récapitulatif des évènements les plus marquants créés par ces officines sionistes liées à certains services militaro-policiers français, dont celui de la sécurité militaire.

Le but propre à ce service qui est de tendance politique fascisante, était l’instauration à terme d’un Etat totalitaire militaro-policier. Ce type d’Etat était souhaité par une partie de plus en plus large de l’oligarchie économique qui détient la réalité du pouvoir dans le régime pseudo démocrate occidental.

L’instauration de ce genre de régime nécessitait la promulgation d’une loi interdisant en dernier ressort toute liberté d’expression et même de penser.

Cette interdiction générale de la pensée libre et de son expression utilisa le biais de la répression de la critique de la version officielle de l’histoire de la seconde guerre mondiale.

En effet, cette période est centrale et primordiale dans l’histoire de l’Occident, puisque l’idéologie dite démocratique actuelle fonde la légitimité de la supériorité de l’Occident sur le reste du monde, son hégémonie, le droit à sa domination mondiale, par le fait que l’Occident aurait alors vaincu la pire monstruosité que l’humanité n’a jamais connu, le nazisme, et aurait donc sauvé l’humanité du pire péril qu’elle n'ait jamais connu, et qu’en conséquence, l’actuel régime occidental et sa domination-exploitation du monde, est bénéfique pour toute l’humanité, que l’actuel régime occidental est véritablement démocratique, et qu’il est le seul au monde porteur des valeurs humanistes de paix, de progrès, de liberté, de démocratie.

C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’existe un régime si authentiquement extraordinairement morbide, totalitaire, destructeur de masse de civilisations, de populations et de l’environnement de toute la planète, de toute vie, et qu’un tel régime s’acharne à se présenter comme l’incarnation de l’humanisme.

C’est aussi sans doute la première fois qu’un tel régime est aussi nuisible, mortel à toute vie, civilisation et culture, et qu’au-delà des corps, il s’en prend à l’existence de l’esprit même.

Ce régime qu’on n’ose même pas dénommer, pourrait s’intituler ...

le siono-capitalisme.

Il y eu collusion d’intérêts entre les instances sionistes et celles de l’appareil de maintien de l’ordre les plus réactionnaires et fascisantes de l’Etat français.

Ces dernières agissent pour le cercle central du pouvoir économique. Ce cercle avait conscience de la nécessité de l’instauration rapide d’un régime politique aux caractères totalitaires en Occident, en raison de l’extinction proche de toutes les sortes de ressources énergétiques, et principalement de celles pétrolières.

Ces ressources énergétiques pillées dans le Tiers-Monde, permettaient à vil prix de maintenir dans la soumission consentie, par la consommation, le gavage, la satiété physiologique, les couches serviles majoritaires de la population occidentale (classes dites moyennes). La consommation ne pouvant être maintenue très longtemps, consommation autrement nommée clairement « carotte », il fallait préparer son remplacement par le banal bâton. Au bâton, on a ajouté la capacité de distraction et de catharsis des jeux de masse dont le Mondial est l’une des pires manifestations. Rien donc n’a changé depuis l’empire romain, sinon qu’on est en train actuellement de remplacer le pain et les jeux, par le bâton et les jeux.

Cette collusion entre les sionistes et l’oligarchie économique détenant le pouvoir réel en Occident, abouti au vote de la loi dite Fabius-Gayssot en 1990, Fabius étant un socialiste de famille millionnaire, Gayssot étant un communiste, un homme de l’appareil bureaucratique du Parti communiste français, entretenu par l’exploitation de la classe ouvrière française, tous deux étant par ailleurs de confession ou d’origine  juive, et tous deux étant surtout des sionistes.

Les services sionistes alliés aux services fascistes militaro-policiers de l’oligarchie économique ont donc dû inventer des affaires tendant à prouver que le nazisme était toujours présent, cela pour imposer la conclusion qu’il faut pour juguler le pire monstre de l’histoire humaine, interdire toute remise en cause de la version officielle de l’histoire de la seconde guerre mondiale, remise en cause qui reviendrait à dénier la réalité du caractère unique de monstruosité du nazisme, ce qui permettrait sa résurgence (voir le slogan de la propagande : « Plus jamais cela », alors qu’on est en train de vivre mille fois pire !!! que le nazisme).

La fabrication d’affaires d’attentats nazis, par les dirigeants siono-capitalistes, est en réalité la fabrication d’une baudruche monstrueuse sans cesse gonflée et agitée, dans le but de masquer la monstruosité véritable et présente du régime siono-capitaliste dans lequel nous vivons.

C’est pourquoi le projet de loi sioniste qui sera déposé au Parlement européen en automne 2006, propose en premier la répression judiciaire de toute comparaison du régime sioniste en Israël … avec le régime nazi.

 

Les affaires fabriquées :

 

1 - Affaire Daniel MILAN et l’attentat de la rue Copernic à Paris.

Septembre 1980, Daniel MILAN, de Nice, est accusé d’avoir envoyé une liste de personnalités juives locales accompagnée d’une menace de mort visant ces personnalités au MRAP. Les experts en écriture se basent sur les lettres de l’enveloppe, expédiée depuis Paris, la liste elle-même étant dactylographiée, et la menace au bas de cette liste étant manuscrite en lettres bâton (en substance « la prochaine fois le sang va couler »), pour conclure que c’est bien lui qui a envoyé cette lettre. Sur cette liste figurait un tampon de la FANE (Fédération d’action nationale et européenne) à laquelle Daniel MILAN n'avait jamais appartenu. Daniel MILAN est accusé par un comparse providentiel travaillant manifestement pour la police et les sionistes, qui avoue que c’est MILAN qui lui a fourni la liste des personnalités juives, ce comparse s’étant donc logiquement chargé d’envoyer ces lettres. Ce comparse sera acquitté. Daniel MILAN échappe de peu à sa comparution devant la Cour de sûreté de l’Etat, et à une condamnation pour terrorisme, une tentative d’amalgame étant faite avec l’attentat soi-disant pro-palestinien (probablement du fait du Mossad), de la rue Copernic (octobre 1980, synagogue libérale) à Paris. La peine de mort existait encore à cette époque. Devant le vide du dossier judiciaire, le MRAP, qui était concerné au premier chef, qui s’était porté partie civile, ne fera pas appel. Seule la LICRA, le CRIF et le Consistoire de Nice resteront en lice. Les juges prononcent une peine de 18 mois de prison dont 12 mois avec sursis afin de couvrir la détention préventive. En appel, l’incitation à la haine raciale sera enlevée, et ne sera conservée que la simple menace. Cette affaire est tellement scabreuse qu’elle n’est jamais rappelée à Daniel MILAN par les sionistes qui s’acharnent toujours à le persécuter. Au fond, cette affaire était immédiatement devenue inexploitable.

Curieusement, l’affaire Daniel MILAN (septembre 1980 jugée en 1981), qui a presque abouti à la Cour de sûreté de l’Etat, et à une possible condamnation à la réclusion criminelle à perpétuité, ou à une condamnation à mort (prononcée par la Cour de sûreté de l’Etat, c’est la mort par fusillade), a été concomitante de l’affaire de l’attentat de la rue Copernic (octobre 1980), attribué officiellement à la résistance palestinienne, mais dont le ministre de l’intérieur Christian Bonnet (lié d’amitié avec Le Pen et lui-même pro-sioniste), dès le début, connaissait les instigateurs probables, soit les services spéciaux israéliens.

Il fut tenté d’associer Daniel MILAN à l’attentat de la rue Copernic, et ce ne fut que d’un cheveux qu’il ne fut pas transféré au Fort de Vincennes pour être présenté devant la Cour de sûreté de l’Etat siégeant à Paris. Son avocat (Henri Bastiani, bâtonnier de Nice, ex-avocat militaire, ayant défendu l’OAS) vint même spécialement un dimanche le visiter à sa prison, pour le préparer moralement à son transfert.

Daniel MILAN, qui était classé arbitrairement comme néo-nazi pour le diaboliser, par les instances sionistes, aurait alors servi à donner physiquement corps à la thèse de l’existence de la résurgence du nazisme, ainsi qu’à établir l’amalgame avec l’anti-sionisme par association avec la résistance palestinienne, et avec le terrorisme arabe.

Daniel MILAN et l’attentat de la rue Copernic étaient une bonne affaire pour les organes de manipulation sionistes, dommage pour eux que tout tourna court. En effet, Daniel MILAN était le plus mauvais candidat imaginable pour jouer le rôle du méchant nazi terroriste, allant jusqu’à se taillader les veines (se sectionnant même des tendons) dans la cage de détention du Palais de justice de Nice, au retour d’une audition d’avec le juge d’instruction Mallard, pour attirer l’attention sur son innocence.

En tout état de cause, l’affaire MILAN-Copernic est une bonne illustration du genre des méthodes israélo-sionistes.

 

2 - Affaire Michel LAJOYE, ou le candidat idéal à la manipulation, encore et jusqu’au bout (de 1988 à 2006 et avenir).

En 1988, Michel Lajoye dépose une bombe dans un bar maghrébin, bombe qui ne fait aucune victime, ni aucun dégât matériel, dont on ne sait si elle a même explosé, ni même si le paquet qu’a déposé Michel Lajoye dans ce bar, était une bombe, et contenait des explosifs.

Lors du procès, il n’y avait pas de partie civile puisqu’il n’y avait pas de victime, ni de dommage matériel. Le procureur argumenta que la volonté d'accomplir un attentat était aussi répréhensible que l’acte de commettre un attentat réel, et Michel Lajoye fut condamné à la réclusion criminelle à perpétuité.

Sa demande de sortie anticipée a été dernièrement refusée du fait de l’intervention de la LICRA, qui ne semble pas vouloir lâcher si facilement une proie aussi appétissante.

En effet, Michel Lajoye a été la marionnette de certains milieux d’extrême droite manipulés par la sécurité militaire française et les sionistes.

Il constituait le candidat idéal pour accréditer l’existence du nazie antisémite en France, et ouvrir à la répression de ce qui peut, dans la logique sioniste, remettre en selle le nazisme, soit la critique de l’histoire officielle de la seconde guerre mondiale.
 
Michel Lajoye était un bon soldat de l’extrême droite, bien obéissant, au point de se charger véritablement de transporter une bombe et de la laisser dans un lieu public, fréquenté par des arabes. Cela changeait un peu des synagogues, il faut quand même brouiller les pistes, et la LICRA comme son intitulé l’indique, s’occupe de temps à autre, et pour la façade, aussi du racisme, des autres, naturellement.

Michel Lajoye continue en prison, depuis deux dizaines d’années, à respecter son rôle de bon élément de propagande sioniste, en restant proche des organisations et de personnages d’extrême droite, dont l’attitude vis à vis du Proche-Orient est passablement ambiguë, comme l’Association des prisonniers européens (?), et son avocat, Eric Delcroix.

Michel Lajoye est un prisonnier modèle, respectueux de l’ordre carcéral, auquel l’administration pénitentiaire avoue qu’elle n’a rien à reprocher, et qu’il n’y a donc pas lieu de laisser s’en aller facilement.

Il peut encore visiblement servir, c’est du moins ce que semble penser la LICRA, qui empêche pour le moment son élargissement anticipé, sans doute comme publicité de son pouvoir d’émettre des lettres royales de cachet d’incarcération à vie, et arbitraire, car de plus vis à vis d’une personne qui a sans doute quelque chose à se reprocher, mais qui n’a causé de tord à absolument personne.

 

3 – Affaire de la profanation du cimetière juif de Carpentras, mai 1990, et vote de la loi Fabius-Gayssot, juillet 1990.

Plusieurs années après la profanation de ce cimetière, on a fini par découvrir les coupables, des skinheads d’extrême droite, manipulés.

Au moment de la découverte de la profanation, qui a été un coup monté providentiel, la recherche des coupables étaient très très secondaire.

Il ne s’agissait que d’exploiter au maximum ce coup monté, pour forcer la main aux députés et aux sénateurs, afin d’obtenir le vote de la fameuse loi réprimant la recherche libre en histoire pour la période de la seconde guerre mondiale, en ce qui concerne le nazisme.

Immédiatement après la profanation, une manifestation gigantesque fut organisée, et une campagne de propagande d’une dimension inaccoutumée fut développée jusqu’au vote de la loi Fabius-Gayssot, (votée le 13 juillet 1990, avec une dizaine de députés présents dans l’hémicycle).

 

4 - Automne 2006, tentative de faire voter par le Parlement européen un texte cadre, qui servira de base pour modifier les législations nationales, dans le sens d’une mise hors la loi de toute critique envers les caractéristiques du sionisme et de l’Etat d’Israël, soit le racisme, l’élitisme, le droit de conquête et d’exploitation, et le droit de génocide.

Il est donc logique que les caractères constitutifs de cet Etat, soient étendus ensuite à l’Europe entière, puis au monde entier.

Il faut s’attendre à l’apparition d’une ou de plusieurs affaires semblables à celles décrites précédemment, à l’approche de l’automne 2006, affaires provoquées par les sionistes, de façon à contraindre les députés européens à « bien » voter.

 

Conclusion :

L'instauration du régime totalitaire siono-capitaliste.

Après le vote de la loi Fabius-Gayssot en 1990, loi qui interdit de penser et de communiquer, et qui introduit donc à l'instauration du régime totalitaire, voici la loi qui asseoit le régime totalitaire, légitimant la répression sans limite de toute opposition à ce régime, soit le droit d'exterminer, légitimant l'asservissement, soit le droit d'exploiter, légitimant le droit de voler, de spolier et de piller, soit le droit de conquérir.

 

Bon avenir à tous.

 

Texte écrit par Michel DAKAR, et paraissant sur le site http://www.aredam.net,
au fichier http://www.aredam.net/milan-gayssot.html