Cinq cas du mensonge dominant ordinaire :

 

Mensonge n° 5

Graffiti recopié le lundi 29 septembre 2005, sur le mur de la mairie du 13 ème arrondissement, côté avenue des Gobelins, Place d'Italie : "Réquisition du gros patrimoine des PAPON pour loger les mal-logés".

Ces graffitis tracés à la craie dans ce quartier, émanent d'un seul et même individu, qui concrétise et rend évident, le conditionnement à la haine, opéré sur la population dite de gauche. Il faut trouver des diables, à haïr, tel Papon, et cela résolvera le "problème des mal-logés", cela bien sûr sans aborder les questions de fond, telle qu'il n'y a pas de problème des mal-logés, mais que si problème il y a , c'est celui du non-droit instauré par la propriété privée, des biens communs, comme l'espace pour vivre et pour produire.

Ce graffiteur, exerce aussi sur le mur de la poste avenue d'Italie, et comme c'est le cas, pour ce genre d'individu, sans jamais signer ses oeuvres, en grand courageux qu'il est.

Il est typique de la formation mentale des nervis qu'on peut trouver dans ces officines de persécutions telles Ras le front, Scalp Réflex, qui valent bien les formations de tueurs en bande de l'extrême droite, qui font la chasse aux étrangers. Les extrêmes se ressemblent et s'assemblent, en apparence pour se combattre, mais en réalité pour se compléter dans le but de tenir la population jusqu'à ses marges, qui sinon échaperaient à l'emprise du pouvoir.

Ce graffiteur est un flic bénévole et spontanné du régime.