Cinq cas du mensonge dominant ordinaire :
Mensonge n° 1 Le droit du travail existerait : Un mensonge propagé par 190 Habitant-e-s du 18ème, à titre individuel et/ou militants politiques (PCF, LCR, Renouveau Socialiste, Les Alternatifs, PRS, MRC), syndicaux (CGT, UL CGT 18, FSU, SUD Etudiants, Sud Rail, Sud rural), associatifs (ACG, Comité Palestine 18, LDH, MRAP, Ras l'front 18, féministes, logement, assoc. de quartiers).
Composition de ce fichier : 1 - Reproduction du texte d'une affiche et du dessin en bas de cette affiche, trouvée à paris 18ème, mi-septembre 2005. 2 - Un petit cours sur ce qu'est le droit, et au sujet du droit du travail. 3 - Conclusion : ce que sont ces associations, partis, et syndicats sus-mentionnés.
1 - Reproduction du texte d'une affiche et du dessin en bas de cette affiche, trouvée à paris 18ème, mi-septembre 2005.
Collectif unitaire Paris 18 "NON" au libéralisme !
190 Habitant-e-s du 18ème, à titre individuel et/ou militants politiques (PCF, LCR, Renouveau Socialiste, Les Alternatifs, PRS, MRC), syndicaux (CGT, UL CGT 18, FSU, SUD Etudiants, Sud Rail, Sud rural), associatifs (ACG, Comité Palestine 18, LDH, MRAP, Ras l'front 18, féministes, logement, assoc. de quartiers). Contacts : parisl8_non@yahoo.fr FORUM de RENTREE SOCIALE,
NON AU CHOMAGE ET A LA PRECARITE : le NON populaire du 29 mai est bafoué par le gouvernement le MEDEF : Pourquoi une nouvelle rencontre ? LOGEMENT un droit social abandonné par l'état, les collectivités, aux intérêts privés :
2 - Un petit cours sur ce qu'est le droit, et au sujet du droit du travail.
Le droit est le fruit de la convention passé entre humains appartenant à une société, nationale ou internationale. La validité d'une convention est définie très clairement à l'article 1108 du code civil : Le consentement de la partie qui s'engage. L'article 1109 du code civil, défni la validité du consentement : Il n'y a pas de consentement valable, si le consentement n'a été donné par erreur, ou s'il a été extorqué par violence ou surpris par dol. Le consentement ne peut donc exister que s'il est libre, pour chacune des parties contractantes. Cette liberté de chaque partie vis à vis de l'autre, n'est en réalité possible que si ces parties n'exercent pas une violence sur l'autre, ce qui est possible que s'il existe une égalité réelle entre ces parties. Le droit du travail repose entièrement sur le contrat de travail, qui est la convention passée entre la salarié et son patron. Le contrat de travail n'est possible, valable, que si une égalité réelle existe entre les deux parties contractantes, soient le patron et le salarié. Or, cela est d'évidence illusoire. Le salarié n'est en rien égal avec celui qui l'emploie. Celui qui l'emploie peut changer sans problème de salarié, et donc possède l'arme absolue à sa disposition qui lui permet d'exercer une violence envers le salarié passant un contrat de travail. La pléthore de main d'oeuvre est actuellement créée artificiellement par la colonisation, et la néocolonisation cachée, qui permettent d'importer de la main d'oeuvre des régions soumises et privées par la force militaire des pays du nord de leurs richesses, de leur capacités productives, et de pouvoir vivre de façons économique et politique autonomes. Cette pléthore de main d'oeuvre est la forme actuelle prise par la violence exercée par le patron sur le salarié, mais cette violence qui a toujours existé, avait dans le passé d'autres formes, plus évidentes (la violence militaire directe, aboutissant à l'esclavage, au servage, associée à la violence psychique, par les prêtres associés aux pouvoirs militaires, maintien forcé d'une natalité très élevée chez les pauvres, accaparement des terres par le violence par une infime minorité, conditionnement à la servitude donné par les prêtres etc ... ). Le contrat de travail n'est qu'une escroquerie. Le droit du travail qui en découle n'est lui-même qu'une escroquerie. Il n'y a pas de droit du travail, car il ne peut y avoir de contrat de travail valide, car librement consenti par le salarié.
3 - Conclusion : Ces associations, individus, partis, et syndicats, qui propagent le mensonge que le droit du travail existe, mensonge qui est visible par le dessin situé en bas de cette affiche, où le premier ministre du moment brûle le code du travail, ce qui indique bien que ce code a une réalité pour ces associations, individus, partis et syndicats, sont donc des escrocs, qui sont en réalité au service de ceux qui exploitent la main d'oeuvre. Ce sont des agents cachés du système d 'exploitation nommé salariat, qui n'est que la forme moderne, et hypocrite, (politiquement correcte), de l'eclavage ancien, ou du servage. Si ces escrocs n'en n'étaient pas, ils dénonceraient l'escroquerie de l'existence du droit du travail, et non sa supposée destruction actuelle, car on ne peut détruire ce qui n'a jamais existé.
Il est bon de rappeler la liste des escrocs :
190 Habitant-e-s du 18ème, à titre individuel et/ou militants politiques (PCF, LCR, Renouveau Socialiste, Les Alternatifs, PRS, MRC), syndicaux (CGT, UL CGT 18, FSU, SUD Etudiants, Sud Rail, Sud rural), associatifs (ACG, Comité Palestine 18, LDH, MRAP, Ras l'front 18, féministes, logement, assoc. de quartiers). Dénonçons ces ESCROCS
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