Une trentaine d’organisations véritablement pro-israéliennes
ont manifesté samedi 23 septembre à Paris, soit-disant pour
soutenir la résistance arabe contre les sionistes, au Proche-Orient,
mais en réalité pour soutenir Israël, en interdisant
toute vraie opposition en France, contre Israël par le moyen de l’encadrement
des arabes et des musulmans en France. La listes de ces associations est reproduite à la fin
de ce texte, ainsi que deux réactions de vrais opposants à
Israël, qui ont été jetés de la manifestation
par le service d’ordre sioniste, en collaboration avec la police
politique des renseignements généraux qui quadrillait la
manifestation. En effet, une trentaine d’organisations appelaient à
cette manifestation, et il y avait environ 150 manifestants, soit environ
5 personnes par organisation, ce qui est ridiculement faible. Cela signifie
que ces organisations ne sont plus que des coquilles vides, qui n’ont
plus aucun rapport avec la population, et encore moins avec les arabes
et les musulmans. Il n’y avait en effet environ qu’une trentaine
de personnes d’origine arabe et musulmane dans cette manifestation.
Cette inexistence en effectif est d’autant plus significative que
ces organisations et cette manifestation jouissent des relais médiatiques
de masse, soit sur l’Île de France (11 millions d’habitants)
principalement des deux radios dites « libres », en réalité
sous contrôle étatique : « Radio libertaire »
qui est une radio pseudo anarchiste d’Etat, et « Fréquence
Paris plurielle » qui est une radio tenue par les trotskistes sionistes
gouvernementaux, et du site internet sioniste camouflé «
paris.indymedia.org ». La conclusion inévitable est que ces organisations sont
financées directement ou indirectement par des appareils d’Etat.
Il est à noter que ces organisations n’ont jamais
maille à partir avec la police et la justice, dont avec les chambres
spécialisées dans l’inquisition antisioniste, dont
les principales en France sont celles de Paris (17ème chambre en
TGI et 11ème en cour d’appel ; juges principaux Bonnal, Sauteraud
Trébucq), et celles de Versailles (6ème chambre en TGI juge
ultra sioniste Philippe David, et 8ème chambre en cour d’appel). Il est à noter que ces organisations sont soutenues par la presse dominante qui est entièrement sioniste. Ainsi l’AFPS (Association France Palestine Solidarité de Bernard Ravenel est accueillie dans les pages du Monde, la LCR (Ligue communiste révolutionnaire) par tous les journaux toutes les radios et toutes les télévisions de France, les « Femmes en noir » (militantes sionistes de la place de la Fontaine des Innocents aux halles à Paris 1er) dans le Parisien etc …
Le cas révélateur du service d’ordre de ces organisations
Ces manifestations qui ne font que simuler l’opposition
au sionisme, et qui ne rassemblent plus que des fantoches, sont fortement
encadrées par un service d’ordre à le fois privé
et policier. Le service d’ordre policier est constitué par
des éléments des Renseignements généraux,
dont deux officiers connus de tous les habitués de ce milieu, celui
subalterne qu’on surnomme « Centor », qui est un physionomiste,
et celui de grade supérieur, qui dirige les opérations sur
le terrain, connu sous le surnom de « Pégaz ». La police des renseignements généraux collabore
étroitement avec le service d’ordre privé, la première
opérant le nettoyage que ne peut faire la seconde. Ainsi, lors
de la manifestation du 23 septembre, Pégaz a préventivement
fait incarcérer un militant iranien avant que ce dernier ne rentre
en contact avec le service d’ordre privé qui n’aurait
pu en venir à bout sans employer ouvertement la violence. Le service
d’ordre privé et le service d’ordre public collaborent
et se partagent les rôles.
Exposé relatif au service d’ordre
« privé ». Le service d’ordre « privé » est constitué
par la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), qui comme son nom
l’indique en verlan (la langue à l’envers) , est une
organisation chargée d’étouffer dans l’œuf
l’opposition, et de la CNT (Confédération nationale
du travail) sise au 33 de la rue de Vignoles à paris 20ème,
qui n’est en réalité que la façade «
libertaire » de la LCR. La LCR et la CNT ne sont que des organes
policiers d’Etat camouflés en organisations contestataires.
Les excroissances les plus connues de ces organisations sont le Scalp
Réflex et Ras’l Front, dédiées à la
lutte contre le fascisme. Ces organisations ne se justifient que par l’existence
supposée de diables, dont celui du fascisme, alors que les fascistes,
ce sont bien eux à notre époque (le fascisme actuel ayant
pour nom sionisme). L’un des lieux de concentration de ces organisations
est le CICP (Centre international de culture populaire), sis 21ter rue
Voltaire à Paris 11ème. Lors de cette manifestation, la structure ordinairement cachée
de ce conglomérat est apparue en plein jour. En effet, les quelques-uns
que nous étions (trois en tout), nous sommes vus entourés
par une quinzaine de « nervis » au regard haineux, visiblement
fanatisés, dirigés par un supposé dénommé
Shimoun Attiah, ceci pour la première ligne, et venant derrière,
deux sbires de la LCR, qui visiblement surveillaient l’ensemble. Il est clair que la LCR, qui ne recrute que dans la bourgeoisie,
et dont la vocation est de former des futures cadres pour le Parti socialiste,
lequel est le parti le plus anciennement et profondément sioniste
en France, n’a pas la capacité à former des bandes
de nervis pour les « services d’ordre », services pourtant
indispensables à l’existence de ce genre de manifestation,
qui sinon seraient ridiculisées par les vrais opposants à
Israël. La présence de ce « service d’ordre »
fanatisé est la condition cruciale d’existence de ces manifestations,
et au-delà, de l’existence même de ces organisations,
qui sinon ne pourraient même plus simuler ces manifestations, et
qui finiraient donc par devoir disparaître, malgré le renfort
que leur apportent les médias officiels sionistes. La tâche
de recruter ces nervis est celle de la CNT, qui quadrille elle dans les
milieux d’exclus et de précaires. Il faut là se rappeler que c’est dans cette mouvance
d’extrême gauche que quadrille la CNT, qu’a eu lieu
l’affaire Rey-Maupin, un couple de jeunes fanatiques qui en 1994
a assassiné un chauffeur de taxi malien et trois policiers. Il faut avoir à la conscience que les bandes de nervis
de la CNT-LCR, qui sont le dernier rempart des organisations faussement
anti-israéliennes, sont constituées de gens très
dangereux, bien plus dangereux que ceux du Bétar et de la LDJ,
qui elles agissent visiblement sur commande et sont très encadrées.
Ce que les sionistes attendent de la part des nervis de la CNT-LCR est
le dérapage non contrôlé. Il suffit d’avoir
vu leurs regards de haine pour en être persuadé. De plus,
ces gens sont couverts par l’appareil officiel policier, et tout
le monde a pu les voir converser familièrement avec les RG Pégaz
et Centor. Leur chef, le pseudo Shimoun Attiah a été reconnu
comme ayant dirigé plusieurs autres actions violentes. A cette bande répressive musclée se joignent des
vrais arabes ou des arabes qui se font passer pour tel, et dans tous les
cas se disant anti-israéliens, comme par exemple Youssef Boussouma
du CCIPPP (campagne civile internationale pour le peuple palestinien),
et Walid Attalah, qui lui est palestinien. Leur travail est celui de reprendre les mots d’ordre authentiquement
pro-palestiniens, comme par exemple celui du droit au retour, en les dévoyant.
Dans le cas du droit au retour des Palestiniens chassés en 1948,
ce qui est un thème fondamental, Boussouma et Attalah ne précisent
surtout pas où ces palestiniens réfugiés pourraient
rentrer, ce qui signifie que l’option de retour dans les territoires
occupés est implicitement envisagée, soit le retour dans
des miettes de territoires, miettes qui vont en s’effaçant,
ce qui signifie que le droit au retour prôné par Boussouma-Attalah
est le droit de retour dans le néant, soit le droit de disparaître
une fois pour toute. Il est très facile de déconstruire la fraude intellectuelle
de ce milieu sioniste camouflé en anti-sioniste. Leur principe
unique est de reprendre les mots d’ordre antisionistes est de les
vider de leur substance. Ainsi, le pseudo Shimoun Attiah, le chef des nervis sionistes,
a déclaré qu’il était lui aussi pour «
un seul état pour tous », car ce mot d’ordre devient
incontournable et qu’il faut donc devancer ceux qui l’énoncent,
afin de le dévoyer. Il est prévisible que le pseudo Shimoun
n’ira pas jusqu’à tirer la seule conclusion logique
à ce slogan, qui est celle du démantèlement justifié
et inévitable de l’Etat d’Israël, seule solution
juste et humaine afin que la paix revienne au Proche-Orient, ce qui d’évidence
arrivera un jour, et amènera la constitution d’une zone déconfessionalisée
restant à imaginer concrètement au Proche-Orient, où
chacun sans dinstinction jouira des mêmes droits. De même le slogan « pour une paix juste »,
signe le caractère typiquement sioniste de ceux qui l’énoncent.
En effet, il ne peut y avoir de paix juste tant que le criminel existera
et jouira des fruits de son crime, soit de l’existence d’Israël.
Il n’y aura ni paix ni encore moins de paix juste tant qu’existera
Israël. L’Etat d’Israël n’a vu son existence
que par la violence exercée par une population soutenue par les
empires coloniaux et les banques occidentaux, sur une population colonisée
donc maintenue dans l’impuissance, soumise, et démunie de
toute force militaire, puissance financière et de tout soutien,
ce qui seul a permis l’installation des sionistes en Palestine.
La seule paix qui pourra avoir lieu sera lorsque cette installation aura
pris fin, et alors seulement se posera le problème de l’organisation
des populations en Palestine, problème qui ne peut trouver humainement
sa solution que dans la constitution d’une zone unique déconfessionalisée,
où tout individu jouira des mêmes droits, ce qui se résume
dans le slogan « un seul état pour tous ». Il est clair qu’il faudra faire avec la réalité
de juifs à qui on a imposé l’émigration en
Palestine, et d’arabes qui auront le droit de retourner sur leur
terres natales, et qu’il faudra reconstruire et panser, penser une
nouvelles organisation sociale. Comme il est clair qu’il faudra
imaginer au-delà même de la Palestine, une confédération
Proche-Orientale, telle par exemple celle de l’Union européenne.
Tout cela doit être réfléchi, et doit se préparer,
et cela dès maintenant. Il est à noter pour finir que la Ligue des droits de l’homme
et le Parti communiste étaient présents lors de la manifestation
du 23 septembre 2006. Ces deux organisations sont intrinsèquement sionistes.
Le parti communiste russe était dirigé à l’origine
par une majorité de juifs, et malgré l’apparence de
ses prises de positions pro-arabes, a toujours été sioniste.
Le vote à l’ONU en 1947, décidant du partage illégal
de la Palestine, entérinant le droit de conquête, n’a
été possible qua par l’accord de l’URSS. En ce qui concerne toute la mouvance dite des « droits de l’homme », tels la LDH, le MRAP, la FIDH et autres, il faut savoir que les « droits de l’homme » ont été à l’origine à la fin du 19ème siècle, mis en avant par les juifs sionistes, qui se considéraient comme un peuple étranger vivant au sein de nations étrangères, afin de contrer l’inévitable conséquence logique de la possibilité d’expulsion que cette conception entraînait. Ces « droits de l’homme » ainsi mis en avant, ne servaient dans l’optique des juifs sionistes, qu’à garantir de toute réaction conséquente à la vision sioniste de la population juive, comme population étrangère, dont la ségrégation ou l’expulsion. Cette vision est donc par essence raciale, puisque le judaïsme dans ce cas est bien plus qu’une religion, mais signe l’appartenance à une race, à une nation à laquelle on est lié par le sang. Il faut bien comprendre que paradoxalement, ce qui fonde l’idéologie occidentale des droits de l’homme est le racisme. La ligue des droits de l’homme, le MRAP, sont en réalité des organisations au fondement raciste inavoué. L’universalisme des droits de l’homme occidentaux, n’est qu’une façade qui masque aux regards un exclusivisme, un élitisme, le racisme et la ségrégation.
Ce texte se clôt sur une anecdote révélatrice. Au moment de quitter cette manifestation mascarade, qui était
un vrai enterrement du peuple palestinien, dont ces organisations doivent
cacher prioritairement le génocide en cours, manifestaions qui
ne peuvent avoir lieu que sous la protection de la police politique française
aux ordre des sionistes, et d’une bande de nervis pétris
de haine, nous avons croisé une femmes arabe invectivant un couple
d’habitués de ces manifestations, visiblement selon leurs
vêtements à dominante noir, membres de la CNT. La femme arabe
nous a pris à témoin en nous disant que l’homme de
ce couple lui avait déclaré que la vision dans cette manifestation
de femmes voilées, lui donnait l’envie de vomir. Cette femme
arabe courageuse se tenait face à cette grosse brute inepte et
lui déclarait que quand elle le regardait lui, c’était
lui qui lui donnait envie de vomir. C’est vrai qu’il était
très grand, très gros et très laid. Cet épisode
résume à lui seul qui sont en réalité les
gens qui organisent et participent à ce genre de manifestation.
Ces gens ont des envies de vomir quand ils voient des arabes et de musulmans.
Nous, ce sont ces gens qui nous donnent envie de vomir.
Nota 1 : On a constaté la présence de drapeaux du Hezbollah
au sein de cette manifestation, ce qui signifie que l’entreprise
d’encadrement des sympathisants en France du Hezbollah, par ces
organisations sionistes à déjà commencé. D’ailleurs,
la présence de Youssef Boussouma lors de la manifestation pro-libanaise
qui a eu lieu au Trocadéro fin août, sur le podium à
côté de membres de Hezbollah, était déjà
révélatrice. A ce sujet, on a pu constater que les quelques
libanais présents lors de la manifestation du 23 septembre, étaient
menés par un libanais chrétien très complaisant vis-à-vis
de la CNT.
Nota 2 : Dans le passé, on a constaté la communication étroite existante entre les nervis de la CNT et le MIB (Mouvement pour l’immigration et les banlieues), qui lui est en lien étroit avec les « Etudiants palestiniens en France » (GUPS). L’un des nervis de la CNT, en 1996, qui avait diffusé un texte délirant de haine et de prétention au sujet de la mère d’un militant révolutionnaire incarcéré à vie et très probablement manipulé par la police politique à l’époque dirigée par les socialistes, avait été recyclé au sein du MIB. Ce nervi typique de la CNT, connu sous le pseudo de « William », avait la particularité d’avoir une matraque télescopique en permanence sur lui, dépassant de la poche arrière de son pantalon. Névrotiquement, il jouissait visiblement dans les moments de violence. C’est ce genre d’individu qui se complaît comme le pseudo « Shimoun », au sein de la CNT.
Texte écrit par Michel DAKAR, et diffusé le 25 septembre 2006.
Annexe :
Message de Ginette SKANDRANI, suivi d’un communiqué de Bernard FISHER :
De Ginette SKANDRANI : Je vous transmets ce message de Bernard Fischer. ginette
Communiqué de Bernard FISHER :
Camarades Les manifestations parisiennes pour la Palestine posent de plus
en L’an 2006, le 23 septembre à 16 heures 35, Bernard Fischer.
Extrait du site http://www.aredam.net , relatif à cette manifestation : IMPORTANT, A DIFFUSER LARGEMENT
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