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De : Michel DAKAR
PARIS
Paris, le 29 août 2006
LRAR n° 4565 9010 5FR
Lettre personnelle adressée à :
M. Luzius WILDHABER,
Président de la Cour européenne des droits de l’homme
Cour européenne des droits de l’homme
Conseil de l’Europe
67075 STRASBOURG CEDEX
Monsieur le Président,
J’ai adressé une requête récemment à
votre Cour, dirigée contre la France,
1 - en raison du refus par la justice française de se saisir d’une
plainte déposée par moi-même contre le CRIF (Conseil
représentatif des institutions juives de France), en son président
M. Roger CUKIERMAN, pour la fabrication par cette organisation d’une
fausse menace de mort à caractère antisémite, que
cette organisation m’a attribuée, et que la justice française
après l’avoir gardée secrète pendant trois
années, a dû se résoudre à classer sans suite
quand je l’ai découverte,
2 – et en raison du refus d’agir de la part de la justice
française, contre les auteurs d’une vraie menace de mort
contre moi-même, qui circule depuis le début de l’année
sur un site internet « stcom.net ». Ce site est d’évidence
une création de provocation par les sionistes par l’appel
à la guerre entre les religions, afin de pouvoir démontrer
que les arabes et les musulmans sont des fanatiques et des terroristes,
et justifier leur répression. Ce site Internet est tenu par M.
Smain BEDROUNI, qui est lié à un agent de manipulation en
France des sectes de la Scientologie et de Raël, M. Christian COTTEN,
ce qui prouve que ces sectes agissent maintenant en tant qu’alliés
en sous-main des sionistes.
Ces faits sont la conséquence de mes dénonciations ininterrompues
devant la justice française, du génocide des Palestiniens
mis en œuvre par les juifs sionistes.
Après avoir réceptionné ma
requête contre la France, votre greffier référendaire,
M. A WAMPACH, m’a écrit que ma requête serait d’office
rejetée pour vice de forme, sous un prétexte particulièrement
fallacieux et grossier.
Ma requête est parfaitement réalisée, et restera dans
son état. Elle est parfaitement recevable dans cet état.
Par contre, il est clair que ma requête dérange la Cour européenne
des droits de l’homme, car elle met en évidence que la justice
française est totalement inféodée aux sionistes,
qui commandent ses magistrats, tant ceux du siège que ceux du parquet,
qu’au le ministre de la justice, ce qui implique directement que
le gouvernement français est inféodé aux sionistes,
et que les sionistes utilisent l’appareil judiciaire français
pour étouffer toute dénonciation de leur génocide
sur la population palestinienne.
Ainsi, la doyenne des juges d’instruction de Paris, Mme Fabienne
POUS, innove dans sa fonction, en ignorant totalement ma plainte contre
le CRIF et M. Roger CUKIERMAN. En effet, au mépris du code de procédure
pénale qu’elle a pourtant l’obligation de respecter,
elle ne constate même pas l’existence de cette plainte, alors
qu’elle doit, en respect de ce code, émettre dès la
réception d’une plainte, une ordonnance de constat en attestant
l’existence.
Il n’y a aucun recours possible contre la manière de faire
de Mme Fabienne POUS, car on ne peut contester un acte d’un juge
que si cet acte existe. Or, par son absence d’action, Mme POUS interdit
toute voie de recours, et termine là immédiatement toute
la procédure.
De même, le Procureur de la République à Paris, M.
Jean-Claude MARIN, ignore ma plainte contre le site « stcom.net
» et son responsable M. Smain BEDROUNI, alors que cette menace de
mort est diffusée publiquement depuis le début de l’année,
ce qui constitue un appel permanent à l’assassinat contre
moi-même, puisque je suis présenté sur ce site, par
M. Smain BEDROUNI, comme un ennemi des arabes et des musulmans, comme
un agent israélien et de la police française. Un attentat
contre moi-même arrangerait bien le Procureur de Paris, et le CRIF
auprès duquel il prend ses ordres.
De même, il n’existe aucun recours contre la volonté
de ne pas agir du Procureur de la République, et la procédure
est là aussi immédiatement close.
Je vous informe, de plus, que cette présente requête sera
suivie par plusieurs autres :
L’une concernera le Procureur général près
la Cour d’appel de Paris, M. Yves BOT, pour faux en écriture
publique, et le juge du siège de la 17ème chambre du Tribunal
de grande instance de Paris, M. Nicolas BONNAL, pour complicité
de faux en écriture publique dans cette même affaire. Ces
faux ont permis de me condamner à 5000 euros d’amende et
à 1 mois de prison avec sursis, cela dans le but de me faire abandonner
mes dénonciations judiciaires du génocide des Palestiniens
par les juifs sionistes. Ma plainte contre le CRIF, qui a organisé
ces faux, a été déposée devant la doyenne
des juges d’instruction de Paris, Mme Fabienne POUS. Cette plainte
a été contrecarrée par Mme POUS, par l’émission
d’une ordonnance de consignation de 6000 euros que j’aurais
dû verser si j’avais voulu que cette plainte soit étudiée
en apparence.
L’autre concernera le ministre de la justice
Pascal CLEMENT, qui a ordonné des poursuites contre moi-même,
parce que j’ai déposé les statuts d’une association
de lutte contre le racisme et les génocides, dont le racisme sioniste
et le génocide des Palestiniens organisé par les juifs sionistes.
Il faut là relever immédiatement le déni de l’existence
par le gouvernement français, sous les ordres du CRIF, de la Constitution
française, du principe constitutionnel de liberté, et d’une
décision historique du Conseil constitutionnel (16 juillet 1971),
l’ensemble assurant l’entière liberté du contenu
des statuts de toute association et de la publication de ses statuts.
Le gouvernement de la France, ou plutôt ce qu’il est plus
réaliste de nommer le gouvernement du CRIF, tente d’obtenir
au civil à Paris, la dissolution de cette association, et me poursuit
de plus au pénal pour le contenu « antisémite »
et « négationniste » de ces statuts, à Paris
devant le juge Nicolas BONNAL, déjà complice de faux en
écriture publique, et qui m’a condamné à 5000
euros d’amende et à 1 mois de prison avec sursis, et à
Versailles encore au pénal, pour injure, pour avoir fait une analyse
critique des réquisitions de la magistrate Mme Sylvie KACHANER,
qui a été chargée d’argumenter par écrit
la demande de dissolution de l’association.
Cela revient à réprimer toute critique du droit de génocide
et du racisme, et à instituer à terme le racisme et le droit
de génocide.
Je vous informe que si votre Cour choisit de rejeter avant jugement par
ses juges, cette requête dérangeante pour l’ordre sioniste
qui s’impose en Europe, et les autres requête qui suivront,
je porterai plainte contre vous-même, Monsieur Luzius WILDHABER,
en premier devant la juridiction française, puis devant toutes
les juridictions internationales, pour complicité de crime contre
l’humanité avec les juifs sionistes, et pour votre collaboration
à l’institutionnalisation du racisme et du droit de génocide,
et que je porterai sans répit et sans limite de moyens et dans
le temps, la réalité de votre Cour européenne des
« droits de l’homme », et votre réalité
en tant qu’ « homme de droit », aux yeux du monde entier,
et en toutes les langues humaines.
Je vous prie de recevoir, Monsieur le Président, l’expression
de mes salutations distinguées.
M. DAKAR
Nota :
Vos références : 30986/06, requête du 18 juillet 2006.
Lettre publiée sur les sites « aredam.net
» et « aredam.org » et diffusée en français
et en anglais.
http://www.aredam.net/luzius-wildhaber-cedh-sionisme-genocide-racisme.html
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