Michel Dakar
Paris, le 23 décembre 2005
LRAR n°
M. Le Ministre de l'Intérieur, Place Beauvau 75008 Paris
Objet : vos interventions à mon égard.
Monsieur,
1 - Vous avez donné l'ordre à la Préfecture de police de Paris de tout faire pour que l'association Codeig que je préside ne soit pas publiée au Journal Officiel.
Or, l'objet de cette association a été déclaré légal, par jugement du 14 septembre 2005 au Tribunal de grande instance de Paris, par le juge Jacques Gondran de Robert, et sa parution devait suivre le prononcé de ce jugement, la suspensivité de l'appel déposé par le ministère public ayant été d'emblée rejetée par ce juge.
L'objet de l'association Codeig est une recherche générale sur l'idéal génocidaire et raciste, qui fonderait notre société, et la mise au jour de cet idéal, par l'étude d'un génocide exemplaire, celui de la population indigène de Palestine par les Juifs sionistes.
Ce génocide est actuellement en cours d'accomplissement, et sa réalité est officiellement déniée. De plus, ce génocide est officieusement et implicitement justifié. Ces caractères uniques et d'exceptions, font de l'étude du génocide sioniste de la population indigène de Palestine, « le » cas d'école parfait.
2 Vous avez donné l'ordre au Procureur de la République à Paris, d'ordonner la censure de mon site internet qui relate l'affaire Codeig (site internet : http://codeig.net ), et qui porte à la connaissance du public tous les documents relatifs à cette affaire.
Vous avez ainsi donné l'ordre d'interdire au public la lecture du jugement du 14 septembre 2005, déclarant légal l'objet de Codeig, et permettant sa parution au Journal Officiel, comme vous avez interdit au public la lecture de mes conclusions déposées pour ce jugement.
Or, un jugement et des conclusions sont des informations qui sont légalement et obligatoirement publiques, tout comme un texte de loi, un article du code civil ou pénal, un décret ou un article de la Constitution.
3 Par vos actes manifestement illégaux, vous mettez en évidence et prouvez sans contestation possible, à tous, que :
3 1. La Justice , les juges et le droit ont cessé d'exister, et n'ont peut-être jamais existé.
3 2. Le tabou ; l'interdit central et total de notre époque, est le génocide sioniste de Palestine .
3 3. Notre société est véritablement fondée sur le génocide et le racisme qui l'accompagne.
3 4. Le droit, la démocratie, les « droits de l'homme », la liberté d'expression et d'opinion, ont cessé d'exister, et n'ont sans doute jamais existé.
4 Par vos actes, et au-delà du cadre de l'affaire Codeig, vous révélez ce que recouvrent les persécutions et la loi les permettant, celle publiée le 13 juillet 1990, dite Fabius-Gayssot, persécutions envers ceux qui contestent le récit officiel relatif au génocide mis en uvre par les nazis à l'encontre des Juifs européens, ces contestataires étant nommés « révisionnistes ».
Le génocide nazi étant la justification du génocide sioniste en cours de Palestine, la réalité du génocide nazi devient par votre action à mon égard, extrêmement douteuse.
En effet, quels honnêtes hommes ou femmes, accorderaient le plus infime atome de crédit à ce qu'exigent de croire des génocideurs, qui de plus n'existent que dans le mensonge de leurs propres actes, dans le mensonge de leur propre état, soit dans le déni de toute réalité, et qui veulent faire accepter ce mensonge aux autres, qui veulent imposer au monde entier leur illusion, leur déformation du réel, leur propre enfermement dans la folie.
5 Par vos actes, vous révélez qui commande réellement la société française.
C'est cette mise au jour de votre autorité de tutelle, autorité réelle régnante sur la France , qui me fait communiquer une copie de ce présent courrier, à l'Ambassade d'Israël à Paris.
6 Afin d'éclairer les autres protagonistes concernés par cette affaire, je communique la copie du présent courrier à :
6 1. Président de la 17 ème chambre correctionnelle du TGI de Paris, le juge Nicolas Bonnal, chambre qui recevra cette affaire.
6 2. Présidente de la 11 ème chambre correctionnelle de la Cour d'appel de Paris, la juge Laurence Trébucq, chambre qui recevra cette affaire.
6 3. Président de la Cour de cassation, Guy Canivet, cour qui recevra cette affaire.
6 4. Président de la Cour d'appel de Paris, M. Arnaud Chazal de Mauriac, afin que ce courrier soit joint au dossier en appel de l'association Codeig.
6 5. Juge Jacques Gondran de Robert, dont les actes sont par vous grossièrement bafoués.
6 6. Premier Ministre.
6 7. Présidence de la République.
6 8. Et autres (Procureur de Paris, Procureur général de Paris, Brigade de répression de la « délinquance contre la personne » dite du « Château-des-Rentiers », la société d'hébergement de sites internet, qui est votre auxiliaire de police : « D.R.I. » Digital Rural Informatique ( http://dri.fr ), sise à Rouez-en-Champagne - 72, et public et organisations ; nationaux, internationaux ).
7 Depuis le blocage officiel de mon accès à la gestion du site http://codeig.net , je n'ai plus accès à la gestion des deux autres sites que je possède chez votre auxiliaire de police D.R.I. (les sites internet : http://aredam.net et http://opadel.net ), et cela sans l'action officielle de votre procureur.
Je vous informe que je ne crois pas un instant à ce qu'avance à ce sujet D.R.I., qui prétend que cela provient d'une panne de mon propre système informatique. Il s'agit soit d'un ordre officieux de votre part, exécuté servilement par les gens de D.R.I., qui d'ailleurs persistent à se terrer lâchement dans l'anonymat, et maintenant de plus dans le silence, soit d'un sabotage à distance de mon système informatique, opéré par un spécialiste de vos services, ou/et de ceux de l'Ambassade d'Israël.
8 Congratulations :
Je vous prie de recevoir, Monsieur le Délinquant Ministre de l'Intérieur, mes sincères remerciements, pour votre action inestimable dans le percement du voile de l'imposture qui recouvre de plus en plus mal notre réalité.
Le dévoilement de l'imposture étant en effet l'objet essentiel de mon action publique, je vous considère de fait, comme mon plus précieux interlocuteur.
Pour cette raison, sachez que lors des prochaines élections présidentielles, je m'engage de toute façon à appeler à voter pour vous, et à voter moi-même pour vous si, Monsieur le Délinquant Ministre de l'Intérieur, jamais vous vous présentez, et si jamais je vais voter.
Recevez, je vous prie, Monsieur le Délinquant Ministre de l'Intérieur - et je nous le souhaite de tout mon coeur - futur Délinquant Président de la République française, l'expression de mes salutations distinguées, et une dernière fois encore, merci pout tout et pour tous, pour ce que déjà vous faites, et que vous ferez encore mieux, j'en suis sûr, dans le futur.
M. DAKAR
Copie de ce courrier diffusée par voie postale sur support papier (2000 ex), et par voie électronique, sur sites internet et e-mails. Contact e-mail : dakarmichel@yahoo.fr
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