De : Michel DAKAR

Paris, le 23 octobre 2006

A : M. l’Ambassadeur de Turquie en France
16, avenue de Lamballe
75016 Paris

Objet : vote d’une loi en France réprimant le déni du génocide des arméniens.

Votre Excellence,


Je suis un individu qui s’occupe de politique, de manière indépendante, sans faire partie d’un camp, d’un clan ou d’un lobby. Mon action vise simplement à en finir avec l’acceptation du règne de la force.

Je suis devenu bien formé en ce qui concerne la politique étatique occidentale dite des « droits de l’homme », car je subis personnellement cette politique.

J’ai appris par la « Propagande générale » occidentale dite « médias libres » qu’une loi a été votée en France pour réprimer le déni du génocide des arméniens par l’Etat turc.

J’ai appris par cette même Propagande générale que votre nation envisage de voter une loi similaire pour réprimer le déni du génocide des algériens par l’Etat français.

Je me permets de vous faire part de mes acquis relatifs à cette politique des « droits de l’homme », acquis qui pourraient vous aider dans cette affaire, cela dans le but de faire avancer l’objectif qui est le mien.

Tout d’abord, il est clair pour n’importe quel observateur lucide de la vie politique en France, que ce ne sont pas les arméniens qui sont derrière le vote de cette loi, mais les suprématistes juifs.

Cette loi est une arme psychologique dont l’effet attendu est de culpabiliser votre nation, dans le but de la placer en situation d’infériorité mentale par rapport aux suprématistes juifs qui dominent l’occident dont la France.

Cette manœuvre a pour but d’ouvrir la voie à votre soumission physique vis à vis des suprématistes juifs.

C’est par ce même procédé de culpabilisation psychique, culpabilisation psychique couplée à leur hégémonie matérielle dans le domaine des finances, des « médias libres» et de l’appareil d’encadrement social dit « classe politique », que les suprématistes juifs sont parvenus à prendre totalement le pouvoir en Occident, dont d’une manière particulièrement coercitive en France.

En ce qui concerne l’Occident, les suprématistes juifs utilisent la fameuse « shoah », le génocide déclaré par l’ordonnance du Tribunal militaire international de Nuremberg, qui a jugé les nazis.

Il est clair pour tout observateur lucide en France, que le génocide des arméniens n’importe en rien aux députés français qui ont voté cette loi. Ces députés ne sont de plus que de simples exécutants sans aucun pouvoir réel.

Le problème qui se pose aux suprématistes juifs en ce qui concerne les musulmans, est l’absence chez les musulmans d’aptitude à la culpabilisation vis à vis des suprématistes juifs, car les musulmans non seulement n’ont pu collaborer avec les nazis, puisqu’ils étaient tous colonisés par les européens, mais que de plus, ils sont eux-mêmes victimes d’une multitude de crimes de masse, dus à cette colonisation, dont le dernier en date, est toujours en cours d’accomplissement, il s’agit du génocide du peuple de Palestine, mis en œuvre par les suprématistes juifs eux-mêmes, avec la complicité des occidentaux.

La loi votée en France relative au génocide des arméniens, loi qui non seulement tend à vous opprimer, à vous soumettre, tend aussi à écarter du champ politique le génocide en cours de la population de Palestine, et on peut se risquer à avancer que les politiciens arméniens qui coopèrent avec les suprématistes juifs en France, dans cette manœuvre, sont eux-mêmes complices du génocide des Palestiniens.

Il est de même clair pour tout individu connaissant l’histoire, que les massacres et anéantissements de populations civiles telles celles dans le passé des arméniens, et actuellement des tchétchènes, des ouïgours et des tibétains, sont les conséquences des menées occidentales visant à dresser une partie de la population d’un Etat contre son pouvoir central, dans le but de l’affaiblir.

Pour en finir avec les généralités, il évident que les suprématistes juifs attisent la haine entre les religions chrétienne et musulmane, dans le but de diviser la population occidentale composée de chrétiens et de musulmans qu’ils dominent, pour les rendre hostiles les uns envers les autres, et ainsi rendre durable leur domination et emprise sur la société occidentale.

Il est aussi évident qu’ils diabolisent les musulmans vis à vis des chrétiens, dans le but de faire des musulmans des boucs émissaires, pour faire porter aux musulmans la responsabilité des souffrances des couches subalternes de la population occidentale, pour que eux les suprématistes juifs, qui sont au sommet de la pyramide sociale occidentale, et donc qui comptent parmi les réels auteurs de ces souffrances, puissent se dédouaner de leur responsabilité.

Créer les conditions d’une guerre des religions, développer la haine et la division en général, détourner le ressentiment dû aux souffrances causées par leur emprise sur la société occidentale en direction de la population musulmane, laquelle est sans doute la plus souffrante en Occident, voilà la politique simpliste et banale, répugnante, menée par les suprématistes juifs, et voilà dans quel contexte global pervers et déliquescent votre nation, Votre Excellence, qui est constituée en majorité de musulmans, a choisi de coexister en recherchant à être admise au sein de l’Union européenne.

En ce qui me concerne, et qui est en rapport avec le génocide des algériens par les colonisateurs français, j’ai été condamné par la justice administrative de Paris, à une amende de 500 euros, pour avoir demandé à cette justice :

- le retrait du portrait du gouverneur de l’Algérie en 1900, Laferrière, qui était aussi membre du Conseil d’Etat, son portrait étant exposé à la vue du public au Conseil d’Etat,

- un instant de recueillement pour les victimes du génocide du Rwanda, génocide dont l’Etat français est responsable, instant de recueillement mis au regard de l’instant de recueillement imposé à tous en France par l’Etat français pour les victimes des attentats du 11 septembre 2001 aux USA, attentats dont tout le monde sait qu’ils ont été organisés par les conservateurs américains en association avec les suprématistes juifs, 900 000 civils africains tués ne valant visiblement pas les 2900 employés de banque occidentaux tués par leur propre gouvernement, des tours du World trade center à New-York,

- l’abandon du projet de Musée de l’immigration, musée qui est une légitimation de l’esclavage et de la déportation des étrangers,

- et enfin, le retrait du projet de monument à la guerre d’Algérie, soit la glorification des participants au génocide des algériens.

Ces deux projets ont été depuis réalisés.

J’ai payé cette amende, ordonnée par la juge CARTAL du Tribunal administratif de Paris. Cette ordonnance a été confirmée en appel par les juges VETTRAINO et APPECHE-OTANI, et la présente lettre que je vous adresse constitue le mémoire que je vais soumettre au Conseil d’Etat.

De plus, sans craindre le grotesque, le surréalisme et l’absurde, les deux juges en appel ont ordonné que des parties de mon mémoire en appel n’existaient pas, car injurieuses et diffamantes vis à vis de la juge CARTAL, que j’avais qualifiée de « harki de l’humanité ».

Il existe en France en effet un article du Code de justice administrative qui permet de dénier l’existence d’éléménts d’un document d’une procédure, qui déplaîsent aux juges, à l’image de ce qui se pratique dans tout régime totalitaire, sauf que le régime occidental se définit comme libéral.

Je vous propose donc d’établir un rapport entre votre administration et moi-même, afin que dès que la loi réprimant le déni du génocide d’Algérie sera votée en Turquie, je dépose une plainte auprès d’un tribunal turc comme victime de ce déni, contre les juges pré-cités, et éventuellement contre ceux du Conseil d’Etat, et ceux de la Cour européenne des droits de l’homme, qui auront à connaître ensuite de cette affaire, ou contre les présidents de ces deux juridictions, si elles refusent de recevoir cette affaire, comme ce qui sera très probablement le cas.

Je vous informe que du point de vue juridique, l’antériorité de mon affaire vis à vis du vote de votre loi ne pose aucun problème, puisque le Tribunal militaire international de Nuremberg était au-dessus de cette règle fondamentale et universelle du droit, puisqu’il a usé d’une notion juridique inexistante au moment des crimes nazis, la notion de « crime contre l’humanité », et que la Convention européenne des droits de l’homme, à son article 7 réitère cet attentat au principe de non-rétroactivité, principe qui fonde l’idée même de droit, pour couvrir le Tribunal militaire international de Nuremberg. Ces deux exemples prestigieux nous autoriseront sans contestation possible à faire de même.

Je vous rappelle que les articles 19 à 22 du Tribunal militaire international de Nuremberg permettaient à ses juges de s’affranchir de l’obligation de prouver, de recevoir des preuves et des témoins, que les justices américaine et israélienne s’autorisent à poursuivre qui que ce soit n’importe où dans le monde et à justifier leur enlèvement, comme la justice belge s’autorise à connaître de tout crime contre l’humanité dans le monde porté devant elle.

Je vous informe que j’ai communiqué la teneur de cette affaire aux organismes de défense des « droits de l’homme », tels la Ligue des droits de l’homme, la Fédération internationale des droits de l’homme, Amnesty international et autres du même genre, et n’ai obtenu la moindre manifestation de leur part, ce qui démontre clairement que ces organismes ne sont que des organes étatiques camouflés, dont la fonction réelle est de réprimer les libertés fondamentales.

Je reste à votre disposition afin de faire avancer ce projet, et vous prie de recevoir, Votre Excellence, l’expression de mes salutations distinguées.

M. DAKAR

LRAR n° 2394 6388 3FR