Les encornets du CRIF (petit texte à lire en allant aux cabinets) (encornet : petite pieuvre) Un petit dossier réalisé par P. El Péhel, au sujet du meeting organisé par le CRIF à la mutualité pour pousser la classe politique à la guerre contre l'Iran.
Dans le livre paru en 1997, "l'Affaire Yann Piat - Des assassins au coeur du pouvoir", qui a valu une condamnation pour diffamation à ses auteurs André Rougeot et Jean-Michel Verne, l'encornet était le nom de code donné à François Léotard, par les services spéciaux français, lors de l'affaire de l'assassinat de la député d'extrême droite Yann PIAT, qui avait eu pour son malheur, le courage et la ténacité de dévoiler une énorme affaire de spoliation de biens nationaux dans le sud de la France (vente au privé - maffia - du terrain immense de la base militaire de Hyères, la BAN - Base Navale Aéronautique), spoliation à laquelle, selon ce livre, était mêlée François Léotard. Le surnom "encornet" (petite pieuvre) donné selon ce livre dont les auteurs ont été lourdement condamnés, par les services spéciaux français à François Léotard, s'explique parce que cet individu aurait été considéré comme étant un homme lige de la maffia italienne (la pieuvre), ayant même été photographié rendant visite à Toto Riina, son chef suprême (surnommmé le goret), connu pour son sadisme et sa cruauté sans limites (dissolution des corps des exécutés dans une baignoire d'acide sulfurique, et évacuation par les canalisations, vers l'égout). François Léotard devait recevoir un prix du CRIF (voir plus bas communiqué de l'AFP, relatant la soirée à la Mutualité organisée par le CRIF pour pousser (ordonner plutôt) la classe politique française à partir à la guerre contre l'Iran, sous le prétexte de l'antisémitisme de ses dirigeants). Le CRIF est dirigé par Roger Cukierman, un ancien fondé de pouvoir de la banque d'affaire Rothschild, qui est l'une des principales banques d'affaire en France, avec celle centrale, maîtresse de tout : "Lazard". La banque Rothschild est entre autres spécialités chargée de gérer les passages des fonds secrets (piqués sur les deniers publics, soit dans les poches des gens modestes - voir le coût annoncé des campagnes pour la présidentielle, du PS et de l'UMP, plusieurs dizaines de millions d'euros) des partis politiques et des individus "désintéressés" qui ne s'enrichissent surtout pas au passage, appartenant à ces partis politiques, par exemple entre la France et la Suisse (succursales de chaque côté - cela est ben prâtique), grâce au système Clearstream, du nom de la chambre de compensation qui est établie à Luxembourg, et qui permet de tranférer des fonds sans que les administrations étatiques des pays concernées puissent en être informées. La banque Rothschild connaît bien des secrets de ce monde politique, monde qu'elle tient douillettement au creux de sa main de velour (elle est aussi propriétaire du quotidien Libération depuis peu). Lors de l'affaire Yann PIAT, selon le livre dont les auteurs ont été très lourdement condamnés, et dont le contenu est donc une diffamation, à côté de l' "encornet" Léotard, il y aurait eu la"trotinette" Jean-Claude Gaudin, et un mystérieux "l'endive", qui lui étant classé à gauche, "socialiste", eu droit à ne pas voir son identité publiquement révélée (Roland Dumas ? François Hollande ? On ne sait). On remarque à cette gentille sauterie entre purs gredins préparant la future attaque atomique contre la population iranienne, pour le seul profit des multinationales américaines du pétrole et des sionistes, organisée à la Mutualité par le CRIF, outre les inévitables siono-socialistes (SS !!!) la présence du Parti communiste, lequel n'est plus qu'une coquille vide, qui n'existe plus que par l'argent que cette organisation pompe sur les chantiers publics (5%), via son bureau d'étude GIFCO. Ce parti entretient la nébuleuse des soit-disant antisionistes - convenables, en réalité "de connivence" avec l'ambassade d'Israël, ces ronds de cuirs de l'antisionisme, ces "pépères casse-croutes" qui aiment à manifester devant le Bataclan face à leurs copains de Tsahal, et que ce site aime tant à dénoncer publiquement comme étant des agents sionistes déguisés, travaillant la main dans la main avec Monsieur le Préfet et ses RG (voir l'affaire du lieutenant Kastorman et Le Dantesque). Là encore, la banque Rothschild a affaire à des obligés. Il faut savoir que Lazard et Rothschild sont des centres de passages obligés pour le monde des affaires français, donc pour celui des médias qui appartiennent tous aux capitalistes français, et donc pour la classe politique française qui dépend entièrement des médias (de plus, le quotidien l' "Humanité" des ci-devants "communistes", est entièrement renfloué et maintenu à flot par un consortium capitaliste). La boucle est bouclée, et il n'est pas besoin de se demander plus avant comment tout cela fonctionne, et pourquoi la totalité de la classe politique française, trotskistes inclus (LCR, LO et PT), lequels font mine d'ignorer ou de se distancer du CRIF, comme toutes ces organisations de connivence de réclame, sorte de cadeaux bonux (LDH, Amnesty, FIDH, MRAP et autres et autres Médecins sans frontières, DAL, Emmaus ...) obéissent au doigt et à l'oeil aux sionistes. Voilà pourquoi les énergumènes de la classe politique française, méritent leur surnom : "les encornets du CRIF". Isra-Ouille !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Hé hé !
Dépêche de l'AFP :
PARIS , 13 fév 2007 (AFP) - Le président
du Crif invite le monde politique à la fermeté envers l'Iran La Mutualité a fait presque salle comble mardi soir pour le meeting de "mobilisation contre la menace iranienne" organisé par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (Crif). Y ont aussi participé plusieurs candidats à la présidentielle, en personne ou par représentants interposés. Corinne Lepage (Cap 21) était présente ainsi que Pierre Lellouche (représentant Nicolas Sarkozy, UMP), Rudy Salles (représentant François Bayrou, UDF), Jean-Louis Bianco (représentant Ségolène Royal, PS). Le maire de Paris Bertrand Delanoë participait également à la réunion, de même que Nicole Borvo (PCF), le président du Sénat Christian Poncelet et François Léotard qui devait recevoir en fin de soirée le Prix du Crif. Celui-ci est en effet honoré par le Crif pour avoir écrit une lettre ouverte au président iranien, en août 2006, dans laquelle il comparait ses thèses au nazisme et refusait que recommence la traque des juifs. L'assistance était majoritairement composée de gens d'une cinquantaine d'années et plus. Ils ont vigoureusement applaudi les orateurs quand ils ont évoqué les pages noires de l'Histoire et quand ils ont appelé à la fermeté face à l'Iran, son négationnisme et ses projets nucléaires. Dans son discours, le président du Crif Roger Cukierman a rappelé son enfance de petit juif obligé de se cacher et la disparition d'une grande partie de sa famille exterminée dans les camps nazis. "Aujourd'hui, a-t-il poursuivi, un nouvel Hitler est né : Il s'appelle Ahmadinejad. Au mémorial de la Shoah, on peut voir et entendre Goebbels, Ribbentrop et Hitler exprimer la même haine, les mêmes fantasmes, les mêmes calomnies que Ahmadinejad à Téhéran" (...) "Ahmadinejad c'est le nouvel Hitler", (...) mais "il y a une vraie différence entre les deux : Ahmadinejad est à 18 mois ou deux ans de se doter de l'arme atomique". "L'Etat d'Israël a toutes les raisons de s'inquiéter", mais "l'Europe aussi, le monde arabe aussi", parce que "l'empire persan est le rival du monde arabe depuis des siècles" et que les pays arabes n'ont pas de bouclier nucléaire", a déclaré M. Cukierman. Il estime que "des sanctions d'une sévérité
extrême pourraient sans doute amener l'Iran à la raison",
réclamant des sanctions diplomatiques, économiques, commerciales,
financières, sportives. Il suggère aussi d'"approfondir
l'idée d'interdire aux iraniens le
Dossier réalisé pour aredam.net
par P. El-Péhel. |