Les deux choix de religion et d'organisation sociale de l'humanité.
Religion de rupture et société inégalitaire :
judaïsme, christianisme et islam.
Religion de communion
et société égalitaire : yoga, bouddhisme et taoïsme originels.
Il faut que la Chine et
l'Inde, bien au-delà de l'alliance, entrent en symbiose, pour ne former qu'une entité unique. C'est sur ces deux seuls peuples que repose tout l'avenir de la planète.
Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier France, le 14 février 2016.
http://www.aredam.net/les-deux-voies-humaines.html


La plus ancienne religion de l'humanité est le yoga, que les occidentaux prennent pour un ensemble de techniques gymniques de mise en forme physique. Or, les techniques de mise en forme physique du yoga n'ont qu'une unique finalité, celle de préparer à la méditation. La méditation yogique n'a rien de
commun avec la méditation occidentale. Elle n'a qu'un but unique qui est la délivrance de la réduction de l'être à l'individualité, et ses spécifications sociales et conjoncturelles, telles que son nom, son rattachement à une famille, à une culture, à une religion de masse, à une ethnie, à une nation, à une région géographique, à une époque temporelle, à une durée, à un sexe, à une espèce, en l'occurence celle humaine, à un état, en l'occurence celui d'être, d'existant opposé à l'état de matière inerte, et au-delà, à se libérer de l'enfermement dans l'alternative illusoire d'être ou ne pas être. Le yoga, terme qui signifie voie, chemin, lien, mène du plus étroit et limité, la spécificité, à l'universalité. Il en est de même avec les expressions plus tardives de cette sensibilité et courant de recherche : le bouddhisme et le taoïsme. Les plus anciennes traces du yoga datent de 4000 ans.
(voir note complémentaire en bas de page relative à la méditation yogique)

Toute personne qui se met
en état de méditation commence par se libérer de ce qu'en Occident on nomme le Moi, le Je, qui est considéré comme la chose la plus centrale, sacrée en Occident. La voie occidentale est en totale opposition avec la voie extrême-orientale.

Mais ce qu'on nomme esprit occidental n'est que ce que le proche-orient à répandu en Occident, via le judaïsme, par les juifs européens, dits ashkénazes,
qui étaient à l'origine des khazars, une ethnie turque de la région des steppes caspiennes, convertis en masse par décision de leur roi, par opportunisme politique, au judaïsme, vers 750 de notre ère (source : Atlas historique de l'humanité, Editions de la Martinière 2004, page 145). Les juifs dits sépharades étaient d'une autre mentalité.

Ces turcs khazars se sont ensuite répandus
dans toute l'Europe, puis aux Etats-Unis. Les turcs khazars sont comme les autres ethnies turques, originaires des steppes d'Asie orientale, d'où sont aussi issus les Huns et encore plus à l'Est les Ouïghours et les Mongols.

Ce qu'on nomme la pensée juive actuelle est constituée
de la religion juive originelle formelle, imprégnée de la culture, de la manière d'être et de penser turque khazare, une population guerrière et conquérante.

Ces descendants de turcs
khazars n'ont aucun ancêtre juif, ils ne sont en rien rattachables aux sémites de Palestine. Les authentiques sémites sont les actuels palestiniens en cours d'anéantissement par ces mêmes descendants de turcs khazars. Ainsi, ceux qui persécutent au nom de l'antisémitisme les opposants à leur politique de conquête, usurpent leur qualité de sémite et exterminent les descendants des juifs historiques. Ce sont eux les vrais antisémites.

Concernant la religion juive propagée par ces turcs khazars européannisés, dispersés en Europe à partir de la défaite du royaume khazar en 1016 face à Byzance, son origine est entièrement fallacieuse. L'unique source historique est celle de l'Ancien testament ou de la Torah, qui est a-scientifique, et qui est démentie par la réalité archéologique, quant à l'existence d'un Etat d'Israël (page 76 de l'Atlas historique de l'humanité » : « 
Palestine. D'après l'exégèse classique, règne de David (-1010 à -970) qui fait de Jérusalem sa capitale. Règne de Salomon son fils (-970 à -928). Construction du premier temple. Séparation en deux royaumes (-931) : au nord Israël, capitale Samarie, au sud Juda, capitale Jérusalem. Mais l'archéologie contemporaine relève ici des anachronismes embarassants ».

Il est très probable que tout ce qui concerne l'histoire des juifs et d'Israël soit entièrement mythique et étranger à la réalité historique. Enormément d'éléments de la Bible proviennent de textes sumériens et mésopotamiens très antérieurs, et quant au principe monothéiste, il a été entièrement importé de la religion perse, le zoroastrisme, vers 500 avant notre ère, et imposé en Palestine, alors sous la domination perse, par une faction du
clergé perse, dans un but politique.

L'histoire biblique de Moïse, de l'esclavage et de la fuite d'Egypte des juifs, de la traversée
de la mer rouge, sont des phantasmes caractérisés, et on ne retrouve aucune trace des hébreux dans les innombrables archives égyptiennes, gravées dans la pierre ou inscrites sur les papyrus, comme dans les archives mésopotamiennes. La seule évocation d'une éventuelle population d'hébreux est cette allusion vague et ininterprétable inscrite sur une pierre datant d'environ 1200 avant notre ère, faisant état d'« habirous » (stèle du pharaon Méneptah), habirou semblant signifier réprouvé.

Par contre, il est aisé de remonter la
généalogie du judaïsme et de ces idées maîtresses, celle de dieu unique et de peuple élu par ce dieu pour dominer l'humanité. Cette idéologie est celle de la religion irano-perse, le mazdéisme, réformé au 8ème siècle avant notre ère et dénommée zoroastrisme, qui s'est imposée à la population de Palestine vers 500 avant notre ère sous le nom de judaïsme.

Pour résumer, la racine du judaïsme est le
mazdéïsme et le zoroastrisme, transformée vers le 5ème siècle avant notre ère par des éléments socio-culturels propres à une population de langue sémitique vivant en Palestine, et par des éléments mythologiques très antiques sumériens et mésopotamiens, l'ensemble en résultant ayant été une seconde fois transformé vers le 8ème siècle de notre ère par des éléments socio-culturels propres à une population d'ethnie turque vivant dans l'ancien royaume khazar disparu en 1016, situé entre la mer noire et la mer caspienne.

Si la planète terre
s'est transformée en ce qu'elle est maintenant, un immense abattoir, la raison en vient de là, de cet état de guerre permanent qu'à été dès le néolithique le proche-orient, et de l'idéologie qui en est résultée, synthétisée par le mazdéisme, puis le zoroastrisme et répandue par le judaïsme en Occident, légitimant la domination des uns sur les autres, au nom d'un principe intangible intitulé dieu, puis de dieu unique supérieur aux dieux des adversaires, légitimant l'assassinat de masse des autres populations, légitimant l'exploitation et la mise en esclavage d'autrui, son assassinat, la privation de ce qui lui est nécessaire pour vivre, légitimant le fait de ne pas le considérer comme un égal, de ne pas partager équitablement les ressources vitales, de ne considérer que soi, de s'enfermer dans le Moi, le Je, de se couper de l'Universel.

Cette évolution est parvenue
à un apogée. Il s'agit maintenant de faire se confondre le dominant, le suprême prédateur, le tueur de masse, le maître de l'abattoir, avec la victime et le sauveur. C'est le sens du message que véhicule la propagande occidentale contemporaine, conçu à partir d'éléments de l'idéologie nazie, qui est elle-même un dérivé non-durable de l'idéologie zoroastrienne.

Est-ce que
les peuples d'extrême-orient, principalement chinois et indien, ayant résisté aux dérivés majeurs du zoroastrisme que sont le judaïsme, le christianisme et l'islam, mesurent l'immensité de la monstruosité fatale à laquelle ils font face. Sur eux seuls repose un avenir viable pour l'humanité, et l'instauration d'une ordre de partage entre les humains et avec toutes les autres formes de la vie.

Il faut que la Chine et
l'Inde, bien au-delà de l'alliance, entrent en symbiose, pour ne former qu'une entité unique. C'est sur ces deux seuls peuples que repose tout l'avenir de la planète.

Sources iconographiques :

Atlas historique de l'humanité, Editions de la Martinière, 2004.

Atlas classique de géographie ancienne et moderne, Editions Hachette, première édition 1827, mise à jour de 1960.

Illustrations :

Carte de la Palestine historique et d'Israël mythologique, inventé Atlas Hachette, 1827 :
http://www.aredam.net/palestine-historique-israel-mythologique-invente.html

Carte de l'empire perse du 6ème siècle avant notre ère au 4ème siécle avant notre ère, Atlas Hachette, 1827 :
http://www.aredam.net/empire-perse.html

Carte de l'emplacement de l'ancien royaume khazar (du 6ème siècle de notre ère au 11ème siècle de notre ère), éthnie turque, région de la mer caspienne, Crimée, steppes entre le Don et le Dniepr. Conversion (forcée) de la population vers l'an 750 de notre ère. Défait par le prince de Kiev en 968 (source : Petit Larousse 1987), et en 1016 par Constantinople (source Atlas historique de l'humanité, Editions de la Martinière, 2004), et emplacement de l'empire arabo-musulman (du 7ème siècle de notre ère au 11ème siècle de notre ère), source : Atlas Hachette, 1827 :
http://www.aredam.net/royaume-khazar-empire-arabo-musulman.html


Bibliographie :

Shlomo Sand « Comment le peuple juif fut inventé »
http://www.aredam.net/ob_329986_comment-le-peuple-juif-fut-invente.pdf

(une énième manifestation d'aide juive à l'entretien de la confusion, ou pour que rien ne change il faut que tout change ou en donner l'impression)



Texte général en cours d'élaboration :
Méditation yogique et anarchisme :
http://www.aredam.net/meditation-yogique-et-anarchisme-sommaire-electronique.html