Les
deux antagonistes et l’enjeu de la théorie juive du
choc des civilisations.
Analyse
de mise en perspective entre elles des attitudes existentielles,
celle asiatique (bouddhisme et taoïsme), et celle juive
(comprenant son extension d’influence chrétienne et
musulmane).
Cette analyse est fondée sur des
éléments documentaires vérifiables et
inattaquables.
Par
Michel Dakar, Villequier France, le 10 mai
2020
http://www.aredam.net/les-deux-antagonistes-et-l-enjeu-de-la-theorie-juive-du-choc-des-civilisations.html
Documentation :
1
– Le
bouddhisme par Alexandra David Neel.
Le
lama aux cinq sagesses, éditions Plon 1977, scans des
pages 36 (a), 40 (b) et
41 (c).
Mystiques et
magiciens du Tibet, éditions Plon 1929, scan des pages 256
(d) et 257 (e).
2
- Du
judaïsme au sionisme.
Page internet publiée le 10 octobre 2009 sur le site
aredam.net (f).
Présentation :
Par
des extraits de la Torah (Deuteronome et Psaumes), et des
citations d'auteurs, d'idéologues et de chefs d'Etat
sionistes.
Publié le 10
octobre 2009
1
- Extraits du Deuteronome et des Psaumes.
2 - Citations de
sionistes
célèbres.
http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html
Nota :
le contenu de cette page est reproduit au bas de cette présente
page.
Nota :
Les éléments documentaires sont situés en
annexe au bas de l’analyse qui suit.
Analyse
de mise en perspective entre elles des attitudes existentielles,
celle asiatique (bouddhisme et taoïsme), et celle juive (
comprenant son extension d’influence chrétienne et
musulmane).
Cette analyse est fondée sur des
éléments documentaires vérifiables et
inattaquables.
Dans
le cas de l’attitude asiatique, l’être humain
fait partie de la globalité, il n’en n’est pas
dissocié, il n’est qu’un des éléments
de cette globalité au sein de laquelle il existe en
harmonie, c’est à dire qu’il y trouve une
place harmonieuse, heureuse, et au-delà, les idées
de globalité et d’individualité se
confondent, les individualités
entre elles se confondent, car il y a la globalité et des
manifestations spéciales de cette globalité, ces
manifestations n’étant que superficielles. La
problématique humaine, et au-delà, celle de toutes
les manifestations superficielles de la globalité est la
recherche de l’harmonie, autrement dit, du bonheur. Cela
apparaît le plus clairement exprimé qui soit dans
l’élément documentaire a) – d’ADN
(Alexandra David Neel) :
L’enfant
explique :
« Je vais au pays où
les êtres s’aiment les uns les autres ».
L’adulte
lui répond :
« Le pays que tu
cherches n’existe pas où tu vas. Il appartient à
ceux de ta race de le créer. »
(Nota :
cette race est celle de ceux qui cherchent à fonder un
régime existentiel harmonieux, entre tous les éléments
spécifiques de la globalité, et sur tous les plans,
au niveau des humains, ceux politique et économique, ce
qui implique un régime strictement égalitaire).
On
doit immédiatement noter que par les éléments
documentaires a) - d’ADN et b-d’ADN), au regard de
l’existentialité asiatique, il n’est fait
aucune discrimination entre les formes apparentes de vie
spécifiques, animaux, végétaux, humaine, et
même les formes de vie apparemment inerte, telles les
pierres et autres. L’harmonie est cherchée
globalement c’est à dire sans discrimination entre
formes de vie, c’est l’écologie globale, qui
ne peut être fondée que sur une stricte égalité
entre formes apparentes de vie.
Ce qui est entendu
par stricte égalité est simple à
résumer :
« Le bonheur des uns
fait le bonheur des autres », ou encore, « je
donne du bonheur à ce qui m’environne, et ce qui
m’environne me donne du bonheur ». C’est
le principe de réciprocité, qui est la seule vraie
communication. « Rendre
heureux rend heureux ». Le bien-être d’autrui
est le mien. « Son épanouissement
m’épanouit ».
Cela
nous mène à la définition du judaïsme,
par les éléments documentaires c), d) et e) tous
d’ADN.
Elément c)-d’ADN :
-
« à la racine de chaque acte cruel existe une
fausse notion du moi et de celui d’autrui ».
-
« le sage étend sa plus grande sympathie à
ceux qu’il voit être méchants car il a sondé
leur misère ».
Elément
e)-d’ADN, introduit celui d) :
« C’est
la chute, la dégringolade terrible dans laquelle
l’alpiniste présomptueux se brise les os. Par cette
image, les Tibétains entendent une chute spirituelle
effroyable amenant aux pires degrés de la perversité
et de l’égarement et réduisant à la
condition d’être démoniaque. »
Les
pires « degrés de la perversité et de
l’égarement » et la réduction « à
la condition d’être démoniaque »,
sont documentés en l’élément f), situé
en annexe, qui est une compilation des extraits de l’ancien
testament et de la torah, ainsi que des principales déclarations
de chefs juifs sionistes comtemporains. Cette compilation a été
réalisée et publiée en octobre 2009 sur le
site aredam.net, à la page
:
http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html
.
C’est un florilège des horreurs, c’est
à chacun
de
les explorer.
Le
contenu de cette page figure en f) en fin d’annexe.
Caractériser
l’existentialité juive est simple, c’est
l’opposé exact
de l’existentialité asiatique, son
inversion,
le bonheur devenant le malheur, et le malheur le bonheur,
l’harmonie la dysharmonie, la communication la rupture, la
globalité la particularité, le soi devenant
l’univers, niant
autrui
qui
doit
disparaître. C’est en effet « une chute
spirituelle effroyable amenant aux pires degrés de la
perversité et de l’égarement et réduisant
à la condition d’être démoniaque ».
L’enjeu
est simple.
Nous sommes parvenu au point où
cet égarement devient visible, et cela mondialement, comme
un abcès de pus qui perce, et dont le pus commence à
s’étendre sur toute la surface de la planète,
et à submerger toute l’humanité.
Face
à cette situation, les camps sont simples à
définir, ceux qui sont déjà absorbés
par le pus, et ceux qui luttent pour le résorber.
Voici
quelques extraits choisis de la page
http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html (l’intégralité
est en bas de cette page) :
- « Israël
est le peuple élu entre toutes les nations »
Deutéronome 10/15 (l’un des cinq livres de la torah,
le livre sacré des juifs).
-
« Tu dévoreras tous les peuples que Yahweh, ton
dieu, te livre ; ton œil sera sans pitié pour eux. »
Deutéronome 7/16.
- « Tu ne
contracteras pas de relations matrimoniales avec elles (les
populations non-juives), tu ne donneras pas tes filles à
leurs fils, et tu ne prendras pas leurs filles pour tes fils ».
Deutéronome 7/3.
-
« Yahweh (dieu) chassera toutes ces nations devant vous, et
vous vous soumettrez des nations plus grandes et plus puissantes
que vous ». Deuteronome 11/23.
-
« Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé les
nations, dans lesquelles tu te rends pour les chasser devant toi,
que tu les auras chassés et que tu habiteras leurs pays. »
Deuteronome 12/29.
-
« Le Seigneur ton Dieu exterminera les peuples chez
qui tu te rendras pour les déposséder de leur
territoire ». Deutéronome, 12/79.
-
« Fais m'en la demande, et je te donnerai les nations pour
héritage ». Psaume 2.
- « Tu
les régiras avec une houlette de fer ; comme le vase du
potier tu les mettras en pièces ». Psaume 2.
-
« De tes fils tu feras des princes sur toute la
terre ». Psaume 45/17.
-
« Yahweh a mis Israël à la tête de
toutes les nations ». Psaume 18/44.
-
« Le sang juif et le sang des « goys »
(non-juifs) ne sont pas les mêmes ».
Le rabbin
israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est
pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post,
19 juin 1989.
-
«
Il y a une énorme différence entre nous (les
juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité,
mais dans la morale, la culture, le caractère sacré
de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c’est
comme si à quelques centaines de mètres, il y avait
un peuple qui n’appartenait pas à notre continent, à
notre monde, qui appartenait véritablement à une
autre galaxie ».
Président israélien
Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001.
- «
Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que
l’Amérique fera ceci ou fera cela …
Je
vais vous dire quelque chose de très clair :
Ne vous
préoccupez pas de la pression de l’Amérique
sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique,
et les américains le savent ».
Le premier
ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à
Shimon Péres, cité sur la radio Kol
Yisrael.
Annexe :
éléments de documentation.
a)
Le lama aux cinq sagesses, éditions Plon 1977, scans de la
pages36 :
b)
Le lama aux cinq
sagesses, éditions Plon 1977, scan de la page 40.
c)
Le lama aux cinq
sagesses, éditions Plon 1977, scan de la page 41.
d) Mystiques
et magiciens du Tibet,
éditions Plon 1929, scan de la pages 256.
e)
Mystiques et
magiciens du Tibet, éditions Plon 1929, scan de la
page 257.
f)
Contenu de la page du site aredam.net publiée le 10
octobre 2009
:
http://www.aredam.net/du-judaisme-au-sionisme.html
Du
judaïsme au sionisme, par des extraits de la Torah
(Deuteronome et Psaumes), et des citations d'auteurs,
d'idéologues et de chefs d'Etat sionistes.
1
- Extraits du Deuteronome et des Psaumes.
2 - Citations de
sionistes célèbres.
1 - Extraits
du Deuteronome et des Psaumes :
Deuteronome 6 –
10 à 6 – 11,
«
Lorsque Yahweh, ton dieu, t'aura fait entrer dans le pays qu'il a
juré à tes pères, à Abraham, à
Isaac et à Jacob, de te donner : grandes villes que tu
n'as pas bâties, maisons pleines de toutes sortes de biens
que tu n'as pas remplies, citernes que tu n'as pas creusées
; vignes et oliviers que tu n'as pas plantés ; lorsque tu
mangeras et te rassasieras, garde-toi d'oublier Yahweh, qui t'a
tiré du pays d'Egypte. »
Deuteronome
7 – 1 à 7 – 4,
«
Lorsque Yahweh, ton dieu, t'aura fait entrer dans le pays, où
tu vas pour en prendre possession, et qu'il aura chassé
devant toi beaucoup de nations, les Hittites, les Guirgachites,
les Amorrhéens, les Chananéens, les Périzzites,
les Hiwwites et les Jébuzéens, sept nations plus
nombreuses et plus puissantes que toi, et que Yahweh, ton dieu,
te les aura livrées et que tu les auras battues, tu les
anathémiseras, tu ne concluras pas d'alliance avec elles
et tu ne leurs feras point grâce. Tu ne contracteras pas de
relations matrimoniales avec elles, tu ne donneras pas tes filles
à leurs fils, et tu ne prendras pas leurs filles pour tes
fils. »
Deuteronome
7 – 6,
«
Car toi, tu es un peuple saint, consacré à Yahweh,
ton Dieu. C'est toi que Yahweh, ton Dieu, a choisi pour devenir
son peuple particulier, d'entre tous les peuples qui sont sur la
face de la terre. Ce n'est pas parce que vous êtes plus
nombreux qu'aucun des autres peuples que Yahweh s'est attaché
à vous et vous a choisis, car vous êtes le plus
petit de tous les peuples. Mais c'est parce que Yahweh vous aime
et parce qu'il garde le serment qu'il a fait à vos pères,
que Yahweh vous a fait sortir à main puissante et vous a
rédimés de la maison de servitude, de la main de
pharaon, roi d'Egypte. Tu sauras donc que c'est Yahweh, ton Dieu,
qui est le Dieu, le Dieu fidèle qui garde l'alliance et la
bienveillance jusqu'à mille générations,
pour ceux qui l'aiment et qui garde ses commandements ; mais il
rend la pareille directement à qui le hait ouvertement, en
les détruisant ; il ne tarde pas envers qui le hait de lui
rendre la pareille en personne. Tu observeras donc les
commandements, les lois et les ordonnances que je te commande
aujourd'hui, en les mettant en pratique.
15
– 1 à 15 - 3,
«
A la fin de chaque septième année, tu feras
rémission. Voici comment se pratiquera la rémission
: que quiconque détient une créance remette ce
qu'il a prêté à son prochain ; il ne pressera
pas son prochain ni son frère, quand on aura publié
la rémission de Yahweh. Tu pourras presser l'étranger
; mais pour ce qui t'appartient chez ton frère, tu le
remettras. »
Deuteronome
15 – 6,
«
Car Yahweh, ton Dieu, te béniras, comme il te l'a dit, tu
prêteras à beaucoup de nations, et toi tu
n'emprunteras pas ; tu domineras sur beaucoup de nations, mais
sur toi on ne dominera pas. »
Deuteronome
17 – 15,
«
Tu pourras te constituer un roi, celui que Yahweh, ton dieu, aura
choisi, c'est entre tes frères que tu te constitueras un
roi, tu ne pourras pas te soumettre à un étranger,
parce qu'il n'est pas ton frère. »
Deutéronome
10/15,
"
Israël est le peuple élu entre toutes les nations ".
Deutéronome
14/2,
"
Le Seigneur t'a choisi pour être son peuple à Lui
parmi tous les peuples de la terre ".
Deutéronome
1/13,
"
Lorsque Yahweh ton Dieu aura exterminé les nations dont
Yahweh ton Dieu te donnes le pays.
Deutéronome
7/3,
"
Tu ne contracteras pas de relations matrimoniales avec elles (les
populations non-juives), tu ne donneras pas tes filles à
leurs fils, et tu ne prendras pas leurs filles pour tes fils.
Deutéronome
7 – 16,
«
Tu dévoreras tous les peuples que Yahweh, ton dieu, te
livre ; ton œil sera sans pitié pour eux. »
Deutéronome
7 – 20,
«
Yahweh, ton dieu, enverra même sur eux des guêpes
jusqu'à ce que périssent ceux qui auront pu rester
et se cacher devant toi. »
Deuteronome
11 – 23,
«
Yahweh chassera toutes ces nations devant vous, et vous vous
soumettrez des nations plus grandes et plus puissantes que vous
».
Deuteronome
12 – 29,
«
Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé les nations, dans
lesquelles tu te rends pour les chasser devant toi, que tu les
auras chassés et que tu habiteras leurs pays. »
Deutéronome
7 - 24,
«
Yahweh, ton dieu, chassera peu à peu ces nations devant
toi ; tu ne pourras pas les exterminer rapidement, afin que les
bêtes sauvages ne se multiplient pas contre toi. Yahweh,
ton dieu, te les livreras, et il les bouleversera d'un grand
bouleversement, jusqu'à ce qu'elles soient anéanties.
Il te livrera leurs rois, et tu feras disparaître leurs
noms de dessous les cieux ; personne ne tiendra devant toi,
jusqu'à ce que tu les aies anéantis. »
Psaume
45/17,
"
De tes fils tu feras des princes sur toute la terre ".
Psaume
18/44,
"
Yahweh a mis Israël à la tête de toutes les
nations ".
Deutéronome,
12/79,
"
Le Seigneur ton Dieu exterminera les peuples chez qui tu te
rendras pour les déposséder de leur territoire ".
Deutéronome
28/9 à 28/13 :
"
Yahweh te maintiendra, pour lui en peuple saint, ainsi qu'il te
l'a juré, si tu observes les commandements de Yahweh, ton
Dieu, et si tu marches dans ses voies; et tous les peuples de la
terre verront que le nom de Yahweh est nommé sur toi, ils
te craindront. Yahweh te fera surabonder de biens, dans le fruit
de tes entrailles, dans le fruits de tes bêtes et le fruit
de ton sol, dans le pays que Yahweh a juré à tes
pères de te donner. Yahweh t'ouvrira son magnifique
trésor, le ciel, pour envoyer à ton pays la pluie
en son temps, et pour bénir tout le travail de tes mains.
Tu prêteras à beaucoup de nations, et tu
n'emprunteras pas. Yahweh te mettra à la tête, et
non à la queue; tu seras uniquement en haut, et tu ne
seras pas en bas, si tu obéis aux commandements de Yahweh,
ton Dieu ... ".
Deuteronome
19 – 1,
«
Lorsque Yahweh, ton dieu, aura exterminé les nations dont
Yahweh, ton dieu, te donne le pays ; lorsque tu les auras chassés
et que tu habiteras dans leurs villes et dans leurs maisons. »
Deuteronome
20 – 10 à 20 – 16,
«
Lorsque tu t'approcheras d'une ville pour la combattre, tu lui
offriras la paix. Si elle te fais une réponse de paix et
s'ouvre à toi, tout le peuple qui s'y trouvera te sera
tributaire et te servira. Si elle ne fait pas la paix avec toi,
et qu'elle veuille te faire la guerre, tu l'assiègeras et,
quand Yahweh, ton dieu, te l'aura livrée, tu passeras tous
les males au fil de l'épée. Mais les femmes, les
enfants, le bétail, et tout ce qui sera dans la ville,
tout son butin, tu le pilleras pour toi, et tu pourras manger le
butin de tes ennemis que Yahweh, ton dieu, t'auras donné.
C'est ainsi que tu agiras à l'égard des villes
éloignées de chez toi, et qui ne sont pas des
villes de ces nations-ci.
Mais
quant aux villes de ces peuples que Yahweh, ton dieu, te donne en
propriété, tu n'y laisseras la vie à rien de
ce qui respire. »
Deuteronome
23 - 20,
Tu
n'exigeras pas de ton frère un intérêt pour
argent, ni intérêt pour vivre, ni intérêt
pour autre chose qui se prête à intérêt.
Tu exigeras un intérêt de l'étranger, mais tu
n'exigeras pas d'intérêt de ton frère. »
Deuteronome
26 – 18 à 26 – 19,
«
Et Yahweh t'a fait dire aujourd'hui que tu veux lui devenir un
peuple particulier, comme il te l'a dit, et observer tous ses
commandements, et ainsi te rendra-t-il supérieur à
toutes les nations qu'il a faites, en gloire, en renom et en
splendeur, et fera-t-il de toi un peuple saint à Yahweh,
ton Dieu, comme il l'a dit. »
Psaume
2, 7 à 9
«
Et moi (Yahweh), j'ai établi mon roi sur Sion, ma montagne
sainte
Je
vais publier le décret de Yahweh : Yahweh m'a dit : tu es
mon fils, moi-même, aujourd'hui, je t'ai engendré.
Fais
m'en la demande, et je te donnerai les nations pour héritage,
Tu
les régiras avec une houlette de fer ; comme le vase du
potier tu les mettras en pièces. »
Psaume
47, 17 et 18
«
Tes enfants prendront la place de tes pères ;
tu
les établiras comme princes sur toute la terre. »
2
- Citations de sionistes célèbres :
«
Nous devons expulser les arabes et prendre leur place ».
David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël.
«
Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils
ne soient résignés à vivre en tant
qu’esclaves ».
Président Heilbrun, du
comité pour la réélection du général
Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987.
«
« Nous devons utiliser la terreur, les assassinats,
l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt
de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la
Galilée de sa population arabe ».
Israël
Koenig, « The Koenig memorandum ».
«
La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au
moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest
du Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place pour
un compromis sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul
village, pas une seule tribu ».
Joseph Weitz,
directeur du Fond national juif, 1973.
«
Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »,
Israel
Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans.
Après
avoir visité la Palestine en 1891, l’essayiste
hébreu Achad Ha-Am a commenté : « A
l’étranger nous sommes habitués à
croire qu’Israël est presque vide ; que rien n’y
pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas
acheter les terres qu’il désire. En réalité,
la situation n’est pas ainsi. Dans ce pays, il est
difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà
cultivée ».
«
Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il
n’y a personne à qui les rendre ».
Golda
Meir, premier ministre d’Israël, 8 mars 1969.
«
Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens
n’ont jamais existé ».
Golda Meir,
premier ministre israélien, 15 juin 1969.
«
« Les palestiniens » seront écrasés
comme des sauterelles … leurs têtes éclatés
contre les rochers et les murs ».
Yitzhak Shamir,
premier ministre israélien, 1er avril 1988.
«
Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne
sont pas les mêmes ».
Le rabbin israélien
Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est pas un crime si
les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989.
«
Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la
frontière en lui refusant du travail. Le processus
d’expropriation et de déplacement des pauvres doit
être mené discrètement et avec circonspection
».
Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation
sioniste mondiale, note du 12 juin 1895.
Description
par Rabin de la conquête de Lydda, après
l’achèvement du plan Dalet. « Nous réduirons
la population arabe à une communauté de coupeurs de
bois et de serveurs ».
Uri Lubrani, conseiller
spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion, 1960, tiré
de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias.
«
Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez
de viande, plus ils en veulent … ».
Ehud
Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000,
Jerusalem post du 30 août 2000.
«
Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux
jambes ».
Menahem Begin, discours à la
Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and the
beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman,
25 juin 1982.
«
Il y a une énorme différence entre nous (les
juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité,
mais dans la morale, la culture, le caractère sacré
de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c’est
comme si à quelques centaines de mètres, il y avait
un peuple qui n’appartenait pas à notre continent, à
notre monde, qui appartenait véritablement à une
autre galaxie ».
Président israélien
Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001.
«
Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les
palestiniens) ne reviennent pas » … « Les
vieux mourront et les jeunes oublieront ».
David Ben
Gurion, journal du 18 juillet 1948.
«
Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus
aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués
dans une bouteille ».
Raphael Eitan, chef d’Etat
major des forces de défense israéliennes (Tsahal),
New york Times, 14 avril 1983.
«
La thèse d’un danger d’un génocide qui
nous menaçait en juin 67 et qu’Israêl se
battait pour son existence physique était seulement du
bluff, créé et développé après
la guerre ». Général Matityaha Pelet,
Ha’aretz, 19 mars 1972.
«
C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer
à l’opinion publique, clairement et courageusement,
un certain nombre de faits qui ont été oubliés
avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il
n’y a pas de sionisme, de colonisation ou d’Etat
juif, sans l’éviction des arabes et l’expropriation
de leurs terres ».
Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot,
12 juillet 1972.
«
La population doit se préparer à la guerre, mais il
revient à l’armée israélienne de
poursuivre le combat avec l’objectif ultime qui est la
création de l’Empire israélien ». Moshe
Dayan, ministre israélien de la défense et des
affaires étrangères, 12 février 1952 Radio
Israel.
«
Des villages juifs ont été construits à la
place des villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces
villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de
géographie n’existent plus. Et non seulement les
livres, mais les villages n’existent plus. Nahahal a
remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé
Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr
Yehoushua celle de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit
dans ce pays qui n’a pas une ancienne population arabe ».
Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans
Ha’aretz, 4 avril 1969.
«
… si les gens s’habituent à cette donnée
et que nous soyons réellement obligés d’accepter
le retour des réfugiés, il pourrait être
difficile pour nous, quand nous seront confrontés à
des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne
vivaient pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu’il
arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur
nombre … sinon ».
Arthur Lourie, responsable
israélien, dans une lettre à Walter Eytan,
directeur général du ministère des affaires
étrangères israélien (ISA FM 2564/22).
D’après Benny Morris, « Naissance du problème
des réfugiés palestiniens 1947-49 », p. 297.
«
Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de
question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous
souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà,
vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver
quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait.
Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force
armée, qui rendrait physiquement impossible toute
tentative de détruire ou d’empêcher cette
colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas
dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le sionisme est une aventure de
colonisation et c’est pour cela qu’elle est
dépendante d’une force armée. Il est
important … de parler hébreu, mais malheureusement,
il est encore plus important d’être capable de tirer,
ou bien je termine le jeu de la colonisation.
Vladimir
Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur
du likoud), Le Mur de fer, 1923.
«
La colonisation sioniste doit être exécutée
contre la volonté de la population autochtone.
C’est
pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la
protection d’une puissance indépendante de la
population locale, tel un mur de fer capable de résister à
la pression de la population locale. Ceci est notre politique à
l’égard des arabes.
Vladimir Jabotinsky, Le Mur
de fer, 1923.
«
Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y
a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons
pas notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas
d’autres possibilités que de transférer les
arabes d’ici vers les pays voisins - tous. Pas un seul
village, pas une seule tribu ne doit rester.
Joseph Weitz,
chef du département colonisation de l’Agence juive
en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem
».
«
Israël aurait dû exploiter la répression des
manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est
focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution
des expulsions massives parmi les arabes des territoires
».
Benyamin Netanyahu, alors député
israélien au ministère des affaires étrangères,
ancien premier ministre d’Israël, s’exprimant
devant des étudiants à l’université de
Bar Ilan, tiré du journal israélien « Hotam
», du 24 novembre 1989.
«
A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre
volonté ? De la même façon, les arabes de
Palestine n’abandonneront pas leur souveraineté sans
l’usage de la violence ».
Vladimir Jabotinsky
(fondateur et partisan des organisations terroristes sionistes),
cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou
problème juif » (Jewish people or jewish problem).
«
Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais
un accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris
leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais
en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur.
Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler,
Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne voient
qu’une seule chose : nous avons volé leur pays.
Pourquoi devraient-ils l’accepter ?
David Ben Gurion,
le premier ministre israélien, cité par Nahum
Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.
«
Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont
aucun droit de s’établir sur ne serait-ce un seul
centimètre du Grand Israël …
La force est
l’unique chose qu’ils comprennent. Nous devons
utiliser la force absolue jusqu’à ce que les
palestiniens viennent ramper devant nous ».
Raphael
Eitan, chef d’Etat-major des forces de la défense
israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983,
New York Times, le 14 avril 1983.
«
Si l’assemblée générale devait voter
par 121 voix contre une le retour aux frontières de
l’armistice (frontière d’avant juin 1967),
Israël refuserait de se plier à cette décision
».
Aba Aban, ministre israélien des affaires
étrangères. New York Times, 9 juin 1967.
«
Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que
l’Amérique fera ceci ou fera cela …
Je
vais vous dire quelque chose de très clair :
Ne vous
préoccupez pas de la pression de l’Amérique
sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique,
et les américains le savent ».
Le premier
ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à
Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael.
«
Parmi les phénomène politique les plus inquiétants
de notre temps, il y a l’émergence, dans l’Etat
nouvellement créé d’Israël, d’un
parti de la Liberté (Herut), un parti politique très
proche, dans son organisation, ses méthodes, sa
philosophie politique et son appel social, des nazis et des
partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient
membres de ce parti sont devenus premiers ministres ».
Albert
Einstein.
Hana Arendt et d’autres juifs américains
célèbres, ont écrit dans le New York Times,
pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en
décembre 1948.
«
La carte actuelle de la Palestine a été dessinée
sous le mandat britannique. Le peuple juif possède une
autre carte que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer
de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate
».
Ben Gurion.
«
Nous devons affronter la réalité qu’Israël
n’est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa
création et de son expansion, nous les juifs avons créé
ce dont nous avons souffert historiquement : une population de
réfugiés dans une diaspora ».
Martin
Buber, philosophe juif, s’adressant au premier ministre Ben
Gurion, sur le caractère moral de l’Etat d’Israël
en faisant référence aux réfugiés
arabes en mars 1949.
«
Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous
sommes retournés en Palestine … la majorité
des juifs, ont préféré apprendre d’Hitler
plutôt que de nous ».
Martin Buber, au public de
New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958.
«
Le pouvoir légal d’Hitler était basé
sur le « décret de loi », qui était
voté tout à fait légalement par le Reichstag
et qui permettait au Führer et à ses représentants,
en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en
langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de
loi. Exactement le même type de loi votée par la
Knesset (le parlement israélien) juste après la
conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien,
et à ses représentants le pouvoir d’Hitler,
qu’ils utilisent de façon hitlérienne
».
Docteur Israel Shahak, président de la Ligue
israélienne pour les droits de l’homme et les droits
civiques, survivant du camp de concentration de Bergen Belsen,
commentant les lois d’urgence de l’armée
israélienne suite à la guerre de 1967.
Palestine,
vol. 12, décembre 1983.
«
Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon a
répété sa question : « Que devons-nous
faire avec la population palestinienne ? » Ben Gurion a
levé sa main dans un geste qui voulait dire : «
Chassez-les » ».
Yitzhak Rabin, version censurée
des mémoires de Rabin, publiées dans le New York
times, 23 octobre 1979.
A
l’origine :
Le
gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement
l’établissement en Palestine d’un foyer
national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour
faciliter la réalisation de cet objectif, étant
clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter
atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités
non-juives en Palestine, ni aux droits dont les juifs jouissent
dans tout autre pays.
Déclaration de Balfour au Baron
Rothschild, le 2 novembre 1917.
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