Le
Magicien d’Oz – La sombre réalité que l’État profond
cache au monde entier.
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Andrew
Korybko — OneWorld
Sott.net
ven.,
18 juin 2021 14:22 UTC
De
concert avec leurs agents chargés d'encadrer la perception de la
réalité au sein des médias grand public et du système
éducatif, les incontournables bureaucraties militaire,
diplomatique et du renseignement du monde entier — les « États
profonds » — cachent à tout le monde une réalité bien plus
infâme que celle que le Magicien d'Oz cachait à Dorothée.
©
Inconnu
Le Magicien d'Oz — « Ne fais pas attention
à cet homme en coulisses. »
L'État
profond
Rien
n'est jamais ce qu'il semble être, surtout lorsqu'il s'agit du
monde moderne dans lequel nous vivons tous. «
Il
n'y a pas de démocraties ou d'autocraties, seulement des
gouvernements »,
ai-je écrit [en
anglais - NdT] la
semaine dernière, et ils sont tous composés des incontournables
bureaucraties militaire, diplomatique et du renseignement, ou ce
qu'il est convenu d'appeler les «
États
profonds »,
qui, tous, gèrent des questions largement considérées — à
tort ou à raison — comme étant au-delà de la responsabilité
du citoyen lambda. Cette
structure de pouvoir est alliée à des agents chargés
d'encadrer la perception de la réalité au sein des médias
grand public et du système
éducatif afin de cacher à tous une réalité très sombre,
bien plus malfaisante que celle que le magicien d'Oz cachait à
Dorothée. Ses partisans disent que « c'est mieux ainsi », car
« la société a besoin d'être contrôlée », tandis que ses
détracteurs affirment qu'il s'agit là d'une grande manipulation
et d'une atteinte aux droits fondamentaux de l'homme. Quel que
soit le camp dans lequel on se place, on ne peut nier que le
monde réel est bien pire que ce que la personne ordinaire
pouvait imaginer.
« Du pain et des jeux »
Tous
les peuples du monde sont fortement encouragés par leurs
gouvernements à vaquer à leurs occupations quotidiennes et à
se comporter en citoyens économiquement productifs et
socialement responsables. À cette fin, ils sont distraits par «
du pain et des jeux » en étant maintenus juste au-dessus du
niveau de subsistance minimum et pressés de se concentrer
davantage sur leur recherche personnelle du bonheur que sur celle
de tous les autres. L'exception, bien sûr, est constituée par
ceux qui montrent un intérêt sincère pour le fonctionnement du
monde et qui, après des années d'endoctrinement pertinent dans
le système d'enseignement supérieur, sont considérés par les
« pouvoirs en place » comme « idéologiquement fiables ».
Cette
catégorie de citoyens d'élite apprend comment le monde
fonctionne réellement après avoir jeté un coup d'œil dans les
coulisses, avant de pouvoir jouer un rôle direct dans la gestion
de cet état secret des choses. Parfois, les gens ordinaires
découvrent la vérité par eux-mêmes ou par l'intermédiaire de
lanceurs d'alerte, mais elle reste le plus souvent dissimulée.
La
guerre de l'information
Le
système se maintient en discréditant de manière obsessionnelle
ceux qui sont assez intrépides pour faire des recherches sur ses
rouages internes et partager publiquement leurs découvertes, en
les qualifiant de « théoriciens de la conspiration », d'«
agents étrangers » ou autres dénominations.
Cela
ne veut pas dire qu'il n'existe pas de spéculations non fondées
sur des faits qui peuvent légitimement être qualifiées de
théorie du complot, ni que des puissances étrangères
n'infiltrent pas la société par le biais d'agents réels et
même d'agents dits « d'influence » — ces derniers n'étant
peut-être même pas conscients du rôle qu'ils jouent —, il
s'agit juste de mettre en évidence les techniques utilisées
pour discréditer ceux qui, de temps à autre, franchissent le
pare-feu informationnel de l'« État profond » afin d'éclairer
les masses sur la réalité des événements. En
fait, les médias de différents pays mènent actuellement une
intense guerre de l'information contre les publics cibles des uns
et des autres afin de les convaincre que leur propre « État
profond » leur ment, ce qui ajoute à tout cela une dimension
hybride.
La
nouvelle Guerre froide
Derrière le « faste et le
glamour » de la « vie quotidienne » que l'« État profond »
et ses agents chargés d'encadrer la perception de la réalité
ont fait passer aux yeux de la plupart des gens pour « réel »,
le
monde se trouve en fait au cœur d'une
nouvelle
Guerre froide initiée
bien avant son apparent lancement officiel en 2014, après la
tentative des États-Unis de « contenir » plus ouvertement la
Russie et la Chine à la fois en Europe de l'Est — Ukraine —
et en Asie du Sud-Est — mer de Chine méridionale. Cette
évolution se déroule en outre sur fond de profonds changements
civilisationnels dans les domaines de
l'information-communication, de la technologie militaire, de
l'économie-industrie et de la santé, qui vont révolutionner de
manière fondamentale la vie telle que chacun la connaît. En
fait, la pandémie de Covid-19 — peu importe que l'on croie
qu'elle soit réelle, fausse ou exagérée — a inauguré une
nouvelle ère dans laquelle les « États profonds » du monde
entier travaillent activement à endoctriner tout les populations
de manière à leur faire accepter cette « nouvelle normalité »
à laquelle il fallait s'attendre depuis déjà longtemps.
La
vérité sur les relations sino-étatsuniennes
Pour
les novices en la matière, et comme le prouvent les précédents
historiques, le système unipolaire impulsé par les États-Unis
après l'ancienne Guerre froide était structurellement
insoutenable. Ce système a pris fin bien plus tôt que ne le
prévoyaient ses partisans les plus passionnés lorsque les
États-Unis, en vertu des motivations économiques intéressées
de ses dirigeants, ont, par
inadvertance, subventionné l'extraordinaire — et inégalé
— essor économique de la Chine, motivations aujourd'hui
malhonnêtement qualifiées d'« optimisme mal placé » par ces
mêmes dirigeants, sous couvert qu'avec le temps et par le biais
du commerce, la Chine se serait « inévitablement libéralisée
». Bien
que certains éléments de l'« État profond » des États-Unis
aient constamment cherché à subvertir et finalement à détruire
la Chine — comme ils avaient tenté de le faire depuis la
Révolution
de couleur de la place Tienanmen
en
1989 — ils ont échoué à la fois en raison de la résistance
structurelle de leur cible et du manque de soutien de l'élite
économique et politique des États-Unis qui avait intérêt à
profiter indéfiniment de l'ascension astronomique de la Chine.
Réinterpréter
le rôle de la Russie
Quant
à la Russie, elle n'a jamais été le « Phénix anti-occidental
» dépeint pour différentes raisons à la fois par ses
principaux partisans mais aussi par ses détracteurs étrangers ;
au contraire, la Russie n'a eu de cesse de chercher à s'intégrer
dans le monde occidental, tout
en préservant autant
que possible sa souveraineté. Cette volonté était inacceptable
pour l'Occident, lequel exigeait une soumission totale, notamment
aux diktats de l'hyper-libéralisme, tant sur le plan économique
que social, incitant le président Poutine à résister fièrement
à ces tentatives, tout en veillant à toujours tendre le rameau
d'olivier de son pays. La Russie voulait simplement se tailler
une place confortable dans le « Nouvel ordre mondial » voulu
par les États-Unis plutôt que d'en créer un entièrement
nouveau en tentant de suivre les traces révolutionnaires de son
prédécesseur. Et
c'est finalement en raison de la friction publique entre les
exigences unipolaires des États-Unis et la vision multipolaire
de la Russie que le monde a commencé à réaliser qu'une
nouvelle Guerre froide se préparait en 2007-2008.
La
concurrence entre les grandes puissances
La « guerre
commerciale » de Trump avec la Chine, largement médiatisée,
n'était en fait qu'une tentative de retour au « bon vieux temps
» de l'ère pré-mondialisation, même si elle a bien sûr été
un peu modifiée pour tenir compte de certains des processus
irréversibles engagés dans le monde depuis que la détente
sino-étatsunienne de la fin des années 1970 a changé la nature
même de l'économie mondiale. Trump a également popularisé
avec plus de conviction la notion de nouvelle Guerre froide en
embrassant ouvertement la concurrence entre les grandes
puissances, laquelle n'a jamais réellement disparue depuis la
fin de l'ancienne Guerre froide ; l'illusion de cette dernière
constituait simplement un moyen magistral de manœuvrer les
perceptions de la population mondiale en l'amenant à se
concentrer moins sur les affaires internationales et davantage
sur « du pain et des jeux », lesquels ont été produits en
abondance depuis 1991. La
vision de Trump s'alignait également sur la tendance
irréversible d'une multipolarité, laquelle, au cours des
décennies précédentes, fut précipitée par les propres faux
pas des États-Unis qui ont permis à la nouvelle Guerre froide
de se normaliser.
Le
complexe militaro-industriel
Au milieu de tout cela,
et même sans doute un peu avant, les grandes puissances — au
premier rang desquelles les États-Unis, la Chine et la Russie —
se livraient déjà à une intense concurrence dans de multiples
domaines, bien que le seul volet économique ait été mis en
avant dans la sphère publique — et même cet aspect n'a pas
été largement reconnu avant la présidence de Trump. Sur le
plan militaire, tous ont continué à développer de nouveaux
systèmes d'armement, notamment des boucliers antimissiles, des
missiles hypersoniques pour percer ces derniers, des drones et
des armes spatiales. Depuis longtemps déjà, leurs complexes
militaro-industriels respectifs travaillent sur de telles
munitions et, afin
de détourner l'attention des masses de leurs réalités, les
rares cas où le public les a accidentellement remarquées ont
été commodément décrits comme
des « observations d'ovnis ».
Lors de l'ancienne Guerre froide, tout un chacun savait qu'une
course à l'armement avait lieu, mais après 1991, en parler est
devenu tabou, quoique cette tendance soit en train de changer
puisqu'il devient impossible de faire comme si elle n'existait
pas.
L'industrie de l'information et de la
communication
L'autre tendance qui s'est manifestée
au cours de ces décennies concerne l'industrie de l'information
et de la communication. La diffusion mondiale d'Internet a donné
à certains pays comme les États-Unis un avantage stratégique,
notamment en matière de collecte de renseignements, quand bien
même cet avantage est désormais concurrencé par les
développements technologiques de pointe de la Chine et ses
produits compétitifs nettement plus abordables. Le concept
controversé de la 5G n'est que la dernière étape de ce jeu. Il
s'agit essentiellement d'un moyen de gérer l'« Internet des
objets », qui
renforcera encore l'avantage stratégique de ses pionniers.
Bien que de sérieux risques sanitaires y soient associés, la
nature de la nouvelle Guerre froide est telle que, par crainte de
prendre irrémédiablement du retard sur ses « pairs concurrents
», aucun acteur ne peut se permettre de retarder le
développement de cette technologie.
Le
brouhaha entretenu autour de Huawei et d'autres entreprises
technologiques chinoises n'est qu'une façade pour le public afin
de justifier les coups de force des États-Unis contre leur
principal concurrent technologique.
La « Quatrième
Révolution industrielle » et la « Grande réinitialisation »
Compte tenu de la dépendance accrue à l'égard des
systèmes autonomes, l'Internet des objets facilitera la «
Quatrième Révolution industrielle » qui transformera
totalement les relations économico-industrielles de l'humanité.
Ce
projet était déjà en cours avant la pandémie de Covid-19,
mais le virus — encore une fois, que l'on croit ou non qu'il
est réel, faux ou exagéré — a servi de prétexte pour
accélérer son déploiement à travers le monde de la manière
la plus spectaculaire possible par le biais de ce qui est
désormais communément appelé la « Grande réinitialisation ».
Le résultat obtenu nécessitera une implication accrue de l'État
dans l'économie afin de subventionner le récent chômage de
masse, implication qui aura tous les atours d'un système
comparativement plus « socialiste », même si ce n'est que de
manière imparfaite/superficielle. Certains pourraient même
décrire les partenariats entre l'État et les entreprises qui en
découlent comme étant plus proches du « fascisme économique
», ce qui laisse à l'avenir présager une compétition mondiale
entre les systèmes « socialistes » et « fascistes ».
Les
« vaccins » anti-Covid
Indépendamment de la
sémantique utilisée, on
ne peut pas non plus nier qu'en raison des thérapies géniques
expérimentales qui sont imposées à des centaines de millions
de personnes sous le prétexte de servir de « vaccins » contre
le Covid-19, l'humanité elle-même pourrait d'un point de vue
génétique devenir dans ce futur sombre quelque peu différente
de ce qu'elle est actuellement. De
grands espoirs se fondent sur le fait que la technologie de
l'ARNm pourrait vraiment réaliser des miracles comme celui de
guérir le cancer, tant est qu'elle soit utilisée de manière
responsable, mais une telle technologie nécessite encore de
nombreuses années de tests avant d'avoir une chance crédible de
changer le monde pour le mieux avec le moins de risques possible.
En
prenant en compte le contexte concurrentiel de la nouvelle Guerre
froide, la pandémie de Covid-19 a été exploitée par Big
Pharma pour expérimenter ces traitements en temps réel sur le
plus grand nombre de personnes dans le but d'accélérer le
développement de cette technologie. L'Occident était déjà
très en avance dans ce domaine, c'est pourquoi la plupart de ses
vaccins sont à ARNm contrairement aux autres pays.
Les
dommages collatéraux
On
ne peut pas le savoir avec certitude, mais il est possible que
Big Pharma — et vraisemblablement ses bailleurs de fonds de l'«
État profond » tout autant — a bien cherché à conduire des
expériences sur des centaines de millions de personnes et à le
faire d'une manière aussi fallacieuse uniquement parce qu'ils
pensaient sincèrement — à tort ou à raison — que les
conséquences seraient minimes et que les « dommages collatéraux
» pourraient donc être « gérables ».
Ils pourraient vraiment estimer que tout problème de santé
survenant sur le long terme et qui serait potentiellement induit
par ces thérapies géniques expérimentales — commercialisées
de manière litigieuse comme des « vaccins » — serait en
théorie susceptible de pouvoir être traité au cours de la
prochaine décennie, grâce au bond en avant effectué d'ici là
par cette technologie, à la faveur des tests massifs en cours de
réalisation. Ce
raisonnement présuppose que les symptômes de ces problèmes
spéculatifs [de
santé - NdT] pourraient
ne pas se manifester avant la prochaine décennie, ce qui
constitue bien évidemment un pari risqué et peut, si tel est le
cas, être considéré comme contraire à l'éthique, étant
donné que les personnes faisant l'objet d'expériences « au nom
du bien commun » pourraient ne pas en être conscientes et donc
ne pas avoir donné leur consentement éclairé.
L'ingénierie
génétique
Pour développer un peu plus le sujet des
« vaccins », on peut se demander si les ARNm Covid-19
représentent même une solution viable à la pandémie —
encore une fois, que l'on croit ou non qu'elle est réelle,
fausse ou exagérée. Après tout, après avoir évolué
d'innombrables fois vers de nouvelles souches contre lesquelles
il serait de toute façon impossible de se vacciner parfaitement,
le Covid-19 n'existe plus sous sa forme « initiale ». Cela
signifie que les thérapies géniques expérimentales que de
nombreuses personnes ont déjà suivies pourraient en fait être
superflues, d'où la nécessité d'un plus grand nombre de «
vaccins » pour prétendument contrer les souches à venir, ce
qui conduit en fait à davantage de tests en situation réelle
pour permettre à Big Pharma d'accélérer le perfectionnement de
cette technologie avant ses concurrents étrangers.
Une
fois que cela sera fait, le génie génétique pourrait même
conduire à des « super
soldats » et à des hybrides humains-animaux — ou «
chimères
».
L'Agenda « vert » — ou « dépeuplement »
L'autre sombre réalité cachée aux yeux du public
par les manœuvres de l'« État profond » utilisées dans la
gestion de la perception concerne la spéculative campagne de «
dépeuplement ». Que certaines forces influentes sont en faveur
de cette campagne pour des raisons idéologiques — « vertes
»
— et « pragmatiques » — « surpopulation
»
— est indéniable — en particulier dans le contexte du
développement de la Quatrième Révolution industrielle et de la
Grande réinitialisation —, mais savoir si la vaccination
massive en cours de centaines de millions de personnes avec des
thérapies géniques expérimentales à ARNm fait partie de cette
campagne, du moins directement, n'est pas clair. Si personne ne
sait avec certitude quel sera l'effet sur la fertilité, on peut
raisonnablement écarter le fait que ces traitements sont
destinés à tuer de nombreuses personnes dans un avenir proche.
Après
tout, en dépit de la Quatrième Révolution industrielle et de
la Grande réinitialisation, l'« État profond » a toujours
besoin d'une base fiscale et d'une certaine main d'œuvre humaine
pour construire les machines de la « nouvelle économie ».
Compte tenu du fait que tant de jeunes gens ont déjà été
vaccinés, il est irréaliste de penser qu'ils tueraient leur
réservoir de main-d'œuvre le plus prometteur.
Trump
vend la mèche
Quoi qu'il en soit, le public mondial
doit prendre conscience de ce que l'on appelle l'« Agenda vert
», qui fait également partie intégrante de la tendance,
mentionnée plus haut, vers des systèmes économiques
comparativement plus « socialistes »/« fascistes ». Le climat
change, quelle que soit la raison à laquelle on l'attribue —
qu'il soit d'origine anthropologique ou naturellement cyclique —
mais chaque « État profond » a un intérêt inhérent à
exploiter ce phénomène en vue d'accroître son pouvoir sur sa
population. Cela
ne veut pas dire que chacun de ses membres le fait à des « fins
maléfiques », dans la mesure où un certain nombre d'entre eux
peuvent sincèrement croire que leurs actions sont menées pour
le « plus grand bien de tous » — quelle que soit la façon
dont ils les rationalisent — mais cette dynamique est
indéniable. L'ancien président Trump a beaucoup fait pour
populariser la prise de conscience de ce phénomène et de
certaines des autres tendances évoquées précédemment, et il
l'a fait de son propre chef mais d'une manière qui a fortement
contrarié la plupart des « États profonds » du monde, y
compris le sien. On comprend ainsi la répulsion universelle
qu'ils éprouvaient à son égard.
Note
du traducteur : l'«
Agenda vert » auquel se réfère l'auteur dans les deux
paragraphes précédents est aussi connu sous le nom d'« Agenda
21 » auquel il est difficile de ne pas associer l'« Agenda
2030 ».
QAnon
et « 5D Chess » : des canulars
Dans leur esprit,
Trump n'était pas censé « vendre la mèche » sur la façon
dont le monde fonctionne réellement dans la mesure où il
n'était pas de toute façon censé être élu. L'« État
profond » s'est assuré par
tous les moyens possibles qu'il ne remporterait pas un second
mandat et qu'il n'aurait donc aucune chance de réformer certains
de leurs plans de gouvernance à venir dans le cadre des «
Quatrième Révolution industrielle et Grande réinitialisation »
— « socialisme
»/« fascisme ». En outre, ils ont craint que Trump
n'incite les membres les plus passionnés de la population à
exercer leurs droits politiques par le biais de rassemblements et
autres activités contestataires, afin de tenter de changer la
situation de manière significative, ne serait-ce qu'en montrant
publiquement auprès des masses la popularité de son projet
d'avenir. La réponse à cette « menace » a été le mouvement
QAnon qui a cherché à neutraliser ces forces de manière
préventive en captant leurs esprits par le biais d'une
construction narrative manipulatrice à la « 5D Chess », qui
n'est qu'un mécanisme d'adaptation pour faire face à la
réalité.
Note
du traducteur : le
« 5D Chess » est un jeu d'échecs avec 5 plateaux où on peut
voyager dans le passé pour créer une dimension parallèle.
La
guerre terroriste hybride menée contre les États-Unis
Ceci
étant dit, la réalité c'est que Trump était fondamentalement
« un roi sans pays » dans la mesure où les éléments les plus
puissants de son « État profond » ont continué à s'opposer à
lui à chaque circonstance, sabotant ainsi les politiques qu'il
avait envisagées. Au lieu de se rallier pacifiquement à lui
lorsqu'il en avait le plus besoin, ses principaux partisans ont
subi un lavage de cerveau qui leur a fait croire qu'« il avait
la situation bien en mains » et que chaque revers objectif
n'était en fait qu'un « coup magistral de 5D Chess ». En
renonçant à descendre dans la rue, ils ont facilité la phase
cinétique de la
guerre terroriste hybride menée depuis des décennies par
l'« État profond » contre les États-Unis via Antifa et Black
Lives Matter, phase qui a ouvert la voie à l'enfer
dystopique que Biden préside actuellement en tant que
marionnette
du même « État profond ». La seule « tempête » qui se soit
produite est celle de l'« État profond » le jour de
l'élection. La
séquence réussie du changement de régime anti-Trump a
conduit à ce qu'il
soit finalement avalé par le « marais » et à la
suppression de la plupart des dissidences numériques ultérieures
par la « Cyber
Stasi » de Biden.
La censure des médias sociaux
La dimension numérique est également très
importante en ce sens qu'elle constitue le seul « espace commun
» au sein duquel une opposition significative à ces tendances
peut de manière réaliste être organisée, bien qu'elle soit
désormais presque entièrement sous le contrôle de l'« État
profond », à quelques exceptions près — comme le
VK russe. Empêcher toute répétition des événements
du 6 janvier [l'assaut du Capitole par des soi-disant
partisans de Donald Trump - NdT] et réduire les risques
d'ingérence étrangère dans les processus internes des
États-Unis par le biais de la
guerre hybride constituaient le prétexte pour prendre le
contrôle de cet espace. Sur ce dernier point, cette menace
existe bel et bien, mais pas au point où l'« État profond »
l'affirme. Cette menace a par ailleurs déjà été exercée à
l'encontre d'innombrables autres pays et de manière bien plus
efficace qu'elle ne pourrait l'être à l'encontre des
États-Unis, mais
l'« État profond » craint l'introduction et la prolifération
de récits « politiquement dérangeants » dans le débat
politique étatsunien, d'où la nécessité de censurer les
médias sociaux de manière si agressive. Pour être équitable,
d'autres pays mettent en œuvre des politiques similaires pour
les mêmes raisons axées sur la sécurité.
Les
individus sont-ils des pions ?
Ce
que la plupart des gens ne réalisent pas, c'est que dans le
cadre de la nouvelle Guerre froide, ils ne sont en fait que des
pions dans un jeu mondial entre des « États profonds » «
socialistes »/« fascistes » concurrents.
Leurs
points de vue individuels n'ont aucune importance tant qu'ils les
gardent pour eux, mais ils deviennent « gênants » une fois
partagés avec d'autres et dès lors susceptibles d'influencer un
changement plus important dans le comportement socio-économique
et/ou surtout politique — par exemple, les habitudes de vote,
les protestations, etc. «
Connaître la vérité » telle qu'on la conçoit
est
une chose — que
ce soit par soi-même et/ou sous l'influence de tout ce qu'on
trouve sur Internet, y compris ce qui est partagé par des
acteurs étrangers, qu'ils soient étatiques ou civils — mais
agir sur cette vérité de manière pacifique et dans les limites
légales de chaque constitution respective — dont beaucoup, du
moins en Occident, respectent superficiellement le droit à la
liberté d'expression et de réunion — en est une tout autre.
Retour
à la réalité
Pour
tout dire, et plutôt que d'avoir un effet significatif sur le
cours des événements, cette analyse ne fera sans doute que
donner aux « compagnons de route » l'impression qu'ils ne sont
pas seuls ou « fous ». Quoi qu'il en soit, chacun mérite
d'apprendre comment le monde fonctionne réellement, ne serait-ce
que pour être en paix avec son impuissance, si cela peut les
aider à se sentir un peu mieux.
Certaines
personnes pourraient avoir envie de partager cette idée avec
d'autres dans l'espoir qu'un nombre suffisant d'individus
puissent se rassembler pour exprimer leurs droits
constitutionnels de manière pacifique dans une ultime tentative
de ralentir
la mise en œuvre des « Quatrième Révolution industrielle
et Grande réinitialisation ». Ceci
est particulièrement vrai en ce qui concerne la sensibilisation
aux risques spéculatifs associés au fait de se porter
volontaire pour servir de cobaye à l'expérience massive de
thérapie génique pilotée par l'« État profond » [globalisé
- NdT] et
soutenue par Big Pharma, une expérience conçue pour donner à
chaque gouvernement un avantage stratégique dans la nouvelle
Guerre froide aux dépens des droits de l'homme de leurs
citoyens.
Bienvenue
dans la WorldWarC
La
pandémie de Covid-19 a marqué le début de ce que l'on peut
décrire comme la WorldWarC,
c'est-à-dire les processus de changement de paradigme à spectre
complet catalysés par la tentative non coordonnée du monde de
contenir le virus — encore une fois, que l'on croie ou non
qu'il soit réel, faux ou exagéré. Toutes les tendances
préexistantes sont en train de s'accélérer et de se comprimer,
y compris les tendances géopolitiques, militaires, économiques
et industrielles, celles de l'information et de la communication,
des soins de santé — avec
le génie génétique —,
gouvernementales — « socialistes
»/«
fascistes
»
— et « vertes » — « dépopulation
».
Cela signifie que chacun vit véritablement dans une ère
historique sans précédent où littéralement tout ce qui
concerne la vie telle que ces personnes la connaissent sera d'ici
une décennie complètement différent. La nature même des
relations internationales, économiques, civiles et même
humaines se transforme à un rythme record, et les gens
choisissent soit de rester endormis comme le veut l'« État
profond », soit de se réveiller et d'essayer de les arrêter de
manière pacifique, s'il est encore possible de le faire.
Source
de l'article initialement publié en anglais le 3 juin 2021 :
OneWorld
Traduction
:
Sott.net
https://oneworld.press/?module=articles&action=view&id=2069
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