Le Journal qui n'existe pas, que personne ne lit et
que personne n'écrit, numéro 4, mars 2017. Michel
Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier,
ex-France, province temporaire de l'Empire mondial
américano-sioniste
agonisant. http://www.aredam.net/le-journal-qui-n-existe-pas-numero-4.html
Sommaire
du numéro 4 :
La mise à jour d'une
réalité essentielle actuelle jusqu'alors gardée
cachée. Les recherches des Etats dits profonds, tant
américano-sioniste, que russe et chinois, en
neuro-psychologie, dans le but de parvenir au contrôle
mental absolu, c'est à dire rendant possible l'éradication
définitive des sens critique, social, politique, moral,
dans le but d'interdire définitivement le renversement de
l'ordre inégalitaire généralisé sur
toute l'humanité, permettant la domination d'une infime
fraction sur la masse. Ce texte est fondé sur les
livres d'Yvane Wiart, ayant trait aux travaux de John Bolby
« L'attachement, un instinct oublié »,
Editions Albin Michel 2011, et de Joseph Ledoux « Le
cerveau des émotions », Editions Odile Jacob,
2005. Ce texte expose une série de réflexions
dont voici la liste : 1 - Existence du système
cérébral de l'empathie. 2 - Existence du système
cérébral de la conscience. 3 - La destruction du
système cérébral de l'empathie. 4 - La
destruction du système cérébral de la
conscience. 5 - La conséquence des destructions des
systèmes cérébraux de la conscience et de
l'empathie, l'état généralisé de
psychopathie, devenant celui de la normalité. 6 –
Vers une définition d'un système cérébral
intégré supérieur, celui de
l'empatho-conscience. Table des
illustrations : http://www.aredam.net/education-a-la-psychopathie-sacrifice-d-un-belier-temple-mari-2640-avant-jc.html
-
Existence du système cérébral de
l'empathie.
On ne trouve pas ce que l'on ne cherche
pas.
On ne cherche pas ce qui vous est irrémédiablement
étranger. Ainsi, un mouton ne va pas chercher ses ailes,
car il n'est pas un oiseau.
Il en va de même avec
Joseph Ledoux, chercheur en neuro-psychologie, fils de boucher,
et ayant passé une partie de ses jeunes années dans
l'atelier de son père, au milieu des vaches mises en
pièces. La partie de l'animal qui l'intéressait le
plus était la cervelle. Il fit ensuite carrière en
torturant des milliers d'animaux, de différents espèces,
leur détruisant une partie du cerveau afin de constater
quelle modification de comportement cette destruction
entraînait.
Monsieur Ledoux est lui même
amputé de naissance du système de l'empathie. Il ne
peut savoir que la vache et les autres animaux, ainsi que tout ce
qui vit, possède un système de l'empathie, et forme
un tout qui est un système global de l'empathie, qui
engloble la matière non-biologique, mais qui est de même
la vie.
Ce qui différencie l'être humain des
autres animaux, est cette capacité à s'amputer du
système de l'empathie.
Ce qui est un problème,
est que ceux qui sont délégués par la
société humaine pour scruter l'esprit, le cerveau,
sont majoritairement des êtres privés du système
de l'empathie, et ce qu'il ne possèdent pas, ils ne
peuvent avoir l'idée même de le chercher.
De
plus, le système de l'empathie n'est pas circonscrit à
un emplacement spécifique du cerveau, mais fait intervenir
la totalité du cerveau. Alors, ce n'est pas en détruisant
une partie du cerveau que l'on peut constater l'existence de ce
sens de l'empathie.
Par contre, le cas de Ledoux et de
celui de ses confrères, les lobotomistes et bourreaux
d'animaux, eux-mêmes lobotomisés, prouve qu'on peut
parvenir à l'amputation du système de l'empathie
sans passer par la chirurgie. Une imprégnation, un
dressage mental, culturel, social, suffit. C'est une bonne
nouvelle pour les appareils politiques policiers de propagande et
de répression. Evidemment, il serait plus simple de savoir
opérer dès la naissance les nouveaux nés,
afin de les priver du système de l'empathie. Cela viendra
sans doute un jour.
Le système de l'empathie est
non pas seulement ce qui permet à un être de
connaître ce que ressent un autre être, mais va bien
au-delà. Il s'agit d'un système cérébral
qui permet la connexion d'un cerveau, d'un esprit à tout
autre individuel, et à celui global qui englobe tous les
êtres vivants et non-vivants, la totalité qui est
dénommée l'univers, cela sans passer par des
liaisons mécaniques, les seuls sens communs, le toucher,
l'ouïe, la vue, l'odorat suffisent, ainsi que certains
autres inconnus de la science occidentale, mais bien utilisés
par les sciences antiques chinoise et indienne, les systèmes
énergétiques, appliqués dans ce qu'on nomme
l'acupuncture et l'ayurveda, et qu'en occident les dissidents
avancés dans le domaine médical, expérimentent
en médecine dite quantique. Tout communique. Un humain
peut se fondre avec n'importe quel autre être, ou ensemble
d'être et d'état.
Face à cette
ouverture, tous les êtres ont développé une
capacité de limitation du système de l'ouverture
dénommé système de l'empathie, ne serait-ce
que pour pouvoir se nourrir, sinon, il ressentirait de la douleur
à absorber sa nourriture qui est toujours un autre
être.
Mais seul l'être humain a la capacité
de s'auto-amputer totalement de son système de
l'empathie.
Le premier appareil politico-psychologique
d'amputation de masse du système de l'empathie a été
l'appareil religieux.
L'illustration suivante,
représentant le « sacrifice », soit
l'exécution d'un autre être, dans ce cas un bélier,
vers environ 2400 avant l'ère occidentale, soit il y a
4400 ans, dans le temple de Mari, est
exemplaire : http://www.aredam.net/education-a-la-psychopathie-sacrifice-d-un-belier-temple-mari-2640-avant-jc.html
L'individu totalement amputé de son système
de l'empathie est dénommé « psychopathe ».
Le psychopathe est la norme d'individu humain auquel tentent de
parvenir les pouvoirs profonds mondiaux actuels, pouvoirs
profonds qui commencent à être dénommés
Etats profonds, qui sont les lieux ou ensembles de pouvoirs
réels, masqués aux yeux des masses serviles par les
appareils politiques, qui sont eux aussi serviles.
Il
existe des laboratoires de recherche en neuro-psychologie
orientés vers le développement de la capacité
à produire en masse des individus psychopathes, amputés
de leur système de l'empathie. Ces laboratoires existent
dans le bloc occidental, en Russie, en Chine, en Israël et
partout ailleurs où la le pouvoir profond acquiert
suffisament de capacité à mettre en place ce type
de laboratoire. Monsieur Joseph Ledoux est l'un de ces chercheurs
en psychopathie, lui-même psychopathe.
Les deux
manifestations historiques les plus évidentes de la mise
en œuvre de l'amputation de masse du système de
l'empathie sont la religion juive, qui conditionne les individus
juifs à se couper des non-juifs, à les considérer
comme inférieurs, et rend moral de les voler et de les
détruire (voir la torah et l'ancien testament chrétien),
et la production actuelle en nombre de tueurs suicides, dits
terroristes islamistes, par le pouvoir profond
américano-sioniste. Secondairement, car moins parfaites,
on trouve l'indouisme avec son système de castes et
d'intouchables, le protestantisme et son dérivé le
capitalisme, qui rend moral la dépossession totale de la
masse des doux et l'accaparement sans limite par les
brutes.
Mais plus largement, la totalité des
régimes politiques et des religions sauf trois, sont des
méthodes de destruction du système de l'empathie.
Ces trois rescapés de l'histoire humaine, sont le taoisme
(mais pas la religion taoiste), le bouddhisme originel (mais pas
la religion bouddhiste et surtout pas celle du Tibet, le
lamaisme), et le courant anarchiste libertaire égalitariste
occidental du 19ème siècle.
Comme le disait
Napoléon 1er, pour que coexistent ceux qui sont
privés du nécessaire et ceux qui ont pléthore
de tout, il faut une religion.
Cela amène à
souligner l'évidence contraire à ce qui est
conventionnellement admis maintenant concernant la psychopathie,
qui serait un état réservé aux dominants.
Cette évidence est la suivante : la masse qui accepte
le pouvoir des psychopathes est elle-même psychopathe. Dans
ce type de système, les non-psychopathes, ceux qui ont un
système de l'empathie préservé, sont les
anormaux, les malades, et doivent être enfermé.
C'est ce que font tous les régimes politiques d'une
manière ou d'une autre, qu'ils soient réputés
totalitaire ou dits « démocratiques »
et « libéraux », soit-disant
respectueux des droits de l'homme.
C'est un peu comme si
les fous avaient pris le pouvoir dans les asiles psychiatriques,
et cela depuis toujours.
Il ne s'agit donc pas pour
l'animal humain de recouvrer la santé mentale, un état
qui n'a jamais existé chez lui, mais de l'acquérir,
et ce travail concerne tous les domaines, et en premier ceux
politique, économique, culturel, sociaux, puis très
secondairement, le domaine médical.
L'occident
(incluant les juifs), se caractérise par l'avancée
dans la destruction du système de l'empathie. Sa seule
contribution dans le développement du système de
l'empathie a été le courant anarchiste libertaire
égalitariste, et cette contribution est
inestimable.
L'orient s'est caractérisé par
ses avancées dans le développement du système
de l'empathie, à travers le bouddhisme (originel
non-religieux), le taoisme (non-religieux). Ses pratiques de
méditation ne sont qu'une méthode d'éveil
totale du système de l'empathie, et n'ont rien de commun
avec ce qu'on nomme méditation en occident.
Les
chamanismes apparus dans toutes les régions de la planète,
des peuples dits primitifs sont aussi des voies d'éveil du
système de l'empathie. Il en est de même pour les
animismes.
A l'inverse, il faut relever que Ledoux cite le
psychologue américain et juif Martin Seligman, chef de
file de la psychologie dite positive mais qui est aussi et
surtout le maître à penser des services spéciaux
américains en matière de torture mentale, dont les
travaux sont appliqués au camp de concentration de
Guantanamo, censé renfermer des terroristes musulmans,
mais en fait qui sert de lieu de conditionnement pour fabriquer
des tueurs suicides.
Il faut aussi rappeler que ceux qui
dirigeaient les travaux des programmes MK Ultra et autres
« Artichok », « blue bird »
des années 1960 à (? maintenant), étaient
juifs, ces programmes de la CIA consistant à mettre au
point des méthodes de conditionnement mental et de
destruction de la personnalité. Un film s'en est inspiré,
« Le candidat mandchou ».
L'éveil
du système de l'empathie mène à l'éveil
de toutes sensibilités, l'ouverture de tous ses sens, dont
à celui crucial pour l'être individuel, du temps, et
de sa propre évanescence.
A contrario,
l'atrophie du système de l'empathie mène à
l'atrophie de la sensibilité au temps, qui se manifeste
par le rejet du vieillissement, et de la disparition
individuelle, dénommée mort, manifestation
illustrée par la couverture du Parisien, l'un des organes
les plus vulgaires et typiques de l'appareil de propagande et de
conditionnement mental de l'Empire américano-sioniste
agonisant :
http://www.aredam.net/catherine-deneuve-73-ans.html
Le Bouddha avait exprimé en une seule phrase le
but unique de son enseignement, celui d'échapper à
la souffrance. Cette souffrance étant due à la
maladie, à la vieillesse, à la mort.
Et la
voie ouverte par le Bouddha est la voie de l'éveil du
système de l'empathie, comme celle du taoïsme
chinois, ce qui est de s'éveiller à l'essence de
l'être qui est une perpétuelle transformation,
passant par la naissance, la maturité et la mort. C'est ne
pas l'accepter qui entraîne la souffrance.
La vie
est similaire à se trouver dans un train qui ne fait aucun
arrêt, et qui finit par se jetter dans un gouffre.
C'est
cette allégorie qui doit servir pour méditer.
Simplement,
on ne peut s'arrêter au milieu du chemin, ou du guet, une
fois que ce chemin est emprunté, celui de l'éveil
du système de l'empathie, il faut aller jusqu'à son
terme, car c'est en avançant sur ce chemin que la
souffrance disparaît. C'est en affrontant les yeux ouverts,
l'état d'être qui est un état de constante
transformation, que la souffrance disparaît, car ce qui
engendre la souffrance est l'inadéquation de l'être
face à l'existence, et sa fuite de la réalité.
Que va devenir cette femme de 73 ans, Catherine Deneuve, qui
présente une apparence de trentenaire, et quel peut bien
être son état mental présent ?
La
psychopathie volontaire, conditionnée, inculquée,
apprise, parmet d'échapper à la réalité,
et aux efforts qu'il faut faire pour dépasser l'état
de souffrance qui existe avec l'éveil du système de
l'empathie. Le psychopathe est la personne qui subit une
auto-ablation de la sensibilité. Ainsi, il ne ressent plus
rien. Mais en contrepartie, un psychopathe n'existe pas, il
fonctionne, du moins durant un certains laps de temps jusqu'à
ce que le réel le rattrape, ou qu'il se heurte au mur du
réel. C'est ce qui est en train d'arriver au régime
américano-sioniste, plus largement à l'humanité,
et plus particulièrement aux juifs.
2 -
Existence du système cérébral de la
conscience.
Autant dire immédiatement l'essentiel
au sujet de la conscience, on ne sait pas ce qu'est la
conscience, et le problème qui se pose aussitôt est
qu'on s'obstine à évoquer quelque chose qui
n'existe peut-être même pas. Peut-être même
que ce qu'on entend par conscience est « dieu »,
et que pour la totalité des humains censés,
« dieu » étant une invention
humaine, la conscience est aussi une invention humaine. Ce sont
les humains qui ont inventé la « conscience »
comme ils ont inventé « dieu ».
Aussi,
dire comme le fait Ledoux que les animaux n'ont pas de conscience
est une absurdité, car nous mêmes ne nous prévalons
que d'une sorte de dispositif purement imaginaire. Peut-être
alors peut-on définir ce qui nous différencie
réellement des autres espèces, mais c'est en notre
défaveur. Les autres espèces ne se prévalent
pas d'une sorte de dispositif purement imaginaire, irréel.
Et
au-delà, le phénomène de l'invention d'un
dispositif imaginaire comme la conscience, et aussi celui de
dieu, met-il en évidence cette capacité peut-être
uniquement propre à l'humain, c'est celle de vivre dans
l'irréalité … et de finir par y croire,
c'est à dire avoir l'illusion de sa réalité.
Ce
qu'on nomme la conscience est une émotion, une sensation
appartenant au même registre que la peur, le désir,
la faim etc...
Cette sensation apparaît avec le
fonctionnement de la vie, et elle disparaît évidemment
avec la mort.
Tout ce qui vit ressent cette émotion
qu'on nomme la conscience, depuis les animaux unicellulaire, les
virus, les bactéries, jusqu'aux formes les plus complexes,
comme les plantes et l'humain.
Cette émotion n'est
pas une illusion, mais par contre, l'imaginer comme une forme
d'existence indépendante du corps, telle l'esprit, l'âme,
qui survit après la mort du corps, est une illusion, et la
prégnance de cette illusion peut acquérir une telle
force qu'elle provoque l'hallucination pour certains, de se
sentir détacher de son corps.
C'est un peu comme si
l'émotion de peur pouvait exister indépendamment de
l'individu en vie, et mener une existence propre après la
mort de l'individu.
Que Ledoux et les autres chercheurs en
neuro-psychologie ne posent pas le problème de la
conscience au même niveau que celui des émotions,
dénote qu'ils sont imprégnés de religiosité,
ce qui se vérifie par la séparation qu'il font de
l'humain d'avec les autres espèces, qui elles ne seraient
pas douées de conscience, comme la religion chrétienne
dénie la conscience chez les animaux, et comme cette
religion déniait même la conscience au moyen-âge
chez les femmes, les femmes étant assimilées aux
animaux. On retrouve cette même discrimination chez les
populations extrêmement imprégnées de
religiosité, comme chez les juifs, pour qui les non-juifs
sont d'une certaine manière dépourvus de conscience
(les arabes selon certains auteurs sionistes sont des animaux à
l'apparence humaine), ou chez les anciens occidentaux coloniaux
racistes vis à vis des « nègres »,
qu'ils considéraient comme des animaux, c'est à
dire dépourvus de conscience, ou chez les anciens nazis,
avec leur système mental de races inférieures,
non-humaines, les allemands étant les humains supérieurs,
soit les seuls dignes du titre d'humain, et donc pourvus d'une
conscience.
On notera immédiatement qu'empathie et
conscience sont intimement liés, car ne pas voir un autre
humain comme humain n'est possible qu'en ayant détruit son
propre système de l'empathie, et que la destruction du
système de l'empathie, et donc aussi celui de la
conscience, sont en relation avec la religion.
3 - La
destruction du système cérébral de
l'empathie.
Le système de l'empathie est un
dispositif permettant la liaison d'une entité individuelle
avec son extérieur, soit une ou d'autres entités
individuelles, soit l'ensemble qu'on nomme l'univers.
Le
système de la conscience est l'émotion résultant
du fonctionnement de l'ensemble des systèmes cérébraux,
dont celui de l'empathie fait partie.
Ces deux définitions
mènent à l'évocation d'un système
cérébral jusqu'alors ignoré, celui du
système de conscience empathique, ce système de
conscience empathique étant l'émotion résultant
du fonctionnement du système empathique chez un individu
en vie, et dont le système empathique se relie à
d'autres systèmes empathiques d'autres individus, ou à
l'ensemble de ce qui existe nommé univers.
La
suite du contenu du sommaire est traitée dans l'article
suivant :
La menace principale au 21ème
siècle pesant sur l'existence de l'être
humain. Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale,
autonome, rédigé à Villequier, province de
l'Empire américano-sioniste agonisant, le 3 avril
2017. http://www.aredam.net/la-menace-principale-au-21-eme-siecle-est-l-extinction-de-l-esprit.html
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