Demandez
le Journal qui n'existe pas, que personne n'écrit et que
personne ne lit. Numéro 3, 1er
février
2017. De Michel Dakar, chercheur en politique globale,
autonome, Villequier ex-France, colonie temporaire de l'Empire
américano-sioniste
agonisant. http://www.aredam.net/le-journal-qui-n-existe-pas-numero-3.html Illustrations :
La prise de Khiva par les russes
: http://www.aredam.net/prise-de-khiva-par-les-russes.html La
carte du Grand jeu
: http://www.aredam.net/carte-du-grand-jeu.html
L'impasse de la fuite de la réalité
: http://www.aredam.net/impasse-de-la-fuite-en-avant-arrivee-au-mur-du-fond.html
La
revue des temps préhistoriques. L'ère de
l'épanouissement du capitalisme totalitaire, ou l'ère
sans lumière. Le but unique de la vie est le profit. Les
non-rentables doivent être éliminés.
Apparition de l'individu « extra-social ».
Sommaire
et synthèse des articles du numéro : Classification
du plus ou moins important.
Article 1 - Le problème
que pose la psychologie est en réalité le problème
de ce que sont en réalité les psychologues. Suite
du précédent article sur John Bowlby et Yvane
Wiart, voir article du numéro 2, janvier 2017. Ou pour que
rien ne change il faut que tout change (Le Guépard,
Guiseppe Tomasi Di Lampedusa, 1958). Vers un yoga mental
d'activation des zones cérébrales dormantes et
d'échappée des circuits en boucle cérébraux
usités, ou vers un traitement énergétique
cérébral inspiré de la conception antique
chinoise médicale du conservatisme. Vers la mise en place
d'un mouvement anti-institutionnel de psychologie
alternative.
Article 2 - La commencement de la dislocation
du bloc tectonique de l'Occident ? Son premier signe visible :
l'élection du président US en janvier 2017,
ex-animateur de spectacles en direct, Donald Trump (réincarnation
de tyran cruel de Khiva du temps du Grand jeu). Assise-t-on à
l'équivalent mais avec succès, du renversement
d'Hitler et du nazisme par certains de ses généraux
à la fin de la seconde guerre mondiale ? (source
http://www.voltairenet.org/article195013.html
Les
États-uniens vont-ils reconquérir leur liberté ?
Trump : le 11-Septembre, ça suffit ! par
Thierry Meyssan. 24 janvier 2017. Certainement pas. Il ne peut
s'agir que d'un simple changement d'équipe décidé
par ceux qui accaparent le pouvoir réel occulte au USA,
l'ancienne équipe (Clinton-Obama-Bush) s'étant
révélée totalement inapte, obsolète,
de plus en plus en décalage avec l'évolution
générale et la réalité, et incapable
de se réformer, et de la nécessité de se
replier pour refaire ses forces avant de repartir à la
conquête de la planète. Les sociétés
occidentales ne sont plus que des sortes de SA (Société
Anonyme), ou d'ensembles de SA dont les nations et Etats sont des
sortes de GIE (Groupement d'Intérêt Economique), à
l'instar du GIE de la carte bancaire créée par les
banques. Ces GIE servent à encadrer le personnel, soit les
fameux « citoyens », surnommés les
votars en France au 19ème siècle, ou les
benêts-oui-oui, actuellement les « Je suis
Charlie », et à assurer la gestion des rares
postes encore généraux (APS : armée (chargée
de former aussi les terroristes), police apparente et secrète
(annexe de l'armée), service social (gestion des rebuts),
l'APS pouvant être privatisé en un GIE unique, cela
viendra). C'est le programme libertarien dont l'homme sandwitch
le tyran de Khiva Trump porte le message. La phase suivante sera
celle de la généralisation planétaire de ce
type de pouvoir. On en voit déjà les prémices
avec le rapprochement Exxon, Rosneft, Qatar, et la fusion Bayer
et Monsanto. On verra des GIE créées de façon
conjointe par des entités russes, chinoises, US,
européennes, indiennes. Pour encadrer la plèbe, on
conservera la recette du nationalisme et du terrorisme
international, un duo imparable (les « terroristes
djihadistes » fournissant les mercenaires les
meilleurs marché de la planète, et surtout, les
seuls auto-sacrifiables et jetables (type drone à usage
unique). Il est très probable qu'une véritable
industrie pérenne du djihadisme va se développer
pour ces qualités uniques de rentabilité, « made
in islam »), accompagné des habituelles
diversions, comme le mondial de foot, le porno et le sexe, la
pseudo-vie devant le mirage des écrans et des illusions de
convivialité, et la gamme sans cesse étendue des
drogues dont en premier et toujours l'irremplaçable
alcool. On peut s'attendre grâce au tyran de Khiva Trump, à
des spectacles en direct de tortures de djihadistes, comme les
romains le faisaient avec les chrétiens.
Article 3
- Le calcul qui peut conduire devant la 17ème du TGI du
Consistoire de Paris : « 24 Jours - La vérité
sur l'affaire Ilan Halimi », grotesque film-navet
d'Alexandre Arcady, 2014 (« assassiné par ce
que juif » donc riche et que les juifs sont réputés
pour leur solidarité réservée à leurs
seuls coreligionnaires). Qui sont-ils ? Ou plutôt que
sont-ils ? A quoi a-t-on affaire ? (une secte-ethnie d'environ 15
millions d'adeptes, sur une population mondiale d'environ 7,2
milliards d'individus, mais qui pèse très lourd (3
sur les 8 plus riches de la planète; les 8 possédant
ensemble autant que la moitié la plus pauvre (3,6
milliards) de l'ensemble des humains : Bill Gates, Amancio
Ortega, Warren Buffett, Carlos Slim, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg,
Larry Ellison et Michael Bloomberg, selon l’ONG britannique
Oxfam. Source :
http://www.lesechos.fr/monde/enjeux-internationaux/0211696169476-huit-milliardaires-detiennent-autant-de-richesses-que-la-moitie-la-plus-pauvre-du-monde-2057425.php
).
Quel est l'objectif caché de ce film ? Réponse par
le calcul : une population qui représente 0,2% de
l'ensemble des humains est représentée à 3/8
(37,5% - environ 200 fois plus) parmi ceux qui possèdent
autant que 3,6 milliards d'individus (certes les plus pauvres)
(Lire
la note en fin d'article).
Qu'en penser ? Et de plus, ces trois là sont aussi
états-uniens. La statistique s'arrête sur les 8
premiers plus riches, il serait intéressant de l'élargir
sur la globalité des 15 millions. D'autre part, on ne peut
exclure que parmi les 8 premiers, il y ait d'autres juifs que les
3 évidents, où que les 5 apparemment non-juifs
soient liés de façon intime à des juifs. La
question unique qui se pose est quelle sera la place d'entités
sectairo-ethniques comme celle des juifs au sein de l'ordre
global des SA et des GIE ? La secte de l'église de
Scientologie s'est elle parfaitement adaptée à
l'univers glacial et aride des SA qu'elle fournit en méthodes
et personnels d'endoctrinement. On doit aussi relever le fait que
pas un commentaire n'est apparu publiquement sur le fait que 3
riches sur les 8 dominant la planète sont juifs. Le vrai
pouvoir est en premier celui capable de rendre aveugle, de fermer
les bouches, de rendre sourd et de pétrifier les mains qui
écrivent.
Note :
Selon le classement Forbes
2017 des 10 premiers plus riches humains de l'espèce, les
9 et 10èmes sont les frères Charles et David Koch,
tous deux juifs, et selon le site
http://www.subvertednation.net/jew-lists/jewish-billionaires/
Warren Buffet serait aussi juif. Cela ferait donc non pas 37,5%
mais 60%, et non pas 200 fois plus, mais 300 fois
plus.
Développement des 3
articles. Revue des temps préhistoriques, 1er
février
2017, numéro 3. Nota : seul le premier article est
développé, la présentation des deux autres
suffit.
Article 1
La psychologie devrait
occuper la place centrale centrale dans la recherche des
connaissances et de la compréhension du monde et des
mécanismes qui le fondent.
En effet, il est de
plus en plus urgent d'avancer dans la résolution du
questionnement de comment en est-on arrivé là, dans
ce cauchemar de plus en plus compact au point que sa densité
tend vers celle infinie d'un trou noir cosmique, de plus en plus
étendu au point que ses limites tendent vers l'infini, et
de plus en plus douloureux que la conscience peine à le
décrire et à l'exprimer par des mots.
Or, la
cause de ce cauchemar réside dans l'esprit humain, car
c'est l'Homme qui crée ce cauchemar, l'entretient,
l'amplifie et le complexifie. Il n'y a pas de causes à ce
cauchemar hors de l'esprit humain.
On serait bien content
que la psychologie et donc que les psychologues, ceux qui
oeuvrent en psychologie, se penchent sur le problème de
fond que pose l'espèce humaine.
Or, on voit bien
que le psychologue est avant tout une personne très
respectueuse de l'ordre, et même plus, un agent de maintien
de cet ordre qui structure ce cauchemar. Le psychologue est avant
tout une entité politique. Son but, et le but de la
psychologie, est de conditionner l'esprit humain à l'ordre
existant, et d'adapter ce conditionnement aux évolutions
sociales, de façon à ce que ce conditionnement
reste opérant dans de nouveaux contextes, et que le même
ordre puisse perdurer.
Auparavant, le rôle du
psychologue était tenu par le prêtre, et l'entretien
privé et intime avec le psychologue (dénommé
aussi psychanalyste et psychiatre) était dénommé
confession.
La police dite secrète, ou police
politique, une autre sorte d'organisation religieuse ou
psychologique oeuvrant dans le domaine plus spécifique de
la guerre sociale interne (la lutte des classes marxiste),
pratiquait et pratique toujours la confession, dénommée
interrogatoire (de durée variable, de 2 jours non-stop à
plusieurs mois, nuits et jours).
La police politique la
plus élaborée était celle de l'ex-RDA
communiste, avec son département de psychologie
opérationnelle, et son secteur spécialisé,
créatif et raffiné de « destruction de
la personnalité ».
La police politique
la plus brutale était celle de l'ex-URSS, avec son réseau
d'hôpitaux psychiatriques, sa fameuse définition de
la « schizophrénie asymptomatique »,
affection typique des insoumis au régime, ses lits
éternels (10, 20 ans voire plus), son tsar des bourreaux
renommé, le docteur Landau, son fameux institut Serbsky,
et ses psychiatres en uniforme du KGB. Le fondateur de la
psychiatrie politique soviétique était un juif,
chef du KGB, Andropov.
La plus récente des polices
politiques est celle américano-israélienne et sa
production de djihadistes, à Guantanamo et dans son réseau
mondial de prisons secrètes, appliquant la torture quasi
éternelle jusqu'à l'apparition du syndrome de
Stockholm, transformant les suppliciés en fanatiques
obéissants.
On peut voir la psychanalyse comme un
mode d'enfermement volontaire et ambulatoire à destination
des membres aisés de la classe moyenne, et Freud comme un
théoricien d'une méthode de police politique de
contention des éléments posant un problème à
l'ordre familial (la famille étant la cellule de base de
l'ordre social). La rhétorique essentielle de Freud,
classique en guerre de propagande et en politique est celle de
l'inversion des rôles de bourreaux et de victimes, le
parent devenant la victime, et l'enfant devenant l'agresseur
(résumé du fond du complexe d'Oedipe qui est le
socle de l'idéologie freudienne).
A propos de
Freud, qui était petit fils de Rabbin, il faut oser
l'incorrection hautement pénalement condamnable de
constater la prédominance des juifs en psychanalyse, en
psychologie, et dans les procédures de tortures
interminables américano-israélienne, la religion,
la culture juive étant vraisemblablement l'une des plus
totalitaires, carcérales, répressives, cruelles et
implacables au monde, et en premier et surtout envers les juifs
eux-mêmes. Le constat de cette prédominance des
juifs dans ce domaine relève du crime par la pensée
d'Orwell, ou constitue l'un des rares symptômes de la
schizophrénie asymptomatique d'Andropov.
On
trouve dorénavant des psychologues partout.
A ce
sujet, il est bon de visiter internet le site de L'Institut de
psychologie de l'Université Paris-Descartes, situé
à Boulogne-Billancourt, où œuvre parmi
d'autres, Yvane Wiart. On trouve en exergue sur le site,
http://www.psychologie.parisdescartes.fr/
,
outre l'affirmation de la défense du freudisme (idéologie
qui a besoin d'être défendue, car quasiment
mondialement abandonnée sauf en France et en Argentine,
pays où se trouve une importante communauté juive),
l'annonce d'un sujet de recherche portant sur les menaces pesant
sur la société, s'agissant sans doute de la menace
de la campagne actuelle d'attentats terroristes, ces attentats
étant organisés par nos pouvoirs publics eux-mêmes,
comme on peut lire entre autres ouvrages, le livre de la
psychologue Sylvie Tenenbaum « Apprendre à
vivre avec les attentats » - Comprendre et surmonter
le stress post-traumatique, Albin Michel 2016, livre qui donne
quelques bonnes adresses pour aider les victimes, mais hélas,
sans doute par un malheureux oubli, non-pas celles des
commanditaires ou collaborateurs ou complices des attentats,
comme la DGSE et la DGSI, et de leurs donneurs d'ordres, tels les
ambassades US, israélienne, d'Arabie Saoudite et du Qatar
à Paris (on ne cite pas celle de Turquie qui joue un rôle
central, car Erdogan a rejoint - pour le moment - le camp d'en
face). Psychologue partout, vérité nulle part. On
peut considérer une administration comme celle de
l'Institut de psychologie comme faisant partie de l'ensemble
constitué par les divers organes de la police secrète
en France, et comme partie prenante dans l'organisation des
attentats, et les psychologues comme des membres de cette police
secrète employés à la gestion des attentats.
Quant à espérer trouver à l'Institut de
psychologie, un pôle de recherche portant sur l'analyse de
la psychologie des concepteurs et organisateurs des attentats …
Et je ne parle pas des malheureux lampistes dont on voit la
photographie partout et dont le cerveau a été lavé
par des collègues de bureau ces fameux spécialistes
en psychologie. Et pourquoi pas un pôle de recherche sur la
psychologie des psychologues collaborateurs à
l'organisation des attentats ? Comme Sylvie Tenenbaum par
exemple ? Et la psychologie des psychologues qui font
semblant de ne rien voir et de ne rien comprendre ? Octave
Mirbeau qualifiait ce type humain d'existence larvaire ...
Le
cas John Bowlby.
John Bowlby a osé affaiblir le
noyau de base de la structure sociale qu'est la famille, en osant
formuler et documenter en résumé ce qu'il a
constaté dans sa propre famille, que l'amour parental est
conditionné, c'est à dire qu'il est donné à
condition que l'enfant respecte l'ordre, soit soumis. Cet ordre
social étant par essence inégalitaire, pyramidal,
avec à son sommet une poignée d'individus qui
exploite la masse, le courant de soumission doit diffuser dans
toutes les strates de la société, du plus haut au
plus bas, la soumission étant ce qui est attendu de
l'enfant en contrepartie de l'amour, de la protection, qui lui
est donné par les parents. Bien sûr, Bowlby n'a pas
été jusque là. Il s'est même arrêté
bien avant, et n'a jamais été aussi loin que le
courant politique contestataire libertaire qui a éclos à
la même époque, l'antipsychiatrie.
Bowlby n'a
fait qu'exposer que les dysfonctionnements psychologiques sociaux
sont dus aux conséquences d'une relation familiale
non-fondée sur l'amour, car l'amour ne peut être
conditionné, en effet, l'amour donné sous condition
n'est pas de l'amour mais la simulation de l'amour, c'est un
mensonge. Non-amour et mensonge sont donc les deux piliers qui
permettent de conditionner un enfant à la soumission et
l'adapter à un ordre social hiérarchique,
inégalitaire.
Bowlby en documentant ces
dysfonctionnements n'a fait en réalité que chercher
à rendre ce processus de conditionnement plus efficient,
en lui ôtant ses conséquences erratiques,
imprévisibles, mal-controlées, non-souhaitables
pour l'ordre social.
Bolwby a mis ainsi en évidence,
sans l'avoir voulu, que le but réel de la psychologie
n'est pas de guérir d'un mal-être, mais de gommer
toute manifestation de mal-être pouvant déstabiliser
un ordre social inégalitaire, entraîner le
désordre.
Bowlby a mis aussi en évidence,
toujours sans l'avoir voulu, que la psychologie est strictement
politique, et qu'il n'y a pas de thérapie individuelle
possible, mais que toute thérapie est par essence
collective, et politique, que c'est l'ordre social inégalitaire
qui engendre le mal-être individuel.
En conséquence,
on peut aller jusqu'à considérer que la maladie
mentale est indispensable à l'ordre social inégalitaire,
car grâce aux psychologues la maladie mentale enferme
l'individu dans une problématique individuelle et non-pas
politique, et détourne les forces de révolte de
l'individu d'un but collectif qui serait seul salvateur, vers son
monde intime, privé, à l'écart de la
globalité politique, et sans aucune influence sur le
devenir social.
Bowlby était un conservateur, comme
Freud, comme l'Institut de psychologie, des conservateurs de
l'ordre inégalitaire en l'état.
La seconde
remarque pénalement incorrecte redevable d'une zakat
torahienne devant la 17ème chambre du Consistoire spécial
du boulevard du Palais à Paris, est qu'il ne faut pas
s'étonner de rencontrer beaucoup de juifs dans le domaine
psychologique, car eux-mêmes sont conditionnés
spécifiquement à considérer l'ordre
inégalitaire comme naturel, puisque l'inégalité
est la fondation unique de la culture juive, de l'état de
juif (le peuple élu par « dieu »
entre tous les autres … « Tes fils seront les
princes de la terre »). Pour qui est conditionné
dès le biberon à se considérer comme
supérieur à autrui, il est naturel aussi de
défendre l'inégalité, et de réprimer
ce qui tend à mettre en péril l'inégalité.
Si il n'y a plus l'inégalité, il n'y a plus de
juifs et de judaïsme.
Il est intéressant de
constater que personne n'a encore fait la liste, l'analyse et
identifié les liens unissant les cultures, religions,
peuples, et personnages revendiquant d'être « maître
du monde ». Ce qui me vient rapidement à
l'esprit chronologiquement concerne en premier le zoroastrisme
(-700) issu du mazdéisme perse (-1000), qui a enfanté
le judaïsme vers (-600), puis les mongols (1200), puis le
puritanisme incarné par les USA (vers 1600), puritanisme
associé au sionisme (vers 1900), purito-sionisme (courant
20ème siècle) qui est actuellement encore vivant et
moribon. Il est à noter que le sionisme est à la
fois issu du judaïsme soit du zoroastrisme perse, et de la
culture de l'ancien royaume kazhar (environ 600 à 900)
dont sont issus les juifs européens, cet ancien royaume
étant d'ethnie turco-mongole. Pour finir, on doit
constater que le puritanisme n'est qu'une copie européenne
et protestante du judaïsme, les premiers puritains émigrés
sur le territoire des amérindiens refusant même de
disposer des croix dans leurs temples.
L'idéologie
mongole était simple et peut être résumée
en la revendication à la suprématie universelle de
tribus en guerres perpétuelles les unes avec les autres.
Il ne s'agit même pas d'une système de
justification, mais de la conséquence logique du constat
de l'état d'excellence guerrière réelle
auquel était parvenu le peuple mongol, état égalé
par aucun autre peuple à l'époque de la grande
invasion de Gengis Khan. Mais le zoroastrisme est infiniment plus
riche et a sans doute assemblé en une doctrine unique un
ensemble d'éléments idéologiques dont chacun
a fait l'objet d'une longue élaboration originale et
complexe, et les a unis en une totalité cohérente
et fonctionnelle, qui visiblement n'a pas encore pu être
dépassée comme culture de conditionnement à
la guerre intra-humaine pour conquérir la suprématie
sur toute l'espèce. Il n'existe comme équivalent,
mais sans son extension à toute l'espèce humaine,
que le védantisme et ses castes, qui ne concerne que les
adeptes de l'hindouisme.
Le zoroastrisme qui a été
sans doute la maladie psychique humaine la plus fatale, est
toujours vivant et actif via la population dénommée
juive, qui n'est pas plus que son vecteur, et les puritains US,
et ce n'est pas fortuit que les deux se trouvent présentement
associés.
Toutefois, une nouvelle logique de
conditionnement psychique à la guerre sociale et à
la recherche de la suprématie absolue émerge et est
en train de supplanter le néo-zoroastrisme qu'est le
puritano-sionisme. Il s'agit du capitalisme totalitaire, dans sa
forme épurée à l'extrême, mystique,
représenté par Donald Trump l'animateur de
spectacles en direct destinés à édifier la
masse, où l'être humain n'existe que par le profit
qu'il peut dégager, c'est à dire par sa capacité
à arracher à autrui sa force vitale, force vitale
dont l'étalon est l'unité monétaire
abstraite, le monde humain du capitaliste n'étant qu'une
mélée où chacun n'échange que des
coups de dents, et où la seule association possible
consiste à s'unir temporairement pour dévorer les
isolés ou les associations moins puissantes.
Voilà
le monde nouveau qui est en train de supplanter celui de l'ancien
zoroastrisme devenu obsolète, monde nouveau qui a déjà
été expérimenté dans les laboratoires
des multinationales, et qui est en passe de devenir le modèle
universel culturel.
Dans ce monde, l'idée même
d'égalité réelle, égalité
réelle qui est l'unique forme viable d'organisation
humaine sociale, c'est à dire que chacun jouisse
strictement de la même partie de biens et de pouvoirs qu'un
autre, et que toute décision qui engage la collectivité
soit prise en des assemblées sans chefs ni délégués,
sans centralisation, ce qui est le modèle anarchiste, va
totalement disparaître. Les bébés vont être
dressés dès la naissance à mordre leurs
mères, les mères dressées à dévorer
leurs bébés, chaque baiser sera une morsure, chaque
poignée de main sera une tentative réciproque pour
arracher des doigts à l'autre. Vous pensez que je
plaisante. Attendez pour rire de voir.
Au fond, on peut
affirmer que le capitalisme absolu qui vient n'est qu'un
zoroastrisme désincarné, sans son fond ethnique, ni
de classe, a-historique, a-culturel. C'est la quintessence des
idéologies de domination intégrale. Il a fallu
environ trois millénaires pour parvenir à cette
synthèse squelettique de la doctrine de la dévoration
universelle.
Un monde humain de cette sorte ne sera
supportable que par des machines insensibles, c'est pourquoi
l'être humain est en train de se transformer en robot, et
est en passe d'être remplacé massivement par des
robots.
Quelle voie pour la psychologie ?
Tout
d'abord, la psychologie doit être retirée de
l'emprise de ces sous-flics politiques que sont les psychologues,
c'est à dire que la réelle recherche en psychologie
doit s'affranchir de tous les organes institutionnels encadrant
la psychologie, comme il existe déjà en médecine
une médecine alternative, qui s'écarte de plus en
plus de la médecine officielle, et qui traite de la
globalité de l'être humain, l'inscrivant dans la
totalité, l'univers. Principalement, il s'agit des voies
dites « énergétiques »,
chinoise, mais aussi occidentale, telle la chromatothérapie,
la médecine par les ondes, surtout développée
par les russes, et les médecines dites quantiques.
La
psychologie alternative, ou holiste, ne peut qu'être
subversive, comme le taoisme chinois à l'origine l'était,
avant de devenir une religion parmi les autres, soutenant le
pouvoir.
Plus globalement, toutes les sciences, et
particulièrement, celles dites de l'Homme, doivent
s'affranchir du pouvoir.
Quant à la psychologie
alternative, éloignée à des années
lumières de la psychologie d'un Bowlby, d'une Wiart, de
l'Institut de psychologie de Boulogne-Billancourt, on peut en
attendre ce qui manquait aux mouvement politiques libérateurs,
tels ceux anarchiste et communiste, la prise en compte et le
traitement de la réintégration de la mentalité
révolutionnaire dans les circuits de pensée
anciens, comme cela a été le cas pour le mouvement
communiste et anarchiste, dont les expérimentations dans
le réel ont toutes échouées, minées
de l'intérieur à cause des mentalités des
participants, incapables de se libérer de leurs anciens
déterminismes, de recherche de pouvoir et
d'appropriation.
On ne peut pas espérer parvenir à
un système social épanouissant pour chacun, c'est à
dire sans pouvoir et sans l'inégalité, et en
harmonie avec l'ensemble de ce qui existe, sans comprendre la
mécanique mentale qui rend si difficile l'évolution
des habitudes de penser et d'agir.
C'est l'unique tâche
de la psychologie alternative, et elle est cruciale, car seule
capable d'aider à changer l'ordre social actuel, absurde,
grotesque et fatal pour notre espèce, pour un ordre social
enfin viable et heureux.
Une première réponse
vitale à l'épanouissement du capitalisme
totalitaire : l'individu extra-social.
Le capitalisme
totalitaire dépasse en perfection et en absolutisme toutes
les logiques de domination que l'histoire humaine a vu
apparaître. On peut dire que c'est l'aboutissement de la
guerre intraspéciste humaine, le fond de l'impasse, le mur
final auquel est parvenu l'espèce. Il n'y a pas d'après
le capitalisme totalitaire, comme il ne peut y avoir plus fort
que l'alcool à 100 degrés.
Face à
cette ultime nécrose de la vie, la vie a fait naître
un type nouveau d'individu, l'individu extra-social.
Ce
dernier n'est ni un intégré, ni asocial. Il a la
capacité d'exister au sein de la société
capitaliste totalitaire, tout en conservant son intégrité.
C'est
à cet individu que doit s'adresser la recherche en
psychologie alternative, dont le but est de faciliter la
libération de l'individu des chaînes des
déterminations de recherche de pouvoir et d'appropriation.
C'est ce type d'individu qui a la capacité de libérer
la société du capitalisme
totalitaire.
Bibliographie :
Soleil
capitaliste, d'Isabelle Pivert, 2006, Editions du Sextant.
Entretients au cœur des multinationales.
Le Grand
jeu. Officiers et espions en Asie centrale. Peter Hopkirk, 1990.
Editions Nevicata 2013.
Illustrations : La prise
de Khiva par les russes
: http://www.aredam.net/prise-de-khiva-par-les-russes.html La
carte du Grand jeu
: http://www.aredam.net/carte-du-grand-jeu.html
L'impasse de la fuite de la réalité
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