Article tiré du site internet http://www.europalestine.orgCi-après un article du site europalestine.org, où il est question de la juge Laurence Trébucq, de la 11 ème chambre de la Cour d'appel de Paris, spécialisée dans la répression idéologique, avec la 17 ème chambre du Tribunal de grande instance de Paris, présidée par le juge Nicolas Bonnal. Ces deux juges sont des coupeurs de cerveaux, des lobotomiseurs.En ce qui concerne la juge Trébucq, je me souviens l'avoir vu à une audience, où s'expliquait un responsable breton, d'une association de défense de l'environnement, qui était poursuivi à la demande de "Véritas", pour diffamation, relativement à la pollution du pétrolier Erika, qui a saccagé des centaines de kilomètres de côtes bretonnes. Cet ancien marin breton disait que la société Véritas avait fourni un certificat de "complaisance", pour l'Erika, sans même envoyer un expert juger de visu de l'aptitude à naviguer de ce pétrolier, et que c'était une pratique courante, et que le mot complaisance était d'usage courant. Il avait répété une demi dizaine de fois interviewé par plusieurs radios, l'accusation de certification de complaisance contre Véritas (vérité en latin ! La vérité si je ments ... ). J'observais la juge Trébucq, et était stupéfait de constater qu'elle n'en n'avait rien à foutre, et cela se voyait clairement sur son visage, de la marée noire, du désastre animalier et végétal, du marin breton qui n'en pouvait plus de se battre contre les marées noires à répétition, et contre les pétroliers vétustes et en ruine, contre les pavillons de complaisance, contre les super profits des capitalistes maritimes, contre l'exploitation des marins mals ou même non payés du tiers-monde, et contre les sociétés comme "Véritas", chargées d'établir des certificats de navigabilité, sans même aller voir l'état du bateau, et qui ne mettait qu'un coup de tampon et une signature sur un document qu'une société intermédiaire leur présentait. Tout ce que guettait la juge Trébucq, c'était le moyen de coincer ce breton, qui avait l'outrecuidance, en plus de se moquer d'elle à froid (avec son jeu de mots sur les certificats de complaisance, les pavillons de complaisance, les sociétés de certification de complaisance, et tout ce petit monde complaisamment pourri du profit marin), de défier le bureau international "Véritas", et d'en parler en mal, de façon répétée à des milliers d'auditeurs. Il fallait le châtier, et elle ne cherchait que la justification pour y parvenir. Cette affaire était passée avant par la cassation pour revenir en appel (évaluation basse du circuit total en frais d'avocat, environ 30 000 euros). Le marin breton avait été comdamné une première fois par cette même chambre à environ 3 000 euros d'amende. La juge Trébucq diminua la note à son second tour, à environ 1000 euros. Je ne suis pas sûr de ces chiffres. Par cette diminution, elle se donnait bonne conscience, tout en préservant le puissant bureau "Véritas", ce qui est le but essentiel de sa fonction, soit préserver l'ordre des puissants, tout en donnant au peuple l'apparence de la justice. Les mafieux criminels contre la vie, du pétrole et du transport maritime, elle était à leurs services, tout en ayant pour souci premier de le dissimuler aux yeux de tous. NOUVELLE RELAXE POUR DIEUDONNE, MAIS UNE MAGISTRATE ET LA PRESSE CONTINUENT DE S'ACHARNER CONTRE LUILa Cour d'Appel de Paris a confirmé mercredi le jugement de première instance acquittant Dieudonné dans l'affaire du sketch de France 3 stigmatisant un colon religieux israélien, mais cela n'a pas empêché une magistrate -et plusieurs médias qui rendaient compte du jugement mercredi soir- de continuer à poursuivre l'humoriste de leur vindicte. On se souvient que la diffusion du désormais fameux sketch, en décembre 2003, avait donné le signal d'une virulente campagne de lynchage de Dieudonné, lancée par le lobby sharonien, et qui trouvait dans l'instant un puissant relais au niveau médiatique et gouvernemental, le Premier ministre Raffarin encourageant même poursuites et annulations de spectacles. Des agressions physiques étaient parallèlement commises, dont les auteurs, qui attaquaient aux cris de « Dieudo, négro, les Juifs auront ta peau », n'ont jamais été inquiétés, eux. Rapidement, une plainte était déposée, accusant Dieudonné d'avoir incité à la haine raciale, et elle était instruite avec célérité. Mais lors du procès en première instance, en avril 2004, Dieudonné et les témoins qu'il avait cités (parmi lesquels des membres de CAPJPO)démontraient l'absurdité complète de l'accusation d'antisémitisme attachée au sketch. Dieudonné était alors relaxé le 27 mai 2004, au motif qu'il ne fallait pas confondre critique de la politique israélienne et diffamation raciale. Mais aussitôt, le parquet, sur instructions gouvernementales, faisait appel. Mercredi, la 11ème Chambre de la Cour d'Appel, n'ayant pas plus d'éléments à charge qu'en première instance, a donc confirmé la relaxe. Mais la Présidente de la Chambre, immédiatement après avoir énoncé la décision, s'est autorisée, en plein tribunal, à attaquer personnellement Dieudonné, dans les termes suivants : "Ce n'est pas parce que la justice ne vous sanctionne pas sur une prévention précise que cela veut dire que vous avez raison dans ce que vous dites", a lancé la présidente, une nommée Laurence Trebucq. Faut-il rappeler à cette dame que les magistrats ne sont pas payés par le contribuable pour livrer leurs opinions politiques, mais pour rendre la justice ? En outre, la magistrate a eu le culot de dire à Dieudonné : « Nous avons malheureusement trop l'habitude de vous voir dans ces prétoires." Comme si les déboires judiciaires de Dieudonné n'étaient pas dus à l'acharnement judiciaire -infructueux à ce jour- du lobby pro-israélien. Sans surprise, les médias qui rendaient compte du jugement, mercredi soir sur internet, ont réservé une place importante aux digressions de Mme Trebucq, histoire d'amoindrir la portée de la relaxe dont venait de bénéficier Dieudonné. Rappelons enfin que notre association, CAPJPO - Europalestine a décidé il y a déjà quelque temps de prendre ses distances avec Dieudonné, suite à des propos à notre avis détestables tenus par l'humoriste et certains de ses amis, propos qui n'avaient plus grand-chose à voir avec la condamnation de la politique du gouvernement israélien. Nous restons toutefois indignés par la mauvaise foi, la malhonnêteté de tous ceux qui n'ont cessé de s'acharner sur Dieudonné, de tenter de briser sa carrière d'humoriste, de le priver de public, pour le punir d'avoir osé dénoncer l'occupation israélienne et ses chiens de garde en France. |