Michel DAKAR
Paris, le 11 février 2007
LRAR n° 73 553 037 9 FR
Quatre feuillets, à joindre à mon dossier pénal
Cour d’appel de Versailles,
M. le Procureur général Jean-Amédée LATHOUD,
5, rue Carnot – R.P. 1113 – 78011 Versailles Cedex
Objet : demande d’accès physique
à mon dossier pénal réel.
Monsieur,
Vous m’avez autorisé par un écrit que vous m’avez
fait adresser par la poste, écrit portant votre signature, daté
du 23 janvier 2007, à accéder physiquement à mon
dossier pénal, et par ce même envoi postal, vous m’avez
adressé une copie supposée être complète, de
mon dossier pénal (voir votre liste des documents jointe à
cet envoi).
Par visite de moi-même faite le 8 février 2007, au service
de l’ « audiencement correctionnel » de la Cour d’appel
de Versailles, et en consultant physiquement mon dossier pénal
- supposé complet à cette place, j’ai constaté,
d’une part la « réapparition » de la plainte
du ministre de la justice, plainte disparue du dossier, mais surtout,
j’ai constaté qu’une pièce écrite signée
de M. Michel SHONN, avocat général près votre Cour
d’appel, s’y trouvait, pièce que malgrè votre
engagement signé du 23 janvier 2007, de me transmettre tous les
éléments de mon dossier, vous avez volontairement omis de
me communiquer.
Il est clair, suite à ma visite à
l’audiencement correctionnel de la Cour d’appel de Versailles,
qu’il existe dans cette juridiction un système de double
dossier, l’un étant accessible au prévenu, l’autre
comprenant les éléments réellement signifiants, permettant
une défense efficiente du prévenu, dossier pénal
essentiel que je dénomme : dossier réel.
Je vous demande donc mon accès physique au dossier réel
pénal me concernant, et la copie de l’intégralité
des pièces se trouvant dans ce dossier réel.
Votre système de double dossier porte atteinte à mon droit
à la défense (article 6 de la Convention européenne
de sauvegarde des libertés fondamentales).
Dans ce cas présent, le fond de cette affaire porte sur la qualification
fallacieuse d’injure, alors qu’il s’agit de diffamation.
La qualification fallacieuse d’injure est soutenue par le Parquet
et le juge de première instance Philippe DAVID - de concert - dans
le but d’écarter des débats le fond de cette affaire,
qui est une atteinte directe et gravissime au principe premier de la Constitution
française, principe de liberté, dont de celle d’association
et d’expression, soit la liberté politique.
Cette atteinte a été le fait d’un membre du Parquet
de Paris, Mme Sylvie KACHANER.
Cette atteinte du cœur de la Constitution par Mme KACHANER, sur ordre
supérieur, naturellement, signe notre entrée en dictature,
et a été réalisée dans le but de masquer un
génocide en cours, celui des Palestiniens par les sionistes, il
s’agit donc d’un acte de complicité de génocide.
La qualification de diffamation aurait contraint l’appareil judiciaire
à aborder le fond de l’affaire, soit la destruction de la
Constitution, de la liberté d’association, d’expression,
soit de toute liberté politique, et de complicité de génocide.
Cette qualification de diffamation se trouve portée
sur le document gardé secret, celui que vous avez omis volontairement
de me communiquer, signé de M. Michel SHONN, votre subalterne avocat
général, document de plus daté du lendemain du rendu
du jugement en première instance du juge Philippe DAVID, jugement
me condamnant pour injure seule.
La manœuvre de vos services consistant à me cacher l’existence
de cette pièce involontairement révélatrice et involontairement
contradictoire, dévoile votre volonté d’entrave à
mon droit à la défense, et votre détermination à
poursuivre dans la voie ouverte par Mme KACHANER, soit d’attenter
au principe premier de la Constitution française, de complicité
dans la réalisation d’un génocide en cours, et pour
finir, votre parti pris, le camp que vous servez, camp qui est celui de
l’instauration de la dictature, de la destruction de notre démocratie.
Dans l’attente de votre copie de l’intégralité
de mon dossier réel, et de votre autorisation écrite de
mon accès physique à ce dossier réel, je vous prie
de recevoir, Monsieur, l’expression de mes salutations distinguées.
M. DAKAR
Pièces jointes : 2 feuillets
1 – Fac similé manuscrit réalisé
par moi-même le 8 février 2007, à l’audiencement
correctionnel de la Cour d’appel de Versailles, du document portant
la signature de M. Michel SHONN, inscrivant la poursuite à mon
encontre comme relevant du chef de diffamation et d’injure.
2 – Constat réalisé le 8 février
2007, à l’audiencement correctionnel de la Cour d’appel
de Versailles, de la réapparition de la plainte du ministre de
la justice, portant les chefs d’incrimination de diffamation et
d’injure.
Nota :
Lettre diffusée par voie postale et d’e-mails.
Lettre publiée sur le site aredam.net, au fichier :
http:// www.aredam.net/lathoud-shonn-dictature-sionisme-versailles.html
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