Nice : Territoire/Laboratoire totalitaire Crifo/Sarkozien…
A Nice, tout y est toujours pire qu’ailleurs en matière de répression à l’égard de tout opposant au système totalitaire… Un système entre les mains d’un Procureur en place depuis huit ans à Nice qui dirige et organise d’une main de fer, toute répression contre les opposants pour tenter de les faire taire… Sa venue a fait taire toute rumeur de pédophilie et de suspicion franc-maçonne affairiste touchant certains milieux… On l’a dit opposé à la Franc-maçonnerie des affaires, mais entretient d’excellentes relations avec la Franc-maçonnerie idéologique pro-sioniste du Grand-Orient de France… et est de tous les dîners du Crif régional… Il est aux ordres des polices de la pensée qui en France émettent des lettres de cachet… Il est à l’origine des conditions de mon interpellation le 1er octobre 2001, par des policiers de Nice, et de ma mise en garde à vue 48 heures, pour un commentaire antisioniste et anti-américain… Une « interpellation » exécutée en violation du droit, des droits et des droits de l’homme et 48 heures de « garde à vue » durant lesquelles, je subirai humiliations, tabassages, tortures et prises de photos anthropométriques et d’empreintes digitales, sur demande du procureur de la République de Nice, Eric de Montgolfier, comme me l’ont affirmé les zélés policiers de la cité des Moulins, dont le chef a été promu capitaine par Sarkozy en 2003, lors de son passage à Nice, où il a assisté au Dîner du Crif, auquel était présent le procureur… Un procureur qui m’a fait inculper pour « rébellion » pour « justifier » mon interpellation et qui a classé « sans suite » ma plainte contre les policiers tortionnaires… C’est aussi sur la base des réquisitions prises par ce procureur que ma plainte avec constitution de partie civile, déposée par la suite, qu’une ordonnance de non-lieu (confirmée en appel) a été prise par le juge Dorcet (considéré par une enquête de l’Inspection judiciaire, comme un proche du procureur Eric de Montgolfier), sur la base d’un « faux en écritures publiques » (Imputation d’une fausse date à un certificat médical authentique constatant les traces de tortures subies, pour l’écarter du dossier !)… C’est aussi à l’instigation de ce procureur que j’ai été de nouvelles fois, en juin 2003 et en septembre 2004, interpellé et mis en garde à vue sous deux prétextes : en juin 2003, pour « outrage à la justice » et « dénonciation calomnieuse » (Je réclamais… « justice » devant le Palais de Justice armé d’une chaise et de pancartes… Puis, en septembre 2004, pour « outrages envers la police et les magistrats » pour avoir apposé des autocollants en ville comportant une photo de mes traces de tortures (une partie) avec la mention générale des auteurs des faits… Je n’ai plus de nouvelles de ces accusations/pressions depuis… Pressions sans effet sur moi d’ailleurs… Plusieurs autres affaires graves de violences policières qui se sont déroulées à Nice ont été classées sans suite, malgré des témoignages et des certificats médicaux ! A Nice, depuis l’arrivée de de Montgolfier, on ne poursuit, semble-t-il, pas les policiers auteurs de violences… seulement les victimes… et on organise l’impunité des policiers avec la complicité des « droits de l’homme »… comme l’a aussi démontré « l’affaire Touhami Ben Salem » (Cet ex-Imam avait été tabassé en ville par des policiers en mai 2002, sous prétexte qu’il était mal garé et qu’il se serai « rebellé » : un classique policier et judiciaire… Beaucoup de victimes, hélas, ne vont pas jusqu’au bout de leurs procédures… Tout le monde n’a pas la détermination d’un Daniel Milan et on peut le regretter… Le 27/10/06, et c’est l’objet déterminant de la rédaction de cette article, alors que je me rendais au Palais de Justice, pour voir où en était ma plainte pour « faux en écritures publiques » commis par des magistrats de Nice ou d’Aix-en-Provence (qui est toujours « sur le bureau » du juge Guéry) j’ai eu le plaisir de voir qu’un collectif « Justice pour Tous » était en train de s’installer devant le Palais de Justice, pour y dénoncer les dysfonctionnements. J’y ai reconnu Nadia Aouassi, la responsable de l’association locale « La Même Justice pour Tous » que j’ai salué… Ce collectif avait reçu l’autorisation de la préfecture pour s’installer devant le Palais de Justice… Le 27/10/06, vers 22 heures, Nadia Aouassi m’a téléphoné pour m’informer qu’elle avait été mise en garde à vue de 13 heures à 20 heures, ainsi que la responsable du « Collectif Justice pour Tous » de la région parisienne, sur ordre du procureur de la République de Nice et que telle une grande criminelle, elle avait dû subir les prises de photos anthropométriques, d’empreintes digitales et de son ADN ! (Je pensais que la prise de cette dernière était réservée aux criminels sexuels !!)… Comme vous le voyez, A NICE TOUT EST POSSIBLE
avec le procureur de la République de Nice, représentant
de l’Etat CRIFIEN/SARKOZIEN… Un procureur de la République, très médiatique, qui n’a de cesse de se présenter partout comme un homme bon et juste, défenseur de la veuve et de l’orphelin et de nous dire combien la justice est juste malgré ses imperfections…
Daniel Milan Contact :0621543225
MERCI DE REPRODUIRE CET ARTICLE
POUR FAIRE SAVOIR CE QUI SE PASSE A NICE !
|