La page blanche, la caractéristique déniée et occultée de l'espèce humaine.
Texte de Michel Dakar, chercheur en politique globale, autonome, Villequier ex-France, province coloniale en cours de dépeçage de l'Empire ex-mondial israélo-US, nécrogène, en voie de dislocation rapide, le 25 août 2019.

http://www.aredam.net/la-page-blanche.html




Deux êtres grenouilles amis, Villequier, Seine-Maritime, été 2019




La page blanche, la caractéristique déniée et occultée de l'espèce humaine.

Sommaire du texte :
1 - Introduction.
2 - La page blanche.
3 - La vision de la réalité délivrée de l'obscurcissement causé par le conditionnement omniprésent.
4 - Cause possible de l'encagement individuel normatif actuel, déduit par extrapolation de l'état des société dites primitives.
5 - Annonce des prochains textes en rapport avec le vécu, soit des éléments de mémoires.
6 - Réécrire la page blanche.



1 - Introduction.

Parmi les humains qui ont compté pour moi, ceux qui m'ont éduqué, il y a l'anarchiste Jean-Jacques Rondeau qui habitait Longjumeau en Essonne, où il tenait un magasin de photographe.
Pendant des années, voire des dizaines d'années, il a animé deux émissions à Radio libertaire (89.4), une des dernières radios
libres sur la région parisienne, et l'une des premières à avoir été créées, l'une le dimanche matin, « Ni dieu ni maître », à laquelle j'ai participé environ une année, et l'autre, le lundi, « Les Partageux de la commune ». Son père était un militant anarchiste qui figurait dans le recueil des personnalités anarchistes dénommé Maitron. Radio libertaire était déjà à l'époque, c'est à dire dans les années 1990 à 2000, noyauté par les sionistes, dont ceux dénommés maintenant « antifa », et depuis longtemps par la police politique, mais elle restait encore unique et porteuse d'un message authentique, des personnalités rares y participaient, depuis, cette radio dite libre et anarchiste s'est transmutée en une coquille remplie soit de sionistes, soit de flics des diverses polices politiques, soit d'opportunistes qui font la retape pour leurs petits personnages insignifiants et carriéristes, soit d'inconscients illuminés dont il est impensable qu'ils parviennent un jour à la lucidité. L'honorable juif Thierry Meyssan participait à cette radio. Ce dernier rendrait un service à l'humanité en écrivant et publiant le récit sincère de sa vie, si cela lui est possible et s'il est toujours parmi les vivants.

C'est à l'émission Ni dieu ni maître que j'ai entendu pour la première fois évoquer le révisionnisme historique, soit ce mouvement de recherche historique désireux de vérifier objectivement et scientifiquement la réalité de l'existence passée des chambres à gaz nazies, la réaction à ce désir de vérification scientifique ayant été la promulgation des lois interdisant d'y aller voir, proscrivant cette recherche en
réprimant les chercheurs par de fortes amendes et de la prison, loi de censure maquillée en loi honorable combattant l'apologie du crime de génocide et donc combattant les génocides. En France, ce type de loi est connue comme loi Gayssot, du nom d'un politicien professionnel juif communiste stalinien. On peut considérer que le début de la dégénérescence de l'Occident commence avec la promulgation des lois du type Gayssot, ces lois ayant pour effet d'appauvrir jusqu'à l'extinction, le flux vital existentiel de la société occidentale. Nous commençons à en payer le prix avec notre défaite devenant impossible à masquer, devant les russes, les chinois et les iraniens, défaite annonciatrice de la disparition de l'Occident, entraînant dans sa chute les juifs promoteurs des lois interdisant la recherche sur le réel. Il est évident que les chinois ont un sérieux compte à régler avec l'Occident, car avoir presque réussi à empoisonner de force par l'opium toute la population d'un empire vieux de plus de deux millénaires, porteur d'une très haute civilisation et d'une très profonde philosophie, cela revient à avoir tenté de le détruire de fond en comble (lire de Jacques Reclus (petit-neveu d'Elysée Reclus, géographe, anarchiste et formateur d'Alexandra David-Neel, exploratrice du Tibet, bouddhiste et écrivain), La Révolte des Taiping 1851 - 1864, Editions l'Insomniaque, 2008. Nota 1 : ne surtout pas passer l'avant-propos de Hsi Hsuan-Wou qui est un exploit de propagande d'inspiration de l'OTAN et grossièrement anti-chinoise. Nota 2 : cela en dit long sur l'obédience de la maison d'édition l'Insomniaque et plus largement, sur les organisations politico-associatives dont le siège est à Montreuil).

Pour information, à une question posée lors de l'émission du dimanche matin, par la femme de Jean-Jacques qui participait à l'émission, demandant à connaître ce qu'était le révisionnisme dont le nom était
évoqué de façon fortuite, Jean-Jacques avait répondu que c'était un sujet qu'il ne fallait pas aborder, et s'était tenu fermement à cette réponse. A partir de cet instant, j'ai considéré que le révisionnisme, que je ne connaissais pas, était un sujet d'une importance vitale, essentielle, car c'était l'unique sujet dont il fut interdit de parler à cette émission qui était fondée sur une absolue liberté de débattre et combattait l'idée de censure (Jean-Jacques citait régulièrement Voltaire, en substance, je ne pense pas comme vous mais je me battrai pour que vous puissiez exprimer vos idées). Cela me prouvait que le révisionnisme et donc le sujet des chambres à gaz était crucial, et que si il était interdit même d'évoquer son existence, c'est qu'il recelait la vérité, et pour moi, la vérité est sans prix.

C'est de cette censure concernant le révisionnisme, et donc de la censure de la vérité,
qu'est en train de mourir l'Occident et ceux qui sont les créateurs de cette censure. La censure de la vérité est l'arme qui détruira Israël et la domination juive sur l'Occident. Une société humaine, animale, végétale et autres, ne peut exister sans la vérité, car la vérité est la racine reliée à l'Univers auquel s'abreuve l'être. C'est la leçon à tirer des lois visant à détruire les chercheurs de vérité. La seconde leçon est que les tueurs de vérité, ceux qui coupent cette racine, succombent à leurs menées destructrices.



2 - La Page blanche.

Un second enseignement apporté par Jean-Jacques, fut que l'humain est
une page blanche sur laquelle rien n'est écrit et qu'il rempli comme il le veut.

Il suffit pour s'en convaincre, de voir l'infinie diversité des sociétés humaines, depuis les plus destructrices, féroces, sinistres et tristes, comme ce qu'a produit le Proche-Orient avec ses religions dites du « livre », jusqu'aux sociétés amérindiennes qui en sont à l'exact opposé, et bien sûr détruites par les européens fuyant leur propre enfer sur terre, l'esprit conditionné par les mots du « livre », ou bien les sociétés africaines dont les pages de leur propre livre exaltent la beauté et l'harmonie, dont on peut revivre le souvenir grâce aux documentaires inestimables de Jean Rouch, et bien sûr détruites par ces mêmes européens l'esprit empoisonné par les émanations de l'encre de leurs
fameux livres transcrivant la voix de « dieu ».



3 - La vision de la réalité délivrée de l'obscurcissement causé par le conditionnement omniprésent.

Qu'elle est la vision du réel qu'aurait un humain si il se libérait du nuage de fumée formé par son conditionnement mensonger, qui lui masque la réalité ?

Il ouvrirait les yeux sur un mur de barreaux de fer, l'entourant totalement, et recouvrant le sol et le ciel. Il se verrait en cage, suspendu dans les airs, totalement coupé du monde, et isolé des autres humains, un peu comme ces fameuses cages que le roi français Louis le 11ème était réputé utiliser
pour enfermer à vie les ennemis qu'il haïssait.

Il verrait aussi que du plus haut de la pyramide sociale, à son sommet même, les soit-disant dominants sont enfermés dans les mêmes cages que celles des habitants de la base de la pyramide.

Sur la page écrite actuelle de l'humanité, l'état de vie de l'individu humain est celui d'enfermé dans une cage individuelle, dont il ne voit pas les barreaux, dont il n'a même pas la conscience. Il se croit libre.

On peut pour imager, considérer que la société humaine globale est une prison totalitaire, occupant l'intégralité de l'Univers, cette prison étant constituée de cages individuelles. L'humain actuel se croit en couple, en famille, avec
des amis, alors que ses liens avec l'extérieur sont totalement coupés. Il est dans un état d'isolement parfait.

Il peut toujours fuir au plus loin dans le cosmos, il sera toujours dans sa cage, seul, coupé du cosmos même. Le monde lui est inaccessible comme pour le malheureux héros de la légende grecque, Tantale, qui ne pouvait atteindre la nourriture alors qu'il mourrait de faim.

L'unique différence entre individus dans ce type de société est la taille de sa cellule, taille qui se définit en unité monétaire, allant de la cellule à zéro dollar ou euro, à celle d'une centaine de milliards de dollars, comme pour le dénommé Koch qui vient de débarasser le plancher des vaches pour le bonheur de tous (l'un des frères Koch de K.K.R.), sa cellule à une centaine de milliards de dollars lui donnant sans doute l'illusion de la liberté.



4 - Cause possible de l'encagement individuel normatif actuel, déduit par extrapolation de l'état des sociétés dites primitives.

La simple observation des sociétés dites primitives fait ressortir la cause de l'enfermement individuel de l'humain normal actuel. Il suffit de lire les témoignages et de visionner les rares films restants tournés sur les sociétés dites primitives pour constater que ces sociétés sont égalitaires et authentiquement démocratiques,
solidaires, les individus les constituant étant à la fois uniques, autonomes et reliés entre eux pour former une entité sociale définissable comme un être en tant que tel, et que la cause de la rupture de l'individu actuel d'avec l'extérieur, de son isolement, est la structure hiérarchisée, inégalitaire de son système social.

Il faut aussi constater que cette structure inégalitaire, hiérarchisée est en train d'atteindre son apogée, qu'elle tend au paroxysme, et que l'état de l'individu normé devient celui de l'isolation absolue.

La prise de conscience de cet isolation absolue, quelle que soit le niveau hiérarchique de l'individu, est contrecarré par l'illusion d'ouvertures et de liaisons apportée par les simulacres de
liaisons des « réseaux sociaux » et la propagande incessante qu'ils distillent.

L'énergie sociale utilisée pour obturer la conscience de l'individu de sa totale isolation devient à la mesure du paroxysme de cette isolation, elle-même paroxystique.

Cette énergie sociale de lutte contre la prise de conscience de la réalité est alimentée par les drogues qui sont destinées à toutes devenir licites à terme, et même recommandées, l'alcool, l'une des pires, étant destinée à ne devenir que l'une d'entre elles, prenant place dans les rayonnages parmi les dérivés du cannabidiol, de la morphine, de la cocaïne, des dérivés de divers champignons et insectes,
et des produits de pure synthèse issus des multiples laboratoires de l'industrie pharmaceutique.

Le sexe, les jeux vidéos et les univers artificiels dénommés « réalité virtuelle », voire « réalité augmentée »
d'une pauvreté affligeante, les simulacre d'échanges, de rencontres, de liens affectifs avec des machines pseudo sensibles, des systèmes mécaniques de fonctions réflexes programmées dénommés « intelligence artificielle », sans vie, sont de même appelés à devenir le quotidien de chaque instant de l'humain normé qui doit à chaque seconde fuir la réalité de sa cage dans laquelle il est enfermé de sa naissance à sa mort et qu'il ne peut quitter même une seule infime fraction de seconde durant toute sa vie.



5 - Annonce des prochains textes en rapport avec le vécu, soit des éléments de mémoires.

Ces éléments de mémoires seront thématiques.
Voici une listes non-exhaustive de quelques thèmes à venir :
Les individus qui m'ont marqué.
Les juifs que j'ai côtoyés.
Les gens de droit que j'ai côtoyés.
Les politiciens que j'ai croisés.
Et autres thèmes à venir …



6 - Réécrire la page blanche.

Le seul but de ce genre de communication est la réécriture de la page blanche.

Cela ne peut être réalisé seul, car le temps des prophètes et autre magiciens inspirés par la soit disant parole divine est révolu, l'expérience ayant quand même clairement exposé qu'on n'avait affaire qu'à des tarés, des psychopathes, des escrocs et des enfumeurs, suivis par la foule des dressés dès le berceau à la soumission, à la croyance et à la naïveté.

C'est l'humain qui remplit sa page blanche, et l'humain est une communauté de vie et non une entité individuelle. Ecrire le livre de la vie est un acte de maturité, de responsabilité et de collectivité, car c'est une écriture collective.