La nature et la
pensée, deuxième suite, Grégory
Bateson. Texte de Michel Dakar, chercheur en politique
globale, autonome, Villequier ex-France, le 17 octobre 2016,
appartenant à la série des textes
sapientiaux. http://www.aredam.net/la-nature-et-la-pensee-suite-2-gregory-bateson.html
La
nature et la pensée, deuxième suite, Grégory
Bateson.
La science de la physique dite
fondamentale occidentale actuelle définit
une série de types de forces ou interactions, la force
gravitationnelle, la force électromagnétique, la
force forte (cohésion des noyaux atomiques, protons
neutrons), la force faible (radioactivité), et imagine
d'autres types à découvrir (celle se manifestant
par l'existence de la masse par les « bosons »,
et autres).
Ces types de forces ou interactions,
car elles se fondent toutes sur le principe de l'échange
d'une entité dite « corpuscule »,
entre deux entités séparées
(séparées en apparence, selon
les moyens limités de nos sens), cet échange
se manifestant par une force, par exemple la gravitation qui est
la force qui lie un humain à la Terre est l'effet de
l'échange de corpuscules ou entités du type
gravitationnels, entre ce qui constitue la Terre et
l'humain particulier), sont apparues avec la
« naissance » de l'Univers (le Big
Bang dans la théorie physique occidentale actuelle, il y a
environ 13 milliards d'années), alors qu'avant cette
naissance, l'« Existant »
était un point infiniment réduit,
jusqu'à l'inexistance (toujours selon les
capacités conceptuelles de la pensée occidentale),
et que ces forces étaient confondues en une,
et l'Univers constitué d'une Unité inexprimable par
les moyens conceptuels occidentaux (dont
il faudra bien un jour se
décider à s'affranchir), vis
à vis duquel nos concepts de masse, d'énergie, de
temps, de lieu, de séparation et d'unité, d'échange
ne peuvent s'appliquer, car
totalement inadéquats, déplacés et
étrangers, et surtout totalement inadéquat
du fait même que les concepts d'Existant et d'Inexistant
sont inopérants, de même que ceux d'Univers
et de Néant, de Naissance et de Mort, de Début et
de Fin. C'est en une géniale contraction ce
qu'exprime Shakespeare dans Hamlet « Etre
ou ne pas être telle est la question).
Hors,
il y a en notre possession, un concept qui lui est adéquat,
une force ou interaction qui est définie et que connaît
l'humanité depuis sa naissance, et que
connaissent les êtres soit-disant inférieurs aux
humains que sont les animaux, les insectes, les plantes et tout
ce qui vit et existe.
Ce concept permet de se
confronter à tout ce qui vient d'être lu.
Ce
concept est celui de l'interaction amoureuse.
C'est ce
concept sous-jacent, inexprimé mais présent,
qui fonde toute l'oeuvre de Gregory Bateson, et dont ce
texte est une suite.
Plus anciennement, on
trouve sous-jacent et inexprimé ce concept dans les
courants d'idées taoistes et bouddhistes.
Ainsi,
chacun peut constater que ce qui unit un humain à des
animaux, dont ceux dits « domestiques »,
est l'amour, mais au-delà, l'humain est capable de se
relier à toutes les apparences de l'Etant, par l'amour,
que cela soit un animal, un lieu, un sol, un soit-disant objet
que les occidentaux considèrent comme inanimés dans
leur pensée atrophiée, les plantes, etc... Comme
les animaux sont de façon manifeste capable de se lier à
un humain.
Ce qui est visible, aussi, est que
l'humain devient incapable de se lier à l'humain par le
lien d'amour, et cela principalement dans l'espace occidental,
dont le fondement culturel est le judéo-christiano-islamisme.
L'humain occidental est en train de devenir
un hors-Etant.
Par opposition, la
pensée occidentale, modelée par le judaïsme et
ses prolongements, les christianisme et islam, a construit un
« Univers mental » qui dénie
l'existence de cette force fondamentale, qui fonde toutes les
autres, et qui est avant la soit-disante naissance
de l'Univers lors du Big Bang, celle qui fonde l'Etant.
C'est
le déni de l'existence de cette force (tout en
dissimulant ce déni - Exercices
inspirés des Mémoires de Lacenaire
: placer côte à côte l'amour
évangélique du juif Jésus dit le
Christ et la Saint-Bartélémy par exemple, ou
encore le partage obligatoire de la zakhat du Coran et
la richesse infinie des rois
arabes du gaz et du pétrole, du
Maroc, du sultan de Brunei) qui permet la
domination et la destruction de l'Etant, et qui a permis à
l'Occident de parvenir à une position hégémonique
planétaire, et qui est la cause de la destruction
actuelle progressive de tout ce qui vit sur la planète.
Pourquoi
Bateson, qui est un génie intuitif, a-t-il intitulé
l'oeuvre majeure qu'il a laissée, et qui est quasi
incompréhensible, « La Nature et la pensée »
?
Ou encore, l'Univers et la pensée, ou,
l'Etant et la pensée.
Et pourquoi, nos ardents
physiciens occidentaux, n'ont-ils pas encore cherché à
définir la particule fondamentale de l'Etant, comme ils
tentent de le faire avec la Masse et le boson qui en serait
l'entité d'échange ? La science
physique occidentale ne serait-elle pas qu'un
des appareils de désinformation
politico-culturel, de l'appareil général de guerre
occidental pour l'hégémonie sur la planète.
La
« pensée » serait-elle un
concept similaire au concept de ces particules d'échanges
qui se manifestent par ces forces que sont la gravitation,
l'électromagnétisme, les forces faible et forte, et
la masse ? La pensée serait-elle cette entité qui
fonde l'Etant ?
Et en partant de ce qu'on peut
constater en tant que lien qui réunit n'importe quelle
forme d'existence, cela pour un humain (ce qu'il peut constater
en tant que forme très limitée d'existence), qui
est le lien d'amour, on pourrait en déduire que la pensée
et le lien d'amour ne formerait qu'une même entité.
Qu'il
n'y a pas de pensée si il n'y a pas d'amour,
qu'il n'y a pas d'Etant si il n'y a pas de lien d'amour, et que
donc, le monde occidental, judéo-christiano-islamiste est
un néant, un non-Etant, et voué à
l'anéantissement.
Prendre
connaissance des précédents textes
sapientiaux : http://www.aredam.net/sommaire-textes-sapientiaux.html
Illustration : Le monde
occidental actuel, suivant la sensibilité
diffusée par les ouvrages d'Alfred Grosser,
spécialiste du nazisme (Hitler et la naissance
d'une dictature Editions Kiosque 1959, 10 leçons sur le
nazisme Editions Fayard 1976), n'est qu'un prolongement du
totalitarisme nazi, en infiniment plus sophistiqué et
maquillé. Extrait du livre 10 leçons
sur le nazisme, page 125 Editions complexes 1984 :
« Et ce qui fut tenté une fois, quelqu'un,
demain, peut tenter de le refaire avec des moyens encore plus
perfectionnés ». Le prix Nobel de
littérature décerné en 2016 au chanteur
américano-juif Bob Dylan (Robert Zimmerman) en est
l'illustration éloquente. Nous sommes dans un régime
totalitaire du type nazi camouflé en régime
humaniste. On peut ainsi dénommer ce
régime « humano-néo-nazisme ». Scan
de la page 31 du 14 octobre 2016 de Le Parisien,
organe de propagande américano-sioniste en France,
consacrée au prix Nobel de littérature 2016 décerné
à Robert
Zimmerman. http://www.aredam.net/robert-zimmerman-regime-totalitaire-humano-neo-nazi-occidental.html
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