La naissance et la vieillesse en
Occident siono-capitaliste. Texte de Michel Dakar, chercheur
en politique globale, autonome, Villequier ex-France, province
coloniale de l'Empire israélo-US en voie de désagrégation
rapide, le 4 mars
2019.
http://www.aredam.net/la-naissance-et-la-vieillesse-en-occident-siono-capitaliste.html
1 – La naissance en Occident
siono-capitaliste, ou la grève des ventres.
La
signification de la baisse continue du nombre de mariage n'a pour
seule explication que le dégoût des couples de faire
des enfants, car pourquoi se marier si ce n'est pour faire des
enfants. Donc, pas de désir de faire des enfants pas de
mariage.
Ne pas désirer faire des enfants n'a pour
seule explication que le dégoût de mettre des
enfants dans le monde tel qu'il se présente, et cela avec
l'intuition que ce monde ne peut évoluer que vers un état
encore pire que celui présent.
C'est au moins
cette intuition que l'appareil omniprésent de
conditionnement psychique du régime occidental
siono-capitaliste n'a pas réussi à extirper. C'est
en soi une bonne nouvelle, que les assises profondes de la nature
psychique de l'individu en Occident siono-capitaliste n'aient pas
encore été endommagées par les organes de
destruction mentaux du régime.
Voilà pour la
naissance.
2 – La vieillesse en Occident
siono-capitaliste, ou l'hésitation entre le choix de
l'euthanasie de masse et de l'exploitation ultime de
l'individu.
Pour le moment le régime
siono-capitaliste occidental hésite entre deux traitements
en ce qui concerne les vieux, du moins ceux qui n'appartiennent
pas au micro groupe social qui constituent les vrais maîtres
du régime, qui doivent se compter en un dixième de
pour cent du total de la population (environ 0,1%).
Le
calcul est encore en cours pour savoir si les vieux de la masse
coûtent plus qu'ils ne rapportent. La masse des vieux
n'appartenant pas à la micro société des
maîtres est divisée en deux catégories. 10 %
vont dans les maisons de retraite, qui accueillent ceux qui
peuvent débourser entre 2000 au minimum et 6000 € par
mois, voire plus, et 90 % qui restent seuls chez eux, et
dont on ne parle absolument pas dans les organes de
désinformation de masse du régime, dénommés
médias. En effet, comment oser imaginer leur sort, à
un âge où il devient difficile de se mouvoir, de
faire son ménage et autres, les femmes vivant plus
longtemps que les hommes et connaissant une totale solitude en
fin de vie. Quant aux vieux qui accèdent au « nirvana »
des maisons de retraite, pour la plupart détenues par des
groupes de tailles européens, côtés en bourse
et dégageant de solides profits à leurs principaux
actionnaires, les pages des organes de désinformation du
régime ne se lassent pas de décrire les cas de
maltraitance en tous genres, sans doute pour persuader les 90 %
qui restent seuls à mourir chez eux, que leur sort est
enviable au fond. Ce système de maltraitance structurel,
car il ne résulte que de la nécessité
capitaliste de réduire le plus possible les coûts
pour obtenir les profits les plus importants, ne peut évidemment
être amendé. Aussi, la solution trouvée est
d'afficher des chartes de « bientraitance »,
et des déclarations d' « humanitude »,
qui ne coûtent que le prix du papier imprimé. Que la
maison de retraite soit municipale, appartienne à un
groupe associatif à but non-lucratif (cas de l'ADEF
dernièrement avec son aide soignant déchaîné
« ferme ta gueule vieille salope »), ou à
des groupes privés, la pratique est la même. On
place dans les halls en vitrine les vieux présentables,
cela rassure les visiteurs, et on laisse croupir dans les étages
fermés à clés les grabataires, en prenant
soin de traiter correctement les vieux dont les enfants
s'occupent encore. Quant à ceux qui sont sous la tutelle
d'un tuteur professionnel, ils ont de plus toutes les chances de
voir leur patrimoine réduit à néant en un
minimum de temps, d'autant plus rapidement qu'il est conséquent
(les millions peuvent s'évaporer en quelques mois).
Le
fait qui s'oppose à une fin de vie choisie librement, que
chacun pourrait obtenir à son libre choix, sans aucune
condition d'âge ni d'aucune autre sorte, et sans que
qu'aucune autorité ne puisse s'y opposer ou exiger une
justification, est donc le profit qui se fait sur le dos du
vieux, cela jusqu'à son dernier souffle.
Seuls les
vieux appartenant à la masse mais au regard des autres de
la même masse, aisés, et qui ont assez d'esprit
d'indépendance et d'initiative (ils sont bien rares), vont
se tourner vers les associations offrant une fin d'existence sans
souffrance, sans angoisse ni solitude, et surtout aussi sans
ratage, comme Exit ou Dignitas en Suisse (environ 10 000 €
le suicide assisté). Il faut relever qu'en France aucune
association de ce type n'existe, et qu'il faut aller en Suisse,
en Belgique ou aux Pays-Bas pour les trouver. Cela est sans doute
dû au caractère catholique de la France, son
appareil religieux ayant toujours prospéré sur
l'exploitation de la maladie, de la souffrance, de la misère
et du malheur. L'association française pour le droit de
mourir dans la dignité ADMD est très loin de
proposer ce que proposent les associations à l'étranger.
C'est donc un acte révolutionnaire
anti-capitaliste de prôner le libre suicide et l'accès
aux médicaments qui permettent une mort presque dans la
joie et la plénitude.
C'est dans cet esprit que
j'ai placé sur ce site le livre en Pdf, Suicide mode
d'emploi, quoique complètement
dépassé. http://www.aredam.net/suicide-mode-d-emploi-1982.pdf
Voir aussi la page Wikipedia sur le
Suicide bag (à l'hélium), ou Exit bag.
Un
dernier point est à prendre en compte, celui de
l'augmentation extraordinaire de nombre de vieux atteints des
multiples formes de démences précoces, et de plus
en plus précoces, puisqu'on trouve maintenant des cas de
plus en plus jeunes d'Alzheimer (40 ans), dus à
l'empoisonnement multiforme de l'environnement.
Mais il
est très clair que dès que le traitement des vieux
deviendra plus onéreux que profitable, il sera mis à
disposition de qui le voudra les moyens de mettre fin à
ses jours, et même plus, on vous poussera à le
faire.
Et pour assurer le renouvellement de son cheptel
d'esclaves, le micro groupe du pouvoir occidental
siono-capitaliste importe en masse de la chair fraîche des
régions de la planète qu'ils ont dévastées,
empoisonnées, pillées, rendues parfois
définitivement inhabitables, et dont ils ont
disloqué la société.
Et ils
prévoient de détruire très prochainement une
autre zone de la planète, en commençant par le
Venezuela.
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