La femelle silencieuse
taoïste.
Qu’est-ce que dieu et quel est le
rapport entre dieu
et l’individu ?
Texte en réponse au
commentaire paru sur le site https://strategika51.org/
le
25 mars 2020
:
« Un
passant dit :
25/03/2020
à 1909
Un excès d’idéal et
d’obstination sur certains détails de l’existence
pourrait à la limite mener à l’asile de fous
voire au suicide. Je comprends et soutiens votre combat mais il
faut absolument relativiser pour ne pas vous faire de mal à
vous-même.
Et où avez-vous (vu) que l’égalité
existait en ce bas monde et même n’importe où
dans l’univers ? Activiste de quelque chose qui n’existe
pas et n’existera jamais ?
Les billets que j’ai
préféré de vous ce sont ceux qui parlaient
du tao. Celui-ci est tout spécialement mon préféré
:
https://lecirqueautourducirque.wordpress.com/2019/05/24/ne-rien-vouloir-ne-rien-faire-ne-pas-etre/
Bien
à vous. »
de
Michel Dakar, le 29 mars 2020.
http://www.aredam.net/la-femelle-silencieuse.html
Annexe :
Le TFR 20 Tréponème
Féroce Récalcitrant 2020 Fort Detrick Maryland
USA.
http://www.aredam.net/tfr-20-fort-detrick-USA-maryland.pdf
Le
Château de Dracula
2020 :
https://www.alamy.com/search.html?CreativeOn=1&adv=1&ag=0&all=1&creative=&et=0x000000000000000000000&vp=0&loc=0&qt=fort%20detrick%20maryland&qn=&lic=6&lic=1&imgt=0&archive=1&dtfr=&dtto=&hc=&selectdate=&size=0xFF&aqt=&epqt=&oqt=&nqt=>ype=0
Proposition
de film :
Frankenstein 90 d’Alain Jessua, 1985.
Ronce,
qui a aimablement prêtée son concours pour illustrer
ce texte
(la femelle silencieuse est l’une des
appellations de la totalité originelle, de l’informé,
de l’indifférencié, une des autres
appellations est la vallée, soit un creux, un espace
non-occupé, le vide créateur, on trouve dans la
peinture chinoise ancienne ce rappel dans chaque œuvre, qui
sont structurés par les espaces vides).
Il
existe deux sortes de « grandes religions »,
les religions déistes et non-déistes.
1
-
Les
religions déistes imaginent une entité supérieure
créatrice des créatures, c’est le cas des
religions dites du livre (torah, bible et coran), ces livres
étant d’une manière ou d’une autre la
parole transcrite de l’entité supérieure. Le
rapport entre l’individu humain et l’entité
supérieure est la soumission et l’imploration, la
prière. Il s’agit d’entrer dans les bonnes
grâces de l’entité supérieure, en lui
démontrant sa soumission par la position à genoux,
les mains jointes, et la prière, ou encore à quatre
pattes et presque à plat ventre comme pour les musulmans,
et de suivre les règles édictées dans les
livres dits sacrés. En retour le bon soumis est assuré
d’être admis dans le domaine de l’entité
(paradis), où il jouit de la vie éternelle, mais
après la mort. Un individu moyennement intelligent et
possédant un bon sens moyen ne peut que s’interroger
sur le fait que cette « combine » ait
fonctionné durant des milliers d’années et
qu’elle continue de le faire, et en plus avec une
redoutable efficacité, certains des soumis bravant même
la mort et les supplices pour leur place au paradis, lieux dont
personne n’est jamais revenu, sauf sous la forme des
mouches qui pondent leurs œufs devenant asticots puis
mouches sur les cadavres, et autres faunes variées et
pittoresques se régalant des charognes. Les mouches ont
l’air heureuses d’exister, ce qui pourrait valider la
réalité du paradis. Toutefois en ce qui concerne la
vie éternelle il est facile de constater qu’elles ne
sont pas immortelles car on retrouve leurs cadavres. Ce qui
caractérise les religions déistes est aussi
l’incohérence entre le texte reproduisant la parole
divine, pour les juifs les lumières et guides de
l’humanité vers un état général
de plénitude, pour les chrétiens l’amour
inconditionné universel, et pour les musulmans la
communauté universelle des humains réalisant un
état stable et heureux, et la réalité
sociale et politique des peuples régis par ces dites
religions, qui est elle en totale opposition, comme le pôle
nord l’est pour le pôle sud. Il faut aussi remarquer
que les élites de ces religions pratiquent en sourdine le
slogan « faites ce que je dis mais ne faites pas ce
que je fais », et il est vérifiable que pour
eux, et eux seuls, le paradis existe, il est durant leur vie et
sur Terre, leur vie est éternelle d’un certain point
de vue, en effet, chaque instant pour eux est un instant de
jouissance qui vaut l’éternité. En substance,
il s’agit de trois systèmes (au fond un seul)
idéologico-psycho-politiques tendant à rendre
durable un ordre inégalitaire par essence instable, et ce
qu’on désigne comme paradis est l’exercice du
pouvoir absolu. En conclusion, ce type de montage sémantique
résout la question existentielle, la vie des plus
agressifs est remplie par une lutte de chaque instant, et pour
les autres plus paisibles, par une perpétuelle attente du
bonheur, par l’espérance. Pas un instant n’est
laissé vacant dans les deux cas pour penser, et ne pas
penser permet d’échapper au questionnement
existentiel. Il ne faut sans doute pas chercher plus loin la
raison du succès de ce type d’élucubration
psycho-politique qui pourrait se caractériser par le
mouvement perpétuel, ou plus précisément, la
fuite perpétuelle de la réalité. On pourrait
l’imager par un personnage qui court poursuivi par sa
propre image dans le miroir, image qu’il fuit, car refuser
de voir le monde est refuser de se voir, de se connaître,
soi-même et le monde. Un dernier point commun à ces
trois religions qui renforce la conclusion qui précède,
est qu’il est impossible d’avoir un échange
rationnel avec leurs adeptes, la notion de diable étant
probablement un concept recouvrant celui d’intelligence et
de clairvoyance, de réalité. D’où en
conséquence l’importance centrale, axiale, polaire,
du mensonge, de l’inversion des valeurs, des rôles,
de la perversion, du faux-semblant, de l’imposture dans ces
cultures. Ces religions n’ont jamais hésité à
torturer et à brûler vif les réfractaires. Ce
n’est pas un hasard si l’état actuel de la
planète est causé par ce système
psycho-politique, qui arrive actuellement à son
aboutissement.
2
-
Les
religions non-déistes a l’origine ne se définissent
pas comme religion.
Il s’agit principalement du
taoïsme et du bouddhisme. Les religions qui en ont découlé
sont sans intérêt. Ce qui suis ne traite que de leur
pensée originelle.
Il ne s’agit pas de
religion mais d’une recherche existentielle radicale.
La
démarche est de type scientifique, empirique, fondé
sur l’observation, intérieure et extérieure.
Il
n’est pas question de dieu et de vie après la mort
car cela n’a pas de signification de considérer ce
qui ne peut être observé et expérimenté.
Le
problème posé est celui de l’existence, et
même pas du sens de l’existence, de but et
autres.
Il n’y a pas constitution de système,
de dogme, de vérité absolue, définitive,
intangible, dite révélée.
Tout
part de l’observation et de l’expérimentation,
de la logique. L’individualité y est centrale. Le
point de vue du chercheur est le point d’origine de
tout.
Le même type de pensée est apparue
en Occident mais avec 2200 ans de retard (le siècle des
Lumières, l’Encyclopédie), mais sans pouvoir
remettre en cause le déisme, la religion chrétienne.
Ceux qui s’y sont frottés ont été
brûlé (voir le Chevalier de la Barre).
Il
est aussi difficile de parler du taoïsme et du bouddhisme
que de parler de l’existentialité.
Ce qui
a été accompli il y a 2500 par le Bouddha et Lao
Tseu n’est qu’un pas qui doit être suivi
d’autres, il ne s’agit que d’une étape
dépassée mais qu’il est indispensable de
prendre en compte.
Il est inévitable que les
propos de chercheurs en existentialité différent
les uns des autres, étant donné que les points de
vue sur la réalité sont différent selon
qu’ils soient issus d’un tel ou d’un autre
chercheur. Ils se complètent, et leur ensemble peut faire
espérer approcher de la réalité.
Une
similitude existe entre l’Occident et son siècle des
Lumières et l’Orient de 2500 ans avant le présent,
c’est que de même que les Lumières n’ont
pu s’opposer au déisme, au pouvoir de la religion
chrétienne, les anciens taoïstes et bouddhistes
originels n’ont pu faire la jonction, la synthèse
entre la démarche existentielle qui est la leur et la
politique, car taoïsme et bouddhisme conduisent en politique
à révolutionner l’ordre politique
inégalitaire en un ordre égalitaire. Ce pas a été
accompli en Occident par la mouvance anarchiste libertaire à
la fin du 19ème siècle en Occident, mais sans
prendre en compte la recherche existentielle entamée par
les anciens orientaux.
Il s’agit maintenant de
rassembler les morceaux de ce puzzle planétaire et
intergénérationnel.
La mouvance
anarchiste est le fruit tardif des Lumières, qui a pu
mûrir seulement trois siècles plus tard en raison de
la perte de puissance de l’appareil religieux chrétien,
Une autre pièce du puzzle est qu’en ce
qui concerne la production orientale, le corps et l’esprit
ne sont pas dissociés comme en Occident, ce qui
concrètement fait agglomérer à cette
recherche les disciplines orientales portant sur l’énergie
(concept qui est totalement étranger à celui de
l’énergie pour les Occidentaux), et de tout ce qui
s’y rattache, la médecine par l’acupuncture,
les méridiens, la méditation (on verra cela plus
loin, la méditation n’étant qu’une
pratique de l’énergie, et l’énergie
pouvant être considérée comme le tao, le
vide, la totalité).
Ce qu’on nomme
maladroitement énergie apparaît depuis sans doute
des temps immémoriaux partout dans le monde et donc en
Occident, dans le pratiques des magnétiseurs, des
radiesthésistes, des ostéopathes et autres, dans
d’autres contextes, les praticiens holistiques dénommés
chamans. Cette culture est encore très vivace en Afrique
noire. La dite religion chrétienne en Occident a éradiqué
par le feu les chamans, dénommés sorciers et
sorcières, mais pas tout à fait au vu du nombre
d’actifs dans les campagnes françaises.
3
-
Ce
qui suit est très difficile à exprimer et à
transmettre, c’est ce qui fait que les anciens « maîtres »,
« guides », « gourous »,
du moins ceux qui sont intègres (il y en a), ne peuvent
que donner des conseils sur les activités possibles à
accomplir, de façon à prendre conscience par
soi-même de l’inexprimable. Pourtant il faut bien
exprimer et transmettre.
Le
peuple des plantes (les arbres)
Le
peuple des plantes (poireaux)
Les
vrai taoïstes et bouddhistes, c’est à dire ceux
du début (uniquement, et les suivants qui ne se dénomment
ni bouddhistes ni taoïste, les sans-dénomination,
sans attache, sans système, sans organisation et sans
dogme), ne se sont posés qu’un unique problème,
soi et la totalité.
Par je ne sais quelle
manière, ils sont arrivés à la conclusion
que la totalité précède le soi et que le soi
est issu de la totalité, mais de façon en apparence
paradoxale, et impossible à exprimer en partant du point
de vue d’un soi, lequel pose des limites à la
compréhension, la totalité est le soi, le soi est
la totalité.
La fracture entre soi et totalité
est illusoire, par contre elle est effective par la limitation
des capacités d’intelligence et d’appréhension
de la totalité, et par l’aspect catastrophique que
prennent les choses dans une société humaine, une
espèce entièrement forcluse dans le soi, et coupé
artificiellement de la totalité (ce qui est une autre
illusion, car il est impossible d’être coupé
de la totalité ), ce qui est le cas de l’actuelle
évolution de l’espèce.
Il y a un
ouvrage d’Alexandra David Neel Mystiques et magiciens du
Tibet, très abordable, où elle expose le plus
simplement et clairement cette problématique, bien mieux
que dans son ouvrage il faut le dire ultra barbant, qui lui est
consacré (Le bouddhisme originel, ou le bouddhisme de
Bouddha). Cela se résume en une seule phrase « Le
moi n’existe pas », qui est ressassée
sans cesse par les lamas tibétains les plus éduqués.
Et pour ceux qui se sont le plus avancé dans
cette voie, soi, un autre, ou les autres, n’existe pas,
comme soi et la totalité.
Il faut ajouter pour
ne pas s’induire en erreur, que l’absence de moi
n’est pas l’absence de personnalité, bien au
contraire, il suffit de voir celle d’Alexandra pour le
constater, et de lire l’ouvrage de sa dame de compagnie de
sa dernière dizaine d’années à Digne
Marie-Madeleine Peyronnet, seule une fille d’un
sous-officier des bataillons d’Afrique et du Biribi (lire
l’ouvrage de l’anarchiste Georges Darien), pouvait
supporter une telle force de caractère, d’originalité
et d’excentricité).
4
-
Les
pratiques de dissolution des idées de soi
et de totalité.
Prévention,
la différentiation entre le soi et la totalité
étant illusoire, la limite entre ces deux est elle aussi
illusoire, ce qui n’empêche pas qu’elle soit
effective.
La méditation.
La
méditation consiste à abolir (mais là encore
le terme est inopportun, car il n’y a pas le soi et la
totalité) la notion de soi et de totalité.
Pour
aider ceux qui ont l’envie de s’y essayer, j’insiste
qu’il ne s’agit pas d’abolir la limite entre le
soi et la totalité, ni le soi, et ni la totalité,
mais l’idée
de soi et l’idée
de totalité qui ne
peuvent exister l’une sans l’autre, le soi étant
un aspect de l’idée de totalité et vice
versa. Il s’agit de l’idée.
Paradoxalement,
pour nos pauvres petits esprits bien encadrés, agir dans
le « domaine de l’idée »,
qui peut sembler abstrait, immatériel, fait
se produire des évènements physiques observables et
reproductibles, soi par soi-même, soi par d’autres,
en période de méditation. A chacun de les
constater. Ils n’ont pas d’importance, si ce n’est
que pour ceux qui « pratiquent » la
méditation dans un but (déjà il n’y a
pas de notion de but d’y acquérir des avantages, ),
ces évènements les stoppent dans la voie ouverte
devant eux.
Il y a une infinité de manière
de pratiquer la méditation, je n’ai pas à
m’étendre sur une manière précise,
chacun doit créer sa propre manière, et les guides
qui apprennent à méditer sont à éviter.
Un individu unique = une manière unique de
méditer.
Évidemment, tout ce qui précède
a des implications, applications en politique, en économie,
et en la totalité du comportement humain, et surtout dans
le domaine fondamental de comment se nourrir, puisque la vie se
nourrit de la vie, du rapport avec les autres espèces,
dont l’étrangeté avec l’espèce
humaine est aussi une illusion, avec la matière dite
« inerte » ce qui est une notion aussi
illusoire, en matière de propriété, de
possession. Je ne m’étendrai pas sur cela, les
anarchistes ont développé ces thèmes avec un
brio indépassable, et ce n’est pas un hasard
qu’Alexandra ait commencé son périple
existentiel par la mouvance anarchiste (le géographe
Élysée Reclus).
5
-
Magnétiseurs
(ses), acupuncture (points et méridiens), ostéopathes
et autres.
Moustique
géant, Villequier février 2020
La
« méditation » n’est pas loin
de là, le seul mode de dépassement du particulier
au général (une autre manière de prendre le
problème), du différencié à
l’indifférencié, de l’individualité
à la totalité.
L’être humain
et sans doute toutes les autres espèces (dont les plus
dites « primitives », « simples »,
incluent les fameux virus et les bactéries (dont celle
génétiquement modifiée à Fort Detrick
(laboratoire US spécialisé dans l’armement
biologique) qui devra prendre la suite de l’actuel Covid
19, la TFR – « Tréponème Féroce
Récalcitrante »
:
http://www.aredam.net/tfr-20-fort-detrick-USA-maryland.pdf
,
qui fait liquéfier le néo-cortex lequel
descend jusque dans les chaussures :
Lien Fort Detrick
:
https://www.alamy.com/search.html?CreativeOn=1&adv=1&ag=0&all=1&creative=&et=0x000000000000000000000&vp=0&loc=0&qt=fort%20detrick%20maryland&qn=&lic=6&lic=1&imgt=0&archive=1&dtfr=&dtto=&hc=&selectdate=&size=0xFF&aqt=&epqt=&oqt=&nqt=>ype=0
(merci
à ces minimes bestioles méritantes du Tout de nous
débarrasser d’encore plus de politiciens (dont les
noms ne méritent même pas d’être
transcrits, et autres, ils seront mieux pour eux et pour Tout de
rejoindre l’indifférencié, et on espère
que ceux qui articulent ces mécaniques ne seront pas
oubliés. On devrait tirer un feu d’artifice à
chaque fois qu’il en crève. Ils sont mieux en terre
qu’en pré. On souhaite bien du plaisir aux asticots)
ainsi
que toutes autres les apparences de l’indifférencié
(dans le livre d’Alexandra, Mystiques et magiciens du
Tibet, l’auteur a côtoyé dans son ermitage
deux rochers qui étaient réputés dialoguer
entre eux), établissent des ponts entre leur individualité
et la totalité.
Les magnétiseurs sont le
cas le plus évident. Ce qu’ils nomment énergie
n’est que l’effet du dépassement des idées
d’individualité et de totalité.
Un
magnétiseur possède une capacité qui est en
fait répandue chez tous, mais chez eux, elle est
suffisamment prégnante qu’ils doivent faire usage de
cette capacité sinon ils subissent des brûlures
(formation de véritables brûlures sur leur
corps).
On pourrait considérer qu’ils se
soignent en soignant les autres, chez qui ils font se dépasser
les idées d’individualité et de totalité.
Eux ils tiennent comme discours qu’ils débloquent le
passage de l’énergie, ce qui restitue la santé.
Il
en est de même chez les ostéopathes, quand à
l’antique médecine chinoise, avec son acupuncture,
ces observateurs empiriques et logiques ont été
jusqu’à cartographier le corps humains, y discernant
des réseaux de circulation et de points particuliers, où
peuvent, selon ma propre interprétation, être plus
facilement dépassé les idées d’individualité
et de totalité.
6
-
Conclusion
de ce texte.
Peuple
des pâquerettes
Le
domaine de la recherche existentielle est unique et il englobe,
articule, hybride, « symbiotise », fond
tous les domaines de la recherche, spirituel, politique,
économique, psychologique, médecine somatique,
écologique, rapport avec les espèces et formes
d’être et de matière apparemment autres, etc
…
C’est une recherche qui a été
depuis la nuit des temps menée, et sans doute par toutes
les formes de vie.
Concernant
celle humaine, chaque génération voit apparaître
des chercheurs, qui font la avancer un peu et qui s’emploient
à transmettre le peu qu’ils ont produits aux
générations futures.
Un seul but existe
c’est celui du bonheur.
Le paradoxe est qu’il
faut progresser sans l’idée de but, de réussite,
d’intérêt, sans l’action.
Les
grands jalons sont les taoïsme (sans auteur) et bouddhisme
originels (Alexandra David Neel), et la séquence
anarchiste européenne originelle (surtout Émile
Janvion et Georges Darien), ainsi que la période
expressionniste allemande de l’après première
guerre mondiale.
Quant à cette évolution
actuelle, elle doit cesser, et il faut bien avoir à
l’esprit qu’elle cessera dans le sang et les larmes.
Il n’y aurait pas pire qu’elle continue et se
propager au-delà de la Terre. Il faut la confiner sur la
planète tant qu’elle ne sera pas
disparue.
Communication aux éventuelles
civilisations extraterrestres :
Dans l’intérêt
de l’évolution globale de l’univers et même
plus, ne ratez pas les véhicules spatiaux provenant de la
Terre et franchissant les limites du système solaire. Ne
laissez pas se répandre la peste existentielle dans tout
le cosmos, cela prendra plus de temps, de larmes et de sang pour
la résoudre.
Ci-dessous,
Tibouc prête aimablement son concours à l’en-revoir
(bouc donné par son ancien « propriétaire »
qui nous a dit que les animaux cela ne se vendait pas. Comme il
avait passé une annonce clairement dans ce sens, il a dû
par intuition, se débarrasser des amateurs de viande
gratuite – les saints cela existe vraiment, mais pas dans
les religions, ils sont anonymes).
7
-
Cul
de lampe
Voir aussi sous format
Pdf :
http://www.aredam.net/tfr-20-fort-detrick-USA-maryland.pdf
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