L'histoire
de l'espèce humaine, une évolution continue vers
un état d'enfermement mental absolu bientôt
finalisé. Texte de Michel Dakar, chercheur en
politique globale, autonome, Villequier France, province
coloniale de l'entité israélo-US. Texte commencé
le
17
avril
2018, mis
à jour le 31
mai
2018.
http://www.aredam.net/l-histoire-de-l-espece-humaine-une-progression-continue-vers-un-etat-d-enfermement-mental-absolu-bientot-finalise.html
Illustration
: http://www.aredam.net/papillon-de-nuit-barre-y-va-villequier-avril-2018.html
1 - Qu'est-ce que l'enfermement
mental ?
Définir ce qu'est l'enfermement
mental est la chose la plus difficile qui soit.
La
raison en est que nous faisons tous - y compris les
exceptions
qui
cherchent à définir l'enfermement mental -
partie de l'univers mental carcéral qui résulte
de l'état d'enfermement mental. Ceux qui travaillent à
définir l'enfermement mental sont eux-mêmes des
barreaux et des murs
de
la prison mentale où ils existent, comme ceux qui n'ont
aucune conscience de l'existence de cette prison.
Parmi
les enfermés, c'est à dire les humains, ceux qui
cherchent sur l'enfermement mental, ne peuvent qu'imaginer ce
qu'est l'existence hors les murs de l'enfermement mental qui
est le seul univers qu'ils connaissent, et donc ne peuvent
utiliser que cette imagination d'un univers libre, pour la
comparer
à l'image de l'univers clos qu'il connaissent et ainsi
définir par comparaison cet univers clos de
l'enfermement mental.
Au fond, si on prend comme image
l'état d'enfermement mental comme une machine qui
remplirait tout un univers, la
partie
de cette machine qui est le chercheur sur l'état
d'enfermement mental, qui n'est donc que l'un des rouages de
l'enfermement mental global, doit se libérer de cette
machine pour pouvoir témoigner de ce qu'est l'existence
hors de cette machine,
pour
pouvoir
par
comparaison définir la nature de cette
machine
qu'est l'état d'enfermement mental.
C'est donc
un travail à la fois sur soi, et un travail sur le
global, qui doivent être menés de front, de plus
en liaison constante et renvoi l'un sur l'autre.
Pour
clôre ce premier paragraphe, il faut donner quelques cas
particuliers et déjà nommés d'état
d'enfermement mental.
Ce qu'on nomme actuellement
l'univers virtuel, informatique et électronique, est un
état d'enfermement mental obtenu par les machines
nommées ordinateurs. Il tend à devenir global,
vers l'absolu, et à englober la totalité de
l'humanité.
Les travaux de chercheurs tels
Vladimir Volkoff et Sun Tsu, les « princes »
de la manipulation politique de masse, mènent à
la classification de toute police politique au sens large,
comme machinerie d'enfermement mental, actuellement
parfaitement hybridée avec l'univers virtuel, cette
hybridation ne pouvant que déboucher sur un état
parfait d'enfermement mental dont il sera impossible de
s'extraire. Un texte comme ce présent texte, lorsque
cette hybridation aura atteint son épanouissement et
produit tous ses effets, sera impossible à écrire,
car il sera impossible de s'échapper d'une telle
machinerie. Ce sera alors la fin de l'espèce humaine,
car une espèce ne peut exister dans un état de
rupture parfaite d'avec la réalité, l'univers
réel.
Plus classiquement, l'ensemble des
religions, idéologies et autres systèmes de
pensées sont des états d'enfermement mentaux,
particulièrement les dites religions du livre,
judaïsme, christianisme et islam, le judaïsme étant
un proto état parfait d'enfermement mental, précurseur
de l'état parfait qui est en train de se mettre en
place, et ce n'est pas un hasard si la plupart des concepteurs
et des organisateurs de la mécanique hybride univers
virtuel informatique et manipulations mentales de masse, sont
des juifs. Cet état d'enfermement est consubstanciel
des juifs, et s'est de tout temps manifesté par la vie
en clôture des ghettos réduits dans les villes,
et les ghettos actuels englobant des vastes étendues,
que sont Israël et la Patagonie en cours de réalisation.
Il faut citer pour l'exception, l'exemple de
l'idéologie dénommée anthroposophie, une
perfection mais dont l'effet comme dans la chanson de Boris
Vian la bombe atomique, n'a qu'un rayon d'action réduit,
ce qui fait qu'elle est tolérée et même
non classée comme secte. Il faut lire le blog de
Monsieur Grégoire Perra, un ancien adepte durant une
trentaine d'années, pour découvrir l'originalité
de cette création de mécanique d'enfermement
mental qu'est l'anthroposophie, dont pourraient s'inspirer les
petits monstres qui conçoivent les actuels printemps
arabes, révolutions oranges, facebook, twitter et
autres : https://gregoireperra.wordpress.com/
(aller à 3 mai 2012, article « Eléments
explicatifs de l'enfermement mental provoqué par
l'anthroposophie »
https://gregoireperra.wordpress.com/2012/05/03/elements-explicatifs-de-lenfermement-mental-provoque-par-lanthroposophie/
).
A contrario, il faut citer les rares tentatives pour
sortir de cet état d'enfermement mental, dont le
bouddhisme et le taoïsme originels, avant qu'ils ne
tournent en idéologie, c'est à dire en mécanique
d'enfermement mental, comme le courant anarchiste occidental,
avant que de même il ne devienne un simple outil
de
la police politique occidentale (ZAD – Zones à
défendre françaises et européennes,
Rojava – Zone nord de la Syrie et de l'Irak).
Le
problème peut se poser de chercher à connaître
si l'humanité a connu un état de non-enfermement
mental dans le passé, ou si cela a toujours été,
et si les autres espèces animales connaissent un état
d'enfermement mental.
On pourrait considérer
comme les signes d'enfermement mental les premières
sépultures (connues) il y a 100 000 ans, les premières
grottes ornées il y a environ 50 000 ans, les traces de
chasses en
groupes
d'animaux avec massacres en masse de troupeaux conduits et
poussés
du
haut de falaises il y a environ 30 000 ans, les premiers
vêtements mortuaires somptuaires il y a 30
000
ans, les premières enceintes fortifiées il y a
environ 8000 ans au Proche-Orient, les premiers charniers
révélateurs de massacres de masse il y a environ
5
000
ans dans l'actuelle Allemagne. On relate chez les chimpanzés
des cas d'exterminations
organisées
de groupes
étrangers
de chimpanzés, ou de meurtres prémédités
de
chimpanzés étrangers isolés tombés
dans une embuscade.
On pourrait penser qu'une branche
de l'arbre de la vie terrestre a évolué vers
l'enfermement mental. On pourrait intituler les espèces
de cette branches, les enfermées. La ligné
humaine et celle de certains grands singes en font partie.
2
- Diverses sortes de tentatives de rupture de l'enfermement
mental, et à contrario, diverses sortes de
renforcements effectifs de l'enfermement mental.
Il
existe fondamentalement deux catégories d'individus
humains. Toute autre manière de diviser l'humanité
est inadéquate, qu'elle utilise le sexe, la « race »,
l'appartenance à l'idéologie religieuse, l'âge
et autres.
Ces catégories sont fondées
sur la capacité à accepter ou à rejeter
l'enfermement mental.
La première catégorie
qui comprend la quasi totalité des individus est celle
de ceux qui tolèrent voire recherchent l'enfermement
mental.
La seconde catégorie est celle
infiniment plus restreinte de ceux qui à des degrès
divers au contraire cherchent à échapper à
l'enfermement mental.
Echapper à l'enfermement
mental est simple à définir, il s'agit
d'échapper à soi-même, et cela signifie
bien au-delà que d'échapper à
l'enfermement de sa famille, de sa classe sociale, de son
éducation, de sa religion, enfin de tous les
conditionnements qu'il est convenu de reconnaître comme
tels.
Echapper à soi-même, signifie
échapper à son existentialité, à
son état même d'individu appartenant à une
espèce définie, c'est échapper à
toute limitation, et pour ceux qui ressentent l'attirance pour
la liberté absolue, c'est exister comme le définissent
les taoïstes, le non-formé, le non-défini.
A
contrario, il existe des pratiques existentielles dont l'objet
est le renforcement de l'enfermement mental. La pratique la
plus extrême est le judaïsme, dont les avatars que
sont le christianisme et l'islam ne sont que des pratiques
édulcorées.
3 - L'échelle
d'enfermement mental des formes de vie.
Cette échelle
est l'inverse de celle qui classifie les formes de vie depuis
les plus simples aux plus complexes, l'humain étant
dans cette classification au sommet de l'échelle.
L'échelle
de l'enfermement mental est inverse.
Plus la forme de
vie est dite simple moins son enfermement mental est
important, et plus cette forme de vie est complexe, plus son
enfermement mental est élevé, voire total dans
certains cas de l'humanité.
4 -
Pratiques de désincarcération d'un état
d'enfermement mental.
Toutes les pratiques dérivées
des courants de pensée bouddhistes et taoïstes ont
pour objet la désincarcération de l'enfermement
mental.
Il en est de même des pratiques
animistes, druidiques, de celles de la sorcellerie.
Toutes
tentent de revenir à un état dit végétatif
qui est considéré dans les systèmes
sociaux comme le nôtre fondé sur l'enfermemment
mental comme péjoratif.
Beaucoup de pratiques
cherchent à imiter ou s'inspirent des plantes et des
animaux, comme le yoga.
Beaucoup de pratiques mettent
en œuvre l'établissement d'un liaison effective,
l'ouverture d'un accès, avec un animal ou une plante,
voire directement avec l'énergie universelle, et
au-delà l'informé, et l'individu, dans l'instant
où il se met dans un état particulier de
réceptivité, d'ouverture, de détachement
de soi, qu'on nomme méditation.
5 -
Qu'est-ce-que la méditation ?
La méditation
dont il est question ici est totalement étrangère
à ce qu'on nomme méditation en Occident, c'est à
dire dans les aires de populations subissant l'enfermement
mental judéo-chrétienno-islamique.
C'est
un état difficile à décrire à ceux
qui ignorent cet état.
En fait c'est un état
que découvrent naturellement, seuls, sans le besoin
d'un « maître », d'un guide
spirituel, ceux qui appartiennent à la seconde
catégorie des humains, c'est à dire ceux qui
sont fait pour exister hors l'enfermement mental.
Pourtant
il est bon de tenter de faire sentir à ceux de la
première catégorie ce qu'est cet état,
simplement parce qu'ils vont être de plus en plus
nombreux à rechercher à s'affranchir de
l'enfermement mental, en raison des conditions d'existences
devenant de plus en plus infernales et générales,
dont l'enfermement mental est la seule cause, et qui ne
peuvent changer tant que l'état d'enfermement mental
sera l'état normal social.
Pour commencer, et
aussi pour dès le départ poser la difficulté
de la chose, il faut annoncer qu'il n'y a pas un mode de
méditation, mais autant de modes qu'il y a d'invidus la
pratiquant, et aussi qu'il n'y a pas de pratiques de la
méditation, car elle est cet état de méditation
peut être présent à tout moment, et que le
moment où la personne est en posture de méditation
n'est qu'un cas particulier, et sans doute pas le plus
significatif.
Le vocabulaire occidental qui se
rapproche le plus de la réalité de la méditation
est ressourcement, restauration, recollation.
6
- Les intercesseurs.
De tous temps, et en tous lieux,
ceux qui portent la liberté en eux ont naturellement
eut l'idée de se trouver des intercesseurs entre eux et
l'informé, ou la totalité, l'univers (impossible
de définir plus avant cet état, et surtout pas
par ce qu'on nomme « dieu »).
Les
prêtres (rabbins, curés, imans et autre
brahmames), qui se posent comme intermédiaires entre
l'universel et le simple individu, sont un dévoiement,
une dégénérescence de l'idée
d'intercesseurs des porteurs de liberté.
Les
intercesseurs sont de toutes les sortes.
Ils peuvent
être des animaux, des plantes, des « choses »,
comme les pierres, la lumière, le vent et autres, à
l'infini. Et surtout pas un autre humain, et encore moins un
prêtre. Il n'existe pas de guide spirituel et de maître
et des disciples, de représentants de la transcendance
et autres. Toutes ces figures sociales ne sont que des
facettes de ce qu'on nomme escrocs, profiteurs, imposteurs,
manipulateurs.
Méditer est par exemple, lors de
cet état réduit à l'instant qu'il est
convenu de nommer méditation, se trouver devant une
plante, une pierre, un animal, enfin tout mode d'être
supérieur en liberté à l'humain, établir
une relation entre cette pierre, plante ou animal et le
méditant. Le méditant, classiquement, est assis
en lotus, ou assis sur ses genoux, et s'ouvre à la
pierre, la plante, l'animal, qui est en face de lui. Il est
difficile sinon impossible d'évoquer plus précisemment
cet état, mais il faut bien quand même en
parler.
7 - L'origine de l'enfermement
mental.
L'origine de l'enfermement mental apparaît
clairement énoncé dans le livre sacré des
juifs, la torah, à son tout début, traitant de
la création, et de la propriété de tout
ce qui pousse et qui vit comme dévolu à
l'humain.
L'origine de l'enfermement mental est la
propriété.
La propriété
naît avec l'apparition de l'espèce
humaine.
Cette enfermement est à l'état
de germination chez les autres espèces, mais cette
germination s'épanouie seulement chez l'espèce
humaine.
Pourquoi ? Sans doute est-ce par faute de
moyens de pouvoir tenir la propriété que chez
les autres espèces, la propriété est-elle
restée à l'état de germe.
8
- Conséquences politico-sociales de l'épanouissement
de la propriété chez l'espèce
humaine.
a) Les exercices de méditations sont en
réalité des exercices de dépropriation,
d'échappée de l'état d'appropriation.
b)
Les humains qui possèdent le plus sont les plus
mentalement enfermés. Ils deviennent dans l'absolu
tellement enfermés qu'ils n'appartiennent plus à
l'univers, qu'ils deviennent donc des non-êtres. C'est
le cas des élites, constituées des touts
puissants, soit financièrement soit politiquement. Ce
peut être le cas d'individus ou de groupes humains, à
l'exemple des juifs. A des degrés moindres, c'est le
cas de populations appartenant aux pays dits développés,
généralement occidentaux, et secondaiement
asiatiques, comme les japonais. Il n'y a qu'à prendre
la liste des G 7, G 8, G 20, pour avoir une échelle de
l'enfermement de groupes, et de la non-existence des
populations, avec au sommet de l'échelle, les
juifs.
c) Une population enfermée mentalement,
ou un individu enfermé mentalement, tend à
enfermer mentalement son entourage ou son environnement
social, géographique, et tend pour finir, pour les
populations et les élites au sommet de l'échelle
de l'enfermement, à enfermer mentalement la totalité
de l'espèce humaine, la planète entière,
et si les voyages galactiques et intergalactiques étaient
au poiunt, l'univers entier, et les autres formes de vie qui
s'y sont développées.
d) L'enfermement
mental est donc la maladie fatale suprême de la vie.
e)
La vie rencontre donc sur son cheminement un obstacle unique
et fatal, qui est celui de l'enfermement mental.
f)
Soit la vie surmonte cet obstacle, soit la vie disparaît,
pour réapparaître ensuite dans un univers libéré
d'une évolution de la vie qui n'a pu s'affranchir de
l'enfermement mental.
g) Voilà pour résumer
l'étape où nous nous trouvons, avec la guerre de
Syrie, qui n'est autre que le point de rencontre entre les
forces qui ne peuvent plus s'échapper de l'enfermement
mental, et qyui tendent à détruire toute vie
dont la leur, et les forces qui ne sont pas encore totalement
sous l'emprise de l'enfermement mental.
h) Pour être
plus explicite, les forces définitivement enfermées
mentalement sont l'Occident et les Juifs, les forces
non-encore totalement enfermées mentalement, sont les
russes, les chinois, iraniens et autres.
i) La victoire
de l'Occident et des Juifs signera l'arrêt de mort de
l'espèce humaine. La victoire du bloc opposé
laissera ouvert le parcours de l'évolution de la
vie.
9 -
Evolution
de
l'enfermement mental
dans
le temps et du mensonge.
Liaison entre l'enfermement
mental et le mensonge.
Plus les temps sont anciens,
plus l'enfermement mental est faible. Plus les temps sont
récents, plus l'enfermement mental est fort.
Plus
l'enfermement mental est léger, plus le mensonge est
léger. Plus l'enfermement mental est fort, plus le
mensonge est fort.
Le mensonge évolue de façon
concomitante avec l'enfermement.
Le mensonge et
l'enfermement mental atteignent dans les temps actuels
modernes leurs apogée.
Documentation :
Voici cinq
documents
datant de 2000 ans avant le présent, provenant de
Mésopotamie et d'Egypte, exposant la perte de réalité
qu'on a subit en 2000 ans, la perte de capacité à
créer, et l'éloignement de la vérité,
qui atteint un paroxysme actuellement, et qui a commencé
avec l'élaboration de la torah, puis de la bible, puis
du coran.
Ces documents sont tirés de l'ouvrage
« Naissance de l'écriture - cunéiformes
et hiéroglyphes ». Galeries nationales du
Grand-palais 7 mai-9août 1982. Ministère de la
Culture. Editions de la Réunion des musées
nationaux. 1982
a) Mythe d'Atrahasis : le
création de l'homme. Akkadien XVIIè siècle
av. J.C. (Mésopotamie). Page 261.
Lorsque les
dieux étaient (encore) hommes, ils assumaient le
travail et supportaient le labeur. - grand était le
labeur des dieux, lourd leur travail, et longue, leur
détresse. aussi se révoltèrent-ils, les
ayant réunis le sage Ea [ouvrit] la bouche et dit
aux dieux, {ses frères] : « De quoi
pouvons-nous les [accuser] : leur travail est lourd
[et longue, leur détresse] ; chaque jour, [ils
creusent] la ter[re], lourde est [leur] lamentation
[…]. (Mais) il y a [peut-être un remède
à leurs maux] : [la Génitrice] est
là : qu'elle crée un être humain,
l'Homme, afin qu'il porte le joug [et en libère les
dieux]... » Ea ouvrit la bouche et dit aux
grands dieux : « Le premier, le septième
et le quinzième jour du mois, je préparerai,
comme purification, un bain. Que l'on égorge un
dieu et que les autres dieux, s'y plongeant, soient
purifiés ! Avec la chair et le sang de ce
dieu, que Nintou mélange de l'argile afin que
dieu même et l'homme se trouvent mélangés
ensemble dans l'argile : qu'(issu) de cette chair de
dieu soit un « esprit », comme
vivant, qu'il révèle l'homme par ce signe, pour
qu'on n'oublie pas, que soit un « esprit »...
ainsi
fut fait...
alors, Nintou ouvrit la bouche et dit
aux grands dieux : « Voous m'aviez ordonné
une tâche : je l'ai achevée. vous avez
égorgé un dieu, avec son intelligence. J'ai
supprimé votre travail pénible, et votre dur
labeur, c'est à l'homme que je l'ai imposé. vous
avez transféré la plainte à
l'humanité : (pour vous,) j'ai délié
le joug, j'ai établi la liberté. » traduction
R. Labat.
Donc il y a environ 2000 ans, on exprimait
que l'homme avant son invention de la domination de l'homme
sur l'homme, de l'exploitation de l'homme par l'homme, de
l'esclavage, était homme, et que la notion de dieu est
apparue avec l'invention de la domination, de l'exploitation
et de l'esclavage, et que donc, la notion de dieu est une
invention de l'homme, que c'est l'homme qui a inventé
dieu, et que ce qu'on nomme dieu est le dominateur,
l'exploiteur et l'esclavagiste.
Or, la domination,
l'exloitation et l'esclavage ne sont que des aspect d'un
phénomène unique et plus profond, la propriété.
L'homme devient une chose qu'un autre homme peut posséder,
ce propriétaire est non-plus dénommé
homme mais dieu, et l'homme qui est sa propriété
reste dénommé homme, dénomination qui
devient équivalente à esclave.
Un
propriétaire est un dieu, un homme est esclave.
Il
s'agit de paroles de vérité, et le mensonge
n'était pas encore instauré comme vérité.
Sans doute parce qu'on n'est qu'au début de cette
évolution dans l'ordre social humain.
Il
n'en n'est plus de même avec la torah ou l'ancien
testament de la bible chrétienne. La parole vraie a
disparue.
Génèse 1-2
Dieu dit :
« Faisons l'homme à notre image, selon notre
ressemblance, pour dominer sur les poissons de la mer, sur les
oiseaux du ciel, sur les animaiux domestiques, sur toute la
terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la
terre ». … Et Dieu dit « Je
vous donne (à l'homme) toutes les plantes portant
semence partout sur la terre et tous les arbres qui ont des
fruits d'arbres portant semence ; ce sera votre
nourriture.
Suite à un subterfuge nébuleux
idéologique, « Dieu », ou l'homme
propriétaire légitimise l'a mise en esclavage de
l'homme. Ce subterfuge idéologique prend la forme d'un
non-respect d'un règlement apparement absurde : ne
pas manger d'un fruit précis d'un arbre existant dans
la propriété de dieu ou homme propriétaire,
de plus fruit et arbre dénommés
« connaissance », c'est à dire
compréhension de la manipulation mentale de l'homme
propriétaire, ou autrement dit, être coupable
d'intelligence, d'être capable de démonter la
manipulation mentale de l'homme proprétaire, cette
manipulation mentale enfermant l'esclave dans l'obéissance
et la non-révolte, lui faisant fuir sa libération
et accepter la domination de l'homme propriétaire, ou
autrement dit, être capable de discerner ce qui est vrai
de ce qui est faux.
Du fait de cet attentat au code
civil et pénal de l'homme propriétaire, dénommé
dieu, l'homme devient propriété du premier et sa
chose qui travaille pour lui : « A la sueur de
ton front tu mangeras du pain jusqu'à ce que tu
retourneras à la poussière » (Genèse
3-4).
L'arbre de la connaissance du bien et du mal, de
la torah et de la bible, et la capacité à
reconnaître le mensonge.
Le crime suprême
(ou péché originel), est donc être capable
de reconnaître comme mensonge un mensonge.
Le
judaïsme est donc un embrigadement mental au mensonge,
ainsi que le christianisme postérieur, et l'islam qui
en est un avatar tardif.
L'ensemble, propriété
et mensonge génère l'enfermement mental.
Le
premier manuel d'enfermement mental se nomme torah, le second
est la bible, et le troisième est le coran.
b)
Dialogue entre un maître et son esclave : conte
moral. Fin IIè millénaire av. le présent.
(Mésopotamie). Page 262.
[« Esclave,
viens ici à mes ordres !] - Oui, mon maître, oui
! [- File, va me quérir et ] m'attelle un char, que
j'aille au Palais ! [Vas-y mon maître, vas-y !] Il y
aura [profit] pour toi : [le roi, en te voyant,] te
comblera d'honneurs ! [- Eh bien, non, esclave,] je n'irai
pas au Palais ! [N'y va pas,] mon maître, n'y va pas
! [La roi, en te voyant.] t'enverrait [où tu ne
voudrais aller].
« Esclave, viens ici à
mes ordres ! - Oui, mon maître, oui ! - Je veux aimer
une femme ! - Aime, mon maître, aime ! L'homme qui
aime une femme oublie inquiétude et soucis ! - Eh
bien, non, esclave, je n'aimerai pas une femme ! - N'aime
pas, mon maître, n'aime pas ! La femme est un puits,
oui, un puits, une citerne, une fosse; la femme est un
poignard acéré qui de l'homme tranche la
gorge. »
« Esclave, viens à
mes ordres ! - Oui, mon maître, oui ! - Je veux faire
du bien à mon pays ! - Fais ainsi, mon maître,
fais ainsi ! L'homme qui fait du bien à son pays ses
bienfaits sont placés au « cercle »
(des grands dieux !) - Eh bien, non esclave, je ne ferai
pas de bien à mon pays ! - N'en fais pas, mon
maître, n'en fais pas ! Monte sur les collines de
ruines d'antan, et les parcours, considères-y les
crânes mêlés des pauvres et des nobles
: lequel a fait le mal ? Lequel a fait le bien ? »
…
- Esclave... qu'est ce qui est bon ? … -
Qui donc est assez grand pour atteindre le ciel ? Qui est
assez large pour embrasser toute la terre ? - Eh bien, non
esclave ! Je vais te tuer et te faire partir avant moi ! -
Oui, mais, mon maître ne me survivra pas trois jours
! » Traduction R. Labat.
c) Dialogue
d'un désespéré avec son âme (XIIè
dynastie). (Egypte). Page 318.
« La mort
est aujourd'hui devant moi comme la guérison devant
un malade comme la première sortie après une
maladie.
La mort est aujourd'hui devant moi comme le
parfum de la myrrhe, comme lorsqu'on est sous la voile, par
grand vent.
La mort est aujourd'hui devant moi comme
le parfum du lotus comme lorsqu'on se tient sur la rive de
l'ivresse.
La mort est aujourd'hui devant moi comme
un chemin connu comme lorsqu'un homme revient de
guerre vers sa maison.
La mort est aujourd'hui
devant moi comme un ciel qui se dévoile comme
lorsqu'un homme découvre ce qu'il
ignorait. » Traduction F. Daumas.
d)
Inscription votive : cylindre B de Gudéa. Tello :
époque de la renaissance sumérienne : Gudéa,
prince de Lagash, (vers 2150 avant le présent).
(Mésopotamie). Page 227.
Extrait de
l'article :
« … les rites sont
exécutés et les décrets accomplis ».
Grâce au prince, l'abondance régnera dans le
pays, toute inégalité sera supprimée
entre maître et esclave, puissant et faible, on
respectera la veuve et les orphelins et la justice sera
sauvegardée. »
e) Extrait de
l'article de Bernard Arnaud, page 196, « Ecriture
et civilisation mésopotamienne. L'histoire
événementielle. », Paragraphe 2
:
« Le concept d'histoire est inconnu des
mésopotamiens mais ils avaient une idée arrêtée
sur l'évolution de leur société dans le
temps. Elle est foncièrement pessimiste. L'homme a reçu
la civilisation toute achevée des dieux mais depuis la
révélation, le monde s'éloigne de cette
perfection qu'aucun effort ne saurait maintenir, encore moins
retrouver. Archivisites et bibliothécaires,
collectionneurs d'antiques à l'occasion, les
Mésopotamiens connaissaient trop bien leur passé
tumultueux et étaient des témoins attentifs de
leur présent pour ne pas juger que tout décidément
allait de mal en pis. L'Histoire est alors enseignement d'une
morale sociale dont l'archaïsme fondait la valeur : la
connaissance des crises passées sert, sinon à en
éviter le retour, du moins à le retarder ou à
en atténuer les effets. Après chaque
catastrophes, les Mésopotamiens, énergiques et
désabusés, se remettaient à la tâche. »
10 - Les effets sensibles sur l'individu, de
la libération de l'enfermement mental.
L'individu
qui commence à se libérer de l'enfermement
mental, ressent un sentiment d'étrangeté vis à
vis de sa famille, et au-delà, de tout groupe,
collectivité, ensemble, auquels il est rattaché.
Or,
tous les ensembles de rattachement possèdent un
élements psychique commun, c'est le sentiment d'orgueil
d'appartenance, de supériorité, qui est poussé
à l'extrême chez les juifs.
Le fait le
plus notable qui apparaît chez l'individu qui s'extirpe
de la prison mentale est de se sentir libéré de
ce sentiment de supériorité. C'est comme sil il
réalisait que jusqu'alors, il n'avait pu respirer
librement. Il commence à réellement pouvoir
respirer. C'est un chose étrange et paradoxale que de
savoir que ceux qui se considèrent comme des êtres
supérieurs, ce qui est le cas caricatural des juifs,
sont en réalité les plus brimés,
opprimés, réduits, des êtres.
Ne
plus se croire au-dessus des autres, revient à être
réintégré dans la réalité,
et il n'y a pas de plus beau sentiment, de plus gratifiante
sensation.
Ce sentiment de supériorité
est né avec la propriété, et accompagne
celui qui est propriétaire, avec un accroissement de
son intensité qui va de pair avec l'accroissement de sa
propriété, ou de son pouvoir, propriété
et pouvoir étant inséparables.
L'une des
manifestations évidentes de l'atteinte d'un individu
par ce sentiment de supériorité, ou
d'enfermement mental, est la recherche de ses origines, qui se
manifeste trivialement par la recherche généalogique,
ou chez les juifs, par la remémoration historique,
laquelle est dans leur cas, imaginaire, mais qui est aussi
imaginaire dans la plupart des autres cas. Dans le cas des
juifs, cette recherche des origines est poussée à
son paroxysme par l'invention d'une origine supra naturelle,
dite divine, un « dieu », soit un être
né de l'imagination humaine, irréel, ayant
choisi les juifs comme ses représentants sur terre.
Dans le cas des juifs, l'enfermememtn ùmental est donc
maximum, voire même irréversible. Rien ne semble
pouvoir libérer les juifs de leur état
d'enfermement mental, sinon un événement
extérieur à leur groupe, comme un cataclysme.
Les œuvres de Freud et Kafka ne portent pas sur
le monde humain en général, mais sur le monde
propre exclusivement aux juifs, sur leur monde intérieur
d'enfermés mentaux. Il est grave que cela soit devenu
une généralité, alors que le psychisme
évoqué par Freud ou les fantasmes kafkaiens ne
concernent que les juifs.
Toutefois, la psychanalyse
ainsi que les livres de Kafka, exposent bien au jour ce qu'est
l'enfermement mental, des juifs, des psychanalystes et des
juifs européens, et au-delà, un enfermement
mental tellement parfait qu'il en est exemplaire pour les
non-juifs.
11 - La conséquence psysique
et psychique de l'enfermement mental.
L'état
d'enfermement mental mène à un psychisme
mécanique, c'est à dire que l'individu
mentalement enfermé devient une machine.
L'exemple
type est celui des juifs, qui est illustré par
eux-mêmes dans ces vues tirées de l'organe
français de manipulation dénommé Le
Parisien :
http://www.aredam.net/schema-enfermement-mental.pdf
L'entité Israël est représentée
comme un ordinateur, lequel n'est autre qu'une
machine.
L'entendue sans cesse en augmentation de
l'emprise des machines sur le monde humain, robots, drones, i
nformatique, internet, est simplement le signe de la totale
transformation en machine de l'espèce humaine, signe à
son tour de l'enfermement mental devenant total de l'espèce
humaine. Les juifs ne sont qu'à l'avant-garde de ce
phénomène, qui chez eux commence à ne
plus pouvoir rester masqué.
12 - Rapport
avec les anarchistes, les taoïstes et les
bouddhistes.
Les taoïstes et les bouddhistes n'ont
pu faire le lien entre l'enfermement ùmental contre
lequel ils ont lutté et la propriété, le
pouvoir et la hiérarchie sociale autrement dénommée
classes, car s'ils l'avaient fait ils auraient été
immédiatement détruits par le pouvoir de
l'époque, de même que les anarchistes n'ont pas
fait le lien entre leur doctrine dévoilant que la
propriété, le pouvoir et la hiérarchie
sont à l'origine des maux de l'espèce humaine et
l'enfermement mental, par défaut d'avancée de ce
milieu dans la psychologie.
13 - Ancienneté
de la psychée humaine de type mécanique, dû
à l'état d'enfermement mental.
Le type de
psychée humaine mécanique, ce qu'on nomme robot,
drone, ordinateur ou intelligence artificielle, soient des
machines, ou psychée machine, est apparu avec la
propriété, le pouvoir et la hiérarchie.
C'est ce qu'on décrit habituellement comme
l'intrumentalisation d'autrui, ou transformer autrui en
marionnette, lui tirer les ficelles, manipuler etc
…
L'aboutissement de cette évolution,
comme on peut dès à présent l'observer
chez les juifs, est l'auto-intrumentalisation, l'individu
manipuateur devennant son propre manipulé, il devient
lui-même sa marionnette, une machine qui commande la
machine qu'il est devenu. Bizarrement, plus le manipulateurs
et puissant, plus il est manipulé. Volkoff n'a pas
réalisé ce paradoxe, plus le marionnetiste tire
de ficelles, plus il est ligoté lui-même par des
ficelles.
Quant à la croyance que ceux qui sont
les manipulateurs soient libres eux, c'est sans doute la plus
belle illusion de l'état d'enfermement mental, laquelle
n'est possible que chez un mental totalement enfermé.
Plus l'individu manipule, c'est à dire plus il possède,
plus il est élevé dans la hiérarchie,
plus il a de pouvoir, moins il a de liberté, plus il
doit se conformer à son état de potentat, de
possédant, de hiérarque. Le moindre écart
lui est fatal. Alors que plus on est bas dans la hiérarchie,
plus la marge de manœuvre est importante. Ceux qui ont
traversé différents milieux sociaux, du bas en
haut de l'échelle sociale, le savent bien. Les milieux
huppés, supérieurs, dominants, sont les plus
étouffants, les moins libres qui soient. Par contre,
dans les hauteurs, la niche est douillette, l'écuelle
est bien remplie. Il y a quand même des
compensations.
14 - Exposé simplifié
du devenir de l'humanité.
L'espèce
humaine est en passe de devenir une machine commandant,
fabriquant, programmant des machines, qui sont elle-même.
La
multiplication des robots, drones et ordinateurs n'est que
l'effet visible de cette tendance.
15 -
Conséquence sur l'évolution de l'espèce
humaine.
La conséquence est simple et unique :
l'arrêt de l'évolution de l'espèce
humaine, soit sa stagnation dans le meilleurs des cas, voire
très vraisemblablement sa disparition, car une espèce
qui n'évolue plus disparaît par défaut de
capacité à s'adapter à la réalité
qui elle est sans cesse en évolution. C'est le fond de
la doctrine de Darwin, le changement constant pour répondre
aux changements constants de la réalité. Dans la
nature globale, ce changement constant est opéré
par la variation constante des individus d'une même
espèce. Il n'y a pas deux individus semblables. Dans le
cas de l'espèce humaine, au contraire, son évolution
dans l'impasse du machinisme, mène à
l'uniformisation, il n'y a plus qu'un même type
d'individu.
Une machine ne crée pas, n'invente
pas, n'évolue pas.
La vie n'est pas une machine,
les animaux ne sont pas des machines, même les plus
simples et primitifs.
L'enfermement mental est une
impasse de l'évolution, la machinisme est une impasse
de l'évolution, comme la propriété, le
pouvoir et la hiérarchie, l'ensemble de ces concepts
étant un seul unique.
16
- Evolution du concept de méditation.
Ce qu'on
nomme en Occident méditation, est l'apprentissage du
détachement, le détachement pouvant être
dénommé libération, la libération
parfaite étant la mort, qui est le retour à la
plénitude, à la non-séparation.
La
méditation est un exercice psychique de
détachement.
On y accède à des
états successifs de plus en plus proche de la mort,
tout en étant en vie.
Ce qui apparaît
lorsque le voyageur de la méditation parvient dans un
état assez avancé, est que la mort méditative
est un état de jouissance, de bonheur, indescriptible,
que seuls ceux qui se sont aventurés loin dans cette
voie, peuvent connaître, et qu'il est inutile de tenter
de décrire aux autres. Cet état de bonheur est
si intense qu'il en est quasi insupportable.
C'est
pourquoi l'autorité sociale interdit le suicide, car si
l'information se répandait que la mort est la paix,
c'est à dire le bonheur, par rapport à ce qu'on
ressent dans la société telle qu'elle est,
hiérarchisée, claquemurée dans des
enceintes d'interdits, gouvernée par des brutes
inintelligentes et sans sensibilité, les esclaves
n'auraient qu'une idée, s'évader de la société
en se suicidant, et les brutes se trouveraient privées
de leurs serviteurs. C'est pourquoi les religions interdisent
le suicide, travaillant dans l'intérêt des brutes
esclavagistes dominantes.
En
cours d'élaboration au : 31
mai
2018
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