1 - La création du judaïsme et du « peuple juif », le 4ème commandement : « Tu honoreras tes père et mère », et le devoir de conscience et de mémoire.
2 – D’un révisionnisme à l’autre, ou le Proche-Orient comme région mère du révisionnisme historique, la suite de l’invention du judaïsme vers 500 avant J.C., l’invention du christianisme ou judaïsme fondamentaliste réformé, ou protestantisme du judaïsme.
3 - Exposé succinct sur l’origine du judaïsme et de l’ancien testament.
1 - La création du judaïsme et du « peuple juif », le 4ème commandement : « Tu honoreras tes père et mère », et le devoir de conscience et de mémoire.
Le judaïsme est fondé sur une compilation de textes sumériens, akkadiens, assyriens, babyloniens, égyptiens et autres. Ces textes ont été élaborés dès l'apparition de la première organisation humaine étatique, la cité, vers environ 3000 ans avant Jésus Christ (J.C.). Les premières cités humaines ont été retrouvées au Proche-Orient, entre les fleuves Tigre et Euphrate en Irak actuel, et le long du Nil en Egypte. Cette compilation de textes sacrés aurait été réalisée vers 500 ans avant J .C., lors de la période de déportation d’une partie de l’élite palestinienne, par le roi de Babylone.
Le 4ème commandement du décalogue : « Tu honoreras tes père et mère ».
Ce qu’implique le 4ème commandement. Ce commandement induit dans l’élaboration des mentalités qui y sont soumises, le processus d’inversion du sens de l’échange, ce qui rend l’accès au réel impossible, car on ne peut inverser le sens de l’échange sans provoquer la rupture d’avec le réel.
Etrangement, et pour conclure, personne n'a encore fait la remarque que les trois fameux slogans du roman de George Orwell, "1984"; "La vérité c'est le mensonge", "L'esclavage c'est la liberté", "L'amour c'est la haine",
caractérisent le sionisme, et la psychologie intime du sioniste. Ces trois slogan sont ceux de notre propre monde.
2 – D’un révisionnisme à l’autre, ou le Proche-Orient comme région mère du révisionnisme historique, la suite de l’invention du judaïsme vers 500 avant J.C., l’invention du christianisme ou judaïsme fondamentaliste réformé, ou protestantisme du judaïsme.
Le peuple juif et son histoire ont été inventés de toute pièce, par plagiat des textes anciens de quasiment toutes les cultures des peuples du Proche-Orient, vers 500 avant J.C., par une élite palestinienne financière contrainte à servir le pouvoir royal de Babylone. Cette invention d’un peuple et de son passé pour constituer une religion est le premier cas de révisionnisme historique enregistré dans l’histoire. Cet acte de révisionnisme est le résumé parfait ce qu’est une religion. Ce résumé peut s’appliquer à toutes les autres religions dans le monde.
Le personnage de Jésus et son histoire, les deux étant imaginaires, constituent le second cas de révisionnisme enregistré dans l’histoire humaine.
La culture dite judéo-chrétienne est ainsi entièrement bâtie sur l’imaginaire, celui d’évènements et de faits imaginaires, soit une population inventée vers 500 avant J.C. : le peuple juif, et le personnage de Jésus, lui aussi inventé.
Jésus, dont on ne retrouve pas une seule trace, est un personnage mythique, au même titre qu’Abraham, Moïse et David.
De même que les trois héros mythiques (Abraham, Moïse et David) avait été créés par la caste financière palestinienne au service du roi de Babylone, de façon à donner du corps à un monde religieux imaginaire permettant à cette caste de se constituer une clientèle captive à son service, clientèle dénommée le « peuple élu », ou peuple juif, le personnage de fiction Jésus et la fiction de sa vie, sont une invention d’une faction religieuse juive, vers l’an 30 de notre ère.
Cette ère a donc pour départ l’instant de la naissance de la fiction Jésus, soit d’un être qui n’est pas né, soit d’une naissance qui n’a pas eu lieu, soit d’une non-date, d’un néant (c’est sans doute ce qui explique que sa mère Marie, la « sainte vierge », soit restée vierge après sa conception et même au-delà, après son accouchement. En effet, accoucher d’une fiction ne laisse pas de trace).
De même que pour la création du judaïsme, qui visait pour une élite, à se créer une population captive à son service, la création de Jésus, visait pour une faction religieuse de prêtres juifs, à se créer son propre vivier de serviteurs, dénommé ultérieurement les chrétiens.
Plus précisément, le christianisme est une tentative de réforme du judaïsme, de retour à un idéal religieux imaginaire de pureté, une sorte de fondamentalisme similaire au protestantisme. Ce fondamentalisme apparaît dans le coup d’éclat de l’épisode des marchands du temple que Jésus aurait chassé, comme si le judaïsme n’avait pas été occupé dès sa création, et plus, pendant les instants même sa création, par ces marchands, puisque ce sont ces marchands palestiniens qui ont créé le judaïsme, à leur profit, pour légitimer leur violence, soit le pouvoir sur autrui que donnent le commerce et la finance.
Le christianisme est donc une fiction créée à partir d’une autre fiction, une fiction qui se réclame d’une autre fiction (à l’image des poupées russes, qui symbolisent très bien le procédé).
Les juifs sont enfermés dans un mensonge, les chrétiens le sont eux dans un double mensonge.
Certains considèrent qu’une fois qu’il est enclenché, ce processus de mensonge, qu’on peut qualifier d’itératif, possède la capacité de se perpétuer seul, sans aucune intervention volontaire extérieure. Il se développe de lui-même. C’est une mécanique qui se propage indéfiniment, en puisant son énergie dans la création même de nouveaux mensonges, à l’image de ce qu’on nomme « cavalerie », dans le domaine de l’escroquerie financière. C’est un processus qui tend à épuiser l’énergie sociale, car il ne rend rien de ce qu’il prend, il ne peut que prendre. C’est un processus de non-échange. Il ne peut que grossir indéfiniment, sans limite. On peut en effet imaginer pour une poupée russe, un accroissement et une multiplication des couches de cette poupée, jusqu’à ce qu’elle occupe tout l’univers. Pour en revenir au judéo-christianisme, c’est le cas, il tend à occuper tout l’univers, et si dans l’absurde, il y parvient, on pourra considérer que tout l’univers aura été occupé par le mensonge, soit sera devenu mensonge, soit sera néant. C’est peut-être ce qu’il faut entendre par la fin du monde biblique, le mensonge totalitaire qui rend le réel au néant.
La production judéo-chrétienne de mensonge semble aller en s’accélérant. Le dernier étant celui du 11 septembre 2001. On constate l’élaboration et l’application de lois interdisant la dénonciation des mensonges, et la quasi mise à mort de ceux qui persistent à préserver la lucidité.
La « fin des temps » serait-elle proche ?
La structure intime, psychique, des individus constituant le monde judéo-chrétien, peut se comparer à celle de l’oignon, soit d’un série de couches superposées, de mensonge, allant du centre à la périphérie, le centre étant le mensonge initial, les couches périphériques étant les mensonges les plus récents.
Cette société est d’autant plus déterminée à créer et à maintenir le mensonge, qu’elle se sait intuitivement, de façon non formulée, fondée sur le mensonge, soit le néant, et que la révélation de cette réalité entraînerait sa totale désagrégation, sa désintégration, sa disparition. Le mensonge lui est vital, ce qui explique qu’il soit mieux défendu que l’or des banques centrales.
Il convient de se pencher sur le mensonge initial, et c’est le personnage fictif de dessin animé, le Mickey de Palestine, Jésus, (il vole, il marche sur les eaux, il multiplie les pains et les poissons, il change l’eau en vin, il se promène après sa mort, et autres et autres et autres), qui dévoile la nature de ce mensonge, car il en a fait son slogan essentiel : « Aimez vous les uns les autres ».
Ce mensonge est en effet le plus ancien des mensonges, soit celui du 4ème commandement « Tu honoreras tes père et mère », tiré du code d’Hammourabi, qui est lui-même issu des plus anciennes coutumes datant d’avant les sumériens.
« Tu honoreras tes père et mère », comme « Aimez vous les uns les autres », sont les manifestations, les expressions d’un mensonge unique, celui de l’amour forcé, du commandement à aimer, qui constitue à la fois le mensonge primitif général, politique, social et le mensonge primitif psychologique dans lequel est immergé dès sa venue au monde, le nouveau né, et qui l’imprègne jusqu’au plus intime de son être.
En effet, amour et commandement, amour et contrainte, sont totalement incompatibles. L’amour ne peut se commander, de même que le respect. L’amour est un choix, et il n’existe que d’un être libre envers un autre.
On est libre d’aimer, et amour rime avec liberté. Si on est forcé à aimer, on ne peut aimer, et la simulation de l’amour, du respect ne peuvent recouvrir que la haine, car il n’y a pas pire souffrance que d’être contraint à aimer, et pire encore, de se contraindre soi-même à aimer.
Une société bâtie sur l’ordre d’aimer est bâtie sur la haine, le mensonge et la servitude. Personne n’y est libre, personne n’aime et personne ne dit la vérité.
A partir de Jésus et des apôtres, qui signent l’universalisme du judaïsme, les slogans orwellien a été projetés au-delà de la minuscule Palestine, qui est le carrefour de toutes les voies du monde, sur toute la planète.
« L’amour c’est la haine » « La vérité c’est le mensonge » « L’esclavage c’est la liberté ».
Nous y sommes, et cela depuis longtemps.
3 - Exposé
succinct sur l’origine du judaïsme et de l’ancien testament.
LES ORIGINES HISTORIQUES DE LA BIBLE JUIVE
En 586 av. J.C, les juifs subissent une véritable catastrophe nationale et identitaire résultant de la destruction du Temple et de la ville de Jérusalem et de la déportation de l'intelligentsia juive par les babyloniens de Nabucodonosor.
Suite à cette catastrophe, des juifs s'enfuient
en Egypte, pour former la communauté d'Eléphantine, après
une période de persécution, ils gagnent l'Ethiopie, se mélangeant
avec une partie de la population noire, ils formeront la fameuse communauté
des Falasha. Mais pour les juifs restés sur place, tous
les piliers sur lesquels s'établissait leur identité étaient
alors détruits : le clergé et le roi Sédécias,
médiateurs entre le peuple et les dieux (élohim, en hébreu)
étaient exilés à Babylone. En effet, à l'instar des autres peuples,
les juifs étaient polythéistes et idolâtres comme
le révèlent leurs propres documents. Leurs ancêtres possédaient des Téraphim,
c'est-à-dire des idoles domestiques représentant des différentes
divinités " Genèse 31 : 17 à 35 ". Ils se prosternèrent devant les Ashéra,
c'est-à-dire un pieu ou un arbre sacré attribut d'une divinité
" Juges 6 : 25 à 30 ". Le premier livre de Samuel, chapitre 4, verset
8 dit explicitement : " Malheur à nous ! Qui nous délivrera
de la main de ces dieux puissants ? Ce sont ces dieux qui ont frappé
les Egyptiens de toutes sortes de plaies dans le désert ",
ou encore un papyrus araméen d'Eléphantine daté de
398 av. J.C, qui dit : " Le salut de tous les dieux, abondamment
en tous temps ", mais aussi une tablette assyrienne du roi Sargon
II au 8e siècle av. J.C, disant ceci : " Je comptai pour prisonniers
27 280 personnes ainsi que leurs chars et les dieux en qui ils se confiaient
". Ces documents sont connus de tous les chercheurs,
et nous pouvons constater que le monothéisme ancestral des juifs
n'est qu'une vue de l'esprit remontant au 4e siècle av. J.C. Le Temple de Jérusalem, où se trouvait
l'arche contenant les fameux élohim, symbolisant la présence
divine auprès du peuple, était en ruine. Le pays était occupé par une puissance
étrangère ; les dieux des juifs Yaho, Anath, Bethel, Ishum,
Herem (papyrus araméens d'Eléphantine) étaient impuissants
face aux dieux des babyloniens (Marduk, Bel, Ishtar). Pour maintenir un temps soit peu l'identité
juive et sortir de cette période de crise, en 398 av. J.C, sous
la direction du scribe et sacrificateur Esdras, les intellectuels juifs
acculturés à la sauce babylonienne " Daniel 1 : 1 à
8 " , se mirent à rassembler le maximum de traditions sémitiques,
afin d'opérer une véritable renaissance du peuple juif,
en fondant une nouvelle identité basée sur la Torah, avec
ses récits, ses rites et ses lois. Bien évidemment, pour
que cette Torah soit acceptée par la masse, il fallait lui donner
une certaine antériorité et une paternité, c'est
alors que les scribes inventèrent à cet effet le personnage
de Moïse, non pas de toute pièce, mais à partir du
personnage d'Akhenaton ( voire à ce sujet : La véritable
Bible de Moïse, de Pierre NILLON). Comme le montre cette liste non exhaustive, à partir du 4e siècle av. J.C, les juifs avaient entre les mains toute la documentation nécessaire à l'élaboration des grands récits de la Torah, puis au remaniement de ceux-ci, et cela jusqu'en 90 ap. J.C, où le Concile de Yabnéel alias Jamnia en grec, l'actuel Yebna fixa le canon des livres saints aujourd'hui reconnu dans le judaïsme. - L'histoire de la Tour de Babel est inspirée de la Tour de Babylone édifiée au 6e siècle av. J.C, par le roi Nabucodonosor sous le nom de : Etem En Anki. - L'histoire du déluge de Noé est inspirée du déluge d'Out Napishtim qui se trouve dans l'épopée de Gilgamesh au 7e siècle av. J.C. - Les lois dites mosaïques sont inspirées du Code d'Hammurabi au 18e siècle av. J.C. - Le récit de l'exposition de Moïse
sur le Nil est inspiré d'un récit du 8e siècle av.
J.C, de l'exposition du roi Sargon d'Akkad sur l'Euphrate. - Le récit de la souffrance de Job est
inspiré du récit babylonien du " Juste souffrant ",
datant du 6e siècle av. J.C. - Le personnage d'Abraham est inspiré du personnage d'Abisha au 19e siècle av. J.C, dans la tombe de Knum Hotep III.
- Le récit de Joseph et de la femme de
Potiphar est inspiré du récit du " Conte des deux frères
", au 13e siècle av. J.C. - Le livre des proverbes est inspiré de
la " Sagesse d'Aménémopé ", au 13e siècle
av. J.C. - L'histoire des hébreux en Egypte est
inspiré de l'histoire des hyksos en Egypte au 18e siècle
av. J.C. - Le personnage de Moïse fondateur du monothéisme est inspiré de celui du pharaon monothéiste Akhenaton au 14e siècle av. J.C. - Le séjour de 400 ans en Egypte est inspiré de " La stèle de l'an 400 " datée du 13e siècle av. J.C. - La liste des dix patriarches antédiluviens est inspirée de la " Liste royale sumérienne ", mentionnant également le nom de dix rois antédiluviens, et datant du 8e siècle av. J.C. - Le récit de la création est inspiré
d'un récit babylonien de la création " Enuma Elich
" daté du 6e siècle av. J.C. Tout ceci explique pourquoi, aucun document qu'il
soit : égyptien, cananéen, assyrien, babylonien, perse,
ou même juif comme les papyrus araméens d'Eléphantine,
antérieur au 4e siècle av. J.C, ne mentionne le personnage
de Moïse, ou la loi de ce dernier (il en va de même pour les
soi-disant prophètes juifs). Pourtant les juifs ont séjourné
un grand nombre d'années, voire même de siècles au
contact de tous ces peuples, même Hérodote le père
de l'Histoire ignore cet illustre personnage de Moïse dans ces enquêtes
au 5e av. J.C. Ce n'est qu'à l'époque grecque,
vers 320 av. J.C, dans les écrits d'Hécatée d'Abdère
que nous trouvons les premières allusions à un personnage
nommé Moïse et à la loi de ce dernier. De même,
ce n'est qu'à cette époque sous Ptolémée II
Philadelphe (283 à 246 av. J.C) que s'effectue la première
traduction de la Torah, la fameuse version de la Septante. Or, nous savons
que bien avant les grecs, il était courant de trouver des traductions
de certaines œuvres littéraires. Comme nous pouvons le constater, et comme le pensent
également certains juifs laïques à l'instar des professeurs
en archéologie Israël Finkelstein et Neil Asher Silberman
(La Bible dévoilée, éditions Bayard 2002) ou du professeur
Yaaqov Kupitz de l'université hébraïque de Jérusalem,
la Bible n'est qu'un vulgaire plagiat remontant à l'époque
grecque (Science et Avenir, hors-série n° 113, de Décembre
1997 et Janvier 1998, p. 84 à 87). Conclusion : Les juifs n'ont pas la véritable
Bible de Moïse, mais une simple compilation de documents plagiés
à l'époque grecque sous la direction du scribe et sacrificateur
Esdras. Il est donc impératif que les gens sortent de la Matrice
de l'idéologie sémito-centriste, et se tourner enfin vers
la Matrice de la véritable science universelle. Sennen CODJO NKYC Voir chez l’Harmattan un livre assez “remarquable” : “Monolâtrie ou Polydémonisme, la religion des anciens Hébreux” ! |