De : Michel Dakar

 

Paris, le 14 mars 2006

 

A : M. le Procureur de la République à Versailles, Yves COLLEU

3, avenue de l'Europe – 78000 Versailles

 

Objet :

 

Plainte à l'encontre de M. Jean MARTIN, « Avocat général » près la Cour d'appel de Paris, pour « antisémitisme » public proféré dans le but d'aider à l'achèvement d'un génocide, celui de la population indigène de Palestine par les juifs sionistes, acte de M. Jean Martin daté du 12 décembre 2005, non prescrit, car le crime de génocide (article 21161 du code pénal), est imprescriptible, comme la complicité dans ce crime (article 121-7 du code pénal).

 

Rappel des évènements :

 

Il a été déposé en mai 2005, à la Préfecture de police de Paris, les statuts de l'association CODEIG (Compréhension et dépassement de l'idée de génocide ), dont je suis le président, et dont l'objet est le dépassement de la morale raciste et génocidaire, en général, à travers l'étude de cas, dont celui unique et exemplaire du génocide de Palestine par les juifs sionistes, car ce génocide est un cas d'école en raison du déni de sa réalité, déni officiel (gouvernements, médias, classes politiques occidentaux, appareils judiciaires dits indépendants occidentaux), et en raison de la légitimation officieuse par les mêmes, de ce génocide, et plus, en raison de son encouragement, officieux, par les mêmes.

 

Le « Ministère public », en la personne du Procureur de la République à Paris, M. Jean-Claude MARIN, agissant sur ordre du Ministre de la justice, simple relais du CRIF (Conseil des institutions juives de France), une émanation du Mouvement sioniste mondial, a saisi le tribunal de grande instance de paris, pour obtenir la dissolution de CODEIG.

 

Le 14 septembre 2006, le juge a rejeté cette demande et a ordonné la parution sans délai au Journal officiel.

 

Le « Ministère public » a fait appel.

 

M. Jean MARTIN est l'auteur des « Conclusions » déposées le 12 décembre 2005 relatives à cet appel. C'est un passage de ces conclusions, qui motive cette plainte.

 

 

ELEMENTS DE DROIT :

 

•  La procédure mise en œuvre par le « Ministère public » ne devrait pas exister, car le Conseil constitutionnel a décidé, le 16 juillet 1971, qu'aucune association ne pouvait être dissoute avant son existence, soit la parution au Journal officiel. L'avocat général qui demande la dissolution, alors qu'elle n'est pas parue au J.O., de plus, cultive l'absurde.

 

•  La ministre de l'intérieur, et le premier ministre, qui lui semble inféodé, au mépris de la décision du juge, bloquent la parution au J.O., qui pourtant permettrait l'enclenchement d'une procédure en dissolution, autre comportement aberrant.

 

•  Le « Ministère public », en la personne de Jean-Claude MARIN, procureur de la République à Paris, contre lequel la prochaine plainte de cette série pour génocide va être déposée, a censuré la publication du jugement sur le site internet http:// codeig.net, ce qui est parfaitement illégal, car les jugements et leurs contenus, sont des documents obligatoirement publics.

 

•  Le « Ministère public », soit M. Jean-Claude MARIN, a tenté d'entraver physiquement le travail d'opposition au génocide des Palestiniens par les juifs sionistes, en envoyant au bureau où je travaille, une dizaine de « sbires », dans le but de se saisir de mon matériel informatique et de mes dossiers, le 16 février 2006.

 

 

 

LE CAS DE JEAN MARTIN, et ses conclusions antisémites et génocidaires.

 

 

A la page 2, des conclusions déposées le 12 décembre 2005, figure le passage suivant :

 

« A l'appui de son assignation, le parquet faisait valoir que l'objet de l'association était illicite, comme contrevenant aux dispositions de la loi du 24 juillet 1881 sur la presse, et notamment de ses articles 24 alinéa 6, 24 bis, 32 alinéa 2 et contraire à l'ordre public, de même que la provocation à la haine envers les ressortissants d'Israël ».

 

Il est à relever que c'est la première fois, au cours de cette procédure, que je suis qualifié, de par mes actes, d'antisémite. C'est donc un choix délibéré individuel, de M. Jean MARTIN.

 

 

 

ELEMENTS PERSONNELS ET HISTORIQUES.

 

Je suis moi, Michel DAKAR, un SEMITE, et plus encore, l'un des très rares authentiques SEMITES présent en France.

 

Je suis né en Syrie, dans la région de Lattaquié, (pays au nord de la Palestine occupée), ma famille est depuis la nuit des temps implantée dans cette région.

 

On y parle encore l'Araméen, qui est la langue du CHRIST, à son époque où l'hébreu était une langue devenue morte, uniquement employée par les prêtres pour la liturgie (comme le latin actuel).

 

Ma famille chrétienne catholique de rite orthodoxe, est par sa religion même, un élément vivant remontant aux premiers temps du christianisme, qui s'est propagé par la conversion des communautés juives de cette région.

 

M. Jean MARTIN se moque de moi, de l'histoire et du monde, en osant me taxer d'antisémitisme.

Par contre, l'immense majorité de ceux qui se disent « juifs », ne sont en rien des SEMITES.

 

Ils se prévalent d'une origine imaginaire et vivent dans l'irréalité. Ils sont des phantasmes vivants et usurpent un passé et une identité.

 

En effet, la quasi totalité des juifs européens sont issus d'un peuple nommé KHAZAR, situé au nord de la mer Caspienne, dont le roi a commandé la conversion au judaïsme, vers le 10 ème siécle après J.C.

 

De même, la plupart des juifs d'Afrique du Nord sont des Berbères convertis.

 

Par son qualificatif d' « antisémite », M. Jean MARTIN cherche à me discréditer, cela de façon absurde et aberrante, dans le but de disqualifier l'association CODEIG, afin de permettre l'achèvement de l'élimination des indigènes de Palestine par les juifs sionistes.

 

Il est intéressant de relever que ce que cite M. Jean MARTIN :

 

« loi du 29 juillet 1881, article 24 alinéa 6, 24 bis, 32 alinéa 2 », servent à promouvoir le pire des racisme et la pire des provocations à la haine raciale, et à collaborer à l'achèvement d'un génocide.

 

Je vous prie de recevoir, Monsieur le procureur de la république à Versailles, Yves COLLEU, l'expression de mes salutations distinguées.

 

M. DAKAR