De Michel Dakar A : M. le procureur de la République à Versailles, Yves COLLEU,
Paris, le 15 mars 2006
Objet : Plainte à l'encontre de Monsieur le procureur de la République à Paris, Jean-Claude MARIN, pour complicité (article 121-7 du code pénal), du génocide (211-1 du code pénal) de la population indigène (non-juive) de PALESTINE, génocide opéré par les juifs sionistes, par abus d'autorité.
Note préliminaire : La copie de cette présente plainte est à verser au dossier de la procédure à mon encontre, menée à Versailles, pour "outrage" à magistrat, ainsi qu'une copie de cette plainte sera versée au dossier en appel, de l'association CODEIG (Compréhension et dépassement de l'idée de génocide), à la première chambre civile à Paris.
Rappel des évènements : J'ai déposé en mai 2005, à la préfecture de police de Paris, les statuts de l'association CODEIG (Compréhension et dépassement de l'idée de génocide), en tant que président, association dont l'objet est l'abandon de la morale raciste et génocidaire, à travers l'étude de cas, dont celui unique et exemplaire en raison de son déni officiel, et de sa légitimation et de son encouragement officieux, du génocide de la population indigène (non-juive), de PALESTINE, génocide par les juifs sionistes.
Le parquet de Paris, en la personne du procureur Jean-Claude MARIN, a assigné CODEIG devant le Tribunal de grande instance de Paris, pour obtenir sa dissolution.
En septembre 2005, le juge a rejeté la demande de dissolution, et a ordonné la parution sans délai, de l'association au Journal officiel.
Le parquet de Paris a fait appel de ces décisions.
Quelques actes illégaux du parquet et du ministère de l'intérieur :
En décembre 2005, M. Jean-Claude MARIN a fait censurer le site internet http:// codeig.net, dont le fichier reproduisant le jugement et ses attendus autorisant CODEIG. Cette censure est illégale et constitue un abus manifeste d'autorité, puisque tout jugement et ses attendus, sont des actes par nature publics.
Le ministère de l'intérieur, ainsi que le premier ministre, qui lui est d'évidence inféodé, au mépris de la décision de justice, interdit au Journal officiel de publier CODEIG, bien que le Journal officiel ai encaissé le chèque de publication.
La procédure de dissolution engagée par M. Jean-Claude MARIN, est abusive, car le Conseil constitutionnel a décidé, le 16 juillet 1971, qu'aucune association ne pouvait être dissoute à priori, avant d'être venue à l'existence, soit avant d'avoir agit, et d'avoir donc été publiée au Journal officiel.
Le procureur Jean-Claude MARIN interdit toute utilisation par mise à jour du site internet CODEIG, ce qui est non seulement non motivé, mais abusif.
Le procureur Jean-Claude MARIN, a diligenté le 16 févirer 2006, une équipe d'une dizaine de "sbires", pour s'emparer du matériel informatique et des dossiers judiciaires de mon bureau.
La raison unique de ces actes délictueux :
M. Jean-Claude MARIN agit sur ordre du ministre de la "justice", lequel n'est que le relais sans volonté propre, du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), qui n'est que l'appendice local du mouvement sioniste mondial, qui voit dans la création d'une association telle CODEIG, un frein dans l'élimination de la population non-juive, de PALESTINE.
M. Jean-Claude MARIN se rend ainsi coupable de complicité dans l'accomplissement d'un génocide.
Je vous prie de recevoir, Monsieur le procureur de la République à Versailles, Yves COLLEU, l'expression de mes salutations distinguées.
M. DAKAR
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