Au-delà du discours unique.

Un avis sur :

Israël Adam Shamir, la coqueluche des antisionistes (supposés radicaux).

 

Israël Adam Shamir (IAS) est un très grand écrivain selon l'opinion propagée dans le milieu antisionistes radical (qui se veut réellement antisioniste), les antisionistes type CAPJO d'Olivia Zémor, France Palestine Solidarité de Bernard Ravenel, le CCIPPP de Youssef Boussouma, et consorts, étant eux clairement des crypto sionistes jamais ennuyés par les autorités et au service d'Israël.

Lire un livre d'IAS, provoque un effet similaire à celui de lire un livre de Bernard Henri Lévy. Quand on le referme, on finit assez vite par ne plus se rappeller de son contenu (mais qu'est-ce que j'ai bien pu lire), ni rapidement ensuite du titre même du livre.

Creux, est le qualificatif qui vient naturellement à l'esprit en ce qui concerne la production intensive de cet auteur.

IAS au mieux plagie des authentiques auteurs comme Israël Shahak, Paul Rassinnier, Norman Finkelstien, et autres similaires, qui se sont affrontés au sionisme en payant lourdement de leur personne.

IAS fournit presque autant que Paul Louis Sullitzer, et est traduit en de multiple langues. Il attire autour de lui localement de petites nuées de mouches opportunistes et carriéristes (qui se ressemble s'assemble), et présente l'avantage pour les sionistes, de créer les conditions judiciaires favorables à la répression de ses supporteurs locaux, les asséchant financièrement, tout en le préservant lui de toute poursuite (Ah! le plaisir de la provocation de pure injustice assumée et affichée en public - discours implicite : je vous emmerde ! ).

Mais le comble est cet article du Réseau Voltaire dont voici le titre et le sous titre (du 16/09/2005) -

 

Entretien

Israël Shamir : « L'égalité en droits en Palestine/Israël n'est pas utopique »

L'écrivain et journaliste Israël Shamir est l'une des personnalités israéliennes les plus engagées contre la définition juive de l'État d'Israël et le système d'apartheid qui en découle. Ancien porte-parole du Mapam (Parti socialiste israélien) et ancien traducteur du président Herzog, Israël Shamir est décrit par ses détracteurs comme « un juif animé par la haine de soi », et par ses supporters comme « un des plus grands intellectuels israéliens ». Il répond aux questions de Silvia Cattori sur la campagne de diffamation dont il fait l'objet et sur la manière de lutter contre le racisme d'État israélien ...

 

- où cet écrivaillon dopé par son appétit de promotion sociale (un véritable estomac sur pattes), émet une telle contrevérité, un tel déni de la réalité "L'égalité en droit en Palestine/Israël n'est pas utopique", alors qu'il devient impossible, même pour les plus aveugles, de ne pas voir que le processus d'élimination de toutes les populations non-juives de la Palestine, aborde maintenant sa dernière phase.

Il est temps de larguer la barque de cet énergumène, et ceux qui localement font leur miel grâce à lui, tout en enfonçant de malheureux inconscients, comme cet éditeur arabe (Chérifi, Editons Al Qalam-le roseau ) poursuivi pour avoir édité l'une de ses oeuvres.

Et que penser de ce crétin, qui du judaïsme passe au christianisme (pour ce genre de pitre, il semble impossible de marcher seul, de ne pas tomber dans la crédulité, de ne pas s'incarcérer dans un cloître religieux), religion chrétienne qui est, selon mes propres cours d'éducation religieuse que j'ai dû subir contraint dans ma jeunesse, la religion de la "sainte vierge", une femme qui a été fécondée tout en restant intacte, et qui a mis au monde le "fils de dieu", à la fois dieu lui-même et homme.

Cela n'est médicalement possible (et il y a eu des cas médicalement constatés) que si la sainte vierge s'est faite enculer, et qu'une fissure, une communication existait entre la parois anale et la parois vaginale (Joseph y a été un peu fort, ou il avait le bout du pénis un peu pointu), permettant le passage du spermatozoïde divin (le saint Sper). Il est à espérer qu'un fragment d'excrément n'ait pas été entraîné dans cette action, excrément qui se serait associé au patrimoine génétique du fameux Jésus, ce qui en ferait un dieu en effet unque, croisement OGM entre un humain et un étron. Cela est malheuresement très probabale, à voir ce que sème le christianisme, qui prône la soummission totale envers son exploiteur : "Il faut rendre à César ce qui est à César", "Il faut pardonner à ceux qui nous offensent", les premiers seront les derniers - mais après la mort, heureux les pauvres, le royaume des cieux leur est destiné etc ...) le christianisme étant d'évidence un complément du judaïsme, à usage exclusif des non-juifs.

La publication par le Réseau Voltaire de cet entretient avec IAS prouve une fois de plus l'orientation cachée de ce qui n'est que l'un des organes de propagande, de manipulation de l'opinion, de guerrre psychologique, et de conditionnement des masses, du siono-capitalisme, parmi les plus pervers et hypocrites.

Auparvant, le Réseau Voltaire avait publié un article au sujet d'Olivia Zémor, de la CAPJO ( Une campagne de protestation en France. Olivia Zemor : « Israël ment ! », 30 juin 2005, Voltaire, Olivia Zemor, cofondatrice de la CAPJPO (Coordination des Appels pour une Paix Juste au Proche-Orient), devenue CAPJPO-Euro-Palestine, après la présentation d'une liste de candidats aux dernières élections européennes, dresse le le bilan des actions conduites en France pour le respect des Droits de l'homme en Palestine. Elle répond aux questions de Silvia Cattori au moment où 60 associations françaises organisent une campagne de protestation à l'occasion du premier anniversaire de la condamnation du Mur par la Cour de La Haye et de la venue à Paris du général Sharon.

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Annexe :

Article de "Pratique de santé ", n° 36, 24 septembre 2005.

La foi est le meilleur des anxiolitiques, du Dr Jean-Pierre Willem (l'opium du peuple, ou le Ricard, Ndlr)

 

Croire en Dieu augmente... l'espérance de vie ! Telle est l'inattendue conclusion de travaux scientifiques réalisés par le professeur de psychiatrie David B. Larson, de l'université Duke, en Caroline du Nord (États-Unis) et publiés récemment. Ce chercheur est en effet parvenu à démontrer que les croyants vivaient en moyenne 29 % plus longtemps que les non-croyants. Fruit de la synthèse de 42 études médicales menées entre 1977 et 1999 et concernant pas moins de 126 000 personnes, ce chiffre, par son ampleur, pose dès lors une question : en quoi le fait de « croire » a-t-il une influence sur notre espérance de vie?

De nombreuses recherches ont été menées sur les effets thérapeutiques de la méditation ou de la prière : tension artérielle, insomnie, arthrite, psoriasis, ulcères... Il a été prouvé que de très nombreuses affections sont améliorées, voire soignées par ce que certains appellent la pratique spirituelle et ce que d'autres préfèrent assimiler à de la relaxation. Dans le cadre des neurosciences, des chercheurs ont observé récemment chez les habitués de la méditation une quantité anormalement élevée d'oscillations gamma pendant et après leur pratique spirituelle. La méditation (et la prière) seraient capables de modifier la physiologie du cerveau à court et à long terme. Est-ce là le secret de la longévité...

Je crois pour ma part que la réponse est plus simple et qu'elle tient en un mot : anxiolytique. Peu importe le nom du Dieu qu'elles élisent, la genèse qu'elles décrivent ou la nature du paradis qu'elles promettent, toutes les religions produisent en effet un discours qui, chacun à sa manière, apporte une réponse à ce qui angoisse et étreint l'homme lorsqu'il songe à sa condition : sens de la vie, question des origines, peur de la mort... Chacun peut dès lors y trouver refuge, pourvu qu'il adopte durant sa vie un comportement conforme aux lois édictées par la religion concernée, c'est ainsi que le croyant trouve la sérénité et sa physioloaie s'en ressent. La foi possède un autre atout : celui de permettre au croyant de faire partie d'une communauté religieuse. Le fait d'être intégré dans un groupe social apporte un sentiment de sécurité et, par conséquent, réduit l'anxiété.

Au final, nous avons donc toutes les raisons du monde d'avoir la foi et de nombreux travaux scientifiques commencent à émerger (maladie d'Alzheimer, sida, dépression...) prouvant qu'elle pourrait être un médicament aux applications variées. Bien entendu, la médecine officielle balaie cette piste thérapeutique, d'un air goguenard. Les médecins la négligent à tel point qu'ils ne s'intéressent aux croyances religieuses des patients que pour des raisons administratives ou juridiques et qu'ils n'abordent jamais le sujet avec eux alors que les malades, lorsqu'on les interroge, disent qu'ils aimeraient pouvoir le faire, surtout lorsqu'ils ont à prendre de graves décisions concernant leur santé. Notre siècle sera « spirituel » dit-on partout. La médecine officielle n'est donc pas de ce siècle.

La méditation (et la prière seraient capable de modifier la physiologie du cerveau à court et à long terme ... (comme les coups de matraques).

Conclusion : ne plus penser repose !

 

 

 





 

 

 

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